Midday_040324

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00:00 Il est 12h au studio 5 du centre de production de M'Baladeu. Je suis avec Alphonse Abongwa.
00:20 Bonjour Daniel. Un sommet sur l'intelligence artificielle s'ouvre au centre de conférence de Yaoundé aujourd'hui. Plus de 1200 délégués de 45 pays membres de l'Union africaine de la télévision vont avancer dans la technologie et en chercher à naviguer dans cet environnement technologique.
00:42 Les coûts de vie en Cameroun continuent de mettre les familles en difficulté, lorsque le gouvernement prend des mesures clés pour coucher les effets sur les familles.
00:51 Découvrez la pleine de familles camerooniennes et ce que le gouvernement fait dans ce journal.
00:57 Nous sommes à 4 jours de la 39ème journée des femmes internationales.
01:01 L'effet essence de l'événement est en cours dans le territoire national. Nous devons prendre la pause de la région de l'ouest du pays.
01:09 Nous allons directement au centre de conférence de Yaoundé avec vous Daniel.
01:13 Pas vraiment avant le palais des congrès de Yaoundé, je propose qu'on parle de cette autre actualité.
01:22 On va parler de former les appelés et les volontaires du service civique national de développement au patriotisme pour en faire des leviers d'action et d'accompagnement de la politique d'impôt-substitution.
01:37 Une mission que se donne cette année l'agence du service civique national de participation au développement.
01:44 La structure est réunie en ce moment même dans le cadre de la traditionnelle rencontre avec les personnels et services centraux et déconcentrés.
01:52 Les travaux de deux jours sont présidés par le directeur général Taosie. C'est ici à Yaoundé dans la capitale.
01:59 Nous y reviendrons dans nos prochaines éditions d'informations.
02:03 Dans l'actualité, le fil rouge cette semaine c'est également la 39e édition de la journée internationale des droits de la femme qui se prépare au Cameroun.
02:14 À quatre jours de l'événement, revoyons le déploiement des femmes employées à l'université de Bamenda dans la région du nord-ouest.
02:22 Les activités en rapport sont coordonnées par la vice-chancellor pour Sir Teresia Nkua Akenji.
02:29 Dans les détails, Laurent Chisugbe à Bamenda.
02:33 C'est le début d'une série de rencontres qui va s'étendre le long de la semaine à elle consacrée.
02:39 Les dames de l'université de Bamenda, comme à chaque édition du 8 mars, se réunissent et décident de leur calendrier d'activités.
02:46 On a commencé avec la cérémonie de vêtue, après la conférence, après c'est les sports, après c'est les éducations pour la santé.
02:58 Après ça, on va faire visiter ceux qui ont besoin de beaucoup de choses.
03:05 Au sujet des œuvres caritatives à entreprendre cette année, elles ont décidé de déposer leur valise à Divine Torch Orphanage,
03:13 un orphelinat situé dans la ville de Bamenda qui compte environ 45 orphelins.
03:18 Toutes les activités à Angkwa, les responsables au cours de cette première réunion préparatoire,
03:23 vont épouser le thème et surtout les orientations données par la vice-chancellor, François-Theresa Kowakendi.
03:29 La prochaine assise est prévue dans les tous prochains jours.
03:33 Vous avez entendu dans ce newscast que la conférence sur l'intelligence artificielle et le média s'ouvre aujourd'hui au centre de la conférence Yaoundé.
03:44 Un de nos rapporteurs sur le terrain, Yoti Kalé-Lisonge, a capturé les réactions de quelques deux participants à la conférence
03:52 sur exactement le lieu où l'intelligence artificielle se trouve aujourd'hui pour la société.
03:57 Prenez une attention.
04:01 Nous vivons avec l'intelligence artificielle.
04:04 Nous avons l'intelligence artificielle autour de nous tous les jours.
04:09 Et nous, en tant que journalistes, nous travaillons sous la direction de l'intelligence artificielle.
04:17 Donc je crois que l'intelligence artificielle a transformé notre travail quotidien.
04:23 Nous devons arrêter un peu pour penser à l'impact de l'intelligence artificielle sur notre travail quotidien.
04:30 Et vous savez, avec l'intelligence artificielle, vous pouvez écrire un bon papier,
04:35 mais vous pouvez aussi écrire ce que vous appelez des "faux nouvelles".
04:38 Vous pouvez écrire des choses qui seront très, très dangereuses pour notre société.
