• il y a 6 mois
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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• À Votre Écoute

##A_VOTRE_ECOUTE-2024-05-02##
Transcription
00:00 www.science.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:05 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane
00:11 [Musique]
00:17 Bonjour à tous, alors je suis heureux de vous retrouver et de vous accompagner durant cette heure dans votre émission à votre écoute
00:25 et au-delà de vos problématiques, qu'elles soient d'ordre sentimental, familial ou professionnel,
00:30 avez-vous des projets sur lesquels vous avez besoin d'éclaircissement et notamment d'une réponse intuitive ?
00:38 Si tel est le cas, appelez-nous tout de suite au 0826 300 300, notre cher Aude Standard vous répond
00:46 mais aussi depuis notre adresse de contact de l'émission à votre écoute @sudradio.fr
00:52 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane
00:58 Alors, nous connaissons tous bien ce dicton "au mois de mai, fais ce qu'il te plaît"
01:03 mais vous n'avez peut-être pas besoin tout simplement d'attendre ce mois de mai pour faire ce qu'il vous plaît.
01:11 Évidemment que non, avoir des rêves et des projets c'est la vie et c'est peut-être le cas de ma première auditrice Marie.
01:20 Bonjour Marie !
01:21 Bonjour Alexandre !
01:23 Bienvenue sur Sud Radio !
01:25 Merci de m'accueillir, merci à vous !
01:27 Merci !
01:29 Marie, est-ce que vous avez eu tendance jusqu'à présent à faire un petit peu ce qui vous plaît
01:34 ou est-ce que vous avez été toujours retenue par des contraintes, par des frustrations dans votre vie ?
01:40 Oui, quelque part oui, parce que quand on a des enfants, on ne fait pas toujours ce que l'on veut.
01:48 On arrive à un âge où peut-être qu'à la retraite on peut laisser libre cours à ses envies, même si minimes qu'elles soient.
02:00 On a toujours des contraintes dans la vie, dans la vie avec les enfants, mais c'est vrai que là, on peut se libérer peut-être un peu plus
02:12 et faire ce que l'on n'avait pas pu faire auparavant.
02:16 Un petit peu de lâcher prise.
02:18 Voilà, lâcher prise.
02:20 Exactement.
02:22 Et faire ce que l'on ne pouvait pas faire.
02:24 Effectivement.
02:26 Alors après, évidemment que parfois on a des contraintes et ce ne sont pas forcément toujours des contraintes,
02:32 ce sont aussi des devoirs, des obligations, qu'elles soient d'ordre familial ou tout simplement de respect vis-à-vis des autres.
02:38 Et même si ça ne va pas forcément dans notre sens, nous devons accomplir ça pour être des bonnes personnes aussi.
02:46 Oui, tout à fait.
02:48 Prendre sur soi aussi.
02:50 Effectivement, prendre sur soi.
02:52 Comme vous dites, c'est important, surtout dans ce monde où il faut de plus en plus devoir faire attention à ce qu'on dit et à ce qu'on fait.
03:00 Oui, de plus en plus, malheureusement.
03:02 Alors Marie, vous êtes de Pau, vous avez 58 ans, vous avez travaillé jusqu'à présent ou vous travaillez toujours dans un commerce qui est dans l'alimentaire ?
03:16 Oui, tout à fait, oui, le commerce alimentaire, oui.
03:20 D'accord.
03:22 Je travaille toujours.
03:24 Et aujourd'hui, vous nous appelez pour un autre problème,
03:26 qui est lié à une histoire de catastrophe naturelle et des conséquences que ça peut avoir.
03:32 Racontez-nous un petit peu, Marie.
03:34 Alors voilà, nous avons subi il y a deux ans un gros orage de grêle dans le sud-ouest.
03:42 Nous avons eu toute la toiture endommagée.
03:46 Deux experts sont passés et nous ont dit qu'il fallait refaire intérieurement la toiture.
03:52 Donc nous avons essayé de chercher des artisans, des charpentiers et nous en avons trouvé un qui paraissait pas mal,
04:02 mais bon, on ne connaît jamais les personnes.
04:04 Et donc cette personne a commencé à installer ses échafaudages au mois d'octobre 2023.
04:12 Et bon, ce qui est assez long, ça nous paraissait assez long pour finir les travaux.
04:18 Donc en janvier, c'était toujours pas fini, janvier 2024, et nous étions absentés dix jours.
04:26 Et il nous avait dit qu'au retour, le 4 février, ce serait tout terminé.
04:30 Voilà, donc il manquait les finitions.
04:32 Et quand nous sommes rentrés, rien n'avait bougé.
04:36 Le matériel était toujours au même endroit et donc voilà, rien n'avait bougé.
04:43 Donc nous avons essayé de le contacter, pas de réponse, envoyé des mails, des sms, des coups de fil.
04:51 J'ai même envoyé une lettre recommandée avec un accès de réception, pas de réponse.
04:57 Donc depuis janvier, c'est le moment de...
05:01 - Silence total.
05:02 - Silence total.
05:04 Et donc, nous on est embêtés parce qu'on voudrait quand même que ça se termine.
05:09 J'ai quand même des infiltrations, là où il n'y a pas les tuiles dans la maison, des infiltrations d'eau.
05:18 Des gros orages.
05:20 Et bon, voilà, après, tout son matériel est à la maison.
05:24 On ne comprend pas quoi.
05:26 - Marie, à combien de, je dirais, au niveau des réparations et du chantier, à combien de pourcentage,
05:37 aujourd'hui, il a exécuté son chantier ?
05:39 - Alors, à peu près, 70%, on va dire.
05:45 - 70%. Donc il reste toute la partie, comme vous disiez, de finition.
05:49 - Les finitions, oui.
05:51 - D'accord.
05:52 - Vraiment, le haut de finition.
05:53 - Et au niveau du paiement, vous avez signé un devis, vous avez payé une partie, j'imagine ?
05:58 - Alors, oui, nous avons payé une partie, à peu près 30% de la somme.
06:03 Même 50%, pardon, 50% de la somme.
