Le chef de l’État a salué la « cohérence » et les « résultats » de son ministre, réfutant tout différend avec le locataire de Bercy.
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00:00 Vous plaisantez, il n'y a pas de désaccord dans la République française, il n'y en a jamais eu.
00:03 Dans le contexte des finances publiques qu'on connaît pour le pays,
00:22 est-ce que vous avez un désaccord et un différend avec le ministère économique juste là derrière vous ?
00:26 Vous plaisantez, il n'y a pas de désaccord dans la République française, il n'y en a jamais eu.
00:29 Parce que ça ne marche pas comme ça et parce que ce n'est pas la manière dont on travaille depuis 7 ans
00:33 avec le ministre de l'économie et des finances.
00:35 On a une stratégie qui produit des résultats incapables.
00:38 Et je lui ai souhaité que le ministre puisse exprimer très clairement celui-ci comme il l'a fait hier
00:43 pour proposer justement de nouvelles stratégies.
00:45 Donc la ligne elle est simple, elle a été réaffirmée.
00:47 1. On garde le cap.
00:49 Plein emploi, réindustrialisation, réarmement de nos services publics.
00:53 2. On ferme tout de suite l'hypothèse de dire qu'on va régler ce choc conjoncturel par plus d'impôts.
00:59 Maladie française, ça enlèverait de la confiance.
01:01 On garde la confiance des ménages, des entreprises, de nos partenaires.
01:05 3. On est responsable de ce choc conjoncturel, on doit y répondre de manière appropriée et tout de suite.
01:12 Ça a été les premières économies sur le financement de l'Etat.
01:14 Et c'est la deuxième partie, après le même taux d'effort d'économie, pour tenir un déficit de 5,1 cette année.
01:20 Voilà notre ligne, elle est simple, elle est cohérente.
01:22 Et elle est celle que, à mes côtés, le ministre porte depuis 7 ans, avec beaucoup de constance et avec les résultats qu'on connaît.
01:29 [Musique]