• il y a 8 mois
️ Kick Off : Paris Saint-Germain - Stade Rennais FC en direct du Parc des Princes
#psgtv #live #PSG #CDF #weareparis

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Sport
Transcription
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00:00:34 *Générique*
00:00:48 Salut à toutes, salut à tous
00:00:52 Jour de match c'est kick-off
00:00:54 PSG Rennes, coup d'envoi dans
00:00:56 quelques minutes, quelques
00:00:58 heures, un petit peu moins
00:01:00 d'une heure pour cette demi-finale
00:01:02 de Coupe de France en Paris-Saint-Germain
00:01:04 et le stade Rennes est en
00:01:06 bregodion, est là, est en pleine forme
00:01:08 en vie, c'est ce qui compte
00:01:10 Bon, il y a un petit fou rire avant la prise d'antenne
00:01:14 ça arrive à tout le monde, tu me dis quand tu peux respirer
00:01:16 quand tu peux discuter, il n'y a aucun souci
00:01:18 On active le mode road tout final
00:01:24 ensemble avec vous, chers
00:01:26 supporters du Paris-Saint-Germain et vous
00:01:28 qui venez d'arriver bien sûr dans
00:01:30 les travées du Parc des Princes
00:01:32 coup d'envoi on le disait dans
00:01:34 voilà un petit peu moins d'une heure et demie
00:01:36 on va dire bonjour à Michel d'abord
00:01:38 avant de commencer, on ne sort pas de grand match sans grand homme
00:01:42 Michel Montaner, comment ça va ?
00:01:44 Vous avez l'air très bien parti
00:01:46 Bonjour Michel, comment ça va ?
00:01:48 Bien ombre, merci Alexis
00:01:50 Voilà, la chasse aux oeufs est terminée
00:01:52 mais ce soir on décrète la chasse
00:01:54 à la finale
00:01:56 Il est bon, il est bon
00:01:58 ça va Alexis ?
00:02:00 Moi ça va, je me suis plutôt inquiet pour
00:02:02 une crise de fourrure, c'est jamais très inquiétant
00:02:04 Je reprends le contrôle, merci Alexis
00:02:06 La crise de foie, la crise de fourrure
00:02:08 Exactement, parfait, merci Michel
00:02:10 Rico, bien accompagné Michel
00:02:12 Exactement, avec qui il était Michel ?
00:02:14 Rabé Sandratana
00:02:18 qui sort avec nous
00:02:20 On va découvrir le sommaire, merci pour la passe-dé
00:02:22 de cette émission, bienvenue dans Kick-Off
00:02:24 pardon, excusez-moi, vous l'avez vu
00:02:26 à 1h30 du coup d'envoi
00:02:28 on va revenir sur le classique
00:02:30 évidemment, deux légendes seront avec nous
00:02:32 dont celle que vous venez d'apercevoir
00:02:34 Eric Rabé Sandratana, ancien capitaine du club
00:02:36 Et Alius Isse, ancien coéquipier
00:02:38 pendant 3 saisons
00:02:40 l'actuel entraîneur du Sénégal
00:02:42 lui aussi, il viendra poser ses fesses
00:02:44 sur le siège du Kick-Off
00:02:46 C'est si bien introduit, merci Alexis
00:02:48 et on dira tout ce qu'il faut savoir
00:02:50 sur Paris-Rennes
00:02:52 coup d'envoi, un petit peu tardif
00:02:54 21h10 pour cette
00:02:56 demi-finale de Coupe de France
00:02:58 ce soir, clairement l'objectif
00:03:00 c'est d'aller gagner Alexis et de rejoindre
00:03:02 Lyon, l'Olympique lyonnais
00:03:04 en finale. Qui s'est qualifié
00:03:06 tu l'as dit hier, au dépens des Nordices
00:03:08 de Valenciennes. On s'intéresse
00:03:10 à l'actu du Paris-Saint-Germain ? Let's go, on y va !
00:03:12 Vous n'êtes pas passé à côté
00:03:20 ou alors vous êtes vraiment à côté de la plaque
00:03:22 de ce début de saison, enfin même pas
00:03:24 milieu de saison du Paris-Saint-Germain mais début
00:03:26 d'année et pour l'instant tous les feux
00:03:28 sont au vert dans toutes les compétitions
00:03:30 vous le voyez, vainqueur évidemment du Trophée des Champions
00:03:32 et dans les trois autres, Alexis
00:03:34 nous sommes très bien partis
00:03:36 C'est le moins que l'on puisse dire
00:03:38 on est premier, tu le disais, en Ligue 1
00:03:40 avec 12 points d'avance sur le Dauphin-Brestois
00:03:42 on est encore en lice en Coupe de France
00:03:44 puisqu'on a acté
00:03:46 le road to final, la chasse
00:03:48 à la finale ce soir et puis aussi
00:03:50 le Trophée des Champions avec une double confrontation
00:03:52 qu'on attend tous avec impatience, c'est déjà la semaine prochaine
00:03:54 et puis voilà, on a quand même noté
00:03:56 le premier trophée sous l'air de Loussaint-Pierre
00:03:58 le Trophée des Champions c'était au mois de janvier dernier
00:04:00 Et oui, évidemment, on va essayer d'aller
00:04:02 le plus loin possible dans toutes les compétitions
00:04:04 dans lesquelles nous sommes engagés
00:04:06 à noter qu'il n'y a que trois équipes
00:04:08 invaincues toutes compétitions confondues en 2024
00:04:10 Bayer Leverkusen, Manchester City
00:04:12 et le Paris-Saint-Germain
00:04:14 on aura l'occasion d'en parler de cette invincibilité
00:04:16 Alexis, d'abord on va quand même
00:04:18 revenir sur quelque chose qui nous a fait plaisir
00:04:20 et vous ici au Parc des Princes vous avez du
00:04:22 fibrer, et bien je parle
00:04:24 évidemment de cette belle victoire
00:04:26 face à l'Olympique de Marseille
00:04:28 et ouais, on ne va pas goûter notre plaisir
00:04:30 Tu l'as dit, une victoire
00:04:32 obtenue en plus à 10 contre 11
00:04:34 sur la pelouse du Vélodrome
00:04:36 victoire de but à zéro
00:04:38 on a eu quand même pas mal d'occasions
00:04:40 en deux parties d'autre d'ailleurs de la rencontre
00:04:42 et puis le premier but de la rencontre
00:04:44 a été inscrit par Vitigna sur
00:04:46 une nouvelle passe décisive d'Ousmane Dembélé
00:04:48 pour climatiser le Vélodrome, magnifique
00:04:50 Ousmane Dembélé
00:04:52 qui conforte sa place de
00:04:54 leader au classement des passeurs
00:04:56 et puis que dire aussi de la performance
00:04:58 de Di Gio Donnarumma, encore une fois
00:05:00 10 arrêts de l'Italien
00:05:02 qui a clairement maintenu l'équipe
00:05:04 il y avait toujours une tête, une jambe, un pied
00:05:06 pour contrer les offensives
00:05:08 des hommes de Jean-Louis Gasset et coaching gagnant
00:05:10 de Luis Henrique qui a fait rentrer
00:05:12 cet homme, Gonzalo Ramos
00:05:14 un but au match allé, un but au match retour
00:05:16 décidément il aime croquer Marseille
00:05:18 tu parlais de climatisation dans celui-ci aussi
00:05:20 magnifique, à 10 contre 11 Alexis
00:05:22 c'était jouissif
00:05:24 sur une passe d'Achraf Hakimi, donc victoire
00:05:26 deux buts à zéro et puis
00:05:28 le Paris Saint-Germain qui prolonge son invincibilité
00:05:30 en Ligue 1, Alex Tard et contre l'Olympique de Marseille
00:05:32 5 clean sheets consécutifs
00:05:34 au Vélodrome en Ligue 1, ça mange pas de pain
00:05:36 non plus, de le rappeler c'était notre
00:05:38 cinquantième victoire
00:05:40 toute compétition confondue dans un classique
00:05:42 donc bravo les Rouges et Bleus, vous nous avez régalés
00:05:44 et pas qu'Alexis et moi, pas que vous
00:05:46 mais aussi les supporters qui étaient présents
