Le journal RTL de 18h du 01 mars 2024
Regardez Le journal RTL du 01 mars 2024 avec Isabelle Choquet.
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00:00 Vous êtes sur RTL.
00:02 Culture avec Vincent Parizeau et Isabelle Choquet.
00:06 Bienvenue, bienvenue à tous. Oui c'est parti pour 5 heures d'actualité,
00:10 de reportage, d'invité, de sport, de sourire et même de rire sur RTL en direct ce soir du salon de l'agriculture.
00:17 Alors nous sommes dans le hall de deux au stand des fruits et légumes frais et donc on sera ravi de saluer
00:24 ceux qui viennent nous voir. Vous êtes déjà nombreux et on vous en remercie.
00:28 En tout cas nous on va s'occuper de vous jusqu'à 19h15 avec Isabelle Choquet, avec Valérie Quintin.
00:33 Bonsoir les amis. Bonsoir. Et aussi avec notre true humoriste imitateur. Alors ça c'est la magie de la radio.
00:39 Il y a quelques minutes il était à Rubaillat, il était à Neuilly pardon.
00:43 Et voilà il est ici avec nous. Bonsoir Marc-Antoine Lebray. Bonsoir. Le Breaking News dans dix minutes. Vous êtes qui ce soir ?
00:50 Je suis dans la salle, je suis dans le salon de l'agriculture.
00:52 On va tout comprendre.
00:54 A suivre aussi nos invités puisque nous sommes ici au salon. Le président des jeunes agriculteurs il va réagir
01:00 à l'accueil mouvementé tout à l'heure des ministres de l'agriculture et de l'environnement Marc Fesneau et Christophe Béchut, cible de
01:06 G2, d'insultes, de sifflets. Il nous parlera donc de cette colère persistante
01:11 mais aussi peut-être aussi de l'accord sur le prix du lait signé chez Lactalis. Donc Arnaud Gaillot avec nous à 18h15.
01:17 A 18h30 notre invité pour tout comprendre, tout comprendre aux cultures du futur.
01:21 Nous verrons à quoi vont ressembler nos campagnes avec Philippe Mauguin, président de l'INRAE, l'Institut de recherche pour l'agriculture,
01:27 l'alimentation et l'environnement. Et puis évidemment on est vendredi soir, on aura notre quart d'heure en
01:31 gauguette. On refait nos régions. Avec Audrey Chatelard, chef de projet chez Bluebees, une plateforme de finances participatives pour une agriculture et une alimentation
01:39 durable avec aussi une info très insolite sur les poules et une recette pleine de vitamines en direct sur ce stand
01:45 Interfell des fruits et légumes. Et bien on a, et puis à 19h10 évidemment Anaïs Bouton et ses correspondants étrangers
01:51 en France vont la refaire, cette France, comme chaque vendredi soir. Mais avant toute chose, il est 18h02, c'est l'heure du journal 10 minutes pour tout savoir.
01:58 RTL, bonsoir
02:01 Avec Alaune, Isabelle. La colère paysanne qui flambe à nouveau ici au salon contre les ministres ce matin à l'Arc de Triomphe.
02:08 Dans le même temps un accord a été trouvé sur le prix du lait.
02:10 Le verdict au procès Masson, 30 ans de prison avec 20 ans de sûreté pour le meurtre de ce policier sur un point de dille.
02:16 Et puis des nouvelles de Jean-Luc Rechman, victime d'une tentative de cambriolage cette semaine. Et pour la tendance météo ça donne quoi Valérie Quintin ?
02:23 Une cascade de dégradation encore, c'était le cas aujourd'hui, ce sera le cas demain.
02:26 Merci, à tout à l'heure.
02:28 Le journal Vincent Parizeau, Isabelle Choquet.
