• il y a 10 mois
Retrouvez la troisième mi-temps du Phocéen après la victoire 4-1 de l'OM contre Montpellier.

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Transcription
00:00 J'ai deux retours sur le plateau du Fossey 1 sur Twitch
00:05 ou sur le site lefossey1.fr, mais venez sur Twitch si vous voulez échanger avec nous.
00:10 Mais quel plaisir, quel immense plaisir de se retrouver encore une fois après une victoire.
00:15 Tout n'est pas parfait encore une fois, mais il y a beaucoup, beaucoup de positifs.
00:19 Et on va prendre le temps de l'analyser encore une fois avec Yacine,
00:22 qui est avec nous, avec Jean-Luc, avec Idriss et avec notre correspondant en direct,
00:28 avec Romain Hering également, mais avec notre correspondant préféré, Romain Canuti.
00:33 Romain Canuti, quel match ! Quel match d'Illiman & Jai déjà.
00:37 J'ai envie de te lancer sur Illiman.
00:40 Ouais, what a game, comme on dit dans le jargon international.
00:45 Ouais, effectivement, super match d'Illiman & Jai.
00:49 Il est trop tôt pour réclamer la tête de ceux qui l'ont critiqué.
00:54 On critique trop à l'OM, tout ça, on fera les bilans après.
00:57 On ne peut pas le faire après un match.
00:59 Sur le côté général, j'entends bien.
01:02 Après, sur ce match-là, on a le droit de dire qu'il a fait un super match.
01:06 Comme d'habitude, on constate qu'il fait un super match quand il est installé à la position qui est la sienne,
01:12 à deux attaquants en soutien de l'autre attaquant.
01:18 Ce qui me fait d'ailleurs penser à Valère Germain, qui était bon uniquement dans ce schéma-là.
01:22 Bon, je ne vais pas aller plus loin dans la comparaison,
01:24 mais effectivement, match complet, de sa part, beaucoup de provocation.
01:29 Match intéressant de la part de beaucoup de joueurs.
01:31 Moi, ce que j'ai beaucoup dans cette équipe, c'est qu'à 2-1, on revient à la mi-temps.
01:36 J'ai vu une équipe qui a continué d'attaquer, qui a continué de proposer à jouer de l'avant,
01:41 qui a sans cesse cherché à marquer un but de plus.
01:44 Alors, on ne va pas dire, ouais, on n'a plus vu ça depuis Bielsa ou quoi que ce soit.
01:48 Ce n'est absolument pas le propos.
01:49 Et il y a d'autres équipes, c'est pas Ronde Justice, il y a d'autres équipes qui ont proposé ça.
01:53 Surtout, ça l'a proposé avant tout dans un fameux jeu plus direct,
01:58 avec une débauche d'énergie moindre, du coup.
02:00 Si on regarde notre dernier but, il est le fait de deux hommes.
02:05 Le premier, c'est Shams Al-Ambaba, qui a fait un sacré, sacré match,
02:11 qui est allé chercher des ballons sur le côté.
02:13 Ça a été très, très costaud et donc, il a son ouverture.
02:16 Et puis, Ismail Assar.
02:19 C'est Onana ?
02:20 C'est Onana qui fait la passe au but d'Ismail Assar.
02:23 C'était un génial.
02:24 Je ne voulais pas te contredire en live.
02:25 Non, non, non, mais merci d'avoir fait ça.
02:28 Du stade, tu ne vois pas forcément...
02:31 Tu vois un grand black et tu te dis "c'est un autre grand black".
02:34 Exactement.
02:36 Je ne vais pas te dire...
02:37 Je l'ai fait tout le match, je crois que j'ai le droit, franchement.
02:39 Non, mais pour dire, tu vois le match du 7ème étage.
02:43 Ben oui, la tribune presse est très, très haute.
02:46 Et nous, on a un écran géant au studio et quand même,
02:49 j'ai dit Onana, Assar et Mbemba trois fois pour me tromper.
02:52 C'est pour la blague.
02:54 Merci de me corriger.
02:55 Onana, super.
02:57 Tu me fais penser qu'il va falloir que j'aille me corriger dans le CR.
02:59 Le compte rendu qui est disponible sur le site assez rapidement.
03:03 Effectivement, donc super ouverture d'Onana.
03:05 Et puis derrière, surtout, Ismail Assar.
03:08 Là, je sais que c'est lui parce que cette vitesse-là,
03:10 tu ne peux pas le confondre.
03:12 Même du 7ème étage, tout est parfait.
03:14 Et j'ai envie quand même de saluer Romain Hering,
03:22 qui, lors de ses analyses, il n'a pas défendu Ismail Assar
03:26 parce que c'est son chouchou, parce qu'il l'aime,
03:29 parce qu'il lui a promis son maillot à la fin de la saison.
03:31 Romain Hering nous a toujours parlé d'ici.
03:34 Romain Hering nous a toujours parlé d'ici.