00:05:48 pour accueillir nos Parisiens
00:05:50 c'était évidemment à l'aéroport
00:05:52 au retour en pleine nuit, je peux vous dire
00:05:54 on a adoré, les joueurs aussi
00:05:56 on regarde ça en image
00:05:58 "Le PSG allez, le PSG allez"
00:06:04 "Le champion vient lâcher, toujours encourager"
00:06:07 "Le PSG allez, le PSG allez"
00:06:14 "La BUSG, la la la la la la la"
00:06:21 "Merci à tous d'être venus, et j'ai la victoire ce soir"
00:06:24 "et on est là pour toujours"
00:06:26 Victoire extraordinaire, accueil extraordinaire
00:06:34 exceptionnel forcément de la part de tous les supporters
00:06:36 Parisiens aux couleurs Rouge et Bleu
00:06:40 vous l'avez peut-être remarqué d'ailleurs lors de cette rencontre
00:06:42 un flocage particulier tout au long de la partie
00:06:46 une collection Capsule Born & Raised
00:06:49 une marque qui vient de Los Angeles
00:06:51 et donc les maillots sont déjà mis en vente
00:06:54 vous pouvez les retrouver dans les boutiques du Paris Saint-Germain
00:06:56 ou sur le site officiel du Paris Saint-Germain
00:06:59 ils sont magnifiques
00:07:01 c'est donc Maillot Born & Raised
00:07:03 une collection qui vient de Los Angeles
00:07:05 Magnifique maillot collector en tout cas
00:07:07 c'est avec celui-là que nous allons continuer
00:07:09 à prendre notre en vol en tête du classement
00:07:12 Alexis le disait tout à l'heure en introduction
00:07:14 mais oui nous sommes largement, mais très largement
00:07:17 leaders du championnat
00:07:19 12 points d'avance sur Brest qui a retrouvé la victoire
00:07:22 mais ça n'a pas empêché le Paris Saint-Germain de prendre le large
00:07:25 notre adversaire du soir, même si nous l'affrontons en Coupe de France
00:07:28 ça ne mange pas le pain de le rappeler
00:07:30 8ème de ce classement
00:07:32 et puis pour fermer un petit peu cette page classique
00:07:34 face à l'Olympique de Marseille c'est 23 points d'avance
00:07:36 sur l'Olympique de Marseille, le Paris Saint
00:07:38 Germain
00:07:40 avant d'accueillir notre première légende du Paris Saint-Germain
00:07:42 Eric Rabesson, on a un petit coup d'oeil sur le calendrier
00:07:44 à venir du PSG1
00:07:46 calendrier chargé
00:07:48 comme vous pouvez le constater avec une
00:07:50 demi-finale, déjà un match charrière
00:07:52 très important pour les hommes de Louis-Sénéry
00:07:54 et là ça va être du gros, du lourd
00:07:56 forcément avec, vous voyez le 21 avril
00:07:58 pour le compte de la 30ème journée de Ligue 1
00:08:00 un gros gros match, ici même au Parc des Princes
00:08:02 contre l'Olympique Lyonnais
00:08:04 et puis forcément on attend tous
00:08:06 avec impatience ce 10 avril
00:08:08 et ce quart de finale allée contre
00:08:10 le FC Barcelone avant le match au retour
00:08:12 le 16 du coup du côté du Camp Nou
00:08:14 Exactement, bon il est désormais temps
00:08:16 on l'a dit, après ce calendrier bien chargé
00:08:18 qu'on a découvert, d'accueillir notre
00:08:20 premier ancien joueur, c'est parti
00:08:22 Vous l'avez aperçu, il est désormais sur le plateau
00:08:30 de Kick-Off, bienvenue
00:08:32 Eric Rabesson de Ratana
00:08:34 ça va ? Eh bien ça fait plaisir de te voir
00:08:36 parce que la première fois que t'es venu, c'était le tout
00:08:38 premier plateau il y a 4 ou 5 ans
00:08:40 on était perchés, on était là-haut
00:08:42 tout début de cette émission, exactement
00:08:44 donc ça fait plaisir de t'avoir ici, moi aussi je suis très content
00:08:46 bonjour, tu préfères être là-haut ou ici ?
00:08:48 C'est bien là, c'est pas mal
00:08:50 c'est bien parce qu'on est plus près du terrain
00:08:52 ça nous reconnecte
00:08:54 c'est bien
00:08:56 t'as été capitaine pour les Rouges et Bleus
00:08:58 t'auras marqué forcément ce club
00:09:00 et ce stade de par ta personnalité
00:09:02 de par ton humeur
00:09:04 ton style de jeu et puis aussi
00:09:06 par tes trophées, forcément
00:09:08 première saison où t'arrives au club, saison 97, 98
00:09:10 saison quasi exceptionnelle
00:09:12 avec 3 trophées remportés
00:09:14 la Coupe de France, la Coupe de la Ligue, le Trophée des Champions
00:09:16 est-ce qu'il y en a un plus particulier
00:09:18 qu'un autre, un plus marquant qu'un autre ?
00:09:20 Alors, oui
00:09:22 certainement puisqu'on va dire
00:09:24 le premier, parce que c'était
00:09:26 c'était mon premier trophée
00:09:28 donc contre
00:09:30 contre Bordeaux, en plus
00:09:32 on gagne au pénalty
00:09:34 je tire un pénalty
00:09:36 je peux vous assurer que le trajet
00:09:38 du rond central jusqu'au point de pénalty
00:09:40 avec 80 000 personnes dans le stade
00:09:42 t'as intérêt à savoir ce que tu vas faire
00:09:44 donc non mais voilà, c'est des émotions
00:09:46 pour lesquelles
00:09:48 on joue au football et on devient professionnel
00:09:50 donc j'ai eu cette chance
00:09:52 j'ai eu la chance un mois après de jouer
00:09:54 l'autre finale de Coupe de France contre Lens
00:09:56 où là c'était un match difficile mais on gagne
00:09:58 les pénaltys
00:10:00 donc non, c'est des souvenirs incroyables
00:10:02 et surtout la fierté de pouvoir faire ça avec le Paris Saint-Germain
00:10:04 Et surtout à une époque où le Paris Saint-Germain
00:10:06 était, pardon, un vrai club de coupe
00:10:08 j'imagine les soulever
00:10:10 c'était une fierté mais sans commune
00:10:12 pareil quoi
00:10:14 Ouais alors c'était une fierté en plus
00:10:16 d'abord tu joues avec une équipe
00:10:18 qui a l'habitude de gagner
00:10:20 et ça c'est quand même un apprentissage
00:10:22 incroyable, tu fais un pas en avant
00:10:24 très très vite avec
00:10:26 ce genre de joueur autour de toi
00:10:28 et ce talent et ces personnalités
00:10:30 donc voilà
00:10:32 je suis content de revoir ces images aussi
00:10:34 c'était sympa
00:10:36 c'était contre Nancy, ils m'ont pas aimé
00:10:38 après ce match
00:10:40 Est-ce que tu te rappelles contre qui tu as disputé
00:10:42 ton premier match avec le Paris Saint-Germain ?
00:10:44 Alors
00:10:46 Et contre qui tu as marqué ton premier but en championnat
00:10:48 avec le Paris Saint-Germain ?
00:10:50 Contre qui j'ai marqué mon premier but c'était Rennes
00:10:52 Tout à fait, et bah premier match
00:10:54 également
00:10:56 du coup c'est pas le même match
00:10:58 mais en tout cas ton premier match avec le Paris Saint-Germain
00:11:00 les deux ont un point commun, c'est notre adversaire du soir
00:11:02 Ah bah voilà, tu vois c'est pas fait exprès
00:11:04 mais j'ai marqué
00:11:06 la barre contre Rennes
00:11:08 et j'avais marqué ici aussi
00:11:10 Et du coup justement un premier match
00:11:12 avec le Paris Saint-Germain
00:11:14 au Parc des Princes
00:11:16 et quelles impressions quand on rentre
00:11:18 un petit peu dans ce stade ?
00:11:20 Qu'est-ce que ça fait ?
