PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé !
Du lundi au vendredi à 17h50 sur C8.
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00:00 - Oh, pas mal ! Wow ! Tout ça, alors c'est tout ce que tu vas dire dans l'émission ?
00:05 - Oui, surtout la page blanche. - Ah oui, bah... Ah oui, oui, oui. Ah oui, oui, oui. Je vois. Tout ça, donc c'est ce que t'as fait, tout ça.
00:16 - Oui, en catastrophe, parce que j'ai eu de gros problèmes... - Je vois que c'est en catastrophe, oui. - J'ai eu de gros problèmes de trafic. Non, d'habitude, j'ai des fils de chez moi.
00:23 - Oui, parce qu'il y a le président chinois qui est là. - Alors attendez, vous savez que j'ai largué ma voiture n'importe où dans Paris. - Non, c'est pas vrai.
00:28 - Alors j'arrive à un feu rouge et il y a un motard qui passe et il me fait "Ah, c'est Bernard Montiel". Je dis "Super, vous pouvez m'amener à la radio ?"
00:35 J'avais une interview radio aujourd'hui. Donc il m'a amené... - Un motard ? - Oui, que je connaissais pas, mais pas un motard de la police, un mec sur une moto.
00:43 Donc très gentiment... - Un motard, quoi. - Oui, c'est ce que j'ai dit. Il n'est pas de la police. - Il avait un casque pour toi ? - Non.
00:49 - Alors moi, j'ai dit "S'il y a un problème, je m'en occupe". - Oh, le rebelle ! - "S'il y a un problème, je m'en occupe".
00:57 - Mais non, parce que j'étais... D'abord, je n'aime pas être en retard. Je suis jamais en retard. Et là, vraiment, j'étais angoissé. - Tu as fait une interview à la radio pour quoi ? RFM ? - Oui.
01:04 - C'est pas non plus... - Non, non, c'est pas... - Je vais te dire la vérité. C'est pas non plus... Ça va, c'était qui l'invité ? - Fanny Ardant.
01:11 - Elle t'aura attendu. Non, mais c'est la passante du Sans Souci. - Non, non. C'était Romesh Nader, mais c'est pas grave. - C'est vrai, c'est pas grave. Ne t'inquiète pas.
01:18 - Ah oui, non, c'est vrai. - Oui. - Bah oui. - C'était la femme de la foule. - C'était un test, un connard. - Avec Gérard Vergès. - Avec qui ? - Gérard Vergès.
01:23 - Gérard Vergès ? - Oui. - Oui ? Ah, celui qui faisait la série, là... - Les filles d'à côté. - Mais non, Gérard... - Mais non, pas du tout.
01:30 - L'autre, les filles d'à côté, elle croyait que c'était Gérard. Gérard Vivès. - Mais le gars qui faisait "Les filles d'à côté", il fait "Fanny Ardant, Gérard Vivès, les filles d'à côté".
01:41 - Bonjour, Gérard. - Ta gueule ! Tu nous fais chier, déjà. On est des lundis, tu nous fais déjà chier. - C'est pas terminé, mon histoire. - Mais on s'en fout, ton histoire est pourrie.
01:50 - Mais si, elle est géniale, vous allez voir. - Si elle est pas bonne, je te jure que tu sors direct. - Ah bon ? - Et tu vois, tu vas être escorté. - Tu sors, tu sors. - Tu vas pas être escorté par un motard, mais par un coctard. Tu vois.
01:58 - Donc, le monsieur me reconnaît très gentiment. Je lui dis "Pardonnez-moi, je suis très en retard", puisqu'il m'avait reconnu. Il m'amène, manque de pot. Les flics nous arrêtent. Pas de casque, évidemment.
02:10 - Donc, descendez, mettez-vous sur le trottoir. - Non, bah, ils ont raison. - Monsieur, c'est très dangereux. Oui, je sais, je suis absolument désolé. J'ai l'interview de Fanny Ardant. J'aurais dû dire Patrick Sébastien, parce que visiblement, il savait pas qu'il était Fanny Ardant.
