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Transcription
00:00 Je vais te dire un truc. Débat Abou Douba, Basse et les jeunes. Il est bien. Effectivement. Mais les débats sont différents. Tu prends Abou Douba, Mbomdou Lamin Diallo, Gouba Karkamara ou Khalifa Fassal. Mais les débats sont différents. Tu prends Idriss Assek, Boleko avec Mbomdou Lamin Diallo, Boleko avec le père Djibril Fall.
00:29 Anta Babacar. Mais
00:32 Mais
00:35 parce que
00:38 c'est bien. C'est très bien. Mais là, débat général
00:45 c'est ce qui nous manque. C'est l'idée avec sa vision, avec ce programme-là, contre ça, qu'il gagne. Parce que là, c'est ça que nous manquons. Sinon, il y a beaucoup de choses à faire.
01:00 Il y a beaucoup de choses à faire. Il y a beaucoup de gens qui font des choses importantes. Je vous le dis. Donc, comme tu l'as dit, ce que vous faites c'est bon. Mais nous, nous sommes là.
01:12 Alors,
01:28 c'est vrai que ce que tu sais, c'est que nous sommes gagnés au Sénégal.
01:35 sur le plan démocratique. Donc, quand même,
01:42 vraiment,
01:47 c'est un avocat.
01:51 de d'attaquer mais vraiment il est jeune c'est un avocat avec un avenir devant lui
02:01 c'est un avocat avec un avenir devant lui. Alors,
02:11 c'est-à-dire que
02:17 c'est un avocat qui a voté pour protéger sa liberté en tant que voteur, en tant que votant, électeur.
02:28 c'est pour ça que nous l'avons voté pour que tu l'aies voté. Mais la liberté, tu ne peux pas la garder. Si tu viens dans une région, tu vas être voté.
02:40 Donc, le deuxième problème, le premier, c'est un problème de démocrate, c'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est une liberté fondamentale,
02:49 c'est un problème juriste. Deuxième, c'est de vivre ensemble. C'est ce qu'on appelle la nation. Voilà.
02:57 Sinon, c'est grave. Ça veut dire que
03:05 Attention.
03:08 C'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales.
03:19 C'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales.
03:29 Donc, c'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales.
03:39 Donc, c'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales. C'est un problème de respect des libertés fondamentales.
03:49 Alors, euh,
03:55 euh,
03:58 euh,
04:01 euh,
04:04 euh,
04:08 euh,
04:12 euh,
04:16 euh,
04:20 euh,
04:25 euh,
04:28 euh,
04:32 euh,
04:36 euh,
04:40 euh,
04:44 euh,
04:48 euh,
04:53 euh,
04:56 euh,
05:00 euh,
05:04 donc,
05:08 internet. Donc,
05:13 internet, c'est très important pour la société aussi. Alors,
05:18 donc,
05:21 euh,
05:25 actuellement,
05:29 présidentielle,
05:33 information
05:37 c'est un parti majeur. Non mais
05:44 partie
05:48 présidentielle
05:51 la liberté de dire
05:56 parce que quand même c'est un parti majeur
06:03 en ce moment ça a gagné une position mais on a des gens qui viennent ici et qui viennent là-bas. Donc là, on a un période où l'électeur peut se mettre à côté, il peut prendre sa liberté, il peut faire ce qu'il veut. Donc bon, Karim et Partem, donc, ils ont la responsabilité de prendre ce qu'ils veulent.
06:25 Mais partie
06:28 oui,
06:32 parce que
06:36 disons
06:40 au début
06:44 décision
06:48 de façon très claire parce que
06:54 quand même,
06:57 un ministre qui gère un programme, un ministre qui gère un programme,
07:04 en réalité,
07:07 il peut
07:12 donc
07:15 plateau télévision ça pour moi donc
07:21 deformation
07:24 deuxièmement
07:28 Karim
07:31 mais Karim était sénégalais
07:37 qui dit
07:42 maintenant
07:45 donc on est obligé de l'accepter même les erreurs nos erreurs s'imposent à vous maintenant il faut que nous donnons du vote à un juge
07:54 c'est pas parce que tout simplement que tu es un magistrat sénégalais que surtout quand il s'agit de décision politique il faut que l'incompréhension
08:06 de la famille aient le
08:10 décision humaine non non. Il faut avoir des conséquences sur le plan national. Et il y a des conséquences aussi sur le plan national.