03:38 Alors, gratter, je ne sais pas, pas trop dans mon registre,
03:42 mais effectivement, tu nous as toujours défendu Ismail Assar
03:47 en nous disant "les gars, il est capable de nous apporter ça".
03:50 Il est capable de nous apporter sur un match,
03:52 c'est exactement ce qu'il a fait,
03:55 à l'angle de la puissance près sur l'ouverture au second.
03:59 C'est un très bon choix.
04:00 Donc, vraiment, moi, je suis ravi de ce que j'ai vu.
04:05 Et je maintiens ce que j'ai dit à mi-temps.
04:07 Je pense que notre ami Petit Marcel, qui regarde le match,
04:10 il a dû se dire "mais attendez, c'est ce que je voulais faire, moi.
04:14 Ce 4-4-2, ce condocte via verre et tout au milieu,
04:19 c'est mon truc, c'est à moi, ça".
04:20 Moi, je ne suis pas d'accord Romain,
04:21 je ne pense pas qu'on ait joué en 4-4-2.
04:25 Quand tu l'as dit à la mi-temps, je suis sorti,
04:26 je ne voulais pas revenir, mais pour moi,
04:27 on était en 4-2-3-1 tout le match.
04:30 Je n'ai pas vu l'Ismail Ndiaye sur la même ligne qu'Aubameyang,
04:33 pas une seule fois.
04:33 Oui, c'est un débat.
04:35 Oui, mais à ce moment-là, Marcelinho,
04:36 il nous mettait en place le même 4-2-3-1,
04:38 puisque c'est le même principe,
04:43 c'est-à-dire Arry à gauche, Ismail Assar à droite,
04:45 Aubameyang et Ndiaye devant.
04:48 Après, tu peux me dire "oui, les consignes n'étaient pas les mêmes".
04:53 Oui, les hommes, c'est ça,
04:56 mais la philosophie et les consignes ne sont pas du tout les mêmes.
05:01 La philosophie, moi, je trouve que ça se retrouve pas.
05:04 Quand tu es dans un 4-4-2, par essence,
05:06 tu passes directement sur les côtés,
05:07 mais sinon, il n'y a pas…
05:09 En fait, dans le rôle des deux milieux centraux
05:12 et dans le rôle des deux attaquants,
05:14 ce n'est pas du tout la même chose.
05:15 Si c'est un 4-2-3-1, comme tu dis,
05:16 tu ne passes pas directement sur les côtés,
05:18 tu passes par ton bonheur de jeu.
05:19 Non, tu peux passer sur les côtés.
05:21 Oui, 4-2-3-1, normalement, c'est ton bonheur de jeu.
05:24 Et l'Hippocrate, quand il fait un 4-2-3-1,
05:26 tout passe par Valbuena.
05:27 Oui, Yupengas, quand il fait un 4-2-3-1,
05:29 tout le monde, tout passe par les ailiers.
05:32 Oui, mais justement,
05:33 qui était numéro 10 à ce moment-là ?
05:35 Thomas Müller !
05:37 Voilà.
05:38 Et Thomas Müller et Elie Manendzhaï,
05:39 tu ne les fais pas dans la même catégorie.
05:42 Voilà, merci.
05:44 Donc, tu vois, c'est exactement ce truc-là.
05:46 Moi, je trouve que, comme quoi,
05:49 ça tient aussi de beaucoup de choses, de principes.
05:52 Ça tient aussi du fait, rappelons-le,
05:53 que Kloss était suspendu sur ce match-là.
05:55 Quand Kloss revient, qu'est-ce que tu fais ?
05:57 C'est une autre question qui vient.
05:59 Est-ce que tu enlèves des défenseurs centraux ?
06:01 Est-ce que tu enlèves…
06:02 Et juste, j'en profite, les gars, parce que…
06:03 Il blessait Gigu.
06:06 Oui, et d'ailleurs, j'ai eu vraiment peur.
06:09 Je pense que c'est peut-être plus grave que prévu.
06:11 Oui, il se tenait quand même l'épaule au niveau du…
06:15 du haut du pec, presque l'épaule.
06:18 Donc, ça peut être un peu…
06:19 Clavicule, peut-être.
06:20 Oui, clavicule, exactement.
06:23 Et j'ai bien aimé aussi, du coup, la réaction du virage
06:28 qui a scandé son nom à sa sortie.
06:33 Personne, tout le monde est au courant que c'est lui qui a causé le premier but.
06:39 Et personne sait pas le débat, et si c'est balerdi, on insulte.
06:43 Mais c'est juste que là, t'as une situation et tu…
06:45 Et alors que, on rappelle aussi les conditions, quand t'es en virage, t'as pas…
06:49 Enfin, tu peux capter la 5G, mais tout le monde ne l'a pas.
06:52 Tout le monde n'est pas au courant sur le moment que Gigu est blessé.
06:55 Donc, du coup, il faut se candesper.