04:44 Donc nous le prenons sérieusement et ici nous avons le temps de penser à ce sujet, de le voir et de chercher les meilleures pratiques.
04:56 Les personnels du service central et développé de l'Agence nationale civique de participation en développement
05:04 sont en train de se réunir à la conférence annuelle de Yaoundé pour faire un plan de balance de l'année précédente
05:09 et de mieux identifier les grands défis à surmonter en ce moment sous le siège du directeur général de l'institution, Tao Sze.
05:19 La conférence de deux jours est en cours sous le thème "Training national civic service conscripts and volunteers in patriotism
05:27 and participation in development, levers for action to support import substitution policy in Cameroon".
05:34 Comme vous pouvez le voir dans les images, le point principal est de faire un review du projet sur le traînement des volontaires,
05:40 qui est un peu 907 garçons et 580 filles sur les comportements civiques bons vis-à-vis l'un de l'autre et vis-à-vis leur pays Cameroun.
05:51 Cette conférence annuelle arrive à un moment où le pays est en train de filmer un haut niveau sur les comportements civiques.
05:58 Nous allons en parler plus dans les prochaines nouvelles.
06:10 Nous allons aller dans la région de l'Ouest pour connaître exactement comment les femmes dans la ville de Babadjou,
06:18 à l'extérieur de la région de l'Ouest, se préparent à l'année internationale qui arrive ce week-end.
06:27 Voyons les détails avec la chancelière Nancy de CRTV West.
06:33 Près de trois mois après sa création, l'association Mangwa Key Sports & Culture empowre les femmes sur l'agriculture sustainable.
06:42 Elles ont aussi été écoutées sur la hygiène menstruelle et comment gérer leur maison de manière propre.
06:48 En organisant la conférence, la promoteuse de l'association Mangwa Key Sports & Culture, Beatrice Malakou,
06:54 dit qu'elle est là pour accompagner les femmes pour faire le plus de la fête des femmes.
07:00 Nous devons capaciter les femmes de cet environnement dans leur activité principale, l'agriculture.
07:10 C'est pourquoi nous avons trouvé une experte de Minadet pour nous accompagner,
07:15 afin d'améliorer le savoir des femmes qui font de l'agriculture dans cet environnement.
07:22 Le dior de Babadjou, Nwamani, a présidé l'événement.
07:27 C'était un moment très excellent.
07:31 J'aimerais prendre cette occasion de remercier Mme Malakou,
07:36 qui a décidé d'honorer Babadjou et je souhaiterais qu'elle continue avec ces initiatives.
07:45 Les femmes ont aussi été éduquées à comment continuer à avoir l'attention de leurs maris sur elles.
07:53 Vous regardez le 12h en direct sur SiarTV Premium.
07:57 Actualité dans la région de l'extrême nord, région qui est en mode reconstruction,
08:03 avec ce geste qui va certainement aider au processus.
08:07 Avec 10 millions de francs CFA collectés par les fils et filles de Kolofata,
08:13 l'une des localités les plus touchées par les attaques terroristes de Boko Haram,
08:18 l'élite de Kolofata était récemment réunie dans le cadre de la 12e Assemblée Générale
08:23 du Comité de développement de l'arrondissement.
08:26 Les résolutions avec Alain-Roger Gounadjou, SiarTV Extrême Nord.
08:31 L'un des effets néfastes des actes terroristes de Boko Haram,
08:35 dans la localité de Kolofata, reste le problème d'électrification,
08:39 mettant en mal l'éducation des jeunes.
08:41 Aujourd'hui, sans électricité, on ne peut rien faire du tout.
08:44 Voilà. L'école prend le coup.
08:47 Comment on va utiliser l'ordinateur ?
08:50 Aujourd'hui, sans utiliser l'ordinateur,
08:52 mais on n'est pas dans le monde, on est sur une autre planète.
08:56 Aujourd'hui, pour utiliser l'internet, il faut de l'énergie.
08:58 À cela s'ajoute le manque d'infrastructures scolaires et routières,
09:02 l'épineux problème d'établissement des actes de naissance
09:05 et la destruction des arbustes, entre autres.
09:08 Une situation qui préoccupe les filles et fils de l'arrondissement de Kolofata,
09:12 mobilisés à la 12e Assemblée Générale de leur comité de développement,
09:16 assortie d'une collette d'environ 10 millions de francs CFA.
09:19 Nous avons acheté un terrain pour pouvoir bâtir une mini-cité.