00:11:22 J'ai eu la chance
00:11:24 d'avoir un peu de temps avant de jouer
00:11:26 mon premier match donc du coup j'ai quand même eu le temps
00:11:28 de m'acclimater
00:11:30 mais c'est quand même des émotions fortes
00:11:32 parce que t'as attendu ce moment
00:11:34 longtemps, ça arrive
00:11:36 moi j'ai attendu trois mois avant de
00:11:38 commencer à jouer mon premier match
00:11:40 donc c'est quand même très très long, il y a une sorte
00:11:42 de frustration mais impatience
00:11:44 et puis joie évidemment
00:11:46 et puis ça s'est bien passé donc du coup
00:11:48 derrière c'était magnifique
00:11:50 en plus tu remplaces un Laroche à ce moment-là
00:11:52 en plus il se blesse ce pour
00:11:54 donc pour moi c'était bien
00:11:56 mais pour lui moins. Bon les garçons si vous le voulez bien
00:11:58 vous le voyez, Paris-Rennes dans 1h18
00:12:00 on va donc désormais parler un peu de
00:12:02 l'actu du jour et ça veut dire parler
00:12:04 Coupe de France
00:12:06 Vous n'êtes pas sans ignorer
00:12:12 qu'on avait peur, on va pas se mentir
00:12:14 mais on a réussi avec brio à se qualifier
00:12:16 en éliminant au tour précédent
00:12:18 l'OGC Nice
00:12:20 une belle victoire Alexis, 3-1
00:12:22 Une belle victoire, 3 buts à 1
00:12:24 je te propose qu'on se remet dans le contexte du match
00:12:26 Allez, l'acte 2
00:12:28 Coupe de France
00:12:30 Coupe de France
00:12:32 Coupe de France
00:12:34 Coupe de France
00:12:36 ♪ ♪ ♪
00:12:42 (acclamations)
00:12:45 ♪ ♪ ♪
00:12:52 (acclamations)
00:12:55 ♪ ♪ ♪
00:13:01 (acclamations)
00:13:04 ♪ ♪ ♪
00:13:10 ♪ ♪ ♪
00:13:16 ♪ ♪ ♪
00:13:21 ♪ ♪ ♪
00:13:26 ♪ ♪ ♪
00:13:31 ♪ ♪ ♪
00:13:35 ♪ ♪ ♪
00:13:38 (acclamations)
00:13:41 ♪ ♪ ♪
00:13:46 - Un but de Lucas Berldo de Kylian Mbappé
00:13:49 et de Fabien Nourris pour nous qualifier en demi-finale.
00:13:51 Fabien Nourris qui fête son anniversaire,
00:13:53 d'ailleurs, aujourd'hui, qui fête ses 28 ans,
00:13:55 le milieu de terrain espagnol.
00:13:58 Et avant de se plonger définitivement
00:14:00 dans cette demi-finale, on va se rappeler,
00:14:02 se remémorer ce parcours en Coupe de France des Parisiens.
00:14:06 Vous le voyez, Parisien et René,
00:14:08 avec une campagne plutôt tranquille,
00:14:10 avec une victoire 9 buts à 0 contre Revelle,
00:14:12 une victoire 4 buts à 1 contre Orléans,
00:14:15 et puis une confrontation face aux Dauphins de Ligue 1,
00:14:18 victoire 3 buts à 1 contre le Stade Brestois,
00:14:20 avant d'éliminer en quart les aiglons de Francesco Farioli.
00:14:23 Et donc la demi-finale, c'est déjà dans quelques heures, même pas.
00:14:26 - Et du coup, vous le voyez, le dernier carré
00:14:28 pour le Paris Saint-Germain.
00:14:30 On espère pouvoir continuer plus loin encore
00:14:32 et rejoindre... rejoindre...
00:14:35 Pardon, l'Olympique lyonnais.
00:14:38 - Une victoire 3 buts à 0 des Lyonnais
00:14:42 hier obtenus au Groupama Stadium.
00:14:44 Et donc, vous voyez, le vainqueur de ce soir
00:14:46 entre le PSG et le Stade René
00:14:48 se déplacera du côté de Pierre Mora, du côté de Lille...
00:14:51 - Merci Alexis.
00:14:52 - Pour, eh bien, y affronter l'Olympique lyonnais de Pierre Sage.
00:14:55 - On espère le 25 mai prochain, en effet, du côté de Lille,
00:14:59 et donc, Rabé, on va pas se mentir, on l'a dit,
00:15:01 nous étions un club de coupe, tu y as contribué
00:15:03 en ajoutant une ligne à ce beau palmarès.
00:15:05 Résultat, le Paris Saint-Germain,
00:15:07 clairement, recordman dans l'histoire de la Coupe de France
00:15:10 avec pas moins de 14 titres.
00:15:12 On le voit là.
00:15:13 Donc, toi, tu es vainqueur en 1998,
00:15:16 mais nous, notre palmarès est exceptionnel.
00:15:18 Tu nous verrais bien en aller en choper un de plus, non ?
00:15:21 - Oui, bien sûr, évidemment.
00:15:22 Après, on sait que Rennes et Cœur Est
00:15:24 c'est quand même une équipe difficile à jouer,
00:15:27 même au Parc des Princes.
00:15:29 Mais Paris a...
00:15:31 J'ai envie de dire la dynamique aujourd'hui
00:15:33 pour faire le...
00:15:35 J'ai envie de dire la performance contre Rennes.
00:15:38 Donc non, je reste optimiste pour ce match,
00:15:40 mais il faudra respecter cette équipe de Rennes.
00:15:42 - Ah bah oui, ça, c'est sûr.
00:15:43 - Et rapidement, une petite question que je voulais te poser.
00:15:45 Quand tu es arrivé au Paris Saint-Germain,
00:15:47 on disait, on en parlait, on disait que le PSG
00:15:49 est un peu une équipe de coupe, surtout pour la Coupe de France.
00:15:51 Quand on est joueur, quand on arrive au PSG,
00:15:53 est-ce qu'on est sensibilisé là-dessus ?
00:15:55 Est-ce qu'on le sait, tout simplement ?
00:15:57 - On sait dans quel club on arrive.
00:15:59 Moi, je savais où je mettais les pieds.
00:16:01 J'ai eu cette patience aussi de ce côté-là.
00:16:04 J'ai eu aussi d'être challengé par la qualité de l'effectif,
00:16:10 l'expérience, et puis derrière,
00:16:12 il faut se mettre au niveau, tout simplement.
00:16:14 Donc on le sait, on le sait à l'entraînement tous les jours.
00:16:17 On sait que dès que vous perdez le ballon
00:16:19 ou par exemple sur des...
00:16:21 Un exemple tout simple sur les taureaux
00:16:23 qu'on peut faire à l'échauffement,
00:16:25 si vous perdez le ballon et que vous allez au milieu,
00:16:27 vous savez que vous allez rester très longtemps.
00:16:29 Donc on apprend très vite à ne pas perdre le ballon
00:16:31 et à faire attention.
00:16:32 Donc voilà, c'est des anecdotes,
00:16:34 mais quand vous courez après le ballon, c'est très compliqué.
00:16:36 - Être très concentré de A à Z,
00:16:38 c'est ce qu'on va demander, évidemment,
00:16:40 aux joueurs de Luiz, Henrique et Ceuxoir.
00:16:42 En tout cas, on a mis les petits plats dans les grands, Alexis.
00:16:45 Le vestiaire est prêt.
00:16:46 Nos caméras y sont passées faire un tour.
00:16:48 Il y a quelques instants, vous voyez l'écusson du match.
00:16:51 Le logo FFF au centre du maillot est prêt.
00:16:54 Les maillots sont là.
00:16:56 À noter, on va peut-être le voir, je ne sais pas,
00:16:59 mais le capitaine Marquinhos fait bien son retour dans le groupe.
00:17:01 C'est un peu l'événement du jour. On voit le maillot, justement.
00:17:03 - Et puis aussi, depuis les quarts de finale,
00:17:05 les joueurs ont récupéré leur numéro habituel.
00:17:07 Les titulaires ne sont plus numérotés de 1 à 11,
00:17:10 donc ils retrouvent leur vrai maillot,
00:17:11 Warrens et Henrique, le numéro 33.
00:17:13 On a vu Vitinha avec le numéro 17 aussi.
00:17:16 - Les joueurs sont arrivés au Parc des Princes.
00:17:19 On va vous laisser vivre leur arrivée.
00:17:21 À tout de suite.
00:17:24 ♪ ♪ ♪
00:17:26 - Hum...
00:17:28 ♪ ♪ ♪
00:17:32 ♪ ♪ ♪
00:17:36 ♪ ♪ ♪
00:17:39 ♪ ♪ ♪
00:17:44 ♪ ♪ ♪
00:17:49 ♪ ♪ ♪
00:17:54 ♪ ♪ ♪
00:18:01 ♪ ♪ ♪
00:18:04 ♪ ♪ ♪
00:18:10 ♪ ♪ ♪
00:18:17 ♪ ♪ ♪
00:18:24 - Coup d'envoi dans un petit peu plus d'une heure.
00:18:28 Eric, tu restes avec nous. - Bien sûr.
00:18:30 - Bien sûr, marquez une petite pause.
00:18:32 Et puis, vous le voyez, il y a un autre invité,
00:18:34 un autre copain d'Eric Rabesandratana
00:18:36 qui va venir nous rejoindre.