06:56 Tu vois, il y a tout un contexte qui fait que je trouve que ce…
07:01 Cette manifestation-là est plutôt appréciable et à souligner.
07:06 Et avant que t'ailles récupérer les réactions des joueurs,
07:11 juste un petit mot sur l'ambiance.
07:13 Toi qui étais au stade, pour ceux qui n'ont pas la chance d'assister au match au stade Vélodrome,
07:19 parle-nous un petit peu de l'ambiance, comment elle était, est-ce que c'était chaud, ça chantait ?
07:23 Comment t'as senti cette ambiance ?
07:24 Évidemment, ça chantait.
07:25 Évidemment, ça s'est fait après l'ouverture du score
07:28 et on a senti qu'on avait quand même…
07:30 On a mis quand même 25 minutes avant de refaire surface,
07:32 il ne faut pas l'oublier.
07:34 Et non, je me faisais le souligner quand même que sur les dix dernières minutes,
07:41 vu que le succès était quand même dessiné,
07:44 et c'est parce qu'on a vécu ces derniers mois au Vélodrome,
07:48 on a revu des scènes habituelles avec les écharpes,
07:53 avec des champs de victoire, avec une certaine décontraction,
07:58 comme on a revu finalement, vous allez me dire, un coach qui a pu faire tourner,
08:02 parce que le succès était dessiné, là, pareil, on a vu ça.
08:05 Et c'est appréciable aussi, je pense, d'avoir ces scènes-là,
08:12 certains qui quittent le stade avant parce qu'il pleut beaucoup,
08:16 parce qu'il y a des conditions pour rentrer chez soi,
08:18 et tu rentres, tu es heureux parce que tu te dis bon, là c'est bon, on a gagné,
08:22 je peux aller sereinement à ma voiture,
08:25 et il y en a qui ont fait encore beaucoup de route pour venir voir l'OM,
08:28 donc c'est bien ce genre de succès aussi.
08:31 Oui, je vous confirme, j'ai même croisé des gens cet après-midi
08:35 qui venaient de Troyes pour venir voir le match,
08:37 donc il faut se rendre compte quand même de la route que les personnes font
08:41 pour assister à ce match-là, donc là, pour le coup, ils ont vu une belle victoire.
08:45 Mais le débat est intéressant sur le système de jeu,
08:48 et je voulais y venir, est-ce que finalement,
08:52 je vais un petit peu chambrer, mais est-ce que finalement Gattuso n'avait pas raison,
08:55 ce n'est pas finalement un problème de système,
08:57 mais plus d'état d'esprit ou de mentalité ?
09:00 Romain Héring, je te vois dubitatif sur ma question.
09:07 Moi, je ne sais pas, parce que je ne suis toujours pas convaincu
09:10 qu'on a joué en 4-4-2 ou 4-2-3-1,
09:12 pour moi, il y avait un système très asymétrique où on a dit,
09:16 on s'en bat les... enfin, je ne vais pas le dire comme ça, mais on s'en fout,
09:19 on met Ismail Assar, Ismail Assar, c'est notre clé,
09:22 il va manger la ligne et après, je pose mon équipe.
09:26 C'est ce qu'il nous a dit, il nous a dit, je mets les joueurs à leur meilleur poste.
09:29 Et il a fait ça, il a dit à Aubameyang et N'Diaye,
09:33 vous jouez plutôt axe, mais vous faites un peu ce que vous voulez.
09:36 Et il y avait Arid dans tout ça, qui rentrait beaucoup à l'intérieur
09:39 pour laisser le couloir à Merlin, donc je ne sais pas si on n'a pas joué
09:42 dans ce truc très bizarre où on joue avec un ailier droit, mais pas d'ailier gauche.
09:47 Moi, je ne suis pas persuadé que c'était un 4-2-3-1 ou un 4-4-2.
09:51 Je pense qu'il n'y avait pas d'ailier gauche ce soir.
09:52 Arid est beaucoup rentré dans l'axe.
09:55 Je trouve que c'était une réussite totale.
09:57 D'ailleurs, si c'est ce choix-là qui a été fait de mettre ça ailier
10:01 juste pour les perturber et créer beaucoup d'espace dans l'axe,
10:05 je trouve que c'est super bien fait.
10:06 Donc moi, je ne suis pas convaincu.
10:09 Mais par rapport à ta question, évidemment que la mentalité fait beaucoup de choses.
10:13 Mais il y a aussi un truc, c'est qu'avec Gattuso,
10:16 on sentait que les joueurs étaient obligés d'utiliser des relances précises,
10:21 d'attendre que les joueurs viennent, d'avoir une sorte de style Gattuso,
10:25 une patte Gattuso, que Idriss disait comprendre et voir.
10:28 Je n'étais pas loin d'être d'accord avec lui, d'ailleurs.
10:31 Mais finalement, cette patte Gattuso, elle a un peu annihilé les qualités de cette équipe,
10:35 qui sont la folie. Shancel Mbemba, c'est un fou. C'est un fou génial.