09:25 Actuellement, nous avons construit quatre chambres équipées,
09:29 pour reboiser la place de fête de Kolofata.
09:32 Nous avons également établi 208 actes de naissance
09:36 aux des œuvrées de PAP. Ils ont été sinistrés.
09:40 Ces assises étaient aussi le lieu d'évaluer les réalisations jusqu'ici mêlées,
09:45 qui pour le sous-préfet de Kolofata, Seydou Bouba,
09:48 viennent accompagner les efforts du gouvernement
09:50 et promet le soutien indéfectible des pouvoirs publics.
09:56 Depuis un moment, les habitants de Yaoundé et d'autres grandes villes du pays
10:00 ont passé un temps difficile de gérer les températures au ralenti.
10:04 La chaleur, ces derniers jours, a causé à de nombreuses personnes
10:07 de perdre du sommeil, alors que d'autres se sont enfui.
10:11 Même si beaucoup de personnes boivent beaucoup d'eau pour rester hydrée,
10:15 d'autres se sont enfui de l'utilisation des fountains pour un temps de famille confortable.
10:19 Ici, c'est Yoti Kalé Lissongé qui nous explique
10:22 comment les habitants de Yaoundé se réparent à la situation.
10:28 Un, deux, plusieurs personnes s'effondrent dans des sacs.
10:31 C'est comme un feu d'oven.
10:33 Au début, nous n'avions pas ce genre de chaleur.
10:36 Cette ville est une survie des défaites.
10:38 Nous savions que, de février à mars,
10:42 les endroits où il pleut sont souvent chauds.
10:45 Mais cette fois-ci, on dirait que l'intensité est trop élevée.
10:48 La température est de 31 degrés C à l'heure de ce rapport.
10:52 Le précard indique que la température est de 36 degrés.
10:55 Cela explique pourquoi certaines personnes pensent qu'elles boivent,
10:58 en utilisant des fountains, comme certains s'enfient.
11:01 J'ai beaucoup bu d'eau et je suis sous le fountain.
11:05 Si vous n'utilisez pas le fountain, vous ne pouvez pas dormir.
11:07 Je suis allée dormir sans vêtements.
11:11 Avec ce vent, il y a des jours où le ciel s'éclate.
11:15 Quand ça s'éclate, les endroits deviennent trop chauds.
11:18 Quand l'électricité est là,
11:20 on peut travailler avec nos fermes.
11:24 Certains d'entre nous avons notre électricité.
11:26 La nuit est bonne pour porter des vêtements et des short-nickers.
11:30 Et pour faire que les enfants se sentent toujours libres
11:33 et boivent assez d'eau.
11:34 D'autres confient avoir été aussi faibles que les jours à Camel.
11:37 Ils ajoutent qu'il ne faut pas trop s'efforcer pour faire du saut.
11:40 C'est comme être en combat et devoir se retirer quand on est en désavantage.
11:44 C'est ici qu'ils se recherchent un refuge.
11:47 De là où ils se trouvent, il ne prendra qu'un miracle
11:50 pour que la température ne passe pas,
11:52 comme ils l'ont hâte de l'été.
11:56 Vous avez entendu dans les récits que les femmes et les épouses
12:00 de Youndé, comme dans d'autres parties du pays,
12:02 sont de plus en plus résilientes et pratiquent des schémas de gestion financière
12:07 pour gérer l'escalade des prix des commodities basiques.
12:11 Notre rapporteur Ising Goncum a visité quelques marchés
12:14 et n'a pas seulement remarqué les prix qui s'éclairent,
12:18 mais a aussi vu comment les femmes se répandent à la situation.
12:22 Voici son rapport.
12:24 Les choses sont devenues difficiles pour la plupart des épouses
12:27 dans la ville de Youndé, en suivant les hautes prix des commodities basiques
12:31 pour survivre, différentes méthodes ont été utilisées.
12:35 J'ai une petite ferme autour de ma maison.
12:40 Dans cette petite ferme, je peux trouver du cassava,
12:44 je peux faire du coco-yam, je peux faire du corn.
12:48 Je vais d'un marché à l'autre,
12:51 en cherchant où les prix sont affordables.
12:54 C'est comme ça que j'achète.
12:55 Cette épouse, qui choisit de parler en off-caméra,
12:58 dit qu'elle achète en masse grâce aux dépenses de Njangi.
13:03 Elle n'est pas seule à choisir cette méthode.
13:06 Je sers 1 000 francs par jour dans une quartière Njangi.
