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Los 400 golpes

3 de junio de 1959 en cines | 1h 40min | Drama
Fecha de re-estreno 5 de agosto de 2011
Dirigida por François Truffaut | Guion François Truffaut, Marcel Moussy
Reparto Jean-Pierre Léaud, Claire Maurier, Albert Rémy
Título original Les 400 coups

Un joven parisino, Antoine Doinel (Jean-Pierre Léaud, Camille redouble), se adentra en la vida de la pequeña delincuencia cuando sus padres le abandonan. Falta a la escuela, se escapa de casa, roba cosas, se cuela en el cine… El muchacho tan solo tiene doce años y se ha convertido en un verdadero delincuente. Todo esto lo hace como vía de escape por todas las discusiones de sus padres que ha tenido que soportar y le han causado un trauma desde pequeño. Vive en los suburbios de la gran ciudad en unos pisos sucios casi en ruinas, donde se encuentran galerías de mala muerte y fábricas abandonadas. A pesar de todo, el chico ve en la hermosa ciudad de París alguna esperanza para salir de esto.

Los 400 golpes es una película del admirado François Truffaut (Besos robados, Vivamente el domingo). El film obtuvo una nominación al Óscar a la categoría Mejor guión original, en el Festival de Cannes a Mejor director, en New York Film Festival a Mejor Film extranjero, y en Círculo de Críticos de Nueva York a Mejor película extranjera.

https://www.sensacine.com/peliculas/pelicula-62178/
Transcription
00:00 -Toute la presse en est moins.
00:02 Ce gosse vient de faire éclater une bombe.
00:04 "Les 400 coups", a dit Henri-Georges Clouseau,
00:13 est un film qui m'a positivement emballé.
00:15 Le film le plus sensible que j'ai vu depuis la guerre.
00:18 Quant à l'appréciation de Jean Cocteau,
00:20 elle ne fut pas moins élogieuse.
00:22 Je n'ai jamais été si bouleversé au cinéma.
00:27 ...
00:31 -Il manque de respiration. -Il a quitté.
00:34 -C'est il, il est mieux. -Merde, alors !
00:36 Je vais lui donner un nom. -Oh, j'en ai assez !
00:39 Oh, je mets assez, assez !
00:42 Si tu ne peux pas supporter, dis-le.
00:44 On va le mettre chez les Jésuites ou chez les enfants de troupe.
00:47 -Oui, plus sévère pour la société que main réquisitoire.
00:52 -Bonjour, madame.
00:53 -Petit malheureux, va.
00:55 -Georges Sadoul écrira dans les lettres françaises
00:58 "L'émotion vous saisit.
01:00 "Elle continue de vous serrer la gorge
01:02 "durant les heures qui suivent cette révélation.
01:04 "Un grand talent nous est né,
01:06 "que je salue avec admiration et une respectueuse amitié."
01:24 -Antoine m'a sûrement vu.
01:26 -Ton fils, elle, quel des deux ?
01:27 -Qu'est-ce que tu vas prendre ? -Elle n'osera jamais le dire.
01:31 -Une histoire prenante, sans révolte spectaculaire.
01:34 Ainsi qu'en témoigne Paul Guyot dans "France, ce soir",
01:37 le film a gagné, tout simplement parce qu'il est beau
01:41 comme tout ce qui va sans phrase jusqu'au bout de la vérité.
01:44 -Tes parents disent que tu mens.
01:47 -Je mens de temps en temps.
01:48 Des fois, je leur dirais des choses qui seraient la vérité,
01:52 mais je préfère dire des mensonges.
01:54 -Au sujet de ce film, tout a été si spontanément
02:02 et si généreusement exprimé jusqu'ici
02:05 qu'on ne saurait rien y ajouter.
02:07 Cette oeuvre apparaît comme la victoire d'une gajure
02:10 tenue par ce jeune et féroce critique de cinéma
02:12 qui a osé affronter le danger de la réciprocité
02:15 en devenant, à son tour, metteur en scène.
02:18 Ce film aura fait écrire à Jacqueline Michel
02:21 dans "Le Parisien libéré",
02:22 "Truffaut a fait mieux qu'un chef-d'oeuvre,
02:25 "une oeuvre rigoureuse, vibrante, belle et sincère,
02:29 "qui nous arrache le coeur doucement, tendrement,
02:33 "sans cri et sans grande illocence."
02:36 Les 400 coups ont pour principale vedette Jean-Pierre Léo,
02:46 qui nous révèle un talent étonnant
02:49 et un talent terrible de ce film.
02:51 Patrick Offey,
02:53 Claire Morier,
02:54 Albert Rémy
02:56 et Guy Decomble.
02:58 -La recherche de l'absolu vous a conduit droit au zéro.
03:02 Pour les autres moins familiers de Balzac,
03:04 il s'agit d'une ténébreuse affaire.
03:06 -De toute façon, après ce coup-là,
03:09 je peux plus vivre avec mes parents.
03:11 Il faut que je disparaisse.
03:13 (Tambour)
03:15 (Tambour)
03:17 (Tambour)
03:19 (Musique)
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