10:40 Il fait ce qu'il veut sur le terrain.
10:42 Ilima Ndjaye, tu lui dis, fais ce que tu veux, frérot.
10:44 Tu es libre, regardez le match qu'il fait ce soir.
10:47 Harith, moi, je trouve qu'il ne fait pas un très bon match.
10:49 Mais malgré tout, dans le lien offensif, il est moins désagréable que dernièrement.
10:54 Et Obame Young est très libre sur le front de l'attaque.
10:56 On l'a vu beaucoup aller à gauche.
10:57 Voilà, moi, j'ai beaucoup aimé ce style-là.
10:59 Et la mentalité, je dirais plus la mentalité que le système, peut-être.
11:03 Mais bon, je ne sais pas si avec Gattuso, on était capable de sortir un match comme ça,
11:09 puisqu'il y avait des préceptes à appliquer.
11:10 Là, j'ai l'impression qu'il n'y en a pas.
11:11 Faites ce que vous voulez et on se régale.
11:13 C'est ce que je disais quand on me disait est-ce qu'on voit une patte Gattuso.
11:15 Je dis oui, moi, je vois une patte, mais ce n'est pas une patte qui me plaît.
11:17 Parce que ce que je n'arrêtais pas de dire, ce n'est pas ma sensibilité.
11:20 Mais par contre, dire qu'il n'y en avait pas, c'était faux.
11:21 Parce qu'il y avait quelque chose. C'était juste que c'était un truc qui ne marchait pas.
11:24 Et pour revenir tactiquement sur le 4-2-3-1, 4-4-2, on l'a dit avec Slim pendant tout le match, c'était un 4-2-3-1, mais très asymétrique.
11:32 En fait, en début de match, on se demandait si ce n'était pas juste des consignes d'Ismail Assar de jouer Elie quand on a le ballon côté droit,
11:38 exprès pour avoir un joueur de plus et revenir en position de piston quand on a le ballon à gauche.
11:42 En fait, on s'est rendu compte que quand on avait le ballon à gauche, on jouait à 4.
11:45 Et c'était un peu ça. C'était en fait tantôt Veretout, tantôt Harit, tantôt Ba Meiyang qui jouaient Elie gauche.
11:51 Et avec tout le monde un peu qui s'embriquait de manière à selon où était le ballon.
11:56 Donc c'était un peu un 4-2-3-1, mais un peu penché.
12:01 Mais voilà, bref, en tout cas, comme tu l'as dit le plus à près.
12:05 Tu as même des séquences où sur les 300 trous, il n'y avait aucun joueur sur les 300 trous de Montpellier.
12:10 C'est à dire qu'en Ba Meiyang, ils ont joué beaucoup à gauche.
12:12 Et tu avais Ilimane Ndia.
12:14 Ilimane Ndia et Harit se retrouvaient dans le cœur du jeu et ça était vraiment collé à la ligne.
12:18 Et tu avais Veretout qui était entre ça et Mbemba aussi.
12:20 Exactement.
12:21 Oui, mais c'est intéressant après à voir si c'est selon l'adversité, selon l'adversaire qui avait en face,
12:27 parce qu'on avait ciblé une faiblesse côté Siagastilla ou quoi, à voir.
12:31 Ou est-ce que c'est vraiment, comme dit Romain, de juste être proactif et jouer sur nos qualités,
12:34 ce qui peut m'intéresser aussi.
12:35 Et on n'a pas joué pareil contre le Shakhtar.
12:38 Ah pas du tout.
12:38 Non, non, non.
12:39 C'est ça qui est intéressant aussi.
12:40 Pas du tout et c'est surtout qu'on a été beaucoup plus intéressé avec ballon aujourd'hui que jeudi.
12:44 Et finalement, c'était un peu ça que nous expliquait,
12:47 je ne sais pas si vous l'avez lu, l'interview de Romain Canuti.
12:52 C'était à propos de Jean-Louis Gasset, un ancien adjoint de Jean-Louis Gasset qui était venu.
12:56 Bernard Rodriguez.
12:57 Rodriguez, oui.
12:58 Bernard Rodriguez, tout à fait.
12:59 Bernie Luding.
13:00 Et il disait justement, Jean-Louis Gasset a cette faculté-là à s'adapter aux équipes qu'il va rencontrer
13:06 et il pourra éventuellement changer de système.
13:09 Finalement, il avait dit aussi en conférence de presse qu'il allait donner des instructions simples,
13:13 il allait faire des choses simples et c'est finalement ça que je te vois sur le terrain.
13:16 Est-ce qu'on peut commencer, pas forcément à s'enflammer, à voir qu'on va finir sur le podium,
13:20 mais est-ce qu'on peut commencer à un petit peu s'emballer sur la suite de la saison ?
13:23 Jean-Louis, vas-y.
13:25 Moi, je trouve qu'on a un langage qui est pragmatique.