02:31 Le cas me semblait revenu sur le front agricole mais voilà, à l'approche de la fin de ce salon de l'agriculture,
02:38 nouvelle hausse de tension. Oui, ici au salon les ministres de l'agriculture et de l'écologie ont été visés par des G2,
02:46 cet après-midi Marc Faineau et Christophe Béchut ont été copieusement sifflés.
02:50 Des appels à la démission, action de la FNSEA de Seine-et-Marne. Et puis ce matin,
03:01 des militants de la coordination rurale ont manifesté au pied de l'arc de triomphe. Il y a eu plus de 70 interpellations.
03:06 Tout le monde a été relâché ce soir. Et puis on se souvient aussi du stand Lactalis qui avait été
03:10 attaqué il y a quelques jours. Le prix du lait c'est l'un des motifs de la colère paysanne. Et bien le numéro un mondial et
03:16 l'organisation qui représente les olveurs ont finalement trouvé un accord pour le premier trimestre. Le prix pour les mois de janvier, février et mars
03:23 est fixé à 425 euros les 1000 litres. C'est 5 euros de plus que la dernière proposition
03:28 de Lactalis. On me dit à l'instant que Virginie Garra est au prix du ministre de l'agriculture Marc Faineau. On la rejoint immédiatement.
03:35 Virginie, vous nous entendez ?
03:38 Oui, absolument.
03:40 Je suis à côté du ministre effectivement. On va lui demander sa réaction à ce qui s'est passé tout à l'heure.
03:44 Des G2 en direction de deux ministres alors que ça fait
03:48 des semaines que vous travaillez sur le terrain pour apporter des solutions. Quelle est votre réaction ce soir ?
03:52 La réaction c'est de regretter ce type d'actes
03:55 d'un certain nombre d'individus isolés.
03:58 Le G2, la violence n'est jamais un mode d'expression pour moi. Je l'ai toujours répété.
04:05 Ceux qui ont fait ça pensent que c'est intelligent de jeter des oeufs pour résoudre les problèmes. Je pense qu'ils font une erreur.
04:10 Mais moi ça m'empêchera pas et ça me dévira pas de la route qui est la mienne et celle du gouvernement qui est de résoudre les
04:15 problèmes et de répondre aux questions qui sont posées pour les agriculteurs. Ça fait sept jours que je suis dans le salon.
04:18 J'ai eu un accueil à la fois exigeant mais respectueux. Donc il y a des gens qui se soient respectueux, j'en prends acte.
04:23 Je pense que c'est une ultra minorité
04:25 et qu'au fond ils desservent leur cause en faisant ça. Mais libre à eux de le faire s'ils ont envie de le faire.
04:29 Il y avait des gens, des agriculteurs de la FNSEA. Donc est-ce que vous dites au syndicat principal
04:33 "Calmez votre groupe et maintenant mettons-nous autour de la table et travaillons ?"
04:36 Non, j'ai rien à dire au syndicat. Ils prennent leur responsabilité. Ils en tireront les conclusions qu'ils veulent.
04:40 Effectivement un certain nombre d'entre eux ont dit qu'ils étaient de la FNSEA de Seine et Marne. Très bien, j'en prends acte.
04:45 Mais moi j'ai aucun conseil. J'ai pas d'ordre à donner au syndicat. Chacun fait ce qu'il a à faire chez lui et moi je fais ce
04:51 que j'ai à faire chez moi, c'est-à-dire à travailler pour trouver des solutions aux problèmes qui sont posés.
04:55 Quel message ces agriculteurs ont voulu faire passer ? On peut poser la question au ministre ?
05:00 Le ministre vient de partir là. Je ne peux pas poser la question.
05:04 En tout cas c'est parfait. On a eu la réaction, la première réaction.
05:07 C'était sur RTL, la première réaction de Marc Fenault, le ministre de l'Agriculture, à cet accueil plutôt rugueux, à base de
05:15 sifflets de et d'insultes.
05:18 Donc essuyé tout à l'heure avec son collègue de l'environnement Christophe Béchut.
