Jean-Marie Saive au Lotto Brussels Premier Padel
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00:00 Jean-Michel Selle, bonjour. Nous sommes ici au Lotto Brussels Premier Paddle. Une raquette,
00:08 ça vous parle évidemment. Oui, tous les sports de raquette me parlent.
00:13 C'est vrai qu'au départ c'est un peu plus facile. Bon alors il y a des complexités
00:16 avec les miroirs derrière, les vitres derrière, donc ça c'est plus challenging. Mais bon,
00:21 sport de raquette j'aime bien évidemment. Vous pratiquez souvent le paddle ?
00:24 Alors pour être tout à fait objectif, non, parce que c'est parfois compliqué d'organiser
00:29 parce qu'on est à quatre. Mais chaque fois j'ai eu la chance de jouer et je suis privilégié
00:32 dans des bonnes conditions, quand c'était des tournois organisés et avec du monde.
00:36 Donc là c'était très chouette. Ici vous venez d'arriver. Quelle est votre
00:39 impression sur ce tournoi unique ? Une manche mondiale à Bruxelles.
00:43 J'étais déjà venu l'année passée et l'ambiance était fantastique. Il y avait
00:46 énormément de monde. Donc c'était très très chouette. Je vais encore revenir cette
00:49 semaine-ci. Donc je suis certain que l'ambiance sera là. Et puis le niveau, j'avais vraiment
00:53 été impressionné à la fois par les hommes et par les femmes. Le niveau de jeu était
00:56 vraiment très très élevé. Tennis de table, paddle, c'est la même
01:00 chose ? Ou qu'est-ce qui vous avantage et qu'est-ce qui vous désavantage ?
01:03 Alors ce qui me désavantage, c'est qu'il y a beaucoup moins d'effets. C'est une
01:06 petite frustration quand je veux essayer d'en mettre, il n'y en a pas beaucoup.
01:09 Après ce qui m'avantage, c'est sport de raquette. Donc la sensation raquette-balle,
01:13 ça, la sensation est assez vite là. Après je dois trouver la distance pour ne pas taper
01:18 trop fort et aller directement dans la vitre. Et les difficultés évidemment avec les coins,
01:23 un peu comme au squash, là j'ai moins l'habitude.
01:25 Maintenant on va parler au président du COIB. On parle du paddle comme éventuellement
01:30 un sport olympique. Est-ce que si on vous demandait de soutenir ce projet-là, vous
01:35 trouveriez ça cohérent ? Alors il y a plein de demandes et le trajet
01:39 est parfois pas évident. C'est vrai que dans notre pays, c'est un sport qui est
01:42 en pleine évolution avec un engouement incroyable. Maintenant le trajet est difficile parce
01:47 qu'il y a plein de sports qui veulent rester dans le programme olympique. Il y en a plein
01:51 qui essayent d'y arriver, dont le paddle. Donc voilà, c'est à eux de faire toutes
01:58 les démarches qui se passent beaucoup avec l'organisateur des Jeux olympiques et au
02:03 comité olympique international. On voit que c'est quand même du haut niveau.
02:07 Maintenant, je veux dire, le circuit ici s'est vraiment redynamisé au niveau international.
02:13 C'est un peu le pas que le paddle doit encore faire. C'est une reconnaissance, pas seulement
02:17 espagnole ou argentine, mais au niveau mondial on veut dire.
02:21 C'est vrai que pour continuer à grandir, c'est le challenge que ce soit vraiment un
02:24 sport encore plus représenté sur tous les continents et dans d'autres continents de
02:30 manière encore plus forte que s'enlait du côté hispanique et très très fort évidemment
02:34 en Espagne. Vous avez une raquette en main avec votre
02:39 esprit compétitif, compétiteur. Avec votre esprit compétiteur, on est sûr qu'elle
02:44 est en devant de main la raquette. Je ne sais pas, mais en tout cas, je la prendrai
02:48 quand je jouerai la prochaine fois. Merci, bonne journée et amusez-vous ici
02:52 au premier paddle. Merci.
02:53 *bruit de pet*