• il y a 6 mois
Toute l'actualité de la Côte d'Ivoire chaque jour sur RTI Info avec les journaux, reportages et magazines d'information RTI1, RTI2, Radio Côte d'Ivoire.
Site web https://www.rti.info
Facebook / rtiinfo225
X (Twitter) / rti_info
Instagram / rtiinfo
LinkedIn / rtiinfo
Dailymotion https://www.dailymotion.com/rtiinfo
YouTube / @rtiinfo225
Whatsapp https://whatsapp.com/channel/0029Va4d...
Application (Android) https://rb.gy/o8yqp
Tik Tok / rtiinfo

Category

🗞
News
Transcription
00:00Bonsoir à tous, très heureux de vous retrouver sur RTU2, bienvenue dans le journal, voici
00:12les titres.
00:13Nous ferons ce soir un gros plan sur Marcel Conant, un homme, la cinquantaine révolue
00:18qui est aussi un passionné de la gastronomie, sa passion pour l'art culinaire remonte à
00:23son enfance.
00:24Les spécialités de Marcel Conant, le quai de Genoa l'ancienne et du rôti de viande
00:28de Brousse sont portraits en début de journal.
00:30Au Sénégal, le président Bassiroujo Maïda Karfeï a procédé hier soir à plusieurs
00:34nominations.
00:35Essentiellement, des membres de son directoire de campagne et des proches du premier ministre
00:39Ousmane Sonko ont été nommés à des postes clés.
00:42On les découvre avant la fin de ce journal.
00:44Voilà pour le sommaire, ouvrons cette édition par la rubrique de ce jeudi.
00:50Si l'envie de manger le quai de Genoa l'ancienne vous saisit, ou même du rôti de viande de
01:00Brousse, Marcel Conant ferait bien votre affaire.
01:02Ce restaurateur ivoirien, la cinquantaine révolue, tient un espace dans le village
01:07des Bimpe, à Anyama.
01:08Sa passion pour l'art culinaire remonte à l'enfance.
01:12Marcel Conant a très vite appris à se familiariser avec la gastronomie traditionnelle, des mets
01:18somptueux que nous, Sangaré et Giltoniens, avons pris plaisir à déguster.
01:22Les Bimpe, village situé dans la commune d'Anyama, habite un espace gastronomique.
01:28Marcel Conant en est le responsable.
01:31Ce matin, il revient du marché.
01:37Priva, est-ce qu'il y a des commandes?
01:39Oui, hier, il y avait une dame qui m'a appelé, elle a commandé un bout de brésil, 25 euros,
01:45puis le monsieur qui est quitté aux Etats-Unis, il a commandé.
01:50Marcel Conant a plusieurs commandes sous la main.
01:53Lui et ses équipes doivent s'activer pour satisfaire les demandes.
01:57Voilà, c'est très important de faire les commandes même des jours avant ou bien la
02:03veille, parce que ça nous permet aussi de nous organiser.
02:06Parce que la cuisine, il y a tellement de stress dedans, vous voyez, les équipements
02:12ne se gardent pas.
02:14Ça se prépare à petit feu.
02:16Là, on prend le temps de bien faire.
02:19Donc, quand le client vient sur place pour manger, il voit les commandes passer, les
02:24recettes des gens passer, il devient impatient.
02:27Moi, j'ai recommandé que les gens prennent le temps aussi de commander avant de venir.
02:33Son amour pour la cuisine remonte à son enfance.
02:36Nous, on a passé nos temps avec les parents au village.
02:39Moi, j'ai passé tout le temps avec mes parents dans la cuisine.
02:43Je les ai aidés à préparer.
02:46Titulaire d'un d'eux deux endroits, obtenu à l'Université Félice Foubagnou de Cocody,
02:51Marcel Conant est passionné par l'entrepreneuriat.
02:55Depuis l'école, je voulais entreprendre.
02:58Tout ce que je mets dedans, ça prospère.
03:01Mais, passer du temps à l'école, moi, ça me fatiguait.
03:05Je ne voulais pas.
03:07C'est les parents.
03:09Ça fait longtemps que l'entrepreneuriat m'a dit tout ce que je fais, je mets du sérieux dedans.
03:16Et puis, j'aime ce que je fais.
03:18Il se lance dans l'entrepreneuriat en bâtiment.
03:21Une activité de coupe durée.
03:23Marcel Conant est confronté à des difficultés.
03:26Son activité est à l'arrêt.
03:28En 2017, il se tourne vers la culinaire qui les aide à ce jour.
03:41Ce restaurateur opte pour la viande de blouse et la volaille pour concocter ses mets.