05:23 Oui tout à l'heure nous serons avec Arnaud Gaillot, président des jeunes agriculteurs.
05:27 Un mot pour vous dire aussi que demain samedi le 12 45 d'Emsis se délocalise, lui aussi avec un journal en direct et en public depuis le salon de l'agriculture.
05:35 Dominique Tenza sera accompagnée de Karine Lemarchand qui co-présentera avec lui cette édition exceptionnelle.
05:40 Le verdict est tombé au procès du meurtre d'Eric Masson.
05:44 30 ans de réclusion avec une peine de sûreté de 20 ans pour Ilyas Akouda d'accusé d'avoir tué le brigadier sur un point d'île.
05:49 C'était en 2021 à Avignon. Il avait 19 ans à l'époque.
05:53 Il a reconnu avoir tiré mais il assure qu'il pensait viser un autre dealer.
05:57 Hugo Hamelin, vous avez suivi ce procès pour RTL.
06:00 La cour a considéré qu'il savait très bien que la victime était un policier.
06:04 Après plus de 6 heures de délibérés et dans une salle d'audience bondée avec des dizaines de policiers en civil, en tenue, venus soutenir la mémoire de leur ancien collègue.
06:14 La cour a donc jugé qu'Ilyas Akouda n'avait pas pu confondre Eric Masson avec un dealer qu'il a ouvert le feu en connaissance de cause.
06:21 Écoutez son papa Marc Masson, lui aussi ancien policier.
06:25 Nous sommes satisfaits, la justice est passée.
06:27 La qualité de policier intervenant dans mon fils a été reconnue.
06:31 La condamnation nous semble juste.
06:33 Et quoi qu'il en soit d'aujourd'hui, je reste un père qui a perdu son fils.
06:38 Et quelle que soit la condamnation, il ne reviendra jamais.
06:41 C'est comme ça.
06:41 Donc on reste avec notre tristesse.
06:43 Effectivement, il n'y a pas de gagnant.
06:44 Il n'y a que des perdants.
06:45 C'est tout.
06:46 Tête basse dans le boxe, le tireur âgé de 21 ans est donc lourdement condamné.
06:50 30 ans de prison, dont une période de sûreté de 20 ans.
06:53 C'est la perpétuité qui avait été requise.
06:56 Donc pour son avocat, la star du barreau, Franck Berton, cette décision est acceptable.
07:02 C'est un verdict, surtout, qui n'est pas un verdict d'élimination, puisque la réclusion à perpétuité n'a pas été prononcée.
07:09 C'est-à-dire que la Cour d'assises a estimé que, bien évidemment, M. Hakouda devait pouvoir, un jour,
07:15 et au terme de la peine qu'elle s'est prononcée, recouvrer la liberté.
07:19 Les deux co-accusés d'Ilias Hakouda, pour l'avoir aidé à se dissimuler et à s'enfuir,
07:23 ont été condamnés à 2 et 3 ans de prison ferme.
07:27 Il faut savoir, il faut que les petits truands des rues sachent que s'attaquer à un policier
07:32 peut les amener de longues années en prison, a conclu un collègue et ami d'Éric Masson, lui aussi policier.
07:38 Merci Hugo Hamelin, donc 30 ans de réclusion avec 20 ans de peine de sûreté pour le meurtrier de ce brigadier à Avignon.
07:45 La journée, c'était aussi le dernier adieu à Alexis Navalny, sous haute surveillance à Moscou.
07:50 Oui, le Kremlin avait mis en garde, contre toute manifestation non autorisée,
07:53 mais au cimetière de Brissobo, à Moscou, des milliers de personnes ont scandé son nom et leur refus de la guerre en Ukraine.
08:01 Ils étaient des milliers à attendre sur les trottoirs autour de l'église...
08:04 L'opposant numéro 1, Vladimir Poutine, a été inhumé après une brève cérémonie religieuse
08:08 et 45 personnes ont été interpellées en Russie pour RTL. Félix Grasso.