13:11 Ce que j'obtiens de là-bas me permet d'acheter une bague de riz
13:15 et quelques kilogrammes de poisson pour ma famille.
13:18 Comme ça, je m'organise.
13:20 La cultivation des croûtes et l'achat des villages autour ne sont pas laissés.
13:25 J'achète des villages autour pour réduire le coût de vie.
13:30 Comme on dit souvent, quand les choses deviennent difficiles,
13:36 les difficultés continuent.
13:38 Et évidemment, ces épouses de maison dans la ville de Yaoundé
13:42 ont montré leur résilience, leur ingénuité et leur esprit africain difficile,
13:48 un exemple pour les autres à émuler.
13:52 Le coût de vie élevé dans les villes de l'étranger.
13:57 Le gouvernement a mis en place des efforts pour réduire le prix financier
14:01 des épouses à travers le programme de consommation de produits
14:04 de la autorité régulière de la consommation, MIRAP.
14:07 L'organisation des ventes promotionnelles
14:10 peut maintenant gérer directement les consommateurs
14:13 et bénéficier d'un discount.
14:15 Cynthia Saptala nous en parle plus.
14:18 Le coût de vie élevé et les hausses de prix sur les commodities de nourriture
14:23 ont empêché le gouvernement de multiplier ses efforts
14:26 pour réduire le prix financier des épouses.
14:29 L'autorité régulière de la consommation de produits de la consommation,
14:33 connue par son acronyme français, MIRAP,
14:36 est l'une des façons dont le gouvernement a operé depuis 2011.
14:41 Nous organisons une vente de produits de la consommation chaque mois,
14:45 trois jours par mois.
14:47 Nous avons maintenant trois marchés qui se déroulent dans Leondi.
14:54 L'avantage de notre marché, c'est que nous sommes plus chers
15:00 que le marché classique, 5 à 20 % de réduction.
15:07 Grâce à leurs marchés périodiques, les consommateurs peuvent acheter
15:11 un kilo de viande à 2 700 francs au lieu de 3 000 francs dans les marchés.
15:17 Nous avons des magasins, aussi dans cinq régions de Cameroun.
15:21 Les producteurs viennent avec leurs produits.
15:24 Nous avons ces magasins à Gawanderé, Karoua, Maroua, Eboluva et Berthoua.
15:30 Nous allons construire des magasins dans tous les marchés classiques,
15:37 de lundi à dimanche.
15:44 Une stratégie qui est diversifiée,
15:47 qui permet aux consommateurs de trader directement avec les producteurs
15:52 dans des points de vente organisés par le gouvernement,
15:55 comme ceux situés à la 20e rue de May,
15:57 le Mec-Roundabout et le Council de l'économie.
16:00 Des sources du ministère de la Santé disent que d'autres efforts
16:03 qui sont faits par le gouvernement inclut des inspections de terrain
16:06 pour s'assurer que les prix homologués des aliments de la viande sont respectés.
16:12 En culture, si vous avez manqué le rendez-vous ciné de ce week-end à Yaoundé dans la capitale,
16:20 le 12h vous offre la diffusion en rattrapage de Eva Metteux,
16:24 un des courts métrages du réalisateur Thierry N'Dama converti au film religieux
16:29 projeté ce vendredi au Palais des congrès de Yaoundé, flashback à Ariel Oto.
16:34 En fait, le synopsis des trois films rend un vibrant hommage à la femme.
16:56 Pour ce qui est d'Eva Metteux, c'est l'histoire de la jeune Alima Virginie
17:00 qui rencontre des difficultés dans son couple.
17:03 Désespérée, elle sollicite l'aide d'un homme de Dieu.
17:22 "Le thé" est un film pénitentiel et sacrificiel pour restaurer les enfants de Dieu
17:27 dont leur dignité perdue à cause du mal et du péché, de la faute et écart de comportement.
17:32 "Un bon film chrétien est d'abord un bon film.
17:35 Et c'est pas un film en renforcement d'honneur de leçon où on est à Grèce.
17:39 Non, les problèmes sont les mêmes.
17:41 C'est juste la manière dont on décide de les raconter qui font toujours la différence."
17:44 "Le problème que Pierre, l'acteur principal, avait dans ce film,
17:48 beaucoup nous l'avons affronté, ces problèmes, osé en parler.
17:53 Et maintenant cette connexion avec l'Église et nos traditions ancestrales,
18:00 c'est magnifique."