03:47Avec nous, les gens demandent surtout les petits petits animaux.
03:51Des écureuils, pédris, rats, rapamys, mangous, tout ça.
03:58Après, les gens demandent aussi agoutis, les russons, les gros gros animaux, les civets, biches, singes, tout ça.
04:10Et puis, facochers.
04:12Souvent, on a les porcs épiques.
04:14Et puis, varins.
04:15On fait aussi les poulets africains.
04:17Les spécialités de Conant, le cul de l'eau à l'ancienne et du rôti de viande de blouse.
04:22Moi, j'ai choisi de préparer dans les Canaries.
04:26Il faut être un initié aussi pour connaître.
04:29Parce que ce qui sort dedans, c'est plus que thérapeutique.
04:34Il y a le bienfait de l'agile.
04:37C'est fait à l'aide de l'agile.
04:41Avant, les parents buvaient l'eau des Canaries.
04:44L'eau fraîche.
04:45C'est pas l'eau glacée.
04:46Ils avaient la santé.
04:48Ils mangeaient dans les Canaries, dans les taliers.
04:50Ils avaient la santé.
04:52On ne prépare pas le kéjénou sur le gaz.
04:54Il y a différents types.
04:56Vous voyez le feu de bois, là.
04:58Ça cuit doucement.
05:00Et là, on fait le kéjénou à l'étouffée avec.
05:04On ne met pas l'eau dedans.
05:06Donc, jusqu'à la cuisson, vous allez voir la soupe du kéjénou.
05:10Quand tu mets, ça te donne encore envie de manger.
05:13Parce que là, ça ne brûle pas.
05:15Ça a pété le feu.
05:16Maintenant, le charbon.
05:18Quand on est un peu pressé, on prépare avec le charbon.
05:20Mais il faut faire très attention.
05:22Il faut être attentif.
05:24À côté, il faut s'assurer de ne pas que ça brûle.
05:27Le gaz, lui, c'est la sauce traditionnelle.
05:32Les filles la préparent là-bas.
05:34Le kéjénou, littéralement traduit,
05:38ça veut dire qu'il faut remuer de l'intérieur.
05:42Kéjénou, ça, c'est un mot typiquement baouré.
05:46Kéjénou, c'est quand tu prends le canari.
05:49Le canari, là.
05:51Comme ça, tu le remues.
05:56On ne tourne pas, comme ça.
05:58Il faut remuer dedans.
06:00Et ça, on appelle kéjénou.
06:02Oui, bonjour, c'est M. Kona ?
06:04Oui, ça, je suis M. Kona.
06:06J'ai un peu l'air de savoir ce qui est disponible pour embraser.
06:09On a agouti.
06:11On a hérisson.
06:13On a civet.
06:15D'accord. L'hérisson, il est à combien ?
06:17Il y en a un de 17 520 000.
06:20Dans sa stratégie de vente,
06:22Marcel Kona inclut les nouvelles technologies
06:25de l'information et de la communication.
06:27Une stratégie qui lui permet de mieux se faire connaître.
06:31J'ai choisi de vendre sur les réseaux sociaux
06:33parce qu'au moment où j'avais des difficultés,
06:36moi, j'ai passé plus de temps sur les réseaux sociaux.
06:39Et puis, j'ai vu que les réseaux sociaux pouvaient nous apporter beaucoup.
06:43Il ne faut pas consommer Internet parce qu'il faut consommer.
06:47La première fois que j'ai publié,
06:49j'ai vu que j'étais déjà dans la révélation.
06:52Les gens commençaient à m'appeler sans me connaître,
06:55me donner l'argent.
06:57Je m'en vais livrer. J'ai le livre, on me paye.
07:00Maintenant, quand le client m'appelle aussi,
07:02il peut me demander, on fait comment ?
07:05Et puis, la communication aussi, j'ai appris.
07:07Maintenant, tu peux commander la nourriture 100 000, 50 000.
07:11Moi, je n'ai pas peur de prendre la commande sans prendre l'argent.
07:14Grâce à son savoir-faire en matière de gastronomie ivoirienne,
07:17l'espace de Marcel Kona accueille des clients de divers horizons.
07:22Le foutu, que ce soit banane comme igname, moi, ça me va.
07:24Tant que c'est foutu.
07:26Donc vraiment, c'est une sauce que j'aime beaucoup.
07:28Surtout le foutu igname avec cette sauce-là.
07:30Le petit gouerrier amère, c'est lui qui donne le plus l'humour.
07:33M. Kona, je le connais depuis Hongrie.
07:36C'est là-bas qu'on partait.
07:38Et aujourd'hui, on a voulu manger chez lui.