08:12 Ils étaient des milliers à attendre sur les trottoirs autour de l'église,
08:15 avec la ferme intention de ne pas se laisser intimider par le pouvoir.
08:19 Timur nous explique sa présence.
08:20 Je suis venu pour soutenir la famille et bien sûr pour Alexei.
08:24 Cet homme a beaucoup fait pour nous et ce serait étrange de ne pas le soutenir et de ne pas venir lui dire adieu.
08:29 Quelques mètres plus loin, Alexander nous fait part de son dépit.
08:32 Cet homme était important parce qu'il incarnait l'espoir et les gens ont besoin d'espoir.
08:36 On en avait et on nous l'a retiré.
08:39 Des applaudissements pour saluer l'arrivée du corbillard à l'église dans laquelle la foule,
08:42 dans son immense majorité, n'a pas pu entrer.
08:45 Pas d'excès à signaler, ni du côté des forces de l'ordre qui n'ont fait qu'assurer la sécurité,
08:49 ni de celui de la foule, ce qui a donné une dimension digne à la cérémonie.
08:53 Lorsque la foule s'est déplacée de l'église au cimetière à une trentaine de minutes de marche,
08:56 un slogan s'est mis à résonner.
08:59 Les héros ne meurent pas.
09:02 Malgré la foule, les horaires d'ouverture du cimetière n'ont pas été aménagés.
09:04 Il a fermé à 17h ici à Moscou, laissant un grand nombre de personnes sur leur fin.
09:08 Reportage signé Félix Grasso à Moscou pour RTL.
09:12 RTL, bonsoir.
09:16 Les JO, c'est bientôt, c'est dans 5 mois.
09:20 Est-ce qu'on pourra vraiment circuler dans Paris ?
09:24 Je crois qu'on y voit un peu plus clair ce soir.
09:26 On a vu la réfecture de police, auquel vous avez assisté, Baptiste Durieux.
09:30 On nous avait fait peur avec des périmètres de sécurité très larges, des laissés-passer,
09:34 des interdictions dans tous les sens.
09:36 Les professionnels notamment avaient pris peur.
09:38 Et finalement, ça devrait être à peu près vivable.
09:40 Oui, cela concerne les fameuses zones rouges,
09:42 celles juste en périphérie des sites des épreuves olympiques,
09:44 zone où la circulation en voiture est interdite,
09:46 mais où les dérogations se sont désormais multipliées
09:50 avec plus de souplesse et moins de contraintes.
09:52 Pourrons-nous circuler en deux roues ou en voiture ?
09:54 C'est une liste non exhaustive, mais l'intégralité des habitants du quartier
09:57 avec en prime des places de stationnement dans les rues.
09:59 Toutes les catégories qui appartiennent au personnel soignant ou relative aux soins
10:03 sont aussi couvertes.
10:05 Les livraisons pour les commerces, pour les restaurants et les entreprises
10:08 seront possibles en respectant des plages horaires,
10:10 mais qui ne seront pas étriquées.
10:12 Les professionnels qui ont besoin aussi de leur voiture pour aller travailler,
10:14 par exemple, dans la zone en question, pourront circuler.
10:17 Pour les interventions urgentes à domicile,
10:19 le plombier ou le dépanneur pour l'ascenseur, là encore, aucun problème.
10:22 Et puis enfin, un déménagement de dernière minute, par exemple,
10:25 pendant les JO dans une zone rouge, est également possible.
10:28 Laurent Nunez, le préfet de police de Paris.
10:30 Je considère que ces conditions sont très larges.
10:32 En réalité, on répond à beaucoup de besoins qui ont été exprimés
10:36 par des professionnels, par des riverains,
10:38 et je considère que c'est de nature à rassurer.
10:41 Pour les transports publics, tout n'est pas encore définitif.
10:44 Dans les zones rouges, par exemple, il n'y aura pas de bus,
10:46 sauf peut-être si une déviation est impossible.
