Jonathan Lambert salue l'autodérision de Laurence Boccolini à l'époque où il parodiait 'Le maillon faible' !
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00:00 Deux points seulement accumulés, c'est minable, triste.
00:03 Seriez-vous, je ne mettrais pas mes jours sur le champ.
00:06 Je crois que toutes les parodies du Maillon Faible, et Dieu sait qu'il y en a eu,
00:10 c'était la préférée de Laurence Boccolini.
00:12 Elle a été adorable parce que, effectivement, c'était la grosse émission
00:16 et on faisait une parodie de ce jeu qui, à l'époque, était un véritable phénomène.
00:22 Et je reçois un jour un mot avec un colis signé de Laurence Boc...
00:26 Mais au début, je pensais que c'était une blague.
00:29 L'imitation est géniale, mais côté vestimentaire, ce n'est pas tout à fait ça.
00:33 Donc, je vous envoie l'une de mes robes pour un peu améliorer la rose.
00:39 - La vraie tenue du Maillon Faible. - Et donc, elle m'a envoyé une de ses robes
00:42 que j'ai portées forcément par la suite.
00:45 - Ça, vous l'avez gardée en couleur ? - Que j'ai gardée en couleur.
00:47 - Vous l'avez gardée, vous l'avez permetté pour cette soirée. - Évidemment.
00:50 Non, mais j'ai trouvé que c'était d'abord une preuve d'autodérision absolument géniale.
00:56 Et voilà, j'ai refait son émission dernièrement et c'est quelqu'un d'adorable.
00:59 Je vous verrais bien présenter un vrai jeu télé, Jonathan Lambert.
01:03 Je ne sais pas, un truc délirant à la Vogueur's Quiz.
01:06 - Ça vous plairait, ça ? - Il faudrait qu'il y ait un petit peu de dérapage.
01:09 En tous les cas, je trouve que la mécanique du jeu est absolument extraordinaire
01:13 et qu'elle permet d'avoir finalement une sorte de structure.
01:16 Et on en fait ce qu'on veut après.
01:18 - Des jeux télé, on ne vous en a jamais proposé ? - Non, jamais.
01:21 Pour être honnête, jamais.
01:22 La télé, plus généralement, c'est fini ou pas, Jonathan Lambert ?
01:25 Est-ce qu'on vous reverra par exemple dans "Quotidien" ?
01:27 Non, en fait, moi je me suis toujours laissé guider par les opportunités, les propositions.
01:34 Mais c'était souvent une idée que moi j'avais.
01:36 J'appelais les prods et je leur disais "Tiens, j'ai une idée, ça s'est fait comme ça avec Ruckier".
01:40 - On ne venait pas vous chercher, c'est vous qui produisez. - Non, non, non.
01:41 Par exemple avec Ruckier, c'est moi qui ai eu l'idée du copain avant.
01:44 J'ai appelé la prod, j'ai dit "Voilà, j'ai cette idée, on l'a testée, par chance ça a marché".
01:47 "Quotidien", c'était pareil.
01:49 Enfin voilà, ça s'est souvent fait.
01:50 J'ai pas spécialement envie de faire soit de la télé, soit du cinéma, soit du théâtre.
01:56 C'est souvent l'occasion qui fait le ronflement.
01:59 Mais avec toujours l'idée que ça ne doit pas durer trop longtemps.
02:01 Vous vous installez pas en télé ?
02:02 Ouais, peut-être que je fais vite le tour.
02:06 Non, mais il y a un moment donné où je me dis "Il ne faut pas se répéter".
02:08 Donc mieux vaut faire en vie que pitié et j'arrête.