18:02 Le cinéma chrétien est un vecteur puissant d'évangélisation,
18:05 surtout avec les multiples influences et pressions nocives que subissent actuellement certaines télévisions,
18:10 les réseaux sociaux, la vie en famille, et la liste est loin d'être exhaustive.
18:14 "Et voilà qui nous projette en page magazine.
18:19 Je vous invite à un petit exercice de randonnée.
18:22 Si vous ne travaillez pas sur randonnée, sur les monts Mandara, dans la région de l'extrême nord,
18:27 vous y découvrirez les grottes de Mora et la magnifique vue qui se décline.
18:32 La proposition du détour Ousmane Assanda, Certifié Extrême Nord."
18:37 "Une merveille au cœur des monts Mandara, dans la région de l'extrême nord.
18:42 Un paysage rocaillé qui fascine et donne à voir des montagnes habilement superposées.
18:48 Ce sont les grottes de Mora dans le maillot Sava.
18:51 Ici, chaque montagne a son histoire et son mystère."
18:56 "La petite montagne, on l'appelle Oliya.
19:00 Et le caillot ici, on l'appelle Kortra.
19:05 À un moment, si tu peux sortir le sable, ça monte en haut.
19:10 Après, s'il n'y a pas d'eau, ça devient déjà plus bas."
19:16 "De l'extérieur, la température aussi entre 30 et 35 degrés.
19:21 Un climat qui contraste avec celui enregistré à l'intérieur de ces grottes.
19:25 Ici, ce sont des cavernes et des passages souterrains impressionnants."
19:30 "Il y a comme des chambres dedans.
19:32 Et quand les hommes viennent, surtout pendant le moment chaud,
19:35 les gens viennent se reposer parce qu'il y a vraiment la fraîcheur un peu dedans.
19:39 Donc surtout vraiment nos frères musulmans, pendant le mois de Ramadan,
19:43 à tout moment, ils sont là ici parce que c'est trop frais là-dedans."
19:47 "Assez multiples merveilles dotées par la dame nature,
19:50 la population greffe a un riche répertoire culturel
19:53 et la viabilisation de ce site touristique,
19:56 singulier sur les hauteurs de Mont Mandara, est au cœur des préoccupations."
20:01 "Nous comptons d'abord arranger la route qui mène à cet endroit
20:07 et puis disposer des ressources humaines pour pouvoir servir de guide à l'intérieur
20:14 parce qu'il y a des endroits où vous entrez, vous ne pouvez pas facilement ressortir."
20:18 "Les touristes et populations locales fascinées par ces montagnes superposées
20:23 et ce paysage pittoresque s'attellent au quotidien à aller sur les hauteurs de ces montagnes."
20:30 "Le directeur du hôpital Bamenda Regional, Denis Nsame,
20:35 a indiqué que certaines victimes du bombe de février 11,
20:40 qui recevaient l'attention médicale,
20:43 sont en état d'être en soins intensifs
20:46 et qui répondent à ces soins."
20:49 "Il a interviewé un équipe de quatre cénétistes nord-ouest
20:53 qui ont visité le hôpital hier samedi."
20:56 "Karim Tosam nous en parle de CRTV Nord-Ouest à Bamenda."
21:00 "La route est occupée comme un bichon sur une base quotidienne
21:07 avec les ingénieurs et les techniciens qui travaillent
21:10 pour assurer que le projet est délivré en temps récord."
21:15 "Nous avons visité le site et le progrès de la route est satisfaisant."
21:19 "Le projet est divisé en trois lots.
21:23 Kumbu Ndou 39 km, Ndou Nkambe 31 km et Nkambe Misaje 18 km
21:34 avec trois contracteurs en charge d'un lot chacun
21:40 avec des instructions de l'autorité constituée pour accélérer le travail."
21:45 "La SDU de Ndouga Mantu, George Magloa Basilike,
21:49 a été à la visite de la route sur la route de l'église
21:54 pour le projet de 88 km."
21:57 "Après avoir entendu l'explication technique des ingénieurs sur le sol,
22:02 visiblement satisfait,
22:04 le secrétaire-divisif de Ndouga Mantu a encouragé la paix,
22:09 le travail dur et la vigilance."
22:12 "C'était Radha Kordain, Dufuku Olivier,
22:16 qui a rapporté le projet de 88 km sur la route de l'église
22:20 qui a été avancé et qui a été visité par le secrétaire-divisif
22:27 de la route de Ndouga Mantu.
22:30 Nous allons au-delà des frontières."