10:49 Mais la préfecture de police l'a annoncé, on est tout proche du dispositif définitif.
10:53 Et le quotidien des Parisiens va commencer un petit peu à changer.
10:56 Dès aujourd'hui, les premiers montages, notamment Place de la Concorde,
10:59 ont démarré ce matin.
11:01 Merci beaucoup, Baptiste Durieux, on l'a compris,
11:03 il y aura donc des dérogations des laissés-passer pour les riverains.
11:06 Et les professionnels, il y en a qui doivent souffler, respirer un peu mieux.
11:09 Ce soir, dans quelques secondes, la suite avec d'autres moments de parenté dans RTL Soir.
11:14 La réaction de Jean-Luc Rechman, victime d'une tentative de cambriolage cette semaine.
11:18 Ensuite, évidemment, notre imitateur maison, il est là, Marc-Antoine Lebré.
11:22 Et puis, notre invité événement, on vous le disait, Arnaud Gaillot,
11:25 le président des Jeunes agriculteurs, puisqu'on est ici au Salon de l'Agriculture.
11:29 A tout de suite.
11:30 Isabelle, on a des nouvelles de Jean-Luc Rechman ce soir ?
11:40 Oui, l'animateur a été victime d'une tentative de vol chez lui à Neuilly,
11:43 dans la nuit de mercredi à jeudi.
11:45 Plusieurs individus cagoulés ont tenté d'escalader la grille de sa maison pendant qu'il dormait.
11:50 C'est son fils qui a réussi à les faire fuir.
11:52 Aujourd'hui, Isabelle Morghini-Vosk a rencontré Jean-Luc Rechman.
11:55 Ça a secoué énormément psychologiquement pour ma femme, pour les enfants, pour moi-même,
11:59 parce que c'est très épuisant psychologiquement.
12:01 Mais en revanche, tout a été très, très rondement mené, grâce à toutes ces caméras de surveillance
12:05 et puis à tout ce qu'on a à la maison pour anticiper.
12:09 Cinq personnes sont sous les verrous.
12:11 Donc voilà, félicitations à toutes ces forces de police qui font un boulot de dingue.
12:16 Je dois vous avouer qu'ils sont encore en garde à vue et que je ne peux pas parler.
12:20 Voilà, mais sachez qu'ils sont majeurs.
12:22 Ils ont dans la vingtaine.
12:23 Et ça a duré combien de temps au total ?
12:25 Ça a échoué très rapidement.
12:26 Qui plus est, dans les rues de la ville, toutes les caméras étaient là.
12:29 Et un voisin avait eu la bien séance d'appeler le 17 parce qu'ils avaient vu une voiture suspecte.
12:34 Vous étiez prêt au combat ?
12:35 Ah, moi, vous savez, le problème c'est que je ne sais pas comment je peux réagir dans ce cas-là.
12:38 On était six dans la maison. Vu que les enfants sont au-dessus et nous en dessous,
12:42 à un moment donné, il se serait passé un conflit.
12:44 Il y a le chien en bas au rez-de-chaussée,
12:45 donc obligatoirement, il y aurait eu des choses pas sympathiques.
12:48 On a évité tout cela.
12:49 Jean-Luc Rechman, avec Isabelle Morinibos, qui n'est pas le contraire, évidemment.
12:55 On compte sur vous.
12:57 Message des Restos du Coeur, qui ont lancé aujourd'hui leur grande campagne de collecte dans les supermarchés.
13:03 N'hésitez pas à ajouter quelques produits pour eux dans votre caddie.
13:07 Cette année, pour la première fois, les restos ont dû refuser du monde.
13:10 110 000 personnes n'ont pas eu accès à l'aide alimentaire.
13:14 Et puis le foot, un grand classique de la Ligue 1 en ouverture de la 24e journée.
13:18 Monaco-PSG, c'est à 21h, RTL Foot, dès 20h sur notre antenne.
