• il y a 7 mois

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Transcription
00:00 Pour le début peut-être, parce qu'elle est déviée, elle est pas facile à prendre.
00:03 Ouais, pas facile à prendre.
00:04 En fait, sur le premier coup franc, elle était déjà déviée et j'y étais pas.
00:08 Ah, j'ai vu.
00:09 Et je me suis dit qu'au prochain coup franc, Mehdi va tirer pareil.
00:12 Après, je m'allaitais, je me pose pas de questions.
00:14 Ça va tout seul, ça va au fin.
00:15 Elle a l'air un peu rageuse celle-là.
00:16 Ouais, elle est rageuse un peu.
00:17 Parce que quand même, d'après un mi-temps 2-0, je pense que voilà, on était vraiment
00:22 pas dedans.
00:23 Après, on a pu parler avec le coach à la mi-temps dans les vestiaires et on a participé.
00:27 Je pense qu'on a mis beaucoup d'intensité.
00:29 Ça s'est vu sur le terrain, que tout le monde était dedans.
00:31 Et après, on fait une bonne deuxième mi-temps.
00:34 Je pense qu'on fait une grosse deuxième mi-temps.
00:36 Un peu de regret sur la première, mais après, c'est comme ça.
00:38 On fait deux-deux.
00:39 Là, on sait qu'on a un match au Paris FC.
00:41 Vous avez donné du plaisir aux gens.
00:43 Ouais, il fallait du spectacle ce soir.
00:45 C'est ça qu'il fallait.
00:46 Il fallait aussi, je pense qu'au vu de la première mi-temps, se rattraper sur la deuxième.
00:49 Donner au public le début, de la joie, du plaisir.
00:53 Parce que je pense que sur la saison, à demi-séance, on n'est pas béni.
00:57 Ce soir, faire nul contre Satéchen, c'est plutôt beau, mais on aurait aimé gagner.
01:01 Sinon, on prend un point de jeu nul.
01:03 Vous avez aussi fait peur en deuxième mi-temps au Stéphane Ouag, qui semblait vous craindre jusqu'au bout.
01:07 Exactement.
01:08 Parce que quand on met le 2-1, je pense qu'il commence à être fébrile.
01:12 Et se dire « si ils en prennent encore un, ça va être dur ».
01:14 Vu qu'on arrive à mettre le deuxième, je pense qu'ils ont encore plus peur de prendre le troisième.
01:17 C'est pour ça que je l'ai eu le temps à la fin.
01:19 On l'a vu un peu avec l'Arsenal à la fin, qui faisait des petits pas sur ses dégagements.
01:22 Mais après, franchement, gros match de l'équipe.
01:24 Je pense qu'au Paris FC, l'équipe a fait un gros match.
01:27 Il faut qu'on soit prêts pour mettre autant d'intensité au prochain match que sur la deuxième mi-temps.
01:32 Garder la deuxième mi-temps, et au PFC faire ce qu'il faut.
01:35 C'est pour ça qu'il faut finir la série.
01:36 Exactement. Finir avec de l'intensité, pas avoir de regrets, pas finir en roue libre.
01:40 Et se donner les moyens peut-être de gratter quelque chose.
01:42 Mais en tout cas, on ne garde pas de classement.
01:44 On joue les matchs à fond.
01:46 90 minutes, on regarde après.
01:48 On fait les comptes à la fin. C'est comme ça.
01:50 En première mi-temps, les occasions ont un peu manqué.
01:52 Est-ce que vous vous êtes remis à calculer par moments,
01:54 à perdre ce côté insouciant qu'on avait vu la semaine dernière ?
01:57 Non, franchement, quand en première mi-temps, on n'a pas trop d'occasions,
02:01 et qu'on prend ces deux buts-là, on ne se pose pas de questions.
02:05 On se dit, il y a deux zéros.
02:06 Il faut qu'on nous-mêmes, pour notre amour propre,
02:08 revienne au score et au moins faire quelque chose ce soir.
02:11 Parce qu'on ne pouvait pas se permettre de perdre deux, trois zéros.
02:14 Parce qu'on a vu qu'ils avaient deux occasions, ils auraient pu nous tuer.
02:16 Mais ils nous laissent dans le match.
02:17 Et franchement, avec cette rage et l'amour qu'on a donné sur le terrain,
02:20 après on arrive à égaliser.
02:22 Et franchement, pas de calcul.
02:24 On y va tout droit et on verra bien ce qui se passe à la fin de saison.
02:27 On est arrivé un peu après ton but de la tête.
02:29 Comment tu sens le coup ? Comment se passe l'action pour toi ?
02:32 Comme je l'ai dit avant, c'est le coup franc d'avant.
02:34 Je n'y étais pas au deuxième.
02:36 Et je me tiens à la tête parce que je me dis que si j'y étais, c'était but.
02:38 Et là, après le coup franc d'après, je vois que Mehdi l'a méparé quasiment.
02:42 Et là, j'y vais et je mets le coup de casque.
02:43 Franchement, c'est un peu casque rageur parce que ça fait du bien, même à l'équipe.
02:47 Après, ça nous a boosté.
02:48 On aurait pu aller mettre le troisième.
02:49 Après, on n'a pas eu les occasions à la fin.
02:51 Mais c'était plutôt, je pense, un nul rageur et un nul encourageant pour la suite.
02:55 Et je pense qu'on va faire un gros match.
02:57 Et une célébration bien démonstrative aussi pour t'éteindre du trône.
03:00 Une grosse célébration parce qu'après, on a joué dans les tribunes.
03:03 Après, on me reproche aussi de ne pas marquer en sortant du banc.
03:06 Je pense que là, sur la fin de saison, j'essaie d'amener ça.
03:09 C'est vraiment le plus important, je pense.
03:11 Je dois continuer comme ça et surtout pour continuer à grandir, à marquer des buts,
03:15 à faire ce qu'il faut quand je rentre sur le terrain.
03:17 Parce que je dois apporter un plus, comme ça s'est vu ce soir, de la rage, du cœur, courir.
03:21 Montrer que je peux ramener un plus sur le terrain.
03:23 Ça l'a fait ce soir et il faut continuer comme ça.
03:25 Merci Jacques.
03:26 Pas de souci.
03:27 Merci.
03:28 [SILENCE]

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