• il y a 8 mois
[#Exclusif] Interview de Mme Agnès Pendy victime d'un AVC et menacée d'expulsion

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01:54 Le Sous-Titreur a été mis en place par la communauté d'Amara.org
01:57 Je m'appelle Pandi Agnes, fille de feu Pandé Gabriel et de feu Mayombo Agnes.
02:09 J'habite ici à Petit Paris. Je suis née le 17 janvier 1955.
02:16 Depuis, j'ai grandi ici. J'ai fait mes études, je suis venue, j'ai travaillé, je suis ici.
02:23 Le Sous-Titreur a été mis en place par la communauté d'Amara.org
02:31 Il arrivait qu'à l'époque, les héritiers étaient soit les neveux ou les enfants.
02:39 C'est comme ça qu'on a nommé le petit frère de mon père héritier de la succession Pandi Gabriel.
02:47 Il a commencé à faire des démarches, mais comme à l'époque, le tribunal, il y avait toujours des hauts et des bas, on n'a pas pu trouver la solution.
03:03 Maintenant, c'est arrivé à mon tour, il est mort, j'ai pris le dossier en main.
03:09 J'ai essayé de faire, on est allé chez le... j'ai pris un avocat qui n'a pas vraiment fait son travail.
03:20 Au contraire, je suis même désolée de voir qu'aujourd'hui, il y a des papiers qu'il a signés, je n'étais pas.
03:30 Il ne m'a jamais averti qu'il y a eu des audiences. Il ne m'a jamais averti qu'on a pris telle décision jusqu'à aujourd'hui.
03:39 La fois dernière, j'ai envoyé quelqu'un, il demandait, il dit "oh non, votre mère a construit sur la fosse".
03:48 La fosse est dans notre terrain.
03:50 Est-ce qu'on peut avoir le nom de l'avocat en question ?
03:52 Oui papa, il s'appelle Yegue. Je vais donner tout à l'heure, je vais fouiller dans mon téléphone.
04:07 Je vais vous donner le nom.
04:09 Donc, j'ai donné, ça n'a pas vu le jour.
04:13 On est parti là-bas, je suis allée avec mon frère en ce moment qui est malade en France.
04:18 Plus c'est long que là, il ne les a pas appelés. Comme moi, je suis paralysée en ce moment.
04:23 Même quand j'allais déjà là-bas au tribunal, j'avais déjà l'attention.
04:29 Donc, jusque là, ils ont pris la décision que je dois payer 7 millions pour le dommager.
04:37 Or, la parcelle est au nom de mon père.
04:41 Il y a même le titre français qui date de 1960.
04:48 Je ne savais pas qu'un terrain avec le titre français, on donne encore à quelqu'un d'autre.
04:55 Donc, moi je l'appelle, moi qui suis une zébie.
05:01 On dit que quand le cousin du père ou le frère du père, c'est le père.
05:07 Moi, j'ai dit que c'est mon père. Je n'ai pas eu de problème avec lui.
05:12 Donc, il a pris, fait les papiers pour construire l'immeuble là.
05:18 Est-ce que vous avez le titre français ?
05:22 Le titre français, c'est seulement écrit au cadastre.
05:25 Si on fouille avec les documents, on se doit trouver.
05:30 Il a mis maintenant le titre français à son nom.
05:33 Il a dit qu'il devait nous construire ici.
05:36 Vous-même, vous voyez ici, il n'y a pas eu de maison.
05:39 Qui a mis le titre français à son nom ?
05:41 Monsieur Migolet.
05:43 Migolet qui ?
05:44 Jean-Stanislas.
05:45 Donc, celui qui me fait la guerre, c'est son fils, Blaise Migolet.
05:50 Il me fait la guerre, il dit qu'il faudrait que je parte.
05:53 Je lui cède la parcelle.
05:55 Maintenant, il dit que j'ai construit sur la fosse septique.
06:00 Je dois lui dommager 7 millions parce que la fosse septique est à son père.
06:10 Maintenant, le terrain où il me chasse, il m'amène dans les tribunaux,
06:14 il m'amène dans les commissariats, il m'amène partout.
06:18 Il amène même mes enfants.
06:21 Maintenant, il y a la parcelle, celle-là.
06:25 Il y a l'autre en haut que j'ai laissé mes petits frères là-bas.
06:28 Et les enfants de mes petits frères à mon père.
06:31 Je dis que j'ai construit ici.
06:33 Comme il n'y avait pas d'eau, il n'y avait pas d'eau, c'était encore bien sec.
06:37 Je dis que moi, la grande, je reste ici.
06:39 Vous, les petits, restez là-bas.
06:41 Donc, en ce moment, vraiment, quelqu'un qui a l'attention, on n'embête pas.