00:18:38 On marque une petite pause, on se met en place tranquillement,
00:18:40 on revient.
00:18:42 ♪ ♪ ♪
00:18:44 ♪ ♪ ♪
00:18:49 ♪ ♪ ♪
00:18:55 ♪ ♪ ♪
00:18:58 ♪ ♪ ♪
00:19:03 ♪ ♪ ♪
00:19:08 ♪ ♪ ♪
00:19:13 - On va lui laisser des fesses!
00:19:15 ♪ ♪ ♪
00:19:17 - Vête-clic et le sport se vit plus fort.
00:19:20 - Boum! 3-2.
00:19:22 - On vit des vraies émotions, tu comprends ça, toi?
00:19:24 - Ah, le foot, les émotions...
00:19:26 Déjà, il y a les grandes victoires.
00:19:28 98-2018, j'étais là.
00:19:30 Et pour chaque match de mes potes de l'AS Bellefeuille,
00:19:33 je suis là.
00:19:35 Et pour le prochain match des féminines, je serai là!
00:19:38 - Eh oui, t'es là. Et tu seras toujours là.
00:19:41 Chez nous, dans ton fauteuil. - David Portebonheur!
00:19:44 ♪ ♪ ♪
00:19:47 - Tiens, c'est marrant, la dernière fois,
00:19:51 je faisais une quiche aux lardons et...
00:19:53 - Oh! - Ben quoi?
00:19:55 - On sait que t'as de l'argent. - D'accord, j'ai de l'argent.
00:19:57 - T'es pas obligé de préciser que t'as des lardons.
00:19:59 - Ça va, si à 40 ans, je peux pas me faire
00:20:01 une petite quiche Lorraine... - Ça va.
00:20:03 - Alors j'ai mis des oeufs, j'ai mis de la crème.
00:20:05 Ouh là là! J'ai mis des lardons! Arrêtez-moi!
00:20:08 - T'es là, t'étales ton argent, je veux dire.
00:20:14 Fais une quiche Lorraine, mais nature, quoi!
00:20:16 - Nature? Bien sûr, j'y avais pas pensé.
00:20:18 Une quiche Lorraine nature.
00:20:21 (musique jazz)
00:20:25 (musique jazz)
00:20:52 (musique jazz)
00:20:55 (musique jazz)
00:20:57 - Eh ben quand Violette va apprendre ça...
00:20:59 - Tu savais que l'électricité d'ODF est à 96 % sans CO2?
00:21:03 - Non.
00:21:05 - Une électricité à 96 % sans CO2, c'est mieux pour le climat.
00:21:09 (musique hip-hop)
00:21:12 - Toi, qui manges tes adversaires, qui croques les actions
00:21:15 et qui parfois bouffe la feuille de match,
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00:21:41 (musique pop)
00:21:44 ♪ ♪ ♪
00:21:46 ♪ ♪ ♪
00:21:48 ♪ ♪ ♪
00:21:50 ♪ ♪ ♪
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00:21:56 ♪ ♪ ♪
00:21:59 ♪ ♪ ♪
00:22:02 ♪ ♪ ♪
00:22:05 ♪ ♪ ♪
00:22:08 - Brioche Pesquet, notre histoire est aussi la vôtre.
00:22:11 (acclamations)
00:22:13 ♪ ♪ ♪
00:22:16 - Bonjour à tous ceux qui nous rejoignent
00:22:18 et qui prennent Kick-Off en cours de route.
00:22:20 Vous le voyez, nous sommes à 1h08 du coup d'envoi
00:22:23 de cette demi-finale de Coupe de France
00:22:25 la de moyenne des compétitions qui opposera le Paris Saint-Germain.
00:22:28 Un peu une bête noire, on aura l'occasion d'en parler,
00:22:31 le Stade Rennais, mais d'abord, Alexis,
00:22:33 on va accueillir un autre ancien joueur du Paris Saint-Germain.
00:22:37 ♪ ♪ ♪
00:22:39 Alexis.
00:22:41 ♪ ♪ ♪
00:22:43 - Aliu Sissé, la légende Aliu Sissé, est avec nous.
00:22:47 Merci d'être avec nous, Aliu.
00:22:49 C'était difficile de ne pas vous rassembler
00:22:52 tous les deux en plateau.
00:22:54 On va revoir un petit peu les chiffres ensemble.
00:22:57 Vous avez été coéquipier pendant 3 ans, près de 50 matchs.
00:23:01 Vous jouez ensemble une...
00:23:03 Oui, 48, pour être tout à fait précis.
00:23:05 Petite anecdote, petite anecdote.
00:23:07 Eric, c'est le 2e coéquipier avec lequel tu es le plus souvent joué,
00:23:10 juste derrière Pierre Ducroix. Est-ce que tu le savais ?
00:23:13 - Oui, un petit peu. - Oui, tu le savais.
00:23:15 - Moi, je ne t'avais pas du tout. - Tu étais mon capitaine.
00:23:18 - Bien sûr. Justement, il était comment dans le vestiaire,
00:23:21 coéquipier, comme capitaine, Eric ?
00:23:23 - Quelqu'un de plutôt très serein,
00:23:25 qui envoyait vraiment des ondes plutôt positives.
00:23:29 - Ça se voit. - C'est notre capitaine.
00:23:31 - Ça, c'est vrai. - On a eu pas mal de combats,
00:23:34 pas mal de batailles pour les couleurs de Paris.
00:23:36 - On ne les a pas toutes gagnées. - On les a pas toutes gagnées.
00:23:39 - On a pas gagné toutes les batailles. - On a gagné pas mal.
00:23:42 - Il y a eu de belles performances, vice-champion de France,
00:23:45 en 2000 aussi. - C'était dur.
00:23:47 - Cette année-là, c'était dur, parce que Monaco était vraiment
00:23:50 au-dessus du lot et on a lutté longtemps,
00:23:52 mais franchement, c'était dur.
00:23:54 - Une victoire dans un classique aussi, les garçons.
00:23:56 Est-ce que vous arrivez, parce que là, on revient
00:23:58 d'une belle victoire, on ne goûte pas notre plaisir,
00:24:01 en infériorité numérique, contre Marseille.
00:24:03 Est-ce que vous arrivez, maintenant que l'un comme l'autre,
00:24:06 vous ne jouez plus pour le Paris Saint-Germain,
00:24:08 à endosser ce rôle de supporter ?
00:24:10 C'est un peu naturel, quand on ne joue plus au PSG,
00:24:12 on continue de soutenir cette équipe ?
00:24:14 - Tout le temps, Paris est dans notre cœur.
00:24:16 - Le cœur est rouge et bleu. - Exactement.
00:24:18 En parlant de classiques, je crois que celui que je me rappellerais,
00:24:21 c'est celui qu'on a joué avec Philippe Bergeron.
00:24:24 C'était des périodes très compliquées.
00:24:26 - C'est vrai. - C'est quoi, ce doublé ?
00:24:28 - C'est celui-là, où il y a Bruno Rodríguez et Marco Simone.
00:24:32 - Dans les dernières instants, je crois.
00:24:34 - Dans les dernières minutes, où Marco marque à la 80e,
00:24:38 et puis après, derrière, Bruno Rodríguez qui marque.
00:24:41 - C'est jouissif, ça. - Oui.
00:24:43 C'est surtout que, en plus, c'était une année un peu compliquée,
00:24:46 et elle nous permettait de finir l'année tranquillement.
00:24:49 Et derrière ça, en plus de gagner contre Marseille à domicile,
00:24:52 en perdant tout le match 1-0,
00:24:54 c'est des émotions plus fortes que d'autres, forcément,
00:24:57 sur des matchs importants comme ça.
00:24:59 - Alios, c'était lui qui faisait le cri de guerre après les rencontres ?
00:25:02 - J'étais pas bon sur le cri de guerre. - Il était meilleur sur le terrain.
00:25:05 - Non, il l'a dit, Ravessandratana, c'était la force tranquille.
00:25:08 Il était connu pour ça.
00:25:10 Et d'ailleurs, on a été pioché dans un ancien Paris-Rennes.
00:25:13 Et qui faisait... À l'époque, il y avait le programme du match
00:25:16 qu'on distribuait, etc. La tribune.
00:25:18 Et là, on regardait qui faisait, à l'époque, la force tranquille,
00:25:22 la pleine page de ce magazine. C'était Ravé.
00:25:25 - On va pas regarder la date. On va juste regarder l'interview.
00:25:28 - On va pas regarder la date, mais ce match-là,
00:25:30 il y a eu quelque chose de spécial, Alexis.
00:25:32 - Oui, c'est le premier but de Mister Alios.