06:07 Et on lui a fait des avances, parce que c'est un monsieur qui nous demandait sans arrêt des avances,
06:13 parce qu'il était en difficulté.
06:15 Il y avait toujours un problème, donc nous, on ne voulait pas poser non plus de problème.
06:21 Donc on faisait les chèques et puis on faisait les avances.
06:26 - Marie, est-ce qu'aujourd'hui, vous avez fait venir un huissier pour faire un constat du chantier ?
06:32 - Oui.
06:33 - Ou pas ?
06:34 - Alors, justement, j'ai un huissier qui doit venir demain, parce qu'on ne savait plus quoi faire.
06:43 - C'est important de faire constater le chantier dans son état des lieux, actuel, déjà dans un premier temps,
06:51 pour vous protéger. Après, je ne suis pas l'avocat ou quoi que ce soit,
06:55 mais pour moi, c'est du bon sens et c'est de la logique.
06:58 - Alors, bien sûr que votre question est de savoir si vous allez arriver à aboutir à une solution
07:04 et si le chantier va pouvoir se terminer. J'imagine que c'est bien ça.
07:07 - C'est tout à fait ça.
07:09 - Alors, pour moi, cet homme n'agit pas de manière malhonnête.
07:13 Alors après, bien entendu, sa manière de travailler n'est pas du tout professionnelle.
07:18 Ça, on va le reconnaître et l'admettre, parce que la moindre des choses, c'est de vous prévenir, c'est devoir.
07:24 Mais je pense que c'est quelqu'un qui, malgré lui, il essaye de répondre à des chantiers, il n'y arrive pas.
07:32 Alors, il y a deux raisons. Peut-être qu'il y a une raison, c'est santé chez lui,
07:35 mais surtout, il y a une raison économique et je pense que c'est quelqu'un qui est en grosse difficulté,
07:40 sur laquelle il aurait fallu peut-être vous, vous méfier ou faire attention,
07:45 ou peut-être vous renseigner sur sa solvabilité ou en tous les cas, l'état de santé de son entreprise,
07:52 pour éviter ce genre de choses. Parce que malheureusement, souvent, être artisan aujourd'hui, ce n'est pas évident.
07:59 Beaucoup d'artisans se retrouvent dans la difficulté et être artisan, ce n'est pas forcément donner à tout le monde
08:05 de savoir gérer son entreprise. Et c'est dans son cas.
08:09 Et je ne crois pas que vis-à-vis de vous, il veut vraiment jouer le malhonnête,
08:14 il veut vraiment avoir une attitude d'escroc, et pardonnez-moi de parler ainsi,
08:20 mais en tous les cas, il en donne l'apparence, évidemment, par rapport à ce silence et à tout ça.
08:28 Alors, il y a deux raisons, il y a une raison santé qui semble apparaître,
08:32 peut-être que c'est problème le mine, peut-être qu'il y a des problèmes personnels,
08:36 et puis il y a des raisons aussi économiques qui sont là, dont il n'a peut-être pas l'argent suffisant
08:41 pour acheter les matières premières et pour pouvoir fournir le chantier convenablement.
08:46 Excusez-moi, Alexandre, pour ce qui est des fournitures, nous avons toujours tout payé,
08:53 il nous donnait la facture, on a fait l'avance de toutes les fournitures,
08:58 donc lui n'a pas eu à régler quoi que ce soit, justement, on ne voulait pas l'embarrasser.
09:04 On a toujours aimé les fournitures.
09:08 Je suis d'accord, mais peut-être qu'il y a un besoin ou une nécessité, si vous voulez,
09:12 pour lui d'avoir des fournitures utiles, et pas forcément les fournitures dont vous parlez,
09:18 mais peut-être d'autres choses, et puis aussi d'autres besoins,
09:23 que ce soit pour se déplacer, ou peut-être des problèmes de dernière minute,
09:29 ça peut arriver, un camion qui tombe en panne, ou quelque chose comme ça.
09:32 Mais pour moi, ça va se résoudre, ça va demander un petit peu de temps,
09:37 il va falloir patienter encore un petit peu, je pense qu'il faut durcir un peu la procédure,
09:42 et vous avez raison, donc là il faut vraiment agir avec un hussier,
09:46 il faut que l'hussier lui fasse aussi peut-être un commencement de sommation,
09:52 ou quelque chose qui permette d'agir en termes de procédure,
09:56 mais je le sens vouloir ne pas aller jusqu'au bout,
10:00 et je le sens vouloir tout arranger les choses,
10:04 et tout vouloir finir son chantier,
10:08 et vous permettre d'en conclure avec lui, et de ne pas aller vers une procédure judiciaire.
10:14 - D'accord, oui, ce serait dommage pour les uns et pour les autres,
10:18 mais bon, je suis dur, nous il faut qu'on se protège aussi,
10:22 et je n'avais pas d'autre solution.
10:25 - Et puis ça a des conséquences, il faut prendre en compte les conséquences que ça peut avoir,
10:29 ne serait-ce si chez vous, vous avez des fuites, ou en tous les cas des infiltrations,
10:35 donc ça peut avoir des conséquences, et ça il faut le noter dans le constat du Hussier.
10:40 Merci, merci à vous Marie.
10:43 - On a plus beaucoup de temps,
10:46 je pense que sur la période du mois de juin, ça semble pouvoir se régler.
10:52 N'hésitez pas à nous tenir au courant.
10:55 - Merci beaucoup, bonne après-midi.
10:59 - Et nous on se retrouve dans quelques minutes avec Marjorie,
11:04 Marjorie est infirmière, actuellement elle travaille au sein d'un hôpital,
11:08 dans une très mauvaise ambiance, alors elle-même sent le vent tourner,
11:13 est-ce que c'est une intuition ou pas une intuition,
11:16 et elle aimerait idéalement se reconvertir dans le secteur du bien-être.
11:20 Si vous avez des idées dans le bien-être, n'hésitez pas à en faire part depuis notre groupe "A votre écoute" sur Facebook,
11:27 et sinon on retrouve Marjorie juste après le temps d'une pause, ne bougez pas.