02:21 - Non, Patrick Sébastien. - Mais arrête, arrête. - L'éprit de ton mépris. - Tu sais quoi, connard ? - Non, mais tu veux dire tout ça ? - Non, mais il sort, il sort. - Non, mais c'est horrible. Ce qu'il vient de dire...
02:40 - Il vient de nous dire... Vous voyez, vous voyez, parce qu'il a fait... Non, mais sans rigoler, il a mangé... Non, mais il a mangé 2 pêches Melba avec Brigitte Macron. Il a une tête comme ça. Non, mais sans déconner.
02:49 - Ce qui est pire là-dedans, c'est qu'ils l'ont laissé partir sans rien. - Attends, attends, attends. C'est pas encore sûr. - Si, si, c'est sûr et certain. - Non, non, non, il va nous le dire tout à l'heure, parce que j'ai l'impression que l'histoire, elle va durer jusqu'à 21h.
02:57 - C'est bon. Vous, rien du tout ? - Ben non, moi, rien. Tout va bien. - Vous, très belle robe. C'est qui, ça ? Non, ne le dit pas d'un marque. - C'est une mini-marque. - Une mini-marque ? Une mini-marque pour un mini-prix ? - Euh, ouais. Mais un maxi-look.
03:09 - Tu sors. Tu rejoins mon tien. - Allez ! - Tout doit disparaître. - Salut les dépressifs ! Alors, on est venus... On est venus s'amuser, hein ? Salut les dépresses ! Comment ils vont, les dépressifs, alors ?
03:25 - Moi, il m'est arrivé un truc de dingue. - Ah ouais ? Qu'est-ce qu'il y a ? T'as perdu ta culotte ? - Non, j'ai failli perdre... J'ai failli perdre un oeil. - Non, c'est pas vrai. - Je me baladais dans un jardin. Je vois arriver, mais un énorme dard, mais... - Un dard ? - Oui ! Un abeille avec le dard ressorti.
03:39 - Quoi ? Une abeille avec le dard ressorti ? - Mais sur moi, elle a foncé direct. Il n'y avait que moi et elle dans le jardin. - Benaim, ça va, là ? - Elle déménage. - Non, mais je suis en décollé. Benaim, on dirait qu'elle déménage. Non, mais c'est un truc de fou, cette meuf, là.
03:50 - Elle était coincée sous le... - Ben oui, elle m'a fait coincer, oui. D'ailleurs, on a des nouvelles de mon tchêne ? - Je l'ai pas trouvé. - Je crois que c'est pareil, ouais. - Donc voilà, elle m'a piqué, mais vraiment, après, j'avais... - Ah, d'accord. - Elle est décée. - Elle était où, dans quel jardin ? - À Versailles. - À Versailles ? Quand tu étais à Versailles, t'allais voir tes ancêtres ? Non, mais c'est vrai.
04:10 - Non, j'adore Versailles. Non, mais je vous jure. Et alors, c'est vachement bien, très simple. Me nettoyer avec du savon et après mettre une grosse poche de glaçon dessus pendant 10 minutes. - C'était la première fois que tu te faisais piquer par un dard. - Ah ouais. Ça fait mal, hein. - T'as dû te faire tout drôle. Oui, bonsoir. Dépressif numéro 2. - Il y a tellement d'histoires extraordinaires. - Qu'est-ce que t'as fait, toi, comme d'habitude ? T'as envoyé... T'as quoi ? - Les bus, des RER et des métros. - Voilà, comme d'habitude. Plus RER, métro. - Ouais, j'adore. - J'adore.
04:38 - Je peux plus... Il y a le président chinois, là, qui est à Paris. - Oui. - Je sais, il a demandé à me voir. - Ah bon ? - À quel sujet ? - Pourquoi faire ? - Il veut me parler. - Il joue au padel, il paraît. - Non, pas du tout. - Non ? - Non, non, non. Il joue pas au padel. - Et vous allez répondre favorablement au business ? - Bien sûr. - C'est bien, ça. - Non, je vais certainement le voir. Il veut peut-être faire un truc avec moi. - Économie ou politique intérieure ? - Économie ou politique intérieure ? - Il va me voir. Il m'a dit... Je lui ai dit que je passerais une tête demain.
