• l’année dernière

Pour suivre toute l'actualité politique et parlementaire, abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/user/publicsenat?sub_confirmation=1

Notre site internet : http://www.publicsenat.fr

Abonnez-vous à notre newsletter : https://urlz.fr/iinC 

Suivez-nous sur les réseaux sociaux
Facebook : https://www.facebook.com/publicsenat
Twitter : https://twitter.com/publicsenat
Instagram : https://instagram.com/publicsenat
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/2996809/

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Le fait d'utiliser une niche pour discuter d'un traité fondamental et en plus pour le rejeter, c'était bien entendu une façon d'escamoter le débat.
00:12 Et comme ça n'a pas suffi, alors que le débat se déroulait parfaitement normalement, alors que comme d'autres orateurs viennent de le prouver,
00:23 personne ne faisait d'obstruction, alors que la liste sur le dérouleur prouve parfaitement que d'ici les 16h20, il reste encore une demi-heure,
00:32 nous aurions parfaitement pu arriver au bout de ce débat, on a continué d'escamoter.
00:38 Et maintenant, on escamote avec les articles 38 jusqu'à ce que notre collègue Retaillot prenne la parole. Ce débat se passait parfaitement normalement,
00:47 dans le calme et dans l'écoute des uns et des autres, même si les débats étaient bien entendu tout à fait contradictoires.
00:53 Cette intervention et cette demande d'article 38 a déclenché la situation où nous sommes aujourd'hui, où nous sommes à cet instant,
01:02 et a conflictualisé d'une manière, il l'était déjà normalement, il l'est devenue anormalement.
01:07 Alors, LR d'un côté, PC de l'autre, on en est à la troisième invocation de l'article 38, et la quatrième va arriver évidemment dans un instant.
01:17 Ce débat est complètement escamoté, comme c'était le but au départ. Nous allons imiter, bien entendu, la décision du président Marseille, qui a parfaitement raison.
01:31 Je voudrais vous dire simplement, comme le disait Maurice Clavel à l'époque, messieurs les censeurs, bonsoir.
01:40 La parole est à monsieur le rapporteur Alizar. Je vous en prie, mon cher collègue.
01:47 (Générique)

Recommandations