11:31 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
11:36 - Et oui, je suis à votre écoute, merci d'être au rendez-vous à votre émission,
11:42 à votre écoute, et c'est le moment de poser toutes vos questions,
11:46 sur un seul numéro, le 0826 300 300, n'hésitez pas, soyez nombreux,
11:52 comme chaque jour, à appeler cette émission, et avant de retrouver Marjorie,
11:56 c'est le moment du "Saviez-vous"
11:58 Le "Saviez-vous", selon une enquête d'octobre 2022 de Psychologues.net,
12:03 85% des reconversions dans le secteur du bien-être concernent des femmes,
12:09 et peuvent être motivées par des facteurs suivants,
12:11 comme l'envie de travailler dans un domaine social qui fait sens à 79,8%,
12:18 soit par un événement de la vie, c'est-à-dire par la parentalité,
12:22 le lien d'émangement, ou à la séparation, ou même à la maladie,
12:26 et là ça représente 13,1%, soit à la recherche d'une meilleure qualité de vie,
12:32 ou le besoin d'une plus grande flexibilité dans l'aménagement de l'emploi du temps,
12:37 fait apparaître aussi un pourcentage à 5,2%, et selon bien sûr ce sondage de 2022.
12:44 Et vous, vous avez vécu une expérience dans le bien-être,
12:47 ou tout simplement vous pratiquez le bien-être au quotidien,
12:50 surtout n'hésitez pas à venir parler de ce de votre expérience à l'antenne de Sud Radio,
12:56 au 0826 300 300, mais aussi depuis notre groupe à votre écoute.
13:01 Et à présent j'accueille Marjorie, bonjour Marjorie !
13:04 Bonjour Alexandre !
13:06 Très heureux de vous recevoir à l'antenne de Sud Radio, Marjorie !
13:09 Oui, merci !
13:10 Vous avez 45 ans, vous êtes des Hautes-Pyrénées, et vous êtes infirmière.
13:14 Oui, c'est ça !
13:15 Un métier assez dur, même très dur !
13:19 Oui, oui, c'est tout à fait !
13:20 On en parle beaucoup des infirmières, et il faut d'ailleurs, bien sûr, exactement !
13:25 Oui, c'est important !
13:26 C'est important, il n'y a pas que ce métier-là,
13:28 il n'y a pas que ce métier, parce qu'il y a d'autres métiers qui sont aussi durs, mais différemment,
13:31 et puis chaque métier a sa problématique, évidemment !
13:33 Mais vous n'êtes pas épargnée de fragilité, de grosses difficultés.
13:40 Marjorie, justement, vous êtes aujourd'hui dans un centre hospitalier,
13:49 et vous dites que l'ambiance n'est pas très saine, ou pas très bonne.
13:54 Qu'est-ce qui se passe exactement chez vous ?
13:56 En fait, ça ne fait pas très longtemps que je suis arrivée,
14:00 et c'est vrai que déjà, l'ambiance entre mes collègues n'était pas au bout fixe,
14:05 et moi j'arrive dans cet univers-là, et du coup, je n'ai pas trop envie d'y rester, en fait !
14:13 Voilà, c'est compliqué de travailler dans un univers où l'ambiance n'est pas terrible !
14:18 D'accord ! Alors Marjorie, c'est parce qu'on ne vous donne pas les moyens,
14:22 ou tout simplement, c'est parce que vous ne le ressentez pas,
14:24 que vous êtes vous sensible, et que vous ne trouvez pas votre place au sein du groupe, de la structure ?
14:31 Trouver ma place, je pourrais, mais là, je suis dans une toute petite équipe,
14:36 donc voilà, c'est compliqué du coup de...
14:40 Enfin, j'ai été accueillie comme il fallait, mais je sens qu'il y a une mauvaise ambiance
14:46 entre deux ou trois de mes collègues, donc vu qu'on est une petite équipe, ça ne peut pas marcher !
14:52 Bien sûr ! En plus, vous avez 45 ans, donc vous avez un peu d'expérience dans le domaine de l'entreprise,
14:58 donc vous avez sûrement connu des périodes assez sympathiques,
15:02 avec des états d'esprit beaucoup plus flexibles et beaucoup plus fluides,
15:06 et puis d'autres états d'esprit comme celui dans lequel vous êtes aujourd'hui, j'imagine ?
15:11 Exactement ! Tout à fait !
15:13 Alors, vous souhaitez vous reconvertir dans le bien-être, mais est-ce que c'est vraiment une reconversion ?
15:18 Parce que, bon, ok, le métier d'infirmière et le bien-être, c'est peut-être deux choses différentes,
15:25 mais on ne s'éloigne pas trop, quand même, du côté, je ne veux pas dire purement médical,
15:30 mais en tous les cas de l'humain, non ?
15:33 Oui, tout à fait ! J'ai envie de dire que c'est une autre facette, peut-être, du métier aussi d'infirmière,
15:41 l'accompagnement, c'est différent.
15:43 Et quand vous parlez de bien-être, vous voulez faire quoi dans le bien-être ?
15:47 Alors, moi, j'aurais bien aimé faire ce qui est magnétisme.
15:53 D'accord !
15:54 Bon, ça ne fera pas mon métier, parce que je suis sage.
15:57 Médecine alternative, alors !
15:58 Exactement ! C'est-à-dire que je vais réfléchir aussi, peut-être, à faire autre chose,
16:03 mais à côté, peut-être, me lancer dans le magnétisme, si j'ai la possibilité.
16:10 Il faudrait que je me forme, en fait.
16:12 Bien sûr ! Et vous donnez cette possibilité de reconversion sous quelle échéance, à peu près ?
16:19 Peut-être d'ici l'année prochaine.
16:24 D'ici l'année prochaine ?
16:25 Peut-être commencer les formations, oui.
16:27 D'accord !
16:28 Soit c'est à la fin d'année ou l'année prochaine.
16:30 D'accord ! Est-ce que vous souhaitez que je vous réponde à cette question-là, ou pas ?
16:33 Si vous allez y arriver, dans ce secteur-là ?
16:36 Vous voulez ? Vous êtes sûre ?
16:37 Voilà ! C'est surtout dans ce secteur-là, peut-être, positif, ou est-ce que je réfléchis sur autre chose ?
