Depuis des mois, voir même des années, la rumeur selon laquelle Claire Chazal souhaite devenir Ministre de la Culture circulaient, mais l'ancienne présentatrice du 20h de TF1 n'avait jamais vraiment confirmé que c'était son souhait voir une demande de sa part. Hier soir, invitée dans "Quelle époque" sur France 2, elle a clairement reconnu qu'elle avait fait savoir qu'elle souhaitait le poste. Ainsi face à Léa Salamé qui l'interrogeait, Claire Chazal a déclaré, visiblement très déçue que le poste lui soit passé sous le nez à plusieurs reprises :
"Ce poste m'intéressait, c'est vrai. Je l'ai dit à des gens qui décidaient. Oui, j'aurai aimé être Ministre de la Culture. Ca me passionne, je sais que c'est très difficile. Je ne sais pas si j'aurai été capable mais en fait j'avais envie.
Ce n'est pas fini pour cette possibilité, mais ça correspondait à un jeune président qui pouvait aller chercher des gens de la société civile...."
"Ce poste m'intéressait, c'est vrai. Je l'ai dit à des gens qui décidaient. Oui, j'aurai aimé être Ministre de la Culture. Ca me passionne, je sais que c'est très difficile. Je ne sais pas si j'aurai été capable mais en fait j'avais envie.
Ce n'est pas fini pour cette possibilité, mais ça correspondait à un jeune président qui pouvait aller chercher des gens de la société civile...."
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00:00 -Johnny.
00:01 -Des très grands souvenirs d'émissions.
00:04 -C'est pour ça que je vous les ai choisis.
00:06 -C'est quelqu'un que j'aimais beaucoup.
00:09 Alors, il y a eu des lapsus... -C'était chez vous, Zosie ?
00:12 -Plein de choses, mais des moments tendres,
00:15 et je pense que c'était un artiste exceptionnel.
00:18 -Rachida Dati.
00:19 -Alors, là, elle, elle a une force,
00:22 une volonté et une détermination
00:26 qui me sidèrent, voilà.
00:28 -Vous avez été pressentie pour être ministre de la Culture ?
00:32 -Ah ! Info ou Botox ?
00:33 Rires
00:34 -Info ou Botox ? -Pas mal, pas mal.
00:37 -C'est très difficile. -Pas mal, pas mal.
00:39 -Elle est bonne. On la garde.
00:41 Applaudissements
00:43 -Je pense que mon nom a circulé vraiment.
00:47 Bon, voilà, je vais pas faire semblant.
00:50 -Vraiment. -Et moi, j'ai toujours dit
00:53 que ça m'intéressait beaucoup,
00:56 et que, vraiment, c'est ce que j'aurais aimé le faire.
01:00 -Vous l'avez dit, vous avez candidaté.
01:02 -Non, mais je l'ai dit dans des conversations
01:05 avec des gens qui étaient censés décider.
01:07 Après, je n'ai plus jamais candidaté,
01:09 mais simplement, ils savaient, je pense,
01:12 que j'étais prête à y aller, que ça me passionne,
01:15 je sais que c'est très difficile, je ne sais pas si j'aurais été capable,
01:19 j'ai pas le sens politique, mais j'avais envie.
01:22 -C'est ce que j'aime bien avec elle,
01:24 il y a plein qui candidatent par derrière,
01:26 mais elle le dit devant la télé.
01:28 -On peut aussi en avoir envie et pas candidater.
01:31 -C'est pas fini, mais je trouve que ça correspondait
01:34 aussi à un quinquennat d'un jeune président
01:39 qui pouvait éventuellement aller chercher des gens
01:42 de la société qui étaient différents.
01:44 Rires
01:46 -Ha, ha, ha !
01:48 -On va pas s'appliquer, c'est pas embarrassant,
01:51 parce que je n'irais pas...
01:53 -On va passer à Philippe Tesson.
01:55 -Oh, mon Philippe, voilà, c'est l'être le plus incroyable,
01:58 vraiment. Si un journaliste a eu la chance de travailler avec lui,
02:02 je peux vous dire que c'est une chance.
02:04 -Patrice Carmont, au quotidien. -Patrice, qui travaille avec toi,
02:08 et plein de gens. -Anne Sinclair.
02:10 -Qui était... Que je côtoyais tous les dimanches soirs,
02:13 et qui est devenue une amie,
02:15 et qui avait une émission extraordinaire,
02:19 enfin, je sais pas si on se souvient,
02:21 de la lumière sur ce plateau, des moments de dramatisation
02:25 de la politique, c'était... Oui, c'était des grands moments.
02:28 -Vous êtes amie, aujourd'hui ? -Oui, bien sûr.
02:31 -Laurent Serrari ?
02:32 -Un moment assez difficile, parce que quand elle est arrivée à TF1,
02:36 c'est que Patrick avait été remercié,
02:39 par la même personne, n'est-ce pas,
02:41 et que donc, c'était un peu brutal,
02:43 et que, finalement, de ce fait, les choses étaient pas si faciles.
02:49 -Anne-Claire Coudray.
02:51 -Bah, parfait, moi, je la vois continuer,
02:54 faire un travail parfait.
02:56 -Marc-Olivier Faugillel.
02:58 -Un grand professionnel, aussi, de la télévision,
03:01 un ami...
03:02 qui a eu le courage d'aller vers l'information,
03:08 alors qu'il commençait avec le divertissement.
03:11 -Il y a des rumeurs qui courent ?
03:12 -J'en sais rien. -Tu vois ?
03:14 -Sur le départ ? -Sur Marco.
03:16 "Oui, il irait, il kifferait." Non ?
03:19 J'en sais rien. J'imagine que, à partir du moment
03:21 où un propriétaire change, les rumeurs courent.
03:24 -Mais vous ne savez rien. -Non.
03:26 -Votre mère.
03:28 Votre mère.
03:29 -Ah oui.
03:30 Je ne me souviens pas du tout de cette photo.
03:33 Ma mère était ma mère.
03:34 Rires
03:36 Ma mère était ma mère.
03:37 Voilà.
03:38 C'est une professeure assez sévère.
03:41 -Trop ?
03:43 -Trop.
03:44 Pour moi, trop, oui.
03:46 -Votre père, Jean ?
03:47 -Beaucoup plus doux, beaucoup plus tendre.
03:50 -Votre fils, François ?
03:52 -Ah oui, ça va mieux comme ça.
03:54 Je préfère une photo de ma femme.
03:56 -Il a 28 ans.
03:57 Rires
03:58 -Il en avait 24.
03:59 Rires
04:01 Rires
04:02 -On ne va pas en parler, parce qu'il déteste que je parle.
04:06 -Et Claire Chazal ?
04:07 -Bah, c'est moi.
04:08 Rires
04:10 -Bon.
04:11 Quelle question vous lui poseriez ?
04:13 -Ah !
04:14 Euh...
04:16 Est-ce que...
04:17 Est-ce que t'as le sentiment d'avoir bien fait, quoi ?
04:21 Est-ce que...
04:22 Enfin, j'oserais pas plagier Robert Badinter,
04:26 mais quand la vie arrive à son terme,
04:29 pas à son terme, mais...
04:30 -Enfin, quand même !
04:32 -Quand on avance dans la vie...
04:34 -Il y avait une bonne ambiance.
04:36 Rires
04:37 Jusqu'à là, il y avait une bonne ambiance.
04:39 -J'ai fait ce que j'ai pu, quoi.
04:41 -J'ai fait ce que j'ai pu.
04:43 -Voilà, j'ai fait ce que j'ai pu. -Et Baden-Humbert.