00:25:35 - Ah ! - C'est au Paris-Saint-Germain.
00:25:37 Il y en a eu deux. - T'as eu les pages, il a eu le but.
00:25:40 - Voilà. On partageait la gloire. C'était très bien.
00:25:43 - Dès la 2e minute, Alexis. - Oui, c'est ça.
00:25:46 - Dès le début de la rencontre de ce Paris-Rennes,
00:25:48 une victoire 1-0. Alors, tu es né au Sénégal,
00:25:51 mais t'as grandi en région parisienne.
00:25:53 Je me doute que, quand on grandit en région parisienne,
00:25:56 on joue au Paris-Saint-Germain, on marque pour le Paris-Saint-Germain,
00:25:59 au Parc des Princes. Qu'est-ce que ça fait ?
00:26:01 - Quelque chose d'exceptionnel. Un rêve d'enfant.
00:26:03 Donc oui, je me rappelle de ce but-là.
00:26:07 En réalité, j'avais rien à faire là.
00:26:09 (Rires)
00:26:10 - C'est un coup de carrété. - Elle est cramée, Laurent Robert.
00:26:13 - Je vais pas mentir, en réalité.
00:26:15 Mais bon, petit à petit, j'ai vu que ça avait une possibilité,
00:26:18 avait une opportunité, je suis monté.
00:26:20 - Regarde le duel. C'est qui qui est là ?
00:26:22 Il faut la mettre, la tête, ici.
00:26:24 - Enflammer le Parc des Princes et faire comme ça rugir ce public,
00:26:27 c'est spécial aussi dans ce stade. - Exceptionnel.
00:26:29 Ce stade, quand il est en évolution,
00:26:31 vraiment, c'est l'un des meilleurs stades du monde.
00:26:33 Donc très fier de revenir ici, très fier de revenir encore à Paris
00:26:37 et surtout d'assister à un match contre Rennes.
00:26:40 C'était un bon souvenir pour moi, ce but-là.
00:26:42 - Et nous, il faut savoir qu'en tant que sélectionneur des Lyons de la Teranga,
00:26:45 tu m'as rendu fière. En plus, il faut savoir que quand tu as gagné...
00:26:48 Quand il a gagné la Coupe d'Afrique des Nations,
00:26:50 on avait deux internationaux sénégalais, Abdou Diallo et Driss Aghe,
00:26:53 qui étaient venus ici présenter leurs médailles.
00:26:55 Et qu'est-ce qu'on était fiers de savoir que c'était toi
00:26:57 qui étais à la tête de cette équipe.
00:26:59 Donc merci de nous avoir fait vivre comme ça.
00:27:01 - Bravo, franchement, bravo. - Franchement, c'était chouette.
00:27:03 - Avant de remercier Eric, parce que je sais que tu as des obligations professionnelles,
00:27:06 il y a une petite question commune à vous deux qui a été donnée sur Twitter.
00:27:10 On va la découvrir ensemble.
00:27:12 Alors, quels sont vos plus beaux souvenirs en tant que joueur
00:27:15 et comporteur du Paris Saint-Germain ?
00:27:17 - Honneur au capitaine. - C'est dur.
00:27:19 C'est dur. Joueur, évidemment, je ne peux pas oublier...
00:27:22 Alors, évidemment, il y a quand même ce premier match que j'ai fait,
00:27:25 mais au-delà du premier match, c'est quand même...
00:27:27 On retient surtout le fait de gagner des trophées,
00:27:30 et ça, le fait d'avoir gagné au Stade de France,
00:27:32 c'était le premier match au Stade de France officiel
00:27:35 avec le Paris Saint-Germain, et de gagner là-bas,
00:27:38 comme j'ai dit tout à l'heure, enchaîné derrière un mois,
00:27:40 un mois après la finale de la Coupe de France.
00:27:43 C'est des émotions vraiment incroyables.
00:27:46 Je le répète, je me répète, mais vous jouez au football pour ça,
00:27:49 vraiment, pour gagner des trophées
00:27:51 et pour ressentir des émotions comme ça.
00:27:53 Donc, quand c'est à Paris, dans un stade parisien,
00:27:56 même si ce n'était pas le Parc des Princes,
00:27:58 avec les supporters parisiens derrière,
00:28:00 ça, c'est vraiment des émotions plus fortes.
00:28:02 - Et toi, Aliu ? - Moi, j'ai eu des gros moments,
00:28:04 notamment à ce but que je remarque contre Rennes, ici.
00:28:08 C'est un gros souvenir.
00:28:10 En réalité, c'est une saison assez compliquée qu'on avait vécue.
00:28:15 Ce match de derby contre Marseille,
00:28:18 où il fallait gagner ce match-là pour sauver la saison.
00:28:22 On était sous pression d'avoir gagné.
00:28:25 En réalité, le public, les supporters,
00:28:28 nous ont pardonné cette saison qui a été assez compliquée.
00:28:31 Mais je crois que les mauvais souvenirs,
00:28:33 ce sera surtout cette finale qu'on a perdue contre...
00:28:35 - On a oublié. - On a oublié.
00:28:37 - Et en tant que supporter du club, pour répondre à cette mythos...
00:28:40 - Ça restera vraiment le mauvais souvenir.
00:28:42 - En tant que supporter, de l'autre côté de la barrière,
00:28:44 est-ce qu'il y a des moments qui vous ont fait vibrer plus que d'autres ?
00:28:47 - Oui. - Ils sont peut-être à venir.
00:28:49 - Non, forcément. Il y a eu de grands moments,
00:28:52 de grands matchs ici, en réalité,
00:28:54 qui vous touchent à cœur.
00:28:57 Parce qu'en réalité, au Sénégal,
00:28:59 chaque fois qu'on joue, le Paris Saint-Germain joue,
00:29:01 les gens viennent chez moi et me disent
00:29:03 "Il y a ton équipe qui joue."
00:29:05 - Il y a vraiment beaucoup de fans du PSG au Sénégal ?
00:29:07 - Énormément de supporters du Sénégal qui supportent le PSG.
00:29:11 Le PSG fait partie vraiment des clubs les plus aimés.
00:29:13 - Populaires. - Populaires au Sénégal.
00:29:15 - C'est beau. - Et Eric, toi, alors ?
00:29:17 - En tant que supporter, j'ai envie de dire...
00:29:20 C'est peut-être une année un peu particulière,
00:29:22 parce que c'était l'année du Covid,
00:29:24 donc il n'y avait personne dans les tribunes,
00:29:26 mais ce parcours en Ligue des Champions...
00:29:28 - Final fort. - Ouais, franchement...
00:29:31 Quand tu dépasses enfin ce quart de finale,
00:29:34 et que tu dis "Allez, on enchaîne derrière",
00:29:36 et que tu vas en plus en finale,
00:29:38 ou là, même s'il y a la déception, forcément...
00:29:40 - Et puis il y a des émotions.
00:29:42 Le but de Superbowling contre la Talente à Bergames,
00:29:44 c'est exceptionnel. - J'ai vu des trucs incroyables.
00:29:46 Franchement, tu n'imagines pas.
00:29:48 C'est pour ça que j'espère qu'on va revivre ces émotions,
00:29:51 et que derrière, il y aura...
00:29:53 Je ne dis rien, mais j'espère revivre ces émotions.
00:29:56 - L'histoire est en marche. - Merci beaucoup, Rabé.
00:29:58 - Merci. Avec plaisir. - On va te libérer.
00:30:00 Rico, on va te laisser retrouver les tribunes.
00:30:02 Et si tu veux bien, on garde ton joueur.
00:30:04 - Avec plaisir. Il est bon, en plus. Il est très bon.
00:30:07 - A ce qu'il paraît. Merci à toi, Rabé.
00:30:09 On va continuer avec toi, Aliu, du coup,
00:30:11 et rappeler tes propres souvenirs, ici, au Paris Saint-Germain.
00:30:15 On rappelle trois saisons au club, 62 matchs, Alexis.
00:30:19 Tu as marqué aussi l'histoire du Paris Saint-Germain.
00:30:22 Tu parlais de sa popularité au Sénégal.
00:30:25 Qu'est-ce que ça fait d'avoir une place dans l'histoire du club, Aliu ?
00:30:28 - Un honneur et une fierté, en réalité.
00:30:32 Jouer au Paris Saint-Germain a été un rêve d'enfant.
00:30:34 Je veux dire, comme tout enfant, en réalité,
00:30:36 issu de la banlieue parisienne.
00:30:38 Moi, je suis de Champigny, dans le 94.