16:45 Eh bien, écoutez, vous pouvez réfléchir, c'est bien, c'est important de réfléchir, de comparer, d'analyser,
16:52 de voir ce qui vous permet, vous, de pouvoir exceller dans des choses qui soient en rapport avec ce que vous êtes
16:59 en tant qu'individu et de vos capacités aussi, de vos possibilités.
17:03 Mais pour moi, ça résonne, ça a du sens par rapport à ce que vous me dites.
17:09 Donc, je crois, oui, que effectivement, vous allez aller dans tout ce qui touche à des médecines alternatives.
17:15 Alors, vous me parlez de magnétisme, mais peut-être que, est-ce que ce n'est pas aussi tout ce qui est en rapport avec de la digitoponcture,
17:24 parce que je vois des pressions sur le corps, est-ce que c'est lié du massage, est-ce que c'est de la réflexologie ?
17:30 Est-ce que c'est, vous voyez, il y a peut-être d'autres choses qui peuvent durer, il y a plein de choses qui,
17:35 donc, pour moi, ouvrez cet esprit, comme vous l'avez aujourd'hui ouvert, mais vers d'autres possibilités.
17:42 Et puis surtout, les enseignements, c'est très bien, mais il faut que l'enseignement résonne en vous,
17:49 et pas seulement de celui qui va enseigner les choses.
17:52 Et vraiment, si vous êtes dans cette sensibilité-là, et dans cette réceptivité,
17:58 et bien vous allez voir qu'à un moment donné, tout va vous paraître évident,
18:01 et tout va vous permettre d'avancer comme vous souhaitez avancer.
18:04 Mais pour moi, oui, vous allez démarrer, et je ne suis pas sûr que ce soit uniquement le magnétisme,
18:10 mais je sens qu'il y a d'autres disciplines, mais ce sont des disciplines assez similaires.
18:15 D'accord, d'accord, mais ça ne restera pas, est-ce que ça sera mon métier, ou est-ce que du coup, ça sera à côté, voilà, une autre activité ?
18:26 Je pense que vous en ferez votre métier.
18:28 Mais après, il faut un peu de temps, peut-être pour aller vers cette reconversion,
18:32 et en attendant, vous risquez de quitter ce centre hospitalier pour avoir une autre opportunité,
18:37 qui vous vient d'une personne avec qui vous avez travaillé auparavant,
18:40 et qui vous dit "Tiens Marjorie, postule-la parce qu'il y a une possibilité ou une opportunité",
18:45 et vous allez saisir cette opportunité-là. D'accord ?
18:48 D'accord, très bien, parfait !
18:50 Bon, mais c'est génial !
18:52 Oui, très bonne nouvelle !
18:54 Merci, prenez soin de vous Marjorie !
18:56 Merci, à vous aussi !
18:58 Merci !
18:59 Et c'est à vous, à présent, vous avez peut-être un doute, une question,
19:03 qui n'a pas de doute ou qui ne se pose pas des questions sur son avenir,
19:07 je crois que c'est valable pour tout le monde,
19:09 alors n'hésitez pas à appeler le numéro suivant, le 0 826 300 300.
19:15 J'ai Marie, notre réalisatrice, qui me regarde en me disant "Mais qu'est-ce qu'il raconte ?"
19:19 Mais non, je raconte les choses telles qu'elles sont.
19:22 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Hortense.
19:26 Hortense est en couple depuis 7 ans, son compagnon a fait un écart.
19:31 Eh bien, écoutez bien, elle l'a surpris en sortant d'un club libertin avec une femme à son bras.
19:38 Malgré la tâche réciproque, elle a du mal à passer outre.
19:42 Et vous, comment réagirez-vous si tel était votre cas ?
19:45 Ne bougez pas, on en parle juste après.
19:48 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:53 Et bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent, nous sommes en direct comme tous les jours.
19:58 Appelez-nous pour poser toutes vos questions à un seul numéro, le 0 826 300 300.
20:04 Et à présent, j'accueille Hortense. Bonjour Hortense.
20:08 Bonjour Hortense, bonjour Alexandre.
20:10 Des fois, je suis un peu perturbée.
20:12 Ecoutez, il n'y a pas de souci. Jusqu'à ce jour, je ne m'appelle pas Hortense.
20:17 Même si c'est un très joli prénom.
20:21 Mais c'est votre vrai prénom Hortense ?
20:24 Oui.
20:25 Magnifique.
20:26 Pour vous Hortense, vous traversez une période un petit peu de fragilité.
20:34 Vous êtes de Montpellier, vous travaillez dans le paramédical.
20:38 Région Occitanie.
20:42 Très large et très belle région aussi.
20:46 Merci.
20:47 Et vous êtes en couple depuis quelques années, notamment depuis 7 ans.
20:52 On parle souvent des 7 ans, que c'est un cycle.
20:56 Est-ce que pour vous, vous sentez justement ce cycle des 7 ans important ?
21:00 Oui, je crois que ce qui a émergé d'ailleurs, quand je dis en couple, nous ne vivons pas sous le même toit.
21:07 Car monsieur a une fonction qui est reliée à une institution d'état.
21:12 Qui demande donc de travailler sur deux métropoles.
21:17 Donc je pense que c'est aussi le moment d'une maturité du couple.
21:23 Mais aussi certainement des interrogations quant à l'avenir.
21:28 Quant à la maturité aussi de chacun et du couple lui-même.
21:34 Donc voilà, je pense que c'est un tournant.
21:38 D'accord. Alors pour commencer et pour connaître un petit peu mieux votre histoire, vous vous êtes connue comment avec 7 ans ?
21:46 Sur une application de réseau d'activité.
21:49 Nous avons pu communiquer tout d'abord pendant une dizaine, à peu près une quinzaine de jours.
21:58 Et au final, on a voulu prendre un café et ça a matché tout de suite.
22:03 D'accord. Entre vous, il s'est créé, bon ça a matché, mais il s'est créé vraiment un lien intime aussitôt ?
22:10 Ou vous avez mis du temps avant d'arriver à trouver cette...
22:13 Non, on a pris du temps.