06:48 Il doit se reposer. Je sous médicaments tous les jours.
06:52 Mais il ne cesse de me perturber à cause du terrain.
06:57 Que vraiment l'administration, que vraiment le président, vous dites que bon,
07:04 on doit maintenant tout résoudre.
07:06 Quand on me vient en aide, j'ai besoin de ma parcelle.
07:09 J'ai des enfants, j'ai des enfants, j'ai des petits-enfants.
07:13 Ici, c'était ça, ça s'appelait Petit Pari Massango.
07:17 Pourquoi ? Parce que mon père a épousé une Massango qui s'appelle Mayombo Agnes.
07:24 Ses parents sont, si on recherche, vers le 12.
07:27 Les Massangos qui sont 12, il y a les parents de ma mère.
07:31 Ce sont eux qui habitaient ici.
07:33 Et comme mon père travaillait d'abord comme planton à la présidence,
07:37 après, on l'avait affecté à la Périe, car la Périe était encore la Périe.
07:42 On l'avait affecté là-bas, c'est comme ça que ses parents, ses beaux-parents,
07:46 lui ont donné ici.
07:48 Il a commencé à construire.
07:50 Moi, avant d'aller en France, mon premier enfant, le garçon, je suis partie,
07:54 j'étais en grossesse, il y avait une grande maison ici.
07:57 Quand ils ont cassé la maison, ils ont fait ce qu'ils ont fait jusqu'aujourd'hui.
08:03 Voilà. Dieu, par la grâce de Dieu, j'ai monté le Petit Massango où je suis là.
08:09 J'ai dit bon, si le 6 est fini, j'ai exécuté ce que le tribunal avait dit qu'on attend.
08:16 Je me suis dit que le tribunal, si le tribunal dit que lui garde son hôtel,
08:23 puisque la partie-là est vide, moi je monte ici.
08:27 Ce n'est pas un problème, c'est mon petit frère, mais il ne veut pas.
08:30 Quand on se retrouve toujours ensemble, il dit je ne suis pas son parent.
08:34 Je ne suis pas son parent.
08:35 Comme je ne suis pas son parent, moi j'accepte aussi que je ne sois pas sa parente.
08:40 Maintenant, il vient racler son immeuble et il me laisse le terrain.
08:46 C'est tout ce que je veux, c'est le terrain.
08:49 Le terrain au centre de libreville comme ça, à Petit Paris.
08:55 Je ne peux pas chômer. Je ne dis pas que je vais vendre, non.
08:59 Je peux faire un peu, un peu et puis les enfants vont rester.
09:06 Est-ce que vous avez une preuve, vous avez un papier que vous pouvez nous présenter pour illustrer vos propos ?
09:13 Les papiers sont là. La preuve.
09:18 Vous pouvez montrer à la caméra.
09:21 La preuve, les décisions qu'on a là.
09:24 La preuve.
09:28 L'autre là, je n'ai pas.
09:31 C'est souvent des papiers comme ça, avec la tête de l'hussier.
09:38 Avec la tête de l'hussier, c'est toujours le même hussier.
09:47 Les autres hussiers, les premiers hussiers, ils avaient pris d'abord ceux-là.
09:53 Donc on continue à faire.
09:55 Celui-là, il vient de le prendre.
09:58 C'est l'autre. Je ne sais pas comment il va toujours d'avocat en avocat, avocat, avocat.
10:06 Vraiment, je suis fatiguée. Je suis vieille.
10:09 D'ici là que Dieu m'appelle, je ne vais pas aller laisser les problèmes.
10:15 Vraiment, je veux la paix. On a besoin de la paix.
10:18 Si on est au Gabon tranquille, c'est parce qu'il y a la paix.
10:22 S'il y avait la guerre, la personne devait être dans les immeubles.
10:25 Il a les maisons. Son père a laissé d'autres maisons. Il a déjà pris.
10:30 Sa mère a laissé d'autres maisons. Il a déjà pris.
10:34 Mais il n'a qu'à rester dans ces maisons-là.
10:37 Quel est le fétiche qu'il y a ici ?
10:41 Moi, je suis née en 1955. Quand on regarde sa date de naissance, je ne sais pas quand elle est née,
10:47 on n'a pas le même âge.
10:49 À l'âge, j'étais déjà ici. Ici, on appelait Petit Paris Massango.
10:54 Petit Paris Massango, ici.
10:56 Sa côte de Massango, de ma mère qui a habité ici.
10:59 Là, là où il y a le container, là, c'était Eneshira, qui est mon, disons, mon parrain.
11:09 Comme j'étais baptisée à l'Église catholique.
11:12 Il y avait les Nzébi qui sont quelque part là. On est parents.