07:41On l'appelle, il dit qu'il s'est déplacé.
07:44Il est à Ebimpe.
07:48On a effectué le déplacement parce que sa nourriture est bonne.
07:51Le paysage, le vent, c'est naturel, quoi.
07:54On ne va pas s'emmerder.
07:56Il n'y a pas assez de bruit.
08:00Je suis variette d'origine américaine.
08:03Voilà, je vis aux Etats-Unis.
08:05J'ai découvert sur Facebook, depuis les Etats-Unis.
08:07J'ai attiré mes frères pour qu'on vienne découvrir ensemble.
08:10Parce que dans la description, il faisait la cuisine authentique.
08:14Et quand j'ai vu les Canaris, ça m'a fasciné.
08:17Je voulais simplement découvrir et voir ce qu'il offre comme plat.
08:21Aujourd'hui, Marcel Kona s'est dit heureux d'être sollicité partout pour son talent culinaire.
08:27Mais surtout, d'employer des jeunes.
08:30Ces derniers n'étarissent pas d'ailleurs de loge à son égard.
08:34C'est avec lui qu'il a commencé.
08:37Depuis le 11 décembre 2023 jusqu'à aujourd'hui.
08:42Il ne veut pas gâter son ancien patron qui est bien.
08:45Il cause avec nous. À chaque fois, il nous donne des conseils.
08:48Ce n'est pas tous les hommes qui vont dire, bon, c'est moi.
08:51Pourquoi moi, je suis le garçon.
08:52Puis il va aller attraper ma chèque pour préparer ou bien m'amener pour faire la cuisine.
08:55Ce n'est pas normal. Mais en tant qu'avec lui, il ne se sent pas gêné dans ça.
09:00Il a l'aise. Il fait son travail comme il le faut.
09:02À chaque fois qu'il prépare, nous, on lui fait des scoops de soupe.
09:05Pour manger, lui, ça nourrit aussi.
09:06La gastronomie nourrit son homme.
09:08Et Marcel Kona s'en sort bien avec cette activité.
09:11Il faut être passionné dans tout ce qu'on fait.
09:13Si tu n'es pas passionné, ce n'est pas la peine.
09:15Parce que c'est difficile.
09:17Mais c'est quand c'est difficile aussi qu'on avance.
09:20La restauration, oui, ça nourrit son homme.
09:22Vous voyez déjà, les gens viennent manger.
09:24Tous les jours, on mange. On a faim.
09:27Malgré tout ce qui va nous arriver, même malades.
09:30On est malade, mais on a toujours besoin de manger.
09:32Et puis, le seul conseil aussi que je vais donner,
09:35quand il y a un métier, quand tu fais quelque chose, il faut bien faire.
09:39Que ce soit l'endroit où tu te trouves.
09:42Mais si tu es dans la brousse, ils vont venir manger.
09:45La recette peut varier de 100 000, 150 000, 200 000.
09:49Ça dépend du stock de viande que nous disposons.
09:54Si on a une grande quantité, on peut faire une recette de 500 000, 1 million.
09:57La cinquantaine révolue.
09:59Marcel Conan, c'est passionné de la gastronomie africaine.
10:02Il continue de faire son petit bonhomme de chemin
10:05pour subvenir aux besoins de sa famille.
10:08Mais surtout, pour régaler les papilles de ses clients.
10:14On arrive à présent à ce reportage consacré aux pailles.
10:17Elles sont très prisées à Abidjan et dans la ville historique de Grand Bassam.
10:20On en retrouve dans les restaurants, les domiciles et autres lieux de détente.
10:25Certains maquillages et des restaurants installent les pailles
10:28afin de créer des cadres de repos qui se rapprochent très pour très à ceux du village.
10:32Ce produit fini de l'artisanat local fait non seulement le bonheur des clients,
10:36mais également celui des artisans.
10:38Un sujet de Théodore Zouzou, commenté par Clément Beaucoup.
10:42Route de Mondoukou, après la ville balnéaire de Grand Bassam.
10:46Un restaurant à l'architecture traditionnelle captive notre attention.
10:51Son aspect particulier incite à y marquer un arrêt.
10:55Ces paillotes sont le fruit de l'artisanat local.
10:58La gérante donne les raisons de ce choix.
11:01C'est paillote parce que c'est beau.
11:03Et puis bon, il ne fait pas chaud en bas.
11:05Il y a de l'air.
11:07Donc c'est pour ça qu'on a choisi ça.
11:09Ça attire beaucoup les clients.
11:11Quand les clients passent, quand ils voient ça, ils viennent parce que c'est joli, c'est beau.
