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00:00 Les conflits en Ukraine et au Proche-Orient bousculent et dominent l'ordre du jour du sommet des dirigeants de l'Union européenne.
00:10 La suspension puis la tenue d'une conférence de l'extrême droite européenne soulève la polémique sur la réponse apportée par les autres formations politiques.
00:20 Les principaux candidats aux élections européennes ont débattu sur la question de l'environnement à Angers, une discussion qui a ravivé les divisions entre la gauche et la droite.
00:30 L'agenda international renverse le sommet européen. La guerre en Ukraine et le conflit entre Israël et l'Iran ont concentré les propos des 27 chefs d'État de gouvernement à leur arrivée mercredi à Bruxelles.
00:42 Les demandes de Kiev d'obtenir des moyens supplémentaires pour sa défense anti-aérienne, soulignant que certains États membres ont aidé l'État hébreu, ont provoqué quelques réactions d'humeur.
00:52 Ne nous faisons pas tromper Israël, l'Ouest-Médien, donc l'Ukraine a besoin de toutes les défenses aériennes que nous pouvons leur offrir et de toute la capacité de la fusée.
01:03 Mais je comprends totalement ce que dit Volodymyr Zelensky, mais je ne vais pas en commenter.
01:11 L'Allemagne tente de convaincre ses partenaires de suivre son soutien à travers l'envoi d'un système de défense anti-aérienne. Le chancelier demande aux 27 de faire davantage.
01:19 Pour le président lituanien, l'Union risque de manquer à ses devoirs à l'égard de l'Ukraine.
01:24 Je suis inquiet que nous perdions le focus sur l'Ukraine jour et nuit. Les villes ukrainiennes sont en train de se bombarder, causant la destruction de l'infrastructure, causant la mort humaine.
01:42 Et vous savez, c'est vraiment décevant de voir que nous prenons les décisions, mais nous ne les implémentons pas.
01:50 Les conséquences de l'attaque de Téhéran contre Israël planent sur le sommet. L'Union envisage d'étendre son régime de sanctions aux drones iraniens.
01:58 En revanche, la décision semble plus difficile pour les 27 sur une éventuelle inscription des gardiens de la révolution sur la liste européenne des organisations terroristes.
02:09 Nous condamnons clairement ces attaques. Ce qui s'est passé est inacceptable. Nous examinons également les sanctions.
02:17 Je suis d'accord avec le président de la République. La position est que les gardiens iraniens doivent être mis sur la liste de sanctions.
02:25 J'aimerais savoir la position des autres pays sur ce sujet.
02:31 Les dirigeants condamnent l'attaque iranienne contre l'Etat hébreu. Ils rappellent leur engagement pour la sécurité d'Israël et demandent aux deux parties de désamorcer l'escalade et de faire preuve de la plus grande retenue.
02:45 La tentative d'interdire une conférence de l'extrême droite européenne à Bruxelles a provoqué des critiques et des condamnations.
02:54 Le Conseil d'Etat belge a annulé l'arrêté de suspension de l'événement décidé par le bourgmestre, autrement dit le maire, de la commune de Saint-Just-en-Aude.
03:03 Emir Kir a ensuite fait l'objet de reproches de la part du Premier ministre belge, Alexandre de Croix.
03:08 Les participants à la conférence ont fait valoir leur droit à la liberté d'expression.
03:14 A son arrivée, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a assuré que l'Europe était au bord de la liberté et de l'oppression.
03:20 Il a comparé la situation actuelle à l'asservissement du régime communiste en Hongrie dans les années 80.
03:27 Nous avons rentré un endroit à Budapest. Il y a quelques heures avant la conférence, on a dit que malheureusement, il n'était plus disponible.
03:37 On a ensuite cherché un autre endroit et on a dit que si le propriétaire de cet endroit fournissait de la bière et de la nourriture, il serait sorti de l'entreprise.
03:50 Donc, les mêmes types de technologies de pression que vous avez vues ici étaient très communs dans la seconde partie des années 80 en Hongrie.
03:59 Le responsable de la commune bruxelloise a fait valoir une menace à l'ordre public pour suspendre la conférence.
04:06 Pour l'extrême droite, cet argumentaire s'est révélé servir son intérêt.
04:10 Cette action peut être considérée comme quelque chose qui peut aider l'extrême droite plutôt que la déstabiliser.
04:20 Parce que nous savons bien que l'extrême droite a un discours de victimisation.
04:27 Ils tentent toujours de dire que l'establissement veut les empêcher de dire ce qu'ils pensent.
04:35 Cette affaire soulève une nouvelle fois la question sur l'attitude adoptée face à l'extrême droite qui agite la menace de l'immigration des musulmans et de la communauté LGBT.
04:45 La réponse au parti populiste fracture d'ailleurs la Belgique.
04:50 Au bout du compte, cette conférence intitulée « conservatisme national » a pu se tenir comme prévu.
05:17 De plus, elle a finalement attiré plus encore l'attention des médias.
05:21 Dans un amphithéâtre comble de l'université d'Angers, les principaux candidats en compétition en vue des prochaines élections européennes ont débattu ce mardi sur la question de l'environnement.
05:34 Il s'agit du troisième débat de ce type et du premier à être entièrement consacré à la crise climatique.
05:39 La plupart des candidats ont affirmé que leur parti prenait ces questions très au sérieux.
05:44 Valérie Haillet, chef du parti Renaissance du président Emmanuel Macron, a défendu le pacte vert et même proposé un pacte bleu européen.
05:52 Il faut protéger les océans, interdire l'exploitation des grands faux marins, soutenir nos pêcheurs et lutter contre la pollution plastique dans les océans. C'est ce qu'on fera et ce qu'on portera.