00:30:40 Même si je n'ai pas été formé à Paris,
00:30:42 j'ai été formé à Lille.
00:30:43 Mais en réalité, mon contrat professionnel...
00:30:45 - Un banlieusard. - Voilà. Je l'ai signé ici, à Paris.
00:30:47 J'ai vécu vraiment des moments exceptionnels
00:30:49 dans mon club de coeur, mon club de rêve.
00:30:52 Aujourd'hui, revenir ici, assister à un match contre Rennes,
00:30:55 c'est un plaisir. - C'est chouette d'entendre ça.
00:30:57 - Eric nous en parlait un petit peu,
00:31:00 mais toi, t'as évolué aux côtés de grands joueurs.
00:31:01 On a vu Laurent Robert, JJ Okocha, Li Benarvia,
00:31:04 les entraînements, ça devait être quelque chose.
00:31:07 - Oui, les vestiaires, en tout cas, il y avait beaucoup de monde.
00:31:10 En plus de ça, moi, je venais de Sedan.
00:31:12 Donc, oui, vous venez de Sedan, vous venez dans des vestiaires
00:31:14 où il y avait tous ces gros joueurs-là.
00:31:16 Mais ce qu'on remarque sur tous ces joueurs-là,
00:31:18 c'est leur humilité et surtout cette faculté
00:31:21 qu'ils avaient, à un moment donné,
00:31:23 de transcender les autres joueurs
00:31:25 et de transmettre leur motivation à toutes les vestiaires.
00:31:27 Vraiment de grands moments de football.
00:31:29 - On parle de cette humilité.
00:31:31 Et il y a un joueur, justement, dont on avait envie d'avoir
00:31:33 tout regard, parce que lui aussi, un petit peu comme toi,
00:31:36 il avait cette polyvalence, capacité à jouer en défense
00:31:39 comme au milieu de terrain, l'humilité incarnée
00:31:41 en dehors du terrain, mais un soldat quand il est dessus.
00:31:44 J'ai envie de parler de Danilo Pereira.
00:31:46 Voilà, parce qu'on n'en parle pas forcément beaucoup,
00:31:48 de Danilo Pereira, mais c'est l'un de nos vice-capitaines.
00:31:51 C'est vraiment lui aussi une force tranquille.
00:31:54 On a ressorti quelques-unes de ses stats
00:31:56 juste en Coupe de France, mais c'est anecdotique,
00:31:58 au regard de ce qu'il apporte dans cette équipe,
00:32:01 alors qu'on n'en parle pas beaucoup.
00:32:03 - Mais non, c'est surtout sa polyvalence,
00:32:05 comme vous le disiez tout à l'heure,
00:32:07 capable de jouer en défenseur central,
00:32:09 capable de jouer devant la défense.
00:32:11 C'est un garçon que je ne connais pas,
00:32:13 mais de le voir comme ça, on sent vraiment
00:32:15 qu'il a énormément d'humilité, beaucoup de simplicité.
00:32:17 Je pense que le club en a besoin.
00:32:19 Je suis sûr que c'est un très bon coéquipier aussi.
00:32:21 - Il valorise toujours ses coéquipiers.
00:32:23 - Exactement. Et on a besoin aussi des garçons comme ça.
00:32:26 Donc l'encourager, parce que ce qu'il fait
00:32:28 depuis quelques années, la preuve,
00:32:30 il commence à durer au club, ça veut dire que c'est un bon pédigree.
00:32:33 - 151 matchs déjà, donc ouais, pas mal.
00:32:35 - C'est peut-être un petit peu naïf,
00:32:37 mais est-ce que tu te retrouves un petit peu en lui ?
00:32:40 - Non, bon, je pense que moi, j'avais mes qualités très spécifiques,
00:32:44 donc qui étaient dans le duel, qui étaient dans l'impact,
00:32:47 dans la récupération du ballon.
00:32:49 Je pense que techniquement, il a quand même
00:32:51 quelque chose de plus que moi.
00:32:53 Mais au niveau, je pense, mental, j'avais quand même quelque chose
00:32:56 qui était à part.
00:32:58 Mais ce qui est intéressant, surtout sur Danilo,
00:33:01 vraiment, c'est cette polyvalence-là.
00:33:03 Vraiment, c'est important pour un entraîneur d'avoir un joueur
00:33:06 qui est capable de jouer plusieurs postes
00:33:08 et d'être dans l'état d'esprit sans autant se plaindre.
00:33:11 Et on le sent, il est capable parfois de jouer au milieu,
00:33:14 il est capable parfois de jouer relayer,
00:33:16 capable de jouer défenseur centrale à 3 et à 4.
00:33:19 Très intéressant.
00:33:20 - Et je crois que Louis Cédric est adoré,
00:33:22 la polyvalence accessoirement chez ses joueurs.
00:33:24 C'est le cas pour le poste d'Anilo Pereira,
00:33:26 cette saison, c'est parti.
00:33:28 ♪ ♪ ♪
00:33:33 ♪ ♪ ♪
00:33:38 ♪ ♪ ♪
00:33:43 ♪ ♪ ♪
00:33:48 ♪ ♪ ♪
00:33:53 ♪ ♪ ♪
00:33:58 ♪ ♪ ♪
00:34:03 ♪ ♪ ♪
00:34:08 ♪ ♪ ♪
00:34:13 - Louis Pereira !
00:34:16 - Magnifique vue sur la capitale
00:34:18 et magnifique vue sur les gestes défensifs de Danilo Pereira.
00:34:21 Et encore, on n'a pas mis ses buts, il en a mis quelques-uns,
00:34:24 cette saison de buts est pas décisif,
00:34:26 mais c'est le luxe d'être décisif.
00:34:28 Aliu, si tu veux bien, on va se pencher un petit peu
00:34:30 sur le match du soir.
00:34:32 Donc maintenant, zoom sur notre adversaire.
00:34:34 ♪ ♪ ♪
00:34:40 - Et c'est le moment, chers amis,
00:34:42 de s'inonder d'ondes positives
00:34:44 en comparant les dynamiques des deux équipes
00:34:47 depuis le début de la saison.
00:34:49 Nombre de matchs plus ou moins comparables
00:34:51 entre les Parisiens et les Rennes.
00:34:54 Mais on voit que l'avantage est nettement
00:34:56 en faveur des Rouges et Bleus.
00:34:58 Et non, des Rouges et Noirs
00:35:00 dans tous les compartiments du jeu,
00:35:02 avec plus de buts inscrits, plus de victoires, forcément,
00:35:04 et puis une dynamique actuelle,
00:35:06 là aussi à la faveur du Paris-Saint-Germain,
00:35:09 avec 4 victoires et un seul petit nul
00:35:11 sur les 5 dernières rencontres,
00:35:13 quand le stade rennais a perdu 2 fois
00:35:15 lors des 5 derniers matchs.
00:35:16 - Exactement. Et dans notre histoire,
00:35:18 on regarde également entre Paris et Rennes,
00:35:20 on va pas chercher à se mentir,
00:35:22 Rennes est l'une de nos bêtes noires,
00:35:23 qui nous a d'ailleurs éliminés en finale
00:35:25 de Coupe de France en 2019,
00:35:27 c'était il n'y a pas si longtemps.
00:35:28 Mais bon, globalement, ça penche plutôt
00:35:30 en faveur des Rouges et Bleus.
00:35:31 Aliu, je me tourne vers toi,
00:35:32 plutôt par rapport à ce dont parlait Alexis
00:35:34 il y a quelques instants,
00:35:35 quand on voit la dynamique globale
00:35:36 des deux équipes,
00:35:37 c'est la signature Louis-Sénériqué.
00:35:39 Beaucoup de buts comme ça,
00:35:41 pléthore d'occasion,
00:35:42 en plus on met des tirs lointains maintenant,
00:35:44 Vitinha, par exemple, est un joueur
00:35:45 qui se révèle, qui se régale.
00:35:47 Tu prends plaisir, toi, à voir ce PSG
00:35:49 made in Louis-Sénériqué ?
00:35:51 Oui, j'aime bien ce qu'il fait,
00:35:52 l'encourager, vraiment, véritablement,
00:35:54 parce qu'il apporte un nouveau dynamique,
00:35:56 une discipline.
00:35:57 En tant que sélectionneur,
00:35:58 tu dois porter un certain regard
00:35:59 sur ce qu'il se passe.
00:36:00 Oui, je regarde ce qu'il fait,
00:36:01 même si par moments c'est un peu difficile,
00:36:02 la polémique est là, on tourne autour,
00:36:04 mais en réalité c'est lui le boss
00:36:05 et il arrive à faire des choix,
00:36:07 des choix qui sont frustrants.