11:14Cette architecture ajoutée à l'emplacement du cadre attire passants et visiteurs.
11:20Ce qui corrobore les dires de la gérante.
11:23Ici, c'est comme au village.
11:25Donc si on vient chercher l'air frais, il faut qu'on en trouve des trucs du village artisanal.
11:30C'est par rapport à ça que nous sommes là.
11:33Et c'est bien reposant par rapport à les autres chaises en caoutchouc ou en l'autre.
11:40C'est un ami qui m'a montré le coin.
11:42En tout cas, j'ai aimé.
11:44Donc pour ça, je viens avec beaucoup d'amis pour venir manger aussi.
11:47Les chaises sont très confortables.
11:49Ça me rappelle la maraoui.
11:52Parce que je suis de Maraoui.
11:54Précisément, bois flécarango.
11:57Ces paillotes sont confectionnées dans le village de Moudeste, à l'entrée de la ville du Grand Bassam.
12:02Une originalité relevée par des matériaux locaux.
12:06C'est quand on prend ça pour faire son bois ici.
12:08C'est bambou raffia.
12:10C'est ça qu'il y a là.
12:11Où il s'est arrêté là ?
12:13C'est bambou de cygne.
12:15Après, bambou de cygne maintenant, ce qu'il y a en haut là, c'est paille.
12:18Paille là-bas, on trouve ça à Synie.
12:20Bambou là aussi, ça a quitté jusqu'à loin.
12:22Ça a quitté jusqu'à Asadji.
12:24On prend liana aussi.
12:25Liana, ça a quitté aussi à Niaman.
12:27Une technique artisanale importée.
12:29Elle fait la fierté de ceux qui fabriquent les paillotes.
12:33On est partout au Ghana.
12:34On a vu ça là-bas.
12:36On a pris ça et puis on est venu pour faire ça chez nous ici.
12:39Et puis, ça marche un peu.
12:418 places là, on vend ça à 175 000.
12:444 places là, on vend ça à 120 000.
12:47Au départ, c'était les salons.
12:49Les salons, bambou de cygne.
12:51Au fur et à mesure, on est rentrés dans les paillotes.
12:55On fait les paillotes maintenant.
12:57Les paillotes, ça soigne plus rapidement que les salons.
13:00Je conseille mes frères de venir faire ce travail.
13:03Parce que ça nourrit son âme.
13:05Avec la canicule due au réchauffement climatique,
13:08les paillotes apportent fraîcheur et ombrage
13:11en plus de l'embellissement des sites.
13:14Le 25 avril, Le Monde célèbre la journée mondiale du paludisme.
13:17Cette journée est instituée par l'OMS.
13:19Un thème central cette année.
13:21Ensemble, nous pouvons mettre fin au paludisme.
13:23La Côte d'Ivoire a pour objectif d'éradiquer la maladie d'ici à 2030.
13:27Par ailleurs, le taux de prévalence hospitalier du paludisme est en baisse dans notre pays.
13:32Elle est passée de 43% en 2012 à 33% en 2023.
13:36Reportage Perpétue.cakra, Maïssa Koguei.
13:41Ensemble, nous pouvons mettre fin au paludisme.
13:44Tel est le thème de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme cette année.
13:49Selon l'Organisation mondiale de la santé, OMS,
13:52au cours des 20 dernières années,
13:54d'importants progrès ont été réalisés dans la lutte contre le paludisme dans le monde.
14:00En Côte d'Ivoire, des efforts considérables ont été faits,
14:04mais la lutte est toujours de mise.
14:06On a eu 28 districts dans le Nord qui sont devenus éligibles.
14:10Il y a deux districts qui ont commencé l'activité l'année dernière.
14:16Donc il y a quatre passages.
14:18C'est-à-dire qu'on va donner le médicament aux enfants.
14:21Trois doses de médicament pendant trois jours et pendant quatre mois.
14:27Chaque mois, on vient faire une campagne de trois jours
14:30pour donner le médicament pendant trois jours aux enfants.
14:33Ça permet aux enfants de protéger le mois suivant et le mois qui vient.
14:38On commence avant que la pluie ne commence,
14:41et ça doit commencer jusqu'à la fin des saisons de pluie.
14:44Comme ça, on a moins d'enfants qui contactent le paludisme
14:47et ça nous permet d'éviter le drap de décès.
14:50Aujourd'hui, on a 15 000 agents de santé communautaires
14:53qui sont dans les villages, qui sont situés dans les centres de santé.
14:58Donc quand l'enfant a une fièvre, là, c'est juste à côté.