11:17 Ils sont venus ici à cause de mon père.
11:20 Quand ils sont venus, il y avait encore le terrain.
11:23 Ici, là, on allait le marcher ici, là, pour ne pas suiter d'autres personnes.
11:29 Beaucoup sont déjà partis.
11:31 Ce que je veux, c'est la paix. Il n'a qu'à soulever son immeuble, il part.
11:35 Il me laisse le terrain. Le terrain, c'est, disons, on a, disons, les parents qui avaient signé que machin,
11:45 ont cru qu'il allait finir. Il allait dire, bon, les parents restent ici, moi, je reste ici.
11:51 Or, c'est pas ça. Son fils, maintenant, veut prendre tout.
11:54 Comme c'est comme ça. Il n'a qu'à racler, il amène l'immeuble.
12:00 Vous voyez comment, dans quoi je vis.
12:03 Les matières fécales, c'est ici. Les bouteilles, c'est ici.
12:08 Tout, c'est ici. Quand on casse les chambres à l'hôtel, à l'immeuble, là-bas, tout en dévers, c'est ici.
12:16 Il y a les odeurs. Quand même, il pleut en ce moment, il y a les odeurs.
12:21 Je vais vivre comme moi, je suis malade. Je suis malade, je suis fatiguée.
12:26 Je suis fatiguée, je suis fatiguée, j'ai besoin de la paix.
12:30 Le Dieu qui me donne le souffle de vie, là, il me donne le souffle de vie pour vivre en paix et partir en paix.
12:39 On ne part pas avec le cœur plein.
12:42 C'est ce que vraiment, je disais, que les autorités me viennent en aide.
12:48 Pour ce problème-là, qu'on vienne trouver une solution.
12:51 Puisqu'il veut vendre, même s'il vient pour payer l'immeuble, il a besoin d'argent, il vend partout.
12:58 Comme ça, on paye l'immeuble. Moi, j'ai besoin de ma partie qui reste.
13:03 S'il ne veut pas, il soulève l'immeuble. L'immeuble, c'est à lui.
13:09 Mais la terre, la terre, c'est ma terre, que Dieu m'a donnée.
13:15 Donc, j'ai besoin de ça.
13:19 Puis, l'histoire qu'il me plainte par-ci, il veut prendre ici, il veut prendre ici.
13:25 Je suis fatiguée, fatiguée, je suis fatiguée, fatiguée, je suis fatiguée, fatiguée, je suis fatiguée.
13:32 J'ai besoin de la paix.
13:34 Quand l'histoire avait commencé, je devais passer à la barre.
13:39 Le jour-là, ma fille a vu Maître Yogi.
13:44 Elle lui a demandé ce qu'elle faisait.
13:47 Il dit non, il y a ma mère qui est appelée, qui va passer au tribunal.
13:51 Ils se sont arrangés. Ma fille lui a payé.
13:55 Quand ma fille lui a payé, elle n'avait pas demandé le reçu, parce que c'était vite fait.
14:05 Donc, quand on a demandé, depuis là, j'ai ajouté aussi l'argent.
14:10 Combien, maman ? Vous avez donné en total combien ?
14:14 Ma fille avait donné au moins 500 000.
14:18 J'avais ajouté 100 000. Mon petit frère avait ajouté 100 000.
14:23 Donc, depuis là, il est parti. Il manque encore l'argent, il manque encore l'argent.
14:29 Quand il est passé au tribunal, il ne nous disait pas ce qu'il y avait.
14:34 Pourtant, il a mon numéro, le numéro de mon petit frère, le numéro de mon oncle.
14:40 Il ne nous a pas appelés. Il est passé au tribunal.
14:43 En jugement, les décisions qu'on prenait là-bas, il ne nous rendait pas compte.
14:47 Quelles étaient ces décisions ?
14:49 Les décisions, il a dit, au départ, quand j'étais, ce que j'avais entendu, il avait dit que là où il y a l'eau,
14:58 il y avait un arbre. Il y avait un arbre là. L'arbre était mort.
15:02 Il est tombé. J'avais levé l'arbre et j'avais fait le machin.
15:09 J'ai dit, mais ce l'arbre qui était là, qu'est-ce que j'ai détruit ?
15:12 Maintenant, curieusement, derrière moi, c'est maintenant où c'est la fosse.
15:17 L'histoire de la fosse, j'apprends ça. Je suis déjà paralysée comme je suis.
15:22 C'est quand Lucie est venue, il dit non, c'est la fosse.
15:26 On est allé lui demander, mais qu'est-ce qui s'est passé ?
15:28 Il dit, oh, parce que ta mère a construit la fosse.
15:31 Mais il ne m'avait jamais parlé de la fosse au départ.