13:21 Et avec une bonne météo, on sera complets.
13:23 Ce sera encore bien agité demain, Valérie Quintin.
13:26 Oui, clairement, ce n'est pas encore le plus beau week-end de l'année.
13:29 Une nouvelle dégradation arrivera demain matin.
13:31 C'est une nouvelle assez copieuse dans le sud-ouest.
13:33 D'ici la fin de la journée, en Aquitaine ou encore en Méditerranée, les cumuls seront localement assez importants.
13:37 De même que les chutes de neige en montagne, ce qui reste là pour le coup une bonne nouvelle, aux alentours de 1300 m dans l'Est.
13:43 Donc avant que la dégradation n'arrive, la matinée sera plutôt bien ensoleillée.
13:46 Puis à l'arrière de ces pluies, un régime de giboulées se mettra en place dans l'après-midi sur le nord-ouest.
13:51 Côté mercure, ça ne bouge pas. 5 degrés au moins au réveil.
13:54 6 à Paris-Mulhouse, 8 à Bordeaux dans l'après-midi.
13:56 Côté 10 degrés à Rennes, 14 à Montélimar et Agin, 16 à Toulouse et 17 à Marseille.
14:01 Merci Valérie, à toute heure, il est 18h15.
14:04 Il est là Marc-Antoine Lebray, c'est donc l'heure du Bret.
14:07 KINNEWS !
14:09 Et donc RTL Bonsoir est en direct du salon.
14:12 Ah tiens, j'aperçois Emmanuel Macron, mais monsieur le Président, qu'est-ce que vous faites là ?
14:16 Mais pas du tout ! Je ne suis pas moi, je ne suis pas le Président.
14:20 Mes chers compatriotes, ça saute aux yeux car abis touille, perlimpinpin toutes et tous.
14:23 On vous a reconnu, monsieur le Président.
14:25 Mais puisque je vous dis que je ne suis pas moi, vous n'êtes pas très physionomiste.
14:28 Je suis une vache, regardez.
14:30 Ah oui, vous l'avez bien.
14:32 Donc arrêtez de m'embêter sinon je vous envoie mes gardes du corps.
14:34 Enfin, mes gardes du corps de vache, évidemment.
14:36 Bien, bien, bien, la perruque et les lunettes, vous êtes parfaits.
14:38 Merci beaucoup. 3 euros les lunettes, ça se voit, elle s'est cassée.
14:41 Et on va continuer.
14:43 Oui, bonjour.
14:45 Tiens, François Hollande, vous êtes là, vous préférez faire votre visite du salon de l'agriculture ?
14:50 Non, je suis venu pour le salon de l'auto.
14:52 Je suis un peu en avance, je plaisante, monsieur Farisou.
14:55 Je n'aurais manqué le salon de l'agriculture pour rien au monde.
14:58 C'est la vitrine de nos savoir-faire, la beauté de notre agriculture, la beauté de nos élevages,
15:03 mais aussi la beauté du sucre de nos miels, la beauté du sein doux de nos terrines de campagne,
15:09 l'érotisme du foie gras de nos rillettes, le bonbon gustatif de nos croûtes,
15:14 le 69 culinaire de nos endogènes.
15:16 C'est vrai qu'il y a de nombreuses personnalités politiques encore aujourd'hui.
15:20 Ah non, ça a déjà commencé le salon de l'agriculture ? J'ai raté quoi ?
15:24 Ah bonjour Amélie Oudéa Castera, vous venez de rater le concours de la meilleure race limousine.
15:28 Ah flûte ! Je voulais y participer, j'ai une super limousine rose comme Barbie.
15:35 Je suis sûre que j'aurais gagné. J'espère que le concours de Ferrari n'est pas déjà passé.
15:40 Là aussi j'ai mes chaussures.
15:41 C'est bon, merci. Monsieur Hollande, je crois qu'on a compris.
15:44 C'était… oui, c'était Oudéa Castera.