13:29 Pour moi, ces systèmes là, savoir si on joue en 4-2-3-1, en 4-4-2, franchement, à un moment donné, on s'en fout.
13:37 Tant qu'il y a des résultats.
13:39 Tant qu'il y a des résultats.
13:41 Non, c'est pas ça. Je pense qu'on n'a pas les joueurs pour être cadrés dans des systèmes.
13:46 On n'a pas ce type de joueurs d'instinct.
13:48 Quand on voit des NDI, des SAR, des Obameyang, pour moi, ce ne sont pas des joueurs de système,
13:53 ce sont des joueurs d'instinct.
13:55 Je pense qu'effectivement, les liés gauche, aujourd'hui, c'était Merlin, pour nous.
14:00 C'est Merlin qui l'avait, donc il n'avait pas besoin d'avoir un gars à gauche, puisqu'il avait Merlin.
14:05 A droite, il avait la mi-SAR.
14:07 Moi, je pense que cet entraîneur, il laisse jouer les joueurs.
14:11 Il les cantonne pas à dire ce que faisait un Gattuso.
14:15 Je pense que, oui, il y avait une patte Gattuso, mais moi, je m'en fous de voir la patte de l'entraîneur.
14:20 Moi, ce que je vois, c'est une équipe qui joue.
14:22 Mais la patte de l'entraîneur, on s'en fiche.
14:24 Non, mais la patte de l'entraîneur, des fois, ce n'est pas forcément que tactique.
14:26 Surtout que la patte de l'entraîneur, c'est aussi important pour gagner.
14:29 Nous, on ne veut pas avoir une patte d'entraîneur parce qu'on ne va pas faire une séance d'analyse sur Pep Guardiola.
14:35 C'est parce que, pour nous, pour analyser la victoire, on a besoin de comprendre ce que le coach veut faire.
14:41 Donc, si on ne voit pas la patte de l'entraîneur, ça peut ne pas être grave.
14:45 Après, tu vois, il y a un de mes coachs préférés qui est Jurgen Klopp,
14:49 qui, dans son Borussia Dortmund, qui est loin de ressembler à son Liverpool,
14:54 à son Borussia Dortmund, avait ce que j'appelais, moi, un bordel organisé.
14:58 En fait, c'était la zizanie complète.
15:00 Les joueurs n'avaient pas forcément de postes.
15:02 Il y en avait deux qui avaient des consignes très, très, très, très, très strictes.
15:06 C'était Sven Bender et Robert Lewandowski.
15:08 Le 6 et ça pointe.
15:10 Les cinq autres joueurs au milieu de terrain et devant, après les défenseurs, c'est autre chose,
15:15 mais les joueurs au milieu de terrain et devant et les latéraux, c'était fait.
15:19 Occuper le terrain de manière à être à 2, 3, 4 mètres des uns des autres, fait.
15:23 Et quand tu avais des joueurs aussi expressifs que Mario Götze, Shinji Kagawa, Blaszczykowski,
15:28 je ne compte pas Marc Oresz, parce que quand il arrive, il change un peu de système,
15:31 sur les deux premières années, j'entends.
15:33 C'est tellement facile.
15:35 C'est tellement facile.
15:36 Donc, oui, ne pas avoir de système, ça peut aussi être une patte.
15:40 Le truc, c'est que là, on est qu'au deuxième match,
15:42 donc on ne va pas commencer à dire je vois de suite, on va voir,
15:45 on va voir si c'est quelque chose qui perdure, si c'est quelque chose qui se répète.
15:48 Tu veux tempérer un petit peu, Yacine, sur l'enflammade que j'ai dans ça un petit peu.
15:52 Je le disais au début, je suis vacciné avec tout ce qu'on a vu cette saison.
15:57 Là, j'aimerais juste revenir sur quelque chose qui est pour moi en tant que supporter fondamental.
16:02 C'est juste l'émotion qu'on a ressentie sur ces deux derniers matchs contre le Shakhtar
16:07 et contre ce match-là.
16:09 Même là, pendant un deuxième temps, je me suis dit putain, le temps,
16:11 le temps, il passe vite parce qu'on est bien, en fait.
16:13 On est bien, on s'amuse, on prend du plaisir.
16:15 Et je pense que ça se ressent aussi au niveau des joueurs.
16:18 Pour en revenir un peu au niveau du système, entre guillemets,
16:21 il l'avait dit de toute façon Jean-Louis Gasset,
16:24 on est plus dans l'animation qu'avoir un système un peu stricto sensu.
16:29 Donc voilà, mais moi, je veux insister sur toute cette notion d'émotion
16:34 que peuvent ressentir les gens quand les choses sont à plein nid,
16:38 quand on reprend les bases, jouer sur les fondamentaux,
16:40 comme l'a dit Jean-Louis Gasset.
16:42 Être simple, en fait, dans le jeu et puis laisser un peu de liberté.
16:46 Par exemple, on l'a vu Indie Man and DJI ce soir.