15:35 Quand on avait parlé de la fosse, il avait dit non, la fosse est sur la partie qui n'est pas construite.
15:43 Donc c'est son terrain. Il avait dit le jour là, moi j'étais, il avait dit que vous avez construit sur son terrain.
15:51 Donc, ou bien vous enlevez l'immeuble, vous le laissez avec son terrain.
15:55 Là, j'étais. Mais tout ce qui s'est passé après là, je n'étais plus.
16:01 Je suis surprise, comme ils disent que maintenant je dois payer 7 millions.
16:07 Mais en dehors de cela, si je ne paye pas, ils doivent venir tout barricader ici et me mettre dehors.
16:16 Or, je suis paralysée.
16:18 C'était quoi la décision du tribunal ?
16:20 La décision du tribunal, ils ont dit destruction de biens.
16:25 C'est là où ils m'ont dit de payer 7 millions. Là, on ne parle pas de terrain.
16:30 Le terrain qui doit rester. Je crois que lui, il a parlé de l'histoire de 7 millions, que si je ne paye pas,
16:37 je serai obligée de partir ou bien ils vont me faire partir pour qu'ils vendent tout le terrain.
16:43 Vous disiez tout à l'heure que vous avez été condamné.
16:46 Oui, ils ont dit que je suis condamné à deux ans d'emprisonnement avec sursis.
16:54 Mais non, toutes ces choses-là, je ne suis pas au courant.
17:01 Ce que je veux dire à la première dame, c'est une jeune fille, c'est ma fille.
17:11 Ce que je veux lui dire, c'est non seulement me venir en aide pour que je récupère les deux parcelles,
17:24 que l'on trouve pour déblayer ici, parce que ceux-là aussi ont vendu aux étrangers.
17:33 Et l'eau ne peut même plus passer.
17:37 Ici, avant l'eau passait, c'était plus bien.
17:41 Donc je veux lui dire qu'il me vienne en aide, que je trouve une solution par rapport à ce terrain-là.
17:52 Que je trouve vraiment que j'ai la paix.
17:55 Ce que je veux lui demander, je ne peux pas lui demander l'impossible.
17:58 En ce moment, ils ont trop de dossiers. Il y a trop de plaintes.
18:03 On dirait que nous tous là, on n'entendait que eux.
18:06 Mais c'est Dieu qui fait comme ça.
18:08 Il sait ce qu'il leur réserve.
18:11 Le Dieu qui est au ciel, qui a fait que ce pays-là devienne comme ça.
18:16 L'heure voudra ça un jour.
18:19 Vraiment, ce que je dis à la première dame, qu'elle me vienne en aide.
18:23 Parce que je suis malade. J'ai tout le côté gauche, je suis paralysée.
18:28 Pour aller aux toilettes, il faudrait qu'on m'amène. Pour me laver, il faudrait qu'on m'amène.
18:33 Avant, je faisais même tout. Au lit, je mettais les couches.
18:41 Mais Dieu fait grâce, je ne mets plus les couches.
18:44 Je ne peux même pas aller là ou bien sortir là-bas.
18:48 Si vous demandez aux voisins là-bas, ça fait combien d'années que je suis paralysée ?
18:55 Depuis 2021, que je suis paralysée.
18:59 Avant, j'avais la tension, mais je n'étais pas paralysée.
19:03 Mais depuis 2021, je suis paralysée.
19:06 Je n'arrive même pas à quitter ici, arriver à la porte.
19:11 Ce côté-là, parce que c'est la chambre.
19:14 Donc, on peut me soulever, je pars à la chambre.
19:18 Je reste là.
19:20 Maintenant, qu'ils écoutent mon cri d'alarme, j'ai besoin de solutions.
19:31 Ce que j'avais à dire, non seulement à la première dame, mais à son mari.
19:39 Je sais qu'il y a beaucoup de gens qui sont dans ce problème-là.
19:42 Qu'on puisse résoudre les problèmes de famille, de parcelle.
19:46 Quand ils sont bien aisés, ils s'accaparent et chassent les autres.
19:50 Mais mon Dieu, au départ, ce sont ces pauvres-là qui avaient la parcelle.
19:55 Quand vous venez avec votre argent, vous chassez les gens.
19:58 Ça ne se fait pas.
20:00 Dieu est là.
20:01 Maintenant, là, on fait comment ?
20:03 Si les gens se terminent par mourir, vous restez avec des malédictions de famille en famille pour rien.
20:11 Parfois, ça tape sur les pauvres innocents.
20:16 Or, ceux qui ont commencé à créer ça sont tranquilles.
20:21 Vraiment, c'est le message que j'avais vis-à-vis de la première dame.
20:25 Je vous remercie.
20:27 (Générique)

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