00:36:08 Et ouais, toujours !
00:36:09 C'est pas évident,
00:36:11 mais je crois qu'il est en train
00:36:12 de faire du bon boulot.
00:36:13 Mais je crois que sur ce nouveau Paris-Saint-Germain,
00:36:16 ce que j'aime surtout, c'est l'état d'esprit.
00:36:18 C'est une équipe qui ne lâche pas,
00:36:19 c'est une équipe qui se bat,
00:36:21 qui est pressante,
00:36:23 qui est consciente aujourd'hui
00:36:24 des objectifs qui sont assignés
00:36:26 et qui ont envie de l'atteindre.
00:36:28 J'ai confiance qu'on aura une fin de saison
00:36:31 vraiment très palpitante et très intéressante.
00:36:33 Et puis tu le disais, à Liou,
00:36:35 pour l'instant les choix lui donnent raison,
00:36:36 à Luis Henrique, puisque le Paris-Saint-Germain
00:36:38 est invaincu depuis le mois de novembre dernier
00:36:41 et vient d'enchaîner un 25e match
00:36:43 sans défaite, toute compétition comprendue.
00:36:45 Cinq mois !
00:36:46 Cinq mois sans défaite.
00:36:47 Toi qui es entraîneur, tu as été joueur
00:36:49 et qui es entraîneur aujourd'hui.
00:36:51 Est-ce que tu as été en plus très longtemps invaincu
00:36:54 avec le Sénégal, cette série d'invincibilité,
00:36:57 est-ce qu'il y a un secret ?
00:36:58 Comment est-ce que tu fais pour galvaniser ton groupe
00:37:01 pour continuer à gagner des rencontres
00:37:03 ou au moins, quand on sait qu'on aura du mal à les gagner,
00:37:05 à ne pas les perdre ?
00:37:06 Dans le football, gagner n'est pas le plus difficile.
00:37:09 Ce qui est difficile, c'est de continuer à gagner,
00:37:12 surtout quand vous avez un statut comme le Sénégal
00:37:14 ou bien quand vous avez un statut comme celui du Paris-Saint-Germain.
00:37:17 Vous êtes attendus partout.
00:37:18 En réalité, tous les jours, tous les matchs,
00:37:21 toutes les saisons, c'est une remise en question.
00:37:24 Mais en réalité, il y a de très grands joueurs
00:37:26 dans ce club-là.
00:37:27 Mais il faut dire aussi qu'il y a un très grand manager.
00:37:29 A l'image d'Henriqué, moi j'y crois.
00:37:31 Maintenant, il faut juste le remettre
00:37:33 à sa place d'entraîneur pour qu'il continue
00:37:35 à faire des choix.
00:37:36 Et ces choix-là sont intéressants.
00:37:39 Et là où je suis d'accord avec Aliusissé,
00:37:41 les chiffres le disent, pour le coup, c'est simple.
00:37:43 Là, ces 25 matchs sans défaite,
00:37:46 mais les choix du coach sont pertinents.
00:37:47 Je crois qu'on est à 15 joueurs qui sortent du banc.
00:37:49 Tu parlais de l'état d'esprit et qui sont décisifs.
00:37:51 On l'a encore vu contre Marseille ce week-end.
00:37:54 Gonzalo Ramos, il fait le choix de le faire entrer
00:37:56 et ça fait mouche.
00:37:57 Un but.
00:37:58 Et ça, vraiment, c'est quelque chose
00:37:59 qui se répète dans la saison.
00:38:01 Et c'est rare de voir une telle émulation sur 23 joueurs.
00:38:04 C'est exceptionnel.
00:38:05 C'est possible.
00:38:06 C'est le rêve de tout entraîneur aujourd'hui,
00:38:09 arriver à sensibiliser tout le monde
00:38:12 et en réalité, de faire comprendre à tout le monde
00:38:15 que celui qui commence, celui qui débute,
00:38:17 celui qui arrive du banc,
00:38:18 ce qui est important, c'est donner de son mieux
00:38:20 et essayer de faire le maximum.
00:38:21 Moi, je le dis, je le répète,
00:38:23 je suis cette équipe attentivement depuis quelques années.
00:38:26 Mais ce qu'Henriquet fait au niveau de la discipline,
00:38:30 au niveau de l'état d'esprit, au niveau des choix,
00:38:32 en réalité, il prend ses responsabilités
00:38:33 sur pas mal de choses
00:38:34 et je pense que c'est ce qu'on a besoin.
00:38:35 Il sait où il va.
00:38:36 Et justement, les choix de Louis-Henriquet
00:38:38 pour la rencontre de ce soir,
00:38:39 c'est dans quelques minutes.
00:38:40 Reste avec nous, Alio, si tu veux bien.
00:38:42 On va débriefer ensemble la composition à suivre.
00:38:44 Dans quelques minutes, on marque une petite pause
00:38:46 et on se retrouve toujours au Parc des Princes
00:38:48 sur le plateau de Kikov.
00:38:49 À tout de suite.
00:38:50 Et quand Violette va apprendre ça...
00:39:03 Tu savais que l'électricité d'Odf est à 96 % sans CO2 ?
00:39:07 Non.
00:39:08 Une électricité à 96 % sans CO2,
00:39:11 c'est mieux pour le climat.
00:39:14 Toi, qui manges tes adversaires,
00:39:17 qui croques les actions
00:39:18 et qui parfois bouffe la feuille de match,
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00:39:45 Regarde-moi
00:39:48 Je suis là, à la place de ma propre personne
00:39:52 Je suis en direct dans le soleil
00:39:58 Pas besoin d'être loin
00:40:03 ni haut
00:40:05 C'est une vie merveilleuse
00:40:09 Pas besoin d'être loin
00:40:12 Pas besoin d'être loin
00:40:14 Pas besoin d'être loin
00:40:17 Pas besoin d'être loin
00:40:21 Pas besoin d'être loin
00:40:25 Pas besoin d'être loin
00:40:29 Pas besoin d'être loin
00:40:33 Pas besoin d'être loin
00:40:37 Pas besoin d'être loin
00:40:41 Pas besoin d'être loin
00:40:45 De retour, Don Kikoff et vous entendez un petit peu
00:40:49 l'allée à supporters qui commence à se faire entendre au Parc des Princes.
00:40:53 On est toujours en compagnie d'Aliou Cissé, Ambre Godillon.
00:40:56 Ça va toujours les amis ?
00:40:57 Toujours très bien, à 49 minutes du coup d'envoi.
00:40:59 Je sens l'atmosphère qui monte Alexis.
00:41:01 Un petit coup d'oeil, on le disait, coup d'envoi.
00:41:03 Dans un petit peu moins de 50 minutes,
00:41:05 un petit coup d'oeil sur les joueurs indisponibles
00:41:07 pour cette rencontre, cette demi-finale entre le PSG et l'RN avant de découvrir
00:41:11 le 11 de départ, Kipembe, Bradley, Barcola blessés pour cette rencontre
00:41:16 et on le rappelle Lucas Berraldo qui a pris en rouge ce week-end
00:41:19 contre l'Olympique de Marseille et lui suspendu.
00:41:21 Bon, on va répondre un petit peu aux supporters de l'RN
00:41:23 parce qu'il est désormais temps de découvrir le 11 choisi par Luis Enrique.
00:41:28 Dans les buts, c'est une habitude depuis le début de la saison
00:41:39 ce sera Gianluigi Donnarumma.
00:41:42 Oh là là, a pris son festival contre Marseille, on espère ce soir.
00:41:46 Un grand idiot.
00:41:48 Place à la défense avec le latéral droit marocain Achraf Hakimi.
00:41:54 Il était blessé depuis un mois, il fait son retour dans le groupe
00:41:59 et en tant que titulaire, Marquinhos fait son retour dans l'11.
00:42:04 Le captain est là et il sera ce soir aux côtés de Lucas Fernandez
00:42:10 qui rebascule donc en défense centrale. Pourquoi Alexis ?
00:42:14 Car lui aussi effectue son retour ce soir.
00:42:17 Nuno Mendes au poste de latéral gauche.
00:42:20 Le petit chouchou du Parc des Princes, notre titi, Waret, Zahir Emry
00:42:27 titulaire au milieu de terrain et on peut mesurer sa cote de popularité.
00:42:31 Il a le numéro 8, il fête ses 28 ans ce soir. Fabien Nruiz sera lui aussi au milieu de terrain.
00:42:37 Joyeux anniversaire Fabien Nruiz, il sera aux côtés du buteur face à Marseille
00:42:42 le portugais Pitinha, titulaire ce soir.