16:48 Les choses se passent bien et que ça continue, mais je ne veux pas non plus,
16:53 encore une fois, je rejoins un peu la banderole qui a été déployée à la fin du match.
16:58 Oui, on peut la dire.
17:00 Une victoire n'efface pas tout.
17:03 Une victoire n'efface pas tout et il y avait un message après derrière.
17:06 Quand vous voulez, vous pouvez.
17:07 Voilà, donc on a vécu tous ici la saison.
17:11 Ils ont préparé cette banderole, donc ils étaient quand même confiants.
17:14 Dès que je l'ai vue sortie, ils se sont rigolés.
17:18 Mais voilà, je pense qu'il ne faut pas l'oublier non plus.
17:21 C'est pour ça que je ne m'enflamme pas.
17:22 J'attends de voir un troisième match consécutif avant de donner mon avis sur ce style "Gasset".
17:29 Mais déjà, on peut voir quand même qu'il a réussi à réveiller certains joueurs.
17:33 Il tient 7 buts.
17:35 Pardon ?
17:36 7 buts en 2 matchs.
17:37 Oui, 7 buts en 2 matchs.
17:38 On voit des choses offensives.
17:39 Et 2 fois téméné au score.
17:40 Et 2 fois, justement, le côté mental aussi.
17:42 Il allait travailler sur ce côté-là, la mentale.
17:45 Il a forcément apporté déjà quelque chose.
17:47 Est-ce que la question c'est le côté mental ou est-ce qu'on entre plus...
17:51 Enfin, ça s'est vu sur les demi-temps, on était plus en mode diesel au début.
17:56 Donc, est-ce que volontairement tu laisses tes joueurs rentrer progressivement dans le match
18:00 ou bien dès le début, tu leur dis "pressez, pressez-vous, allez-y".
18:03 Je ne sais pas, très honnêtement, ça fait partie des questions que je me pose encore.
18:07 Moi, j'ai envie de m'enflammer.
18:09 Vas-y Jean-Luc !
18:10 J'ai envie !
18:11 J'ai envie !
18:12 Parce que, franchement, on vit dans des zones tellement amoureuses, je veux dire.
18:15 Pour peu qu'on voit des choses différentes.
18:18 On voit de la joie, on les voit...
18:21 On voit des bons joueurs aussi !
18:23 Hein ?
18:24 On voit des bons joueurs aussi !
18:26 On voit des bons joueurs, des gars qui...
18:28 Il a réveillé des morts.
18:29 Donc, moi je trouve...
18:31 Voilà, super !
18:32 Espérons qu'on s'est tous trompés.
18:34 Voilà, c'est génial !
18:36 J'ai envie, j'ai envie !
18:38 Tu as bien raison !
18:39 J'en ai marre de la morosité.
18:42 Finalement, peut-être que Longoria ne s'est pas trompé sur son mercato,
18:46 mais finalement juste sur ses coachs.
18:49 Ah, mais ça c'est un...
18:51 Ça faisait partie du possible, là, par contre.
18:53 Quand tu vois l'effectif qu'on a, les joueurs sont quand même...
18:56 Moi, tu vois, Ismail Assar, si tu as un coach qui sait le faire jouer,
19:00 je pense que c'est un super joueur.
19:02 Je me demande si on ne s'est pas trompé sur les coachs.
19:04 Juste sur les coachs.
19:05 Mais c'est tellement important dans le football d'haut niveau,
19:07 d'avoir des entraîneurs qui créent des choses avec un effectif.
19:11 Je ne sais pas.
19:12 C'est une réflexion qu'on aura en fin de saison, mais...
19:14 Samso qui déglace ce retour d'une vitesse.
19:16 Mais oui, mais oui, il a raison !
19:18 Tu la vois jusqu'où, la Romontada ?
19:21 Jean-Luc.
19:23 La Romontada ?
19:24 On est au classement.
19:25 Oui, tu t'enflammes.
19:27 Ah bon, je m'enflamme ?
19:28 Je m'enflamme parce que, d'abord, je m'enflamme parce que, devant nous,
19:32 je vois une équipe vraiment beaucoup plus forte que nous,
19:36 hormis PSG, je parle.
19:38 Pour moi, c'est Rennes, parce que j'ai vu jouer Rennes,
19:40 ça joue vraiment un football extraordinaire.
19:43 Mais Nice, franchement, c'est nul, Nice.
19:47 Ça joue mal.
19:48 Monaco, bon, c'est pas...
19:52 C'est pas Jojo.
19:53 Et Lens, je pense, c'est une pente descendante.
19:56 Donc je pense que deux, trois équipes, on peut les passer.
19:59 Et puis je rajouterais même qu'à mon avis,
20:03 Lille va gagner la conférence League.
20:05 Oui, parce qu'il n'y a personne là.
20:07 Pour moi, ils sont favoris.
20:09 J'ai vu le tableau.
20:11 L'Union Saint-Gilloise, c'est pas mal aussi.