06:05 L'eurodéputée écologiste Marie Toussaint a, elle, accusé le reste des candidats de bloquer toute avancée du pacte vert.
06:11 Ce que vous avez entendu dans ce débat, c'était que des gens qui disaient que la question environnementale leur importait beaucoup.
06:16 Et que quelque part, il fallait continuer à avancer dans la politique de protection de l'environnement.
06:21 Mais ne vous y trompez pas. Aujourd'hui, le pacte vert est menacé.
06:25 Menacé parce que la plupart des groupes qui m'entourent portent atteinte à toute avancée possible en vue de la transition écologique et en vue de la justice sociale.
06:35 Selon l'absent, Jordan Bardella, chef du parti d'extrême droite Rassemblement National, en tête des sondages.
06:41 Pour le remplacer, Jean-Philippe Tanguy, vice-président du parti, a fait le déplacement, même s'il n'est pas candidat aux élections européennes.
06:47 Simplement, on ne fait pas une campagne électorale juste en faisant des rencontres entre experts.
06:52 Moi, j'étais disponible. Jordan Bardella, il est sur le terrain. Il assiste à d'autres rencontres.
06:57 Il faut arrêter, si vous voulez, de confondre une campagne électorale.
07:00 Je sais que les autres têtes de liste ne vont pas à la rencontre des électeurs, mais nous, c'est notre cas.
07:06 Chaque candidat n'avait que deux minutes et demie pour donner son point de vue sur quatre sujets différents,
07:11 tels que la souveraineté énergétique et l'élimination progressive des voitures diesel, ce qui a limité la confrontation entre les politiciens.
07:18 Résultat, une discussion apaisée plutôt qu'un débat animé.
07:24 Les mouvements d'extrême droite et conservateurs se sont également opposés frontalement au pacte vert européen,
07:30 surfant sur la vague des protestations des agriculteurs qui a secoué l'Europe ces derniers mois.
07:34 Le chômage est le deuxième problème le plus préoccupant pour les Grecs après la hausse des prix.
07:50 Il a atteint un niveau record en 2013, plus de 27%, il a baissé depuis mais reste supérieur à 10%.
07:58 De nouveaux emplois ont été créés, mais les Grecs restent très peu rémunérés.
08:19 Stelios Daskas, père de deux jeunes enfants, travaille comme agent de sécurité depuis 20 ans.
08:26 J'ai reçu 8,5 millions d'euros après une grande lutte juridique,
08:32 dans laquelle je n'ai pas été juré, j'ai été juré en partie.
08:35 J'ai demandé trois ans de temps pour un mariage, des retraites, des retraites et un emploi.
08:41 Ou nous devons travailler en deuxième ligne,
08:45 ou nous devons couper les bords, mais comment couper, qu'est-ce qu'il faut faire ?
08:50 Il faut simplement se débrouiller par les enfants et les choses et par soi-même.
08:54 Cette manifestation organisée par la Confédération Générale des Travailleurs Grecs
08:59 demande le rétablissement des conventions collectives en Grèce.
09:02 Une des plus grosses prix du mémorandum en Grèce est la reposition du Conseil de travail.
09:08 Malgré la crise des emplois, les pays ont encore peu gagné en prix,
09:13 avec l'exception de la prix de l'emploi.
09:16 Les syndicats affirment que les conventions collectives permettent aux travailleurs et aux employés
09:21 de demander de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail.
09:25 Dans ces conditions, le taux de chômage pourrait rester à 10% pendant encore une décennie.
09:46 Des journalistes ont eu un accès rare à un sous-marin français à propulsion nucléaire.
09:52 L'un des trois sous-marins d'attaque de la classe Ruby, qui transporte un équipage de 70 personnes.
09:58 Grâce à son réacteur nucléaire, il peut patrouiller dans l'océan pendant des mois
10:02 sans être ravitaillé en carburant.
10:05 Le Ruby peut transporter des torpilles et des missiles anti-sous-marins et anti-navires.
10:10 Un de ses rôles, protéger la flotte de sous-marins nucléaires de plus grande taille,
10:15 dont la France possède quatre exemplaires.
10:18 Nous sommes des sous-marins nucléaires d'attaque, c'est-à-dire des sous-marins nucléaires d'attaque.
10:22 Cela signifie que nous avons une propulsion nucléaire, comme je l'ai mentionné avant.
10:26 Nous avons tous les avantages de la propulsion nucléaire, mais nous avons la mission conventionnelle des sous-marins,
10:34 c'est-à-dire la défense contre la défense contre la défense contre la surface, la réunion intelligente,
10:40 la collaboration avec les forces spéciales, mais nous n'avons pas de nucléaire sur ce type de sous-marins.
10:52 Ce sous-marin escortera le porte-avions Charles de Gaulle dans le cadre d'une opération en Méditerranée avec l'OTAN.
11:00 L'opération de l'OTAN à laquelle participe le groupe aéronaval auquel nous serons intégrés,
11:08 il y en a deux, c'est Neptune Strike et Noble Shield, qui sont des missions de permanence de l'OTAN en Méditerranée
11:16 et de réassurance de l'OTAN auxquelles nous prendrons part en tant que membres de l'escorte du groupe aéronaval.
11:25 Mais les jours de la classe rubis sont comptés, trois d'entre eux ont déjà été retirés du service, soit la moitié de la flotte.
11:32 La marine française la remplace par de nouveaux sous-marins à propulsion nucléaire plus modernes et plus lourdement armés,
11:39 dont l'un est déjà en service, quatre autres rejoindront la flotte d'ici à 2030.
11:44 2030.
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