22:15 D'accord.
22:16 De d'un commun accord, c'était justement en prenant le temps, mais pas de précipitation.
22:21 D'accord. Alors, est-ce que cet homme, en discutant, vous connaissez un petit peu sa vie, donc il s'est dévoilé sur sa vie.
22:28 Est-ce que cet homme, vous l'avez trouvé très ouvert d'esprit, avec un peu de fantaisie en lui, dans son fonctionnement, dans son modèle de vie ou pas ?
22:39 Ou tout simplement un homme assez pudique, pas trop, je dirais, ouvert sur certaines choses ?
22:46 Non, je l'avais senti une ouverture, quelqu'un qui osait faire.
22:53 Il a un métier où il fait toujours beaucoup de "yang", je dirais même.
22:59 Mais ce qui me plaisait, c'était aussi quelque chose qui avait de réfléchi, quelque chose comme un appui, quelque chose de posé.
23:08 J'ai 61 ans, on aime aussi les hommes qui soient un peu dans ce cadre-là.
23:14 Bien sûr. Mais vous êtes toujours ensemble aujourd'hui ?
23:18 Oui.
23:19 Non, parce qu'on en parle un peu au passé, comme si l'histoire était terminée.
23:22 Mais non, elle est là, elle est présente, cette histoire est toujours vécue.
23:26 Et donc, il y a quelque temps, vous l'avez aperçu, en sortant d'un club libertin avec une femme.
23:33 Alors je rappelle qu'il n'y a pas de jugement, on parle vrai à Sud Radio, il n'y a aucun jugement sur la manière de vivre de chacun.
23:42 Et du moment que ça fasse du mal à personne et que ce soit le plaisir de chacun, là, à ce niveau, il n'y a pas de problème.
23:47 Donc, vous l'avez aperçu, mais auparavant, est-ce qu'il avait évoqué ce genre d'idée ?
23:55 Ou peut-être est-ce qu'il vous avait invité à ce genre d'intimité ?
23:59 Et vous avez répondu quoi ?
24:01 Alors, nous sommes très ouverts, nous discutons beaucoup, on a énormément d'échanges culturels, politiques, tout est complet.
24:10 Mais aussi du corps. La sexualité est tout à fait en communion, je dirais.
24:16 Donc, il m'a eu à mener, justement, dans un club libertin que je ne connaissais pas du tout ce milieu.
24:24 Et qui, pour je trouve, l'épanouissement du couple, ça a été tout à fait agréable.
24:29 Je précise que c'est simplement la rencontre du couple lui-même.
24:33 C'est-à-dire, nous n'y allons que pour tous les deux.
24:35 Il n'y avait pas d'échangisme, il n'y avait pas de partage.
24:38 C'était simplement un moment pour nous.
24:43 Mais vous avez intégré ce genre d'endroit, de lieu, et vous avez participé ensemble à l'univers dans lequel il y a du libertinage.
24:54 Ensemble, tous les deux.
24:55 Oui, ensemble, mais sans participer de rien.
24:58 Oui, j'entends.
25:00 Et vous l'avez aperçu en sortant d'un des clubs, où vous n'étiez pas présente ce soir-là, mais il était bras-dessus, bras-dessous avec une femme.
25:11 Alors, ce qui s'est passé, c'est que j'ai quelqu'un qui bouge pas mal par ses obligations professionnelles.
25:18 C'est quelqu'un qui a une parole.
25:20 C'est-à-dire, s'il me dit "dimanche, je te donne mon planning et je te dis quand est-ce que j'arrive", c'est carré.
25:27 Sauf que là, sept ans, comme on l'a dit, sept ans de connaissances, je ne sais pas pourquoi, parlons-nous peut-être d'intuition féminine ?
25:38 Je pense aussi.
25:39 Cette fois-là, la semaine passe, j'ai rien.
25:43 Pourtant, il m'avait dit qu'il venait.
25:45 La semaine qui arrive, on est donc le jeudi, je n'ai toujours pas de nouvelles, et je sortais de mon activité professionnelle,
25:55 quand, en plein après-midi, je ne sais pourquoi, je pars vers ce lieu-là.
26:02 Qui est tout habitant dans une grande ville.
26:05 Et je vois un indice, c'est-à-dire un moyen de locomotion que je reconnais.
26:10 Qui est non loin de ce lieu.
26:12 Donc là, je m'interpelle.
26:14 Je me dis que ça peut être peut-être un de ses collègues qui a utilisé ce moyen de locomotion.
26:21 Mais, comme je suis quelqu'un d'opiniâtre et je ne laisse pas les choses au hasard,
26:25 je suis restée à attendre une heure et demie, car une femme, quand elle veut et qu'elle veut savoir, elle le fait.
26:31 Pendant une heure et demie, j'ai attendu jusqu'à un moment donné où il est sorti, la femme d'abord et lui ensuite.
26:38 Donc là, ça a été un tsunami terrible.
26:41 D'ailleurs, lui, il en a été plus que choqué de son expression, mais je peux l'avérer également.
26:48 Donc là, la personne est donc partie.
26:55 Et là, je lui dis, mais qu'est-ce qui se passe ?
26:57 C'est terminé ?
26:59 Pour moi, c'est fini.
27:01 Il me dit qu'il ne prend pas de décision à chaud.
27:06 Il faut qu'on se pose.
27:10 Mais ça n'a rien à voir.
27:13 Il me dit, je tiens à toi, je tiens à toi.
27:15 J'ai entendu ça une quinzaine de fois.
27:16 - C'était il y a combien de temps ?
27:17 - Trois semaines.
27:18 - Il y a trois semaines, d'accord.
27:19 Donc aujourd'hui, est-ce que vous avez réussi à en discuter un petit peu ?
27:23 - Oui.
27:24 - D'accord.
27:25 Pardonnez-moi, je vous coupe un peu la parole Hortense.
27:28 Mais attention, je ne prends aucune défense de qui que ce soit et pas du tout.
27:32 Mais moi, je suis déjà dans une situation où il y a du recul pour moi.
27:37 Je suis dans le recul de tout ça.