22:34 "Exactement, nous allons à l'étranger, en Centrafrique,
22:38 pas très loin de nos frontières.
22:40 L'arrestation d'un des leaders de l'opposition
22:43 à l'aéroport de Bangui, la capitale,
22:46 Maître Crépin Boli Ngumba,
22:48 est détenue dans les locaux de l'office centrafricain
22:52 de repression du banditisme au Soudan.
22:55 Le refus de réitérer du gouvernement,
22:58 de laisser passer les convois humanitaires
23:01 est reçu par l'agence des Nations Unies FES-NGOTI
23:04 pour la revue des nouvelles hors de nos frontières."
23:08 L'eau a recommencé à couler dans les robinets de Kinshasa, en RDC,
23:13 depuis vendredi soir, informe RFI.
23:16 Mais pour les boucaviens, la quantité n'est pas suffisante.
23:19 Cette situation peine la population qui,
23:22 selon la Radio France Internationale,
23:24 essaie de trouver des solutions, notamment creuser des petits puits
23:27 dans des vallées marécageuses.
23:29 Malgré le risque encouru,
23:31 le directeur régional de la société de distribution d'eau potable
23:34 évoque les problèmes d'ordre technique et financier.
23:37 D'après des informations prises à RFI,
23:39 il dénonce les services étatiques
23:41 et plusieurs milliers d'abonnés du non-payement des factures.
23:44 Fermeture de frontières entre le Tchad et le Darfour.
23:47 Vendredi dernier, le haut-commissaire des Nations Unies au droit de l'homme,
23:51 Volker Türk, a hésité les deux généraux ennemis,
23:54 Emmeti et Al-Burhan, à laisser passer l'aide humanitaire.
23:57 Selon les Nations Unies,
23:59 25 millions de Soudanais nécessitent une assistance alimentaire.
24:02 D'après RFI, le gouvernement soudanais, basé à Port-Soudan,
24:05 déclare qu'il en va de la sécurité du pays.
24:08 Par contre, le gouvernement du général Al-Burhan
24:11 accuse les paramilitaires des forces de soutien rapide du général Emmeti
24:15 d'être ravitaillés en armes via cette frontière avec le Tchad.
24:20 La commission africaine de la télévision et le sommet UNESCO
24:25 sur l'intelligence artificielle et les médias
24:28 a ouvert aujourd'hui au Centre de conférence de la UNED.
24:31 Le sommet sert de plateforme pour les scientifiques
24:35 dans le domaine de l'intelligence artificielle
24:38 pour présenter et débattre des découvertes de recherche
24:41 et leur application dans les médias
24:44 qui se confrontent à la grande défaite
24:47 de la navigation des avancées technologiques quotidiennes.
24:50 Ewan E. Poller est à la place du Centre de conférence de la UNED.
24:53 Bonjour Ewan E. Qu'est-ce qui est à l'esprit dans le domaine des médias
24:56 avec ce sommet sur l'intelligence artificielle ?
25:00 Vous êtes bienvenue au Centre de conférence de la UNED
25:05 où l'Union africaine de la télévision et l'UNESCO
25:10 se trouvent aujourd'hui pour un sommet qui va prendre trois jours.
25:14 Ce sommet se concentre sur l'intelligence artificielle et les médias.
25:19 Nous avons ici le directeur général de l'AUB, Mr. Grégoire Ndiaka.
25:25 Bonjour.
25:26 Pourquoi le focus sur l'intelligence artificielle ?
25:30 Bonjour.
25:31 L'intelligence artificielle est le sujet le plus important actuellement
25:36 car dans toute notre vie quotidienne,
25:39 dans tous les aspects de la vie,
25:41 nous trouvons l'intelligence artificielle.
25:44 Et nous, journalistes, nous pensons que nous devons essayer de nous étudier,
25:50 de penser à ce que l'intelligence artificielle peut apporter dans notre vie quotidienne,
25:56 dans notre profession.
25:58 Et quand vous le regardez clairement, vous voyez que l'un des plus grands aspects
26:03 d'impact de l'intelligence artificielle,
26:09 c'est la médiation.
26:11 Car avec l'intelligence artificielle, vous pouvez transformer la vie des journalistes,
26:15 la façon dont ils travaillent, etc.
26:17 Nous pensons que l'intelligence artificielle,
26:20 qui vient d'Afrique,
26:22 apportera aussi beaucoup de modifications dans notre vie quotidienne
26:26 et qui peut apporter aussi beaucoup de mauvaises choses.