05:01 - Il reste combien de temps, le président chinois, tiens ? - 2 jours. - Le dernier de bigorre, je crois, c'est voir sur la tombe de la grand-mère du président. Parce que la dernière fois que... - C'est quoi, ça ? - Non mais est-ce que je... - Ça représente pas parler français, tu te rends compte ? - Non mais sans déconner, frère. Tu crois vraiment que le président chinois, il vient ici, frère ? C'est la plus grosse puissance économique du monde. Le président, il va dire "Viens, on va sur la tombe de mon arrière-grand-mère".
05:23 Il va dire "Mais oh, frère, tu crois que j'ai que ça à foutre ? Parlons économie, parlons... T'es une barca, toi. Mais qu'est-ce que c'est que cette canard ? Arrête un peu. C'est comme... - Je vous dis oui, intéressez-vous à l'actualité, vous pouvez... - Ils vont parler des punaises de Lik là aussi, nous envoyer ? Avec Valérie Hany ? - Vous voulez la vérité ou vous voulez que je dise des conneries ? - Sur quoi ? - Je vous dis... Alors, aucun mépris pour mon ami Patrick Sébastien. Je voulais simplement dire... - C'est pour la police. - C'est pour les 2, en fait. - ... que Patrick Sébastien est beaucoup plus connu, beaucoup plus populaire que, je suis désolé, Fanny Ardant. Quand même.
05:52 - On finit ton histoire parce qu'on en a rien de cul. - Laquelle ? - Tu parles dans tous les sens. - Le président chinois, il va à Bagnères-du-Bigord. C'est la terre des ancêtres du président. C'est là où est enterrée la grand-mère du président Manette qu'il adorait. Et la dernière fois... - Pourquoi il amène le président chinois là-bas ? - Parce que la dernière fois... Je termine mon histoire quand on arrive à sortir une phrase ici. La dernière fois... - Tu vas en sortir pour t'atténuer à des prochaines, connard.
06:13 - La dernière fois que le président français est allé en Chine, le président Xi Jinping l'a amené dans sa famille, dans son village natal et lui a présenté sa famille. Donc ils ont fait un échange amical. - Heureusement. Je vais voir. Il va venir me voir. Je vais l'amener à Djerba en Toulie. Tu vois, ça va être la foule.
06:27 - Ça n'empêche pas d'essayer d'arranger les affaires, amis ou ennemis avec la Chine, on verra. - Bon, sinon, ton histoire... - La police, la police. - Alors, la police m'arrête parce que j'avais pas le casque et c'est vrai, ils ont bien raison.
06:38 - Tu reprends depuis le début, là ? - Oui. Et donc, ils m'ont fait une très jolie leçon de morale à laquelle je suis d'accord, j'acquiesce, etc.
06:46 (Rires)
06:56 - Donc voilà. Et j'ai dit... - C'est ça ? C'est fini, l'histoire, là ? - Pas de constat. - T'as une amende ou pas ? - Non. - Mais non, il a pas eu d'amende.
07:07 - C'est quoi, l'histoire ? - Ben, l'histoire, c'est que... Donc, j'ai dit si jamais vous collez une amende à ce monsieur que je ne connais pas, je la paierai moi, moi, je paie l'amende, etc.
07:15 Mais surtout, je suis en retard. Ils m'ont dit bon, écoutez, allez-y, mais avouez ce que vous avez péril. Vous, vous allez à pied et vous, le motard, vous partez de l'autre côté.
07:22 C'est ce qu'on a fait et j'ai sauté dans un taxi et je suis arrivé quand même 3/4 d'heure en retard. - Waouh ! - Y a Fanny Ardant, t'as tombé ? - Oui. Mais elle est divine.