00:42:46 L'homme à tout faire, le sud-coréen, le numéro 19, et lui est invaincu
00:42:52 sous les couleurs rouge et bleu, Kang In-li est titulaire.
00:42:55 Notre serial passeur, Ousmane Dembélé sera bien titulaire.
00:43:01 Et Alexis, qui ça ?
00:43:04 Notre serial meilleur buteur de l'équipe, meilleur buteur de la compétition
00:43:09 en Coupe de France, Kylian Mbappé, bien présent et bien titulaire.
00:43:13 Vous l'avez vu donc, le 11 du Paris Saint-Germain, Fabien Nruiz qui avait marqué
00:43:19 notamment contre Rennes, Pitinha qui a marqué contre Marseille.
00:43:23 Cette défense avec le retour du capitaine Marquinhos Nuno Mendes,
00:43:28 qui est de retour. Bref, que de bonnes nouvelles Alexis.
00:43:32 Aliu, quand tu vois ce 11 là, qu'est-ce que tu te dis ?
00:43:36 Je te vois avec un grand sourire, t'as mis tes lunettes, ça veut dire que t'es prêt
00:43:39 à analyser ce 11 pour que tu aies parlé avec Sandré Key.
00:43:41 Non mais vraiment, une grosse équipe, une équipe assez équilibrée,
00:43:45 beaucoup de vécu, beaucoup de talent, vraiment, beaucoup de qualité.
00:43:49 J'espère qu'on aura vraiment un gros spectacle aujourd'hui
00:43:51 et surtout qu'au Paris, il continuera à gagner.
00:43:53 Et donc, on va parler désormais du banc, parce qu'on en parlait il y a quelques instants.
00:43:57 Un certain Gonzalo Ramos, c'est simple, à chaque fois qu'il rentre sur le terrain,
00:44:00 une fois sur deux, il est décisif, il y est à nouveau.
00:44:03 Donc on va compter sur lui, aux côtés de Keylor Navas, Manu Gartet, Marco Asensio,
00:44:07 Danilo Pereira, Randall Colomoni, Nordi Mukele, Carlos Soler et Skriniar,
00:44:12 qui avaient lui aussi effectué son retour face à Marseille.
00:44:14 Aliu, si le 11 de titulaire est impressionnant, le banderemplaçant l'est tout autant.
00:44:19 Oui, ces deux équipes, en réalité, maintenant, comme je dis, c'est le management qui est important.
00:44:24 En réalité, quand vous regardez ces remplaçants-là, n'importe qui peut débuter.
00:44:28 C'est arriver à conscientiser tout le monde pour que, justement, ce qui commence, ce qui rentre,
00:44:33 que chacun fasse le travail comme il doit se le faire, pour que, justement, le résultat soit là.
00:44:37 Mais vraiment, on espère avoir vraiment un gros match ce soir.
00:44:41 Ça annonce, à mon avis, un gros match, une demi-finale de Coupe de France en général,
00:44:44 c'est forcément un gros match.
00:44:46 Peut-être un petit mot sur Marc Quignoz, qui fait son retour dans le groupe,
00:44:50 retour de blessure et qui est à quelques matchs de dépasser Jean-Marc Pilarget.
00:44:55 Et puis, donc, de devenir le joueur le plus capé, le plus emblématique peut-être du Paris Saint-Germain.
00:45:01 Tu évoquais Danilo Pereira, mais aussi l'importance, l'impact d'un joueur comme Marc Quignoz au sein du Paris Saint-Germain.
00:45:07 Marc, un leader, un leader, capitaine de l'équipe de Brésil de temps en temps,
00:45:13 capitaine du Paris Saint-Germain, c'est un garçon vraiment qui a toujours donné le bon exemple.
00:45:19 On le sent, on le voit, il aime ce club-là, il vit de ce club-là, il a gagné pour ce club-là.
00:45:24 Il a l'intention, ça se voit tous les jours, qu'il a envie de se battre,
00:45:27 revenir dans le 11e de départ, c'est très intéressant pour la suite.
00:45:31 On rappelle que Lyon a déjà pris son ticket pour la finale.
00:45:34 Ils vont nous attendre du côté de Lille.
00:45:36 Quel est ton prono ce soir pour notre demi-finale à nous ?
00:45:39 Je vois 2-0 pour Paris.
00:45:41 On aime bien ça.
00:45:42 On prend note.
00:45:43 Je note, à Lyon 2-0 Paris.
00:45:46 Exactement, on peut regarder peut-être le parcours avant de se quitter des deux équipes
00:45:49 que nous avons vues pour arriver jusque-là.
00:45:52 Le Paris Saint-Germain qui a balayé Nice pour réussir à rejoindre Rennes.
00:45:57 Ils ont eu un parcours honorable aussi, il faut le dire, c'est vrai.
00:46:00 La Coupe de France c'est quand même, et le Paris Saint-Germain c'est une longue histoire.
00:46:05 Cette fin de saison, comme je le disais tout à l'heure, sera palpitant.
00:46:09 On a envie d'aller au Stade de France et de revenir avec la Coupe.
00:46:13 Mais ça passe par une victoire ce soir.
00:46:15 Tu l'as dit, face au Stade Rennais qui est une bonne équipe de cette saison 2023-2024.
00:46:20 Et puis il y a un 15e trophée en Coupe de France.
00:46:22 Allez chercher quand même.
00:46:23 Exactement, on en a déjà 14 à Lille.
00:46:25 14 trophées en Coupe de France.
00:46:27 Le 15e, bientôt.
00:46:29 Exactement, ce soir tu vas vivre le match en tant que supporter.
00:46:32 C'est la première fois que tu reviens ici ?
00:46:34 Non, je suis déjà revenu plusieurs fois mais j'étais un peu plus discret.
00:46:37 Mais cette fois-ci, je n'avais pas envie trop d'être discret.
00:46:39 J'ai envie de venir.
00:46:40 On est ravis.
00:46:41 Merci beaucoup à toi d'être passé sur le plateau de Kick-Off.
00:46:44 43 minutes du coup d'envoi entre Paris et Rennes.
00:46:47 Alexis, on va rendre la main à Michel Montaner ?
00:46:49 Allez, let's go.
00:46:50 Tu l'as mérité.
00:46:51 Vous souhaitez à tous une très bonne soirée.
00:46:53 Et évidemment, allez Paris !
00:46:55 Ciao.
00:46:57 Merci beaucoup.
00:46:58 Merci.
00:47:00 C'est parti.
00:47:02 C'est parti.
00:47:04 Paris, Paris, Paris, Paris, Paris, Paris, Paris...
00:47:12 Le match est joué par les Rennes.
00:47:15 Le match est gagné.
00:47:17 Le match est gagné.
00:47:19 Et le match est gagné.
00:47:22 Le match est gagné.
00:47:25 Et le match est gagné.
00:47:27 Et le match est gagné.
00:47:29 Le match est gagné.
00:47:32 Et le match est gagné.
00:47:34 Le match est gagné.
00:47:35 Le match est gagné.
00:47:36 Et le match est gagné.
00:47:37 Et le match est gagné.
00:47:39 Et le match est gagné.
00:47:42 Paris, Paris, Paris, Paris, Paris, Paris...
00:48:10 (Cris de joie)
00:48:12 (Cris de joie)
00:48:14 (Cris de joie)
00:48:17 (Propos inaudibles)
00:48:19 (Cris de joie)
00:48:31 (Propos inaudibles)
00:48:37 (Cris de joie)
00:48:43 (Cris de joie)
00:48:45 (Cris de joie)
00:49:03 (Cris de joie)
00:49:11 (Cris de joie)
00:49:13 (Propos inaudibles)
00:49:24 (Cris de joie)
00:49:33 (Cris de joie)
00:49:35 (Cris de joie)
00:50:01 (Cris de joie)
00:50:03 (Cris de joie)
00:50:13 (Cris de joie)
00:50:23 (Cris de joie)
00:50:25 (Propos inaudibles)
00:50:31 (Cris de joie)
00:50:43 (Cris de joie)
00:50:45 (Cris de joie)
00:51:01 (Cris de joie)
00:51:11 (Propos inaudibles)
00:51:13 (Cris de joie)
00:51:15 (Cris de joie)
00:51:39 (Propos inaudibles)
00:51:41 (Cris de joie)
00:51:43 (Propos inaudibles)
00:51:45 (Cris de joie)
00:51:47 (Cris de joie)
00:51:51 (Cris de joie)
00:51:57 (Cris de joie)
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