15:46 Oui, madame Oudéa Castera aussi.
15:47 C'est moi qui fais l'erreur.
15:48 Oui, mais ça arrive, moi je ne fais que lire, vous savez.
15:50 Ah, j'aperçois Gilbert Montagné. Bonjour Gilbert, est-ce que votre suite se passe bien ?
15:54 Oui, coucou Nagui et France Inter, bonsoir.
15:57 D'accord.
15:58 C'est super le salon du chocolat.
15:59 Non, non, non, Gilbert, vous êtes au salon de l'agriculture.
16:02 Ah, ça explique pas mal de choses, comme pourquoi la surprise bougeait dans les Kinder.
16:07 Non.
16:08 Le goût bizarre des petites truffes en chocolat que j'ai trouvées à côté des lapins.
16:11 Voilà, c'était ça.
16:12 Non, mais écoutez, en même temps, pour moi, tous les salons se ressemblent.
16:15 Le salon de l'agriculture, le salon du chocolat, mon salon, le salon de Provence.
16:19 On a toute la nuit pour s'aimer.
16:22 Bon, maintenant que je suis là, je vais visiter un peu.
16:24 En plus, ça tombe bien, vu que quand je roule en scooter, les voitures me rentrent souvent dedans.
16:28 Les gens ne regardent rien quand ils sont au volant quand même, c'est fou.
16:31 Bah du coup, pour me protéger, je pensais à m'acheter un tracteur.
16:34 Voilà.
16:35 Bonne soirée, l'équipe de Touche pas à mon poste.
16:36 Ah oui, bien sûr, c'est tanné.
16:37 Salut Gilbert.
16:38 Alors hier soir au salon de l'agriculture, Marion Maréchal a été aspergée de bière et…
16:42 Madame me choquait, cette attaque, cette attaque est une honte.
16:46 Si j'avais été là, ça ne se serait pas passé comme ça.
16:49 Bonjour Jean Lassalle.
16:50 Vous vous condamnez, cette attaque sur Marion Maréchal ?
16:52 Évidemment !
16:53 On ne gâche pas de la bière comme ça.
16:56 Ça ne se serait pas passé comme ça, si j'avais été là.
16:59 En voyant le précieux liquide s'envoler, j'aurais plongé dans les airs tel Hugo Loris qui arrête un coufran, mais de la bouche.
17:07 J'aurais sauté tel un félin sur sa proie ou un agriculteur sur son Macron.
17:12 Vous savez le plus grave avec ce jai… Oups, pardon, excusez-moi petit Rototo.
17:17 C'est du direct.
17:19 Le plus grave avec ce jai de bière, eh bien, ça n'est jamais à moi que ça arrive.
17:24 Allez, je dois vous laisser, je vais aller voir le stomp de mon ami Marcel qui vend des saucisses de mortaux et boit de la prune dès son arrivée.
17:31 Il doit m'expliquer comment il arrive à vendre deux fois plus de saucisses quand il voit double.
17:35 C'est faux.
17:37 Allez-y doucement quand même, parce que là, la fermeture, ça sera compliqué.
17:41 Merci M. Lassalle.
17:43 Regarde-le voir, les gens qui nous regardent. Ils ne nous entendent pas, mais ils nous voient. C'est le principal.
17:49 Merci et puis, retour dès lundi dans RTL. Bonsoir.
17:54 Merci M. Pallaud. Merci beaucoup.
17:56 Merci. Au Salon de l'agriculture, une courte pause et puis dans un instant, notre invité d'événement.
18:00 Le président des jeunes agriculteurs, Arnaud Gaillot, on a beaucoup de choses à lui dire, à lui demander à propos de cette colère paysanne qui se ranime, qui ne faiblit pas visiblement.
18:24 Donc avec un invité événement, au cœur de l'événement, puisque nous sommes donc au Salon de l'agriculture, dans le hall 2-2.
18:31 !