20:14 Mais à part ces trois clubs qu'on a cités ensemble,
20:17 Jean-Luc, je pense que Lille va aller très loin.
20:20 Donc il y a sept matchs à jouer, potentiellement.
20:22 Donc je pense que Lille peut s'effondrer aussi.
20:25 Donc si toi, tu arrives à être cohérent,
20:27 je ne dis pas qu'on va gagner tous nos matchs,
20:29 on va perdre contre Paris comme à chaque fois.
20:31 Tu vas bien faire deux, trois nuls.
20:33 Mais si tu arrives à, je ne sais pas, sur les douze matchs de Gassé,
20:35 tu vas faire huit, deux, deux, par exemple,
20:38 tu peux être dans la lutte.
20:39 Il reste onze matchs de Ligue 1, les amis,
20:41 jusqu'à la fin du championnat.
20:43 Et on jouera six des huit équipes qui sont devant nous,
20:46 puisque nous avons déjà joué deux fois Monaco et Brest.
20:49 Oui, mais quelque part, c'est bien aussi,
20:51 quand tu es dans une opération au Montada,
20:52 si tu veux taper les équipes,
20:54 les matchs à six points, il n'y a rien de plus efficace.
20:56 Moi, je ne te donne pas de mauvaise nouvelle,
20:59 je te donne l'information.
21:00 Moi, c'est des matchs qui me plaisent.
21:01 Moi, j'y crois beaucoup au phénomène
21:04 quand ça veut, ça veut, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas.
21:06 Quand je vois Lance, Lance l'année dernière,
21:08 il joue contre nous, il vient ici,
21:10 et on les domine de A à Z.
21:12 Ils font un tir pourri.
21:14 Contré, il marque.
21:15 Cet après-midi, il joue contre Monaco.
21:18 Samba, il fait un premier arrêt de fou.
21:20 Il fait un deuxième arrêt, c'est lui qui se met le but.
21:23 C'est Samba qui se marque le but.
21:25 Donc, comme quoi, ça s'enchaîne.
21:27 Il mène deux zéros contre l'équipe de Fribourg.
21:30 Ah ouais, terrible, on n'a pas parlé de ça, mais c'est quand même...
21:32 Ils se font remonter 3-2, quelque part.
21:35 On voit bien qu'il y a des moments où les équipes,
21:38 elles ont rien qui veut rire.
21:40 Là, en ce moment, Lance, il n'y a rien qui veut rire.
21:43 Et pourtant, l'entraîneur, c'était le même.
21:45 Et ça ne veut pas rire.
21:46 Il n'y a rien qui va pour eux.
21:48 Nous, chaque fois que les types, ils tiraient au but, ils marquaient.
21:51 Là, on est mené à un zéro.
21:53 Les gars, ils tirent deux fois.
21:55 Ils mettent deux poteaux.
21:57 Peut-être qu'il y a deux mois,
21:59 la frappe qui tape le poteau,
22:01 sur le dos de Paul Lopez,
22:03 elle rentre, on dit 2-0,
22:04 et on dit encore Lopez qui n'a pas plongé comme il faut.
22:07 Oui, les vestes se retournent.
22:09 Pas qu'elles se retournent.
22:10 Nous, elles ne se retournent jamais, nos vestes.
22:11 On est des supporters de l'OM.
22:12 Alors, on critique l'OM,
22:14 mais on veut toujours que l'OM y gagne.
22:16 On n'est pas là à trire, on ne veut pas qu'ils perdent.
22:18 Il n'y a personne qui veut que l'OM...
22:19 Non, mais je pense qu'il voulait dire, par là,
22:21 le message de notre ami, là, sur Twitch,
22:23 c'est que peut-être, au bout de deux matchs,
22:25 c'est un peu trop tôt pour s'enflammer
22:28 sur une victoire.
22:30 C'est ça, c'était ma question.
22:31 Après, ça nous fait plaisir.
22:33 On est toujours heureux, bien évidemment.
22:35 Mais après, je reviens à ce que je disais,
22:37 j'attends de voir une série.
22:38 J'attends de voir la confirmation.
22:40 On est tous d'accord là-dessus.
22:41 The Boyz sur Disney.
22:42 On est tous d'accord là-dessus.
22:43 Et puis, Romain, moi, je pars trois jours sur Lyon,
22:46 je n'ai pas envie de me faire chabrer pendant trois jours.
22:48 Tu as raison, et on va juste rappeler quand même,
22:51 peut-être que ça peut être un objectif au rabais,
22:53 mais que la 7e place sera qualificative
22:55 pour la Conférence League.
22:56 Je sais que ça ne fait rêver personne,
22:58 mais je vous rappelle qu'il y a quelques mois,
23:00 j'ai vu Rongier la soulever, cette coupe.
23:02 Donc, je me dis, peut-être que ce n'était pas cette saison.
23:05 Quoi qu'il arrive, il faut être européen l'année prochaine.