08:18 Il y a des affaires qui sont très difficiles.
08:22 Donc, il faut que
08:32 il faut que de mon point de vue, le conseil constitutionnel, il faut avoir des philosophies, il faut avoir des sociologues, il faut avoir des
08:40 mais on ne va pas prendre les juges. Pour moi, vraiment, la magistrature a montré quand même un certain nombre de limites.
08:49 Mais pour moi, il y a des limites. Mais malgré tout, quand même, bon,
08:59 parce que euh,
09:03 malgré tout,
09:09 il y a des limites. Au moins, ils ont franchi le seuil et puis ils sont devenus compétents sur des questions sensibles à des moments
09:18 historiques. Et c'est fait donc euh, on leur dit chapeau. Alors, sur une dernière question,
09:26 on a vu que vous avez fait sur la toile comme si que de nous euh, de nous désorienter, des propos candidats passifs. Euh, taille-joue,
09:36 au président, il y a un élément de réponse qui apporte elle, il y a expliqué que c'est un candidat par défaut. Les les faits, c'est que c'est
09:47 un candidat par défaut. Expliquez pourquoi. Qui est qui? Abutsi. Qui est-ce? Chertudian. Chertudian. Parce que le vrai, c'est ça le problème.
10:07 Ça c'est des faits. Ça c'est des faits. Ça veut pas dire que Bassirou est mauvais, attention. Bassirou
10:17 émanciper ou Bassirou a du charisme. Bassirou a du caractère, Bassirou c'est également subjugué les
10:27 les les les les les les les les les les les l'a dit donc le grand problème c'est à Bassirou maintenant de se montrer et il est en
10:39 train de le faire donc problème du problème d'État pour moi il y a de grands commis de l'État. Wow. Euh, président du diplôme
10:49 c'est-à-dire? Mais attends, tu connais Ronald Reagan? Mais c'était le cow-boy de série B.
11:00 Mais Trump, quel diplôme là? Ronald Reagan.
11:11 Obama sort de Harvard University. Donc,
11:17 problème du moins, quand il y a un mandat, c'est extrêmement important, il y a un président qui a un mandat, c'est important.
11:25 Il y a un président qui est d'accord. Il est d'accord avec nous. Il y a un président qui est d'accord avec nous.
11:33 Mais non, là, bord de l'état, on l'a vu. Wow. Parce que aussi, président, donc, il n'y a que pour dégouler sa majorité.
11:45 Donc, c'est une démocratie euh, comment dire, poste majoritaire. La tyrannie de la majorité présidentielle
12:05 Il faut qu'on ait des oppositions, tu sais, qui ont des statuts.
12:17 Il faut que l'opposition ait des statuts. Il faut qu'on ait des moyens.
12:25 Alors, cette alternance,
12:30 c'est reconnu, même moins la démocratie du non-l'enter, maintenant, quand tu décris des faits qui sont des faits réels, il faut que ce soit pas mon problème. Alors, profil de Basile Djemaé Faye,
12:52 il est né au Sénégal au niveau international. Il n'a pas de l'expérience.
13:02 Donc, il y a des défis, c'est très important, il y a des défis. Des défis du charisme, des défis de l'éloquence, des défis de l'éloquentie, tout cela, on ne peut pas le relever.
13:18 Il y a quelques jours, je l'ai vu, je lui ai dit, tiens, attention, voilà. Il était un tout petit peu sous les trucs de son mentor qui lui dit trucs à l'oreille, mais en réalité, il parait que ça
13:34 était un petit peu plus. Attention, c'est le numéro deux de Pasteur. Et puis même la question de la candidature, comment dire, ils l'ont réglée. Ils ont dit leur problème, c'est pas les personnes, leur problème, c'est le projet.
13:52 Alors, merci beaucoup. Il est 15h moins 20 minutes, plateau sans détour, disponibilité
14:06 internet. Merci beaucoup. Merci beaucoup.
14:26 Merci beaucoup.
14:36 Merci. J'ai pris votre temps.
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