L'entraîneur du Paris-SG, Luis Enrique, faisait face à la presse avant la réception de Lyon, ce dimanche (21 heures), lors de la 30e journée de Ligue 1.
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00:00 Non, je n'ai pas d'urgence.
00:04 L'objectif est toujours le même, gagner la Ligue avant ou après.
00:10 L'important est de compéter chaque match et de représenter notre club de la meilleure manière.
00:16 Peu importe quand nous gagnerons la Ligue, nous devons toujours être un équipe compétitive.
00:20 Parce que les compétitions dans lesquelles nous sommes immers,
00:24 la Coupe, la finale de la Coupe et les semi-finales de la Champions,
00:28 nous permettent de continuer à compéter chaque match.
00:30 Peu importe si nous gagnons la Ligue dans 3 semaines, 4 ou 2.
00:35 Pardon, 4 matchs, 3 ou 2.
00:37 Je pense que l'une des fonctions que j'ai comme entraîneur
00:45 est d'essayer de mieux faire, d'abord l'équipe, clairement le collectif,
00:49 et ensuite d'essayer de gérer individuellement chaque joueur
00:53 et que la meilleure version soit vues par les joueurs.
00:56 Mais le mérite n'est pas celui de l'entraîneur,
00:58 le mérite est toujours celui du joueur qui a cette capacité
01:01 d'accepter ce que son entraîneur lui dit
01:04 et d'essayer de mieux faire pour chercher son bénéfice individuel et celui de l'équipe.
01:09 Je pense que nous avons évolué au cours de la saison,
01:14 je pense que nous avons encore un marge d'amélioration
01:16 et c'est quelque chose que tout entraîneur aimerait,
01:20 voir que son équipe continue d'évoluer.
01:22 Maintenant, il va arriver le moment clé,
01:26 et nous voulons être le mieux préparés possible.
01:29 Pour pouvoir choisir tous les titres, je l'ai répété depuis le début,
01:35 il faut une grande équipe, 23 joueurs minimum,
01:39 ce que nous avons ici,
01:41 et au cours de toute la saison, les joueurs ont été importants.
01:46 Qui va être important dans ce mois et demi qui reste ?
01:50 Tous les joueurs doivent être préparés pour faire leur travail
01:53 et pour pouvoir aider l'équipe quand il leur faut.
01:56 Peut-être pour tirer un pénalty, qui sait ?
01:59 Je pense que l'équipe continue d'évoluer
02:03 et j'aime voir l'attitude de mes joueurs dans les entraînements.
02:07 Je pense que le Bralais a été une claire bette de la direction sportive et de ce staff.
02:16 C'est un joueur jeune, français,
02:21 avec un potentiel technique et physique de haut niveau,
02:26 mais donner le pas à un équipe comme Paris Saint-Germain
02:30 est toujours difficile.
02:31 C'est difficile pour tout joueur, peu importe l'âge,
02:33 et surtout pour les jeunes.
02:35 Je me souviens, durant cette saison,
02:39 après le match de Newcastle à la maison,
02:41 que nous avons empaté,
02:43 que Barcola a suffi de nombreuses critiques.
02:45 Rien de plus injuste et rien de plus loin de la réalité.
02:50 Maintenant, il ne faut pas le faire,
02:52 parce qu'il a joué plusieurs matchs à haut niveau.
02:56 Il travaille quotidiennement, et Barcola travaille très bien quotidiennement.
03:01 C'est lui qui va donner ses fruits.
03:03 Nous sommes heureux que les jeunes joueurs
03:05 que nous avons fichés
03:07 aient le rendement qu'ils ont.
03:09 C'était l'objectif.
03:14 Je ne sais pas si c'est une avantage ou une défaite.
03:16 Je ne crois pas que ce soit l'un ou l'autre.
03:18 Je ne crois pas que le match de demain
03:20 soit différent du match de la finale de la Coupe d'Europe.
03:24 Par la importance du match,
03:26 la transcendance et l'environnement.
03:28 Mais c'est un bon test
03:32 pour voir comment nous sommes
03:35 face à l'équipe la plus forte de la Ligue française
03:38 ces dernières 10 journées.
03:40 Le Lyon a le meilleur résultat.
03:42 Le fait qu'ils aient également été classés pour la finale
03:45 indique qu'ils travaillent très bien.
03:47 Ce sera un bon test,
03:49 mais je ne sais pas si nous pourrons avoir
03:51 une similitude avec la finale.
03:54 Je crois que les finales sont différents.
03:57 Je crois que sur cette table,
04:01 au jour de mon présentation,
04:03 nous avons clairement parlé
04:06 d'essayer de faire la lutte pour tous les trophées.
04:08 Nous sommes un mois et demi
04:11 avant la fin de toutes les compétitions
04:13 et nous continuons à les gagner.
04:15 C'était notre objectif.
04:17 Pour l'instant, nous y sommes.
04:19 Il faut voir avec quelle note l'équipe finit
04:21 jusqu'à la fin de la saison.
04:23 Mais c'est évident que nous sommes
04:25 très bien posés dans toutes les compétitions
04:27 et que nous avons les possibilités
04:29 de gagner tous les trophées.
04:31 Nous allons continuer.
04:33 Ce que vous avez vu ou vu de plus
04:37 est ce que je vois dans mon vestiaire
04:39 et dans les conversations que j'ai
04:41 avec mes joueurs.
04:43 Le reste, c'est le cirque.
04:45 L'équipe qui est la première
04:49 dans la phase de groupe.
04:51 Dans notre groupe.
04:53 Vous vous rappelez le groupe de la mort,
04:55 qui a presque tué
04:57 ceux qui restaient dehors ?
04:59 Heureusement, Dormou et nous
05:01 nous avons classifiés et nous allons
05:03 jouer une semi-finale très attractive,
05:05 très facile.
05:07 Je suis sûr que Dormou a la même
05:09 émotion que nous en Paris
05:11 de faire une finale.
05:13 Quand cela se produira,
05:15 et j'espère que ce sera,
05:17 je vous répondrai à la question.
05:19 Pas très peu, rien.
05:23 Zéro. Zéro.
05:25 Je suis plus de 10 ans,
05:29 12 ans de coach,
05:31 attaqué, envahi,
05:33 je me déplace,
05:35 je me déplace, j'adore.
05:37 Pas de problème.
05:39 Que vous suivez.
05:41 Lâchez-moi, puis nous nous déroulons.
05:43 Merci.