23:08 Non, c'est juste là, c'est juste une vanne.
23:10 Non, mais moi, je la prends à moitié ta vanne.
23:12 C'est que moi, si on finit 8e et qu'il n'y a pas de Coupe d'Europe,
23:16 même si ce n'est que la Conférence League,
23:18 moi, je veux la gagner, la Conférence League.
23:20 Est-ce qu'on a vu les questions ?
23:21 On a lu le tilo de consolation gâcée.
23:23 Oui, mais au moins, il y aura.
23:25 Rappelle-toi l'année Garcia, quand il arrive en 2016-2017.
23:28 On est dans le vendredi du championnat, il arrive.
23:30 L'objectif, c'est d'aller chercher la 5e ou la 6e place.
23:33 Mais au final, on va la chercher.
23:35 L'année d'après, il y a Oustand, il y a Domzal,
23:37 mais à la fin, il y a l'Atletico.
23:39 Ils ne sont pas au lieu aussi.
23:40 Donc voilà, il faut aller se chercher des trucs.
23:42 Ils ne sont pas au lieu aussi.
23:43 Il arrive, il va se chercher cette place qualificative
23:44 qui n'était pas donnée en janvier.
23:46 Et au début, c'est le locomotive.
23:48 Et à la fin, c'est Feyenoord.
23:50 Il y a Thibaut, là, dans notre chat, qui nous demandait
23:53 les deux plus beaux matchs de l'OM depuis le début de la saison.
23:56 Pour vous.
23:58 D'instinct, comme ça, je te dirais oui.
24:01 Collectivement, avant qu'on passe, bien sûr, au quart d'individuel.
24:03 Non, il y a le match de Lyon, quand même, qui a été...
24:05 Le match de Lyon, c'était quand même pas mal.
24:07 Le match de Lyon, on les a bouffés.
24:08 Moi, j'ai beaucoup aimé deux matchs, comme quoi,
24:11 même avec... C'était Le Havre.
24:13 Je trouve qu'on avait fait un match extraordinaire
24:16 et que...
24:17 Arit avait fait un match...
24:19 Illiman & Dzeisk.
24:22 Et puis, le match contre l'Ajax.
24:25 Je trouve que...
24:26 Le scénario...
24:28 Tout m'avait plu, quoi.
24:30 Lyon, le retour, ouais, le retour.
24:32 Moi, je suis d'accord. Lyon et l'Ajax, moi, perso.
24:34 Ouais, Lyon, moi.
24:35 Lyon, toi, tu disais plutôt Lorient.
24:37 Non, non, non, c'était juste...
24:39 Après, moi, je vous rejoins sur Lyon.
24:43 Donc, sur le deuxième match à domicile, du coup.
24:46 Le premier avait été annulé.
24:48 Mais...
24:49 Mais, ouais, Lyon, l'Ajax aussi.
24:51 Après, franchement, si on parle d'aboutissement,
24:54 les deux matchs qu'on a vus consécutivement,
24:57 on aurait envie à ces matchs-là.
24:59 Donc, encore une fois, on est heureux à la fin.
25:01 C'est tout.
25:02 C'est sûr.
25:03 On a vu la plus belle action collective de l'OM.
25:05 On l'a vue ce soir, par contre, sur le deuxième but.
25:08 Sur le deuxième but, même l'occasion du pénalty,
25:10 elle est bien emmenée, avec une récupération basse
25:13 d'Amin Arit et la contre-attaque menée
25:15 avec Veretout et Aubameyang.
25:17 On a eu un arbitrage correct ce soir,
25:19 avec un arbitre qui a sifflé ce qu'il fallait siffler.
25:21 On t'a un peu énervé.
25:24 - On ne prend pas de carton, quand même,
25:26 sur son tac, le garçon, là, dans la surface.
25:28 - Il ne prend pas de carton ?
25:29 - Non, il le prend pour tirage de caleçon
25:31 deux minutes plus tard, mais...
25:32 - Ouais, voilà, donc, bon...
25:34 - C'est très gentil.
25:36 - Peut-être, ouais.
25:37 - Bingo, il nous demande que pensez-vous
25:39 du coaching de Gasset.
25:40 On en parlera peut-être un peu plus
25:42 dans les notes des joueurs.
25:44 Mais c'est vrai qu'à l'inverse de Gatouzou,
25:46 il essaye d'influer quand même sur le cours du match.
25:48 Et il fait des changements assez rapidement.
25:51 Ça, déjà, c'est une différence.
25:53 - Classique, à partir de la 60e, quoi.
25:55 - Il sort Merlin, après, il sort Veretout,
25:58 il sort...
25:59 - Il a l'intelligence de sortir Condoblia
26:01 à l'heure de jouer.
26:02 - Ouais, bravo.
26:04 - En tout cas, on a fait un petit peu
26:06 le bilan de ce match.
26:07 Maintenant, on va passer au cas individuel.
26:10 On va passer au top et au flop.
26:13 Merci.