07:30 - Fanny ? - Oui. - Ardant ? - Oui. Fanny Ardant, divine. - C'est vrai ? - Magnifique. - Fanny ? - Ardant. - Studio Marini, allez-y. Sublime.
07:40 - J'ai arrêté. - La blessure et la soif. - Qu'est-ce qu'il y a ? Qu'est-ce qu'elle dit, là ? - La blessure et la soif, c'est le titre de cette...
07:44 - La blessure et la soif ? - Elle est toute seule sur scène. - Je crois que la blessure, il dit. - On va pas t'offrir à boire. - Non, mais voilà, c'est tout. Et donc, voilà.
07:50 - Non, en revanche, ce que vous avez raconté sur le président, c'est vrai. - D'accord. - Ça vous... Oui, d'accord. - C'est tout. - Les deux histoires, elles sont chiantes.
07:56 - Mais elles sont pas chiantes, mes histoires. Mais vous intéressez à rien. - Bien sûr, on s'intéresse à rien. On s'intéresse à rien. Tu crois vraiment que Bernard Montiel, qui est en moto sans casque,
08:03 tu crois que ça nous intéresse ? Tu crois vraiment que ça intéresse les Français ? - Faut pas le faire. - Je suis sûr que c'est pas... - Ben, vous m'avez posé la question.
08:08 - Ouais. Sinon, ça va, vous ? - Oui. - T'as fait quoi, toi, ce week-end ? - Pas faire chier le monde. - J'étais à Nice. J'étais à Nice. - À Nice, qu'est-ce que t'as fait ? - J'étais à Nice.
08:16 - Ah ouais ? T'as mangé avec Estrosi ? - Oui. - Ah, je le savais. En blague. - Comment vous le savez ? - Et le président du club de foot de Nice ? - Je sais, exactement, ouais.
08:24 - Jean-Pierre. - Je le connais un peu. - Qui est très sympa. - Non, je le connais comme ça parce que... - Parce que quoi ? - Ça s'expliquerait. - Soyez plus clair.
08:32 - T'as mangé où ? À la petite maison ? - Oui. - Hé, comment je sais tout ça ? - Comment vous savez ça ? - Oh là là là là là ! - C'est même le nom de l'un des indiqués, aussi.
08:39 - Eh ouais, les gars, il croit quoi ? Il croit quoi ? Il croit quoi ? Oh, il croit quoi ? - Je sais pas. - Même le nom du resta, je le connais. - T'as mangé à la petite maison, à Nice ?
08:46 - Vous l'avez su à quelle heure, s'il était là-bas ? - Je l'ai su très vite. - Avec l'heure, avec Christian Estrosi. Il y avait aussi Daniel Benoît, qui est un type formidable,
08:52 qui est le directeur du Centre d'art dramatique du Théâtre d'Antibes. Il fait de très belles créations théâtrales. - En fait, quand tu nous sous-titres toute la liste, on se dit "Qu'est-ce que tu fous ? T'es là ?"
09:01 - Alors c'est la question que je me pose souvent. - Et qu'est-ce que tu leur racontes, toi, quand t'es là-bas, alors ? - Mais que je raconte théâtre ? Vous savez que je m'intéresse à tout.
09:07 - Donc tu leur dis quoi, là ? Vas-y, "Salut, ça va ?" Vas-y, Bob, vas-y, je fais la guinée. - "Salut, ça va ? C'est quoi, ta dernière pièce ?" - Non, mais qu'est-ce que tu fais là-bas ? Tu fais quoi, là ?
09:15 Tu dis quoi ? Tu dis quoi ? T'arrives là-bas. Déjà, tu connais rien au foot. Donc t'es le président du club de foot. - Alors, pas un mot sur le foot. Le mec est extrêmement sympathique.
09:24 Il a un canon qui écrit un scénario de film qu'il veut adapter au cinéma. - D'accord. Et c'est là que t'as dit "Je vais vous présenter Cyril Hanouna". - Oui.