27:39 Le fait qu'ensemble, vous allez dans des endroits où il y a de la tentation.
27:45 C'est comme...
27:46 Alors, je vais faire une métaphore.
27:48 Mais peut-être l'exemple n'est pas bien positionné ou il est peut-être un peu léger, mon exemple.
27:55 Mais si vous allez dans un endroit où il y a un buffet avec plein de plats à manger,
28:01 et même si vous êtes au régime, à un moment donné, on peut craquer.
28:05 On peut se dire, tiens, on s'accorde une petite sucrerie.
28:07 Est-ce que vous-même, je comprends que ce qu'il a fait a été une faute ou autre.
28:15 Après, chacun à son point de vue, chacun a aussi, je dirais, ses valeurs.
28:21 Et aussi, ce qui est de l'ordre de l'acceptable et de ce qui n'est pas acceptable.
28:26 Donc ça, ça ne se partage pas et ça se respecte.
28:29 Mais est-ce que le fait que déjà, on sent que vous avez participé,
28:34 enfin, participé, j'entends bien que vous n'avez pas des rapports physiques,
28:38 mais que vous avez été dans des endroits où il y avait cette possibilité de tentation.
28:43 Ce n'est pas aussi cautionner un peu, lui donner aussi cette possibilité
28:48 à dire à un moment donné, voilà, la porte est ouverte à toute possibilité.
28:53 Ça ne reste qu'un individu, ça ne reste qu'un homme.
28:56 Je veux dire, peut-être qu'il l'a fait de cette manière-là,
29:00 en sachant qu'il allait avoir des conséquences,
29:04 mais parfois, il y a des pulsions sur lesquelles une personne peut avoir du mal à contrôler.
29:10 C'est ce que je ressens, tout au moins.
29:12 Et je crois que, oui, bien sûr qu'il faut éclaircir cette situation,
29:17 parce que cette situation, elle n'est pas vécue normalement
29:20 et que vous pouvez avoir un sentiment d'avoir été un peu trahi par rapport à la situation et tout ça.
29:26 Mais là, ce que j'entends et ce que je reçois aussi comme information,
29:30 intuitivement, je parle, il vous aime.
29:34 Il vous aime. Il a commis une erreur.
29:37 Il a été sur un terrain dangereux.
29:41 Il en a la responsabilité et les conséquences de ce qui peut aujourd'hui arriver.
29:46 Mais vous pouvez le pénaliser.
29:49 Mais sachez que vous avez face à vous un homme qui vous aime.
29:52 Ce que je voulais préciser, c'est que de cette discussion, de ce tsunami, je dirais,
29:57 il m'a avoué qu'il était libertin depuis l'âge de 30 ans.
30:00 Voilà.
30:01 Et ça, il ne m'en avait pas parlé.
30:03 Bien sûr.
30:04 Voilà. Bon, alors maintenant, c'est quoi ce que je fais ?
30:07 Alors, bien sûr, nous en avons discuté.
30:09 C'est une très belle soirée.
30:11 J'aime cet homme.
30:13 Je souffrirais beaucoup que de l'abandonner.
30:16 Je ne peux pas le faire.
30:17 Nous avons posé les choses.
30:19 Il est à même de comprendre qu'il y a des choses aussi qu'il faut m'attacher.
30:25 Mais je ne suis pas moraliste.
30:28 Non, mais j'entends.
30:30 Je ne dis pas interdit quoi que ce soit.
30:32 Mais ma question aujourd'hui, c'est que va devenir ?
30:36 Que va-t-il faire ?
30:38 Comment va être notre couple pour après ?
30:40 Alors, là, je vais vous dire une chose.
30:42 Je vais être très clair avec vous.
30:44 Moi, je vais vous dire, votre histoire, je sens qu'elle peut continuer.
30:47 Et on peut trouver des arrangements ensemble pour que justement,
30:50 lui ne soit pas complètement puni de ce libertinage.
30:53 Et que vous ne viviez pas ça comme quelque chose de difficile à vivre.
30:58 Parce que ça peut vous faire mal.
31:00 Et puis, si à un moment donné, ce n'est pas dans vos valeurs
31:03 et dans vos possibilités de faire ça,
31:05 il ne faut pas non plus à un moment donné, complètement s'abandonner à l'autre.
31:08 Il faut se respecter.
31:10 Et pour moi, dans ma perception des choses,
31:13 votre couple n'est pas amené à s'arrêter, il est amené à continuer.
31:17 Parce que vous êtes deux êtres qui vont pouvoir intelligemment discuter.
31:21 Mais alors après, je vais vous dire,
31:23 peut-être que vous êtes une auditrice pour Brigitte Lahaye, tout simplement.
31:28 Il faut vous contacter Brigitte.
31:30 Je la suis, je la suis.
31:32 Je pense que Brigitte est très bien placée.
31:35 C'est elle qui peut donner les meilleurs conseils à ce niveau-là.
31:38 Et moi, je vous propose carrément, même si vous voulez le standard,
31:42 mais vraiment, ce n'est pas que je vous refuse de mon émission,
31:45 pas du tout au contraire.
31:47 Parce que je veux que vous me racontiez la suite.
31:49 Mais pour avoir des conseils judicieux et très pro,
31:55 en tous les cas, Brigitte sera à même de bien répondre aussi.
31:59 Pour répondre à votre question, je ne vois pas votre couple s'arrêter.
32:03 Et bien au contraire, je vous vois avec la possibilité de s'arranger.
32:06 Parce qu'il y a du sentiment tous les deux.
32:08 Il faut juste trouver des compromis.
32:10 C'est ça.
32:12 Merci.
32:13 Petite question au niveau du contact Brigitte Lahaye.
32:17 Dois-je appeler au numéro ?
32:19 Comment fait-on ?
32:20 Ça, je ne vais pas débattre à l'antenne.
32:23 Mais ne vous inquiétez pas, le standard va vous reprendre.
32:26 Après, il n'y a pas de souci.
32:27 Merci à vous Hortense.
32:29 Merci pour votre intuition.
32:31 On vous embrasse.
32:32 Au revoir Alex.
32:33 Et la parole est à Alice.