15:02Ils voient l'enfant, ils donnent le médicament pour ne pas que l'enfant
15:05développe la convulsion ou qu'il s'aggrave.
15:09Donc là, on a réglé ça.
15:12Et aussi, il y a des femmes qu'on appelle les groupements féminins
15:17qui sont dans les villages, qui sont à moins de 5 % des centres de santé,
15:22qui donnent la même information au moment,
15:26pour que leur maman aussi vienne à l'hôpital lorsque leurs enfants font la fièvre.
15:31Si vous demandez un conseil dans la population, vous sortez,
15:34en cas de paludisme, vous dites non, il faut donner le sous-médicament,
15:37il faut éviter tant que l'enfant ne va pas aller à l'hôpital.
15:40Ils vont vous donner toutes ces informations.
15:42Ça veut dire que l'information passe, mais il se late.
15:45La population ne peut pas passer à l'acte.
15:47Le paludisme peut être mortel si le traitement est retardé.
15:52Aussi, en cas de fièvre, même légère, de nausée, de maux des têtes,
15:57de courbatures ou de fatigue, un médecin doit être contacté en urgence.
16:02Et dans un tout autre chapitre, dans la nuit d'hier,
16:05l'équipe de production et les humoristes de l'émission
16:08à succès de la RTI Bonjour se sont envolés pour Paris
16:11en compagnie d'artistes chanteurs ivoiriens.
16:14Ils participeront à la quatrième édition de Bonjour Paris.
16:17Tous sont prêts pour apporter le sourire au public de Paris.
16:21C'est ce que nous montrent Pargaso Rokone Demadongui et Aruna Kone.
16:25Aéroport international Félix Folboigny, il est un peu plus de 18 heures.
16:29Humoristes et équipes de production de l'émission humoristique à succès
16:33de la radio-télévision ivoirienne RTI doivent s'envoler pour la France
16:37dans le cadre de la quatrième édition de Bonjour Paris.
16:40Ces humoristes, déshabitués de cette émission, se disent heureux.
16:43de participer à Bonjour Paris 2024.
16:46Oui, il est bien à tout le monde de venir parce que vous savez moi,
16:51ça fait la quatrième fois que la RTI m'a vu à Paris.
16:55Là, il y a déjà une foule.
16:57Venez, suivez-nous parce que RTI, c'est la meilleure chaîne.
17:01Il y a des choses qui ne s'expliquent pas à sa survie.
17:03Spectacle de ouf avec mes vieux pères Yodé et Syro.
17:06La joie des humoristes est partagée par l'équipe de production.
17:09C'est le cas d'Akabilé, ingénieur de son.
17:12Il entend donner le meilleur de lui pour satisfaire les attentes
17:15du public de Bonjour Paris.
17:17La RTI fait toujours le meilleur.
17:19Si Akabilé est présent, c'est que le son va monter.
17:22Donc, nous appelons tout le public de Paris de venir,
17:25de toute la France même, de venir et puis faire la fête
17:29parce qu'on peut dire que c'est la canne même qui continue,
17:32la victoire de la canne qui continue.
17:34À côté des techniciens, Idriss Ouluah, comptable à la RTI.
17:39Nous pensons que Bonjour 2024, ce sera du lourd
17:43dans la mesure où ça concilie avec la victoire des éléphants.
17:46Et donc, nous pensons que, en tout cas,
17:48la RTI sera au-dessus et à la hauteur
17:51pour produire du bon spectacle à la population ivoirienne
17:54et surtout à la diaspora, surtout à Paris.
17:56Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
17:59Bonjour Paris aura lieu le samedi 27 avril
18:02à partir de 20h à la Maison de la Mutualité,
18:0524 rue Saint-Victor, 75 5005, Paris.
18:09Et pour avoir accès à la Salle de la Mutualité,
18:12les passes sont à 305 et à 70 euros.
18:15A peine arrivé à Paris, c'est au son de fanfare
18:18que ces humoristes et artistes chanteurs
18:20ont été accueillis à l'aéroport.
18:22Moment de retrouvaille très apprécié
18:24des Ivoiriens vivant en France.
18:26Ils ont profité de l'occasion pour faire des photos
18:28avec ces stars de la musique et de l'humour.
18:31Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:34Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:37Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:40Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:43Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:46Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:49Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:52Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:55Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
18:58Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:01Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:04Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:07Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:10Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:13Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:16Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:19Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:22Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:25Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:28Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:31Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:34Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:37Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:40Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:43Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:46Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:49Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:52Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:55Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
19:58Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:01Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:04Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:07Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:10Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:13Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:16Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:19Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:22Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:25Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:28Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:31Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:34Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:37Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:40Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,
20:43Placé sous le parrainage du Premier ministre Robert Bugrimambé,

Recommandations