09:32 - Vraiment. C'est pas possible, ça. - Vous avez besoin de quelqu'un qui a un peu de seau ? J'ai dit "Cyril Hanouna". - T'aurais pu te proposer toi.
09:41 - En fait, tu pourris la vie de tout le monde dans le week-end. - Qu'est-ce que tu racontes ? Parce qu'il raconte qu'il a un club de foot, Nice, ouais, truc.
09:49 - Non, non, non. Alors, vous savez bien que j'y connais pas grand-chose. Donc je n'ai rien dit. Le mec est extrêmement sympathique. Sa femme, magnifique.
09:54 Il y avait Daniel à côté de moi. Il y avait Laura et Strozzi. Voilà. - Alors, qu'est-ce qu'ils te disaient ? - On parlait de plein de choses. Et puis surtout que le lendemain, je voyais son grand ami Eric Ciotti.
10:03 - Ah ouais ? D'accord. Et alors ? - Mais rien. - Qu'est-ce que tu leur dis à ces gens ? - Eh bien, je leur dis "Bonsoir. Je suis ravi de vous retrouver". Comment ça va ?
10:11 - Ah, le "Donc j'ai de ski dans ce soir-là". - Qu'est-ce qu'il raconte ? Qu'est-ce qu'il te raconte ? Il parle de quoi ? - Non. Alors d'abord, moi, j'avais Daniel à côté de moi, le patron du théâtre d'Antibes.
10:21 - Qu'est-ce que tu lui dis ? - On a parlé de Lavar parce que lui-même a adapté Lavar avec Michel Bouchna. - Ah, surtout qu'il est reconnu. - La pince. - Il va faire une adaptation de La Pince.
10:32 - Arpagon. Et donc, on a parlé de sa création à lui. J'ai lu parler de la création aussi que j'ai vue de Jérôme Deschamps. Donc plein de choses comme ça. Précis, il était content.
10:40 Il m'a parlé de Fanny Ardant parce qu'il adore qu'il a également porté au théâtre. Enfin voilà, ça vous fait chier. Je sais, au revoir.
10:46 - Mais la valeur ajoutée pour eux, c'était quoi ? - C'est ça. C'est à moi. Ils m'ont donné à moi une valeur ajoutée. - Non mais comment ça s'est organisé, ce dîner ?
10:55 - Mais parce que d'abord, je suis ami avec les Strozzi depuis des années. Et puis voilà, ça s'est fait comme ça. Et dès que je vais à Nice, je les vois.
11:01 - Il y a quelqu'un qui s'est désisté peut-être ? - Il y avait un trou à table. - Est-ce que tu les as invités ? - Ah non. Non, franchement, là, non.
11:10 - Il y a eu l'invite de Jamel. - Tu as été invité ? - J'ai été invité, oui. Encore une remarque, c'est pas moi qui ai posé la table.
11:17 - Moi, je ne connaissais pas le mec du club de foot de Nice. - Non mais tu aurais pu être grand seigneur. C'est pour moi, voilà. - Ah non, non, pas grand seigneur.
11:24 - Qui a invité ? - Écoutez, je ne suis pas sûr. - Par contre, toi, tu manges, t'en as rien à foutre. - Le seul gars, il a bouffé. Il ne remercie personne.
11:36 - Je ne vous ai pas demandé pour tout vous dire, pour être clair. - Tu as la raison, Kelly. Tu ne remercies personne.
11:41 - Le président du club de foot s'est levé ainsi que M. Estrosi. Je me dis, ça suffit. - Toi, t'es parti au travail. - On ne va pas se battre non plus pour payer l'addition.
11:49 - Tu fais sûrement sortir ta carte quand même, même pas. - Ah non, la carte, elle est collée, la carte. Je crois que j'avais oublié mon portefeuille.
11:55 - En tout cas, bravo. - Intéressant, non ? - C'était hyper intéressant. - Franchement, j'ai une vie passionnante. Vous me posez des questions, je réponds.
12:02 - C'est vrai, merci.
12:03 [Musique]