32:41 Bonjour Alice.
32:42 Bonjour Alexandre.
32:43 Merci infiniment de m'accueillir dans votre émission.
32:45 Je suis très heureuse, mais aussi très émue de pouvoir vous parler.
32:49 C'est très gentil.
32:51 Moi, je suis très touché que vous soyez heureuse.
32:54 Comme tous les auditeurs qui nous appellent tous les jours.
32:58 Alice, vous avez 44 ans.
33:00 Vous êtes des Pyrénées-Atlantiques.
33:02 Vous travaillez dans le conseil en entreprise.
33:05 Vous vous appelez pour votre mari qui, lui, est dans la fonction publique.
33:10 Il a quelques années de plus que vous.
33:12 C'est ça ?
33:13 C'est exactement ça.
33:15 Votre mari, jusqu'à présent, a eu un parcours, notamment il était cheminot.
33:21 Il a vécu des choses un peu, à la fin de cette expérience-là, ça lui a été plutôt difficile.
33:29 Il a trouvé un travail où on lui a proposé un CDD de 3 ans dans la fonction publique.
33:37 Qu'est-ce qui se passe aujourd'hui ?
33:40 Comme vous l'avez dit, sa précédente expérience a été très compliquée.
33:44 Il a eu beaucoup de mal à prendre la décision de quitter 20-30 de carrière.
33:49 Il a accepté, suite à des entretiens de recrutement, un CDD.
33:54 Lors des entretiens de recrutement, on lui avait expliqué que c'est la fonction publique.
33:59 Quand on n'est pas fonctionnaire, on peut rentrer contractuel pendant 3 ans.
34:02 À l'issue de cette période-là, le contrat pouvait se poursuivre en CDI.
34:08 Il y est allé, il est très heureux dans ce nouveau poste.
34:11 Mais là, il y a 15 jours, sa période de cc est terminée.
34:15 Son responsable est très satisfait.
34:18 Il a eu un entretien avec les services RH qui lui ont expliqué que la procédure en fonction publique,
34:23 c'est qu'au bout de 2 ans et demi, son poste sera remis à la bourse
34:28 pour permettre à un fonctionnaire de pouvoir se positionner si quelqu'un est disponible
34:34 et titulaire du concours de la fonction publique.
34:37 Ça a été un gros coup de Mathieu pour lui, parce qu'il était très heureux, très content de son nouveau poste.
34:44 C'est quelqu'un dont mon mari a besoin de beaucoup de sécurité.
34:47 C'est d'ailleurs pourquoi il a eu du mal à quitter son ancien poste.
34:50 Là, ça a forcément un impact sur ta motivation.
34:54 Pour lui, la situation semble aujourd'hui très risquée.
34:58 Je le sens malheureux maintenant, parce que c'est comme si la confiance était un peu rompue.
35:05 Il est surtout très inquiet pour son avenir.
35:07 Donc moi, ce que je voulais vous demander, c'est comment vous voyez les choses pour lui ?
35:12 Pour moi, déjà, ce que je ressens, c'est que votre mari est anxieux.
35:17 Il est vraiment très anxieux et aujourd'hui, c'est paralysant pour lui.
35:22 Ça peut avoir des conséquences, même sur son travail, sur sa concentration, sur plein de choses.
35:28 Il faut qu'il relâche, il faut vraiment qu'il se détende.
35:31 Il fait du sport en dehors des activités professionnelles et familiales.
35:35 Non, il a arrêté.
35:36 Il devrait, parce que je sens quelqu'un de tendu, je sens quelqu'un d'angoissé, de stressé,
35:41 où il alimente une peur et il alimente aussi un côté fataliste de lui,
35:49 qui malheureusement n'aide pas à amener les choses positives.
35:53 Son échéance, elle est pour 2026, hein ?
35:56 De juin 2026 ?
35:57 Oui.
35:58 C'est ça.
35:59 C'est 2026 et dans deux ans.
36:03 Vous imaginez dans deux ans ce qui peut se passer ?
36:07 Vous imaginez ce qui peut se passer dans deux ans ?
36:10 Il peut se passer plein de choses.
36:12 Il peut se passer un monde merveilleux comme un monde qui s'écroule.
36:15 Désolé d'être dans ce discours-là.
36:17 Mais qu'il n'ait pas aucune...
36:20 Enfin, qu'il n'ait aucune... Pardon.
36:22 Bon, là j'ai perdu mes mots, mais je veux dire qu'il n'a pas à avoir aucune crainte sur son avenir professionnel.
36:31 Parce que je sens que d'ici cette période de juin 2026, il y a quelque chose qui se renouvellera pour lui
36:38 au sein de cette fonction, enfin de cette cellule ou de cette structure dans laquelle il est,
36:44 mais avec un autre contrat, pas le contrat dans lequel on lui a donné ou on lui a promis jusqu'à présent.
36:51 Il y aura autre chose qui va se présenter pour lui.
36:54 Donc, je ne veux pas dire qu'il dorme les yeux tranquilles ou totalement sans aucun...
37:03 Ouh, je n'arrive plus à parler avec vous.
37:05 C'est en fin d'émission peut-être, c'est pour ça.
37:08 Enfin, ce que je veux dire pour être très clair, c'est qu'il n'a pas de soucis à se faire.
37:12 Il y a un rebondissement sur sa situation et qui va permettre d'ici cette échéance de juin 2026,
37:18 l'amener à avoir une autre opportunité au sein de la fonction publique.
37:24 Ah bon, c'est une excellente nouvelle alors.
37:26 Donc, ce n'est pas la peine qu'il se mette à chercher autre chose.
37:29 Il peut chercher, il ne faut pas non plus qu'il laisse défiler le temps comme ça.
37:35 Il peut chercher, mais en étant assez optimiste et confiant sur l'avenir.
37:41 Bon, c'est une très bonne nouvelle. Je vous remercie infiniment, Alexandre.
37:46 Merci à vous, Alice. Prenez soin de vous. Merci.
37:49 Merci, vous aussi. Au revoir.
37:51 Merci.
37:52 Et c'est peut-être votre tour pour passer à l'antenne de Sud Radio.
37:56 Vous tentez de faire le 0826 300 300 et sûrement vous aurez cette possibilité de passer à l'antenne.
38:04 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Pascal.
38:07 Pascal a beaucoup souffert de sa séparation avec son ex-femme.
38:12 Il veut repartir vers un nouveau départ.
38:14 Alors, est-ce que Pascal réussira à concrétiser son projet d'acheter une maison pour rebondir et tourner la page sur le passé?
38:22 La suite, c'est juste après le temps d'une pause.
38:25 Alexandre Delovane est de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie.
38:30 Avant de retrouver les vrais voix présentées par Philippe David et Cécile de Minibus.
38:33 Alors, il vous reste quelques petites minutes pour passer à l'antenne, en tout cas à l'émission, à votre écoute.
38:40 Et c'est le numéro suivant, le 0826 300 300.
38:46 La parole est à Pascal. Bonjour Pascal.
38:48 Bonjour Alexandre.
38:50 Bienvenue sur Sud Radio.
38:52 Merci.
38:54 Pascal, vous êtes de la Gironde, vous travaillez dans le secteur du transport.
38:58 Et vous avez vécu une séparation.
39:04 Cette séparation a été difficile, ça a été dur à vivre.
39:11 Depuis combien de temps vous êtes séparé?
39:14 Ça fait trois ans.
39:16 Et aujourd'hui, il n'y a plus rien qui vous rattache ensemble, tout est vraiment fini entre vous.
39:23 Alors fini, hormis de temps en temps par rapport aux enfants, mais sinon, oui c'est fini.
39:29 Mon ex-femme a repris sa vie, donc de ce côté-là, oui.
39:36 D'accord. Vous, vous avez pour intention peut-être d'acheter une maison.
39:42 Est-ce que c'était un projet que vous avez eu depuis longtemps ou est-ce que c'est un projet qui se formule dans votre esprit depuis peu?
39:50 C'est un projet que j'avais quand même depuis longtemps, mais que je...
39:58 Comment dire? J'appréhende énormément le fait de me lancer seul dans ce projet.
40:04 Voilà, je ne veux pas me tromper.
40:09 Qu'est-ce qui vous fait peur?
40:12 Ce qui me fait peur, c'est le fait de...
40:16 Alors déjà, la chose c'est que mon ex-femme était quand même tout pour moi.
40:22 Elle était un pilier. Le fait de me retrouver seul, c'est vrai que je suis en angoisse assez permanente.
40:28 Et du coup, tout simplement, je ne suis pas certain que j'aimerais,
40:36 je voudrais savoir si je vais être capable de pouvoir surmonter tout ce qui est à l'enveloppe,
40:42 le fait d'acheter une maison et d'assumer tout ça.
40:48 Pour moi, vraiment, Pascal, vous avez 44 ans, vous êtes encore jeune,
40:54 donc c'est le moment de décider et de reprendre sa vie en main.
40:58 Et vous êtes dans cette période justement de réflexion, même si vous l'avez été depuis cette rupture.
41:04 Mais il est vraiment important aujourd'hui de changer les choses,
41:08 parce que vous allez avoir une opportunité, notamment par rapport à une maison ou une habitation.
41:14 Et ce projet ne sera pas du tout insurmontable, bien au contraire,
41:18 ce projet va vous redonner de la motivation et ça va vous permettre de faire une rencontre.
41:22 C'est-à-dire que, et de ce que je ressens, c'est qu'au moment où vous allez décider de changer les choses,
41:27 au moment où vous allez décider d'entreprendre ce projet,
41:31 eh bien, viendra une rencontre à ce moment-là.
41:33 Et il faut vraiment peut-être sortir de cette zone de confort dans laquelle vous êtes aujourd'hui
41:40 et aller au-devant de vos craintes et de vos peurs.
41:43 Et vous verrez qu'à partir de là, les choses vont se mettre en place et vont se décider comme il se doit,
41:49 et comme vous sentez que les choses doivent se mettre en place.
41:53 Donc oui, vraiment, vous aurez cette possibilité de faire l'acquisition d'un bien immobilier
42:00 qui soit à la hauteur de vos objectifs financiers.
42:04 Et puis aussi de laisser la possibilité de rentrer une nouvelle personne dans votre vie
42:09 et de vous reconstruire sentimentalement dans les moins d'un an.
42:14 - Dans les moins d'un an ? - Oui, exactement.
42:16 Merci Pascal pour votre intervention et n'hésitez pas surtout à nous tenir au courant.
42:22 - Merci beaucoup. - Merci à vous.
42:25 Et pour conclure, je dirais chercher à savoir qui nous sommes permet d'identifier ce qu'on veut être, tout simplement.
42:32 Allez, je vous souhaite une bonne fin de soirée et puis la place c'est au Vrai Voix.
42:37 Bonsoir Alexandre Delevoye. Le menu des Vrais Voix à 17h30, le grand débat.
42:42 Les capesses de mathématiques 2024 est jugée trop simple par de nombreux enseignants,
42:47 certains élèves de terminale arrivant à se débrouiller franchement pas trop mal dessus.
42:51 Et d'où cette question, l'abaissement du niveau des concours pour devenir enseignant
42:55 entraîne-t-il la dégradation du niveau des élèves ?
42:58 Vous avez constaté une baisse des niveaux des profs ou pas ?
43:01 Appelez-nous au 0826 300 300.
43:03 A 18h35, le coup de projecteur des Vrais Voix.
43:06 Emmanuel Macron a reçu à l'Élysée les principales organisations syndicales agricoles
43:10 afin de clore la crise agricole de début de l'année.
43:14 Et on vous pose cette question, rencontre Macron agriculteur, la crise agricole est-elle terminée ?
43:19 Vous êtes agriculteur, vous dites oui c'est fini, ou vous dites non non, la messe n'est pas encore dite.
43:24 Appelez-nous aussi au 0826 300 300.
43:27 Nos 3 Vrais Voix du jour, Philippe Biliger, Françoise Degoy et Sébastien Ménard.
43:31 Bonne émission.
43:33 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
43:39 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.
43:46 Sud radieux.

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