Podcast NBA Extra - Les Knicks usés, Dallas renverse tout, Denver en champion !
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00:00 *Musique*
00:06 Bonjour à toutes et à tous et ravi de vous retrouver pour un nouveau numéro du podcast.
00:10 Je suis avec Marie-Patrick, c'est Jacques Monclar. Bonjour à tous les deux.
00:13 Bonjour à tous les deux.
00:15 Bonjour Marie, bonjour Nico, bonjour à tous.
00:18 Alors, Indiana est revenu à deux-deux hier soir dans sa série Face Onyx,
00:23 New York toujours handicapé par beaucoup de blessures.
00:27 Et d'emblée, j'ai une question pour toi Marie, est-ce qu'on n'aurait pas quand même sous-estimé Indiana
00:31 un tout petit peu trop vite quand il y avait deux zéros et qu'on se disait,
00:34 ces Nicks, ils paraissent un peu au-dessus ?
00:36 Je ne sais pas si on les a sous-estimés.
00:38 On n'a pas dit que la série était terminée quand les Nicks menaient deux à zéro,
00:42 puisqu'à ce moment-là, Ojeanunobi quand même se blesse et Jalen Bronson a un mal au pied.
00:47 Il commence à y avoir quand même beaucoup de bobos.
00:51 Là-bas, on ne peut pas oublier que les Pacers n'ont jamais perdu à la maison dans ces playoffs.
00:55 Donc, on savait que ce serait un déplacement difficile pour les Nicks.
00:59 Je ne pense pas qu'on les ait sous-estimés.
01:02 Et peut-être qu'on pensait que la petite baisse de forme,
01:07 enfin la grosse baisse de forme des Nicks arriverait plus tard dans la série.
01:11 Et là, je pense que la courte défaite dans le match 3 leur fait très mal.
01:15 Ils pensaient peut-être le gagner celui-ci et pouvoir un peu gérer, aller gagner la qualif au Madison.
01:21 Là, j'ai pris l'impression qu'ils sont très fatigués et qu'il y a peu de solutions.
01:26 C'est ça qui me fait un peu peur pour eux, alors que les autres sont pleines bourre.
01:30 Ils ne perdent pas chez eux. Ils sont revenus à deux partout.
01:33 Tout peut arriver, mais vu que tout le monde protège son terrain,
01:36 le match 7, c'est au Madison Square Garden. Donc, rien n'est terminé.
01:39 Est-ce qu'on ira jusqu'au match 7?
01:40 Ça, par contre, c'est la question, parce que c'est vrai que la blessure de Jalen Unobi,
01:44 qui est déjà annoncé à out pour le Game 5, peut-être de retour pour le 6, mais c'est très incertain.
01:50 En fait, on critiquait à un moment Thibodeau de fait ses rotations un peu courtes,
01:54 mais en fait, là, il n'a quasiment pas de rotation à faire, puisque tout le monde est blessé.
01:58 C'est peut-être là qu'il faut se poser les bonnes questions.
02:01 Blessé ou étouffé, on ne va pas parler du match d'hier. C'est le match 3, la bascule.
02:05 Le panier de Nürnberg vaut très cher dans un quatrième quartan où les Nicks sont déjà fatigués,
02:11 même s'ils ont dominé le match. Le match 4 n'existe pas.
02:15 C'est là où il aurait peut-être pu avoir gestion, mais l'équipe est très courte.
02:20 Celui qui gagne le match 5 gagne la série, à mon avis, parce que l'objectif des Nicks, c'est quoi ?
02:26 C'est gagner deux fois d'un point, donc une fois avec prolongation à la maison,
02:29 et en prendre 25 ou 30 ou 40, comme tu veux, au match 5.
02:34 Ça devrait être ça. Après, c'est difficile de gérer à ce niveau-là.
02:38 On a vu hier des joueurs qui arrivaient au bout du truc.
02:41 Brunson, bon, certes, est handicapé, mais il ne peut plus passer,
02:45 et en tout cas, a déchiré en adresse, même s'il y a des paniers à des moments,
02:48 mais dans l'installation du match, Josh Hart est arrivé à saturation.
02:53 Il joue 100 postes, il n'y a plus de big man. Il n'y a plus, à force, il n'y a plus de big man.
02:58 En face, on a l'impression qu'ils sont 150, contrairement aux Nicks.
03:02 Ils ne jouent pas un panier à 3 points, et ils sont battus 60 à 40 dans la raquette.
03:06 Tu ne peux pas jouer au basket. Tu ne peux pas.
03:09 On est au bout d'un projet, un peu.
03:11 Ils sont à bout de souffle, très clairement, là, aux Nicks.
03:13 Ici, avec le particularisme, un Brunson retrouvé, des étoiles alignées,
03:21 ils arrivent à gagner deux fois à l'arrache aux Gardennes,
03:23 ça relèvera du grand exploit.
03:25 Voilà.
03:26 Surtout, oui, et puis, alors, si on reprojette...
03:28 Mais le grand espoir a failli avoir lieu avec ce match 3.
03:31 Je ne vais pas dire qu'ils n'ont qu'à fermer la main pour le prendre, mais bon.
03:35 En tout cas, Indiana, je ne pense pas qu'on les ait sous-estimés.
03:39 C'était énervant, dans leur manière à être un petit peu...
03:43 Andilétante, quoi.
03:44 Voilà.
03:45 Et moi, au-delà d'Ali Burton, qui fait très fort, de Miles Turner,
03:49 qui a vraiment, avec Siakam, dominé physiquement,
03:52 enfin, dans le match 4, parce que jusque-là, il souffrait.
03:56 Tu peux rajouter que pour les Nicks, qui vivent du rebond,
04:00 il arrive un moment, quand tu n'as plus de big man, c'est plus compliqué, quand même.
04:04 J'adore ce que font Nesmith et Nemberd, en restant face au ballon.
04:11 Défensivement, ils installent quelque chose qui est nouveau au Pacers.
04:16 Et ça, ce n'est pas McConnell.
04:18 Mais oui, j'allais le dire.
04:19 Il a beaucoup de corps à donner Rick Kerlile face à Mo Hamsock.
04:26 Ils ont tous trouvé leur rôle, là, au Pacers.
04:29 Ils ont trouvé un mécanisme un petit peu...
04:31 Hobbitopine.
04:32 Mais oui, tout le monde a trouvé sa place.
04:34 Isaiah Jackson, tous.
04:35 Et je trouve qu'on voit que cet effectif est très étoffé.
04:39 Finalement, s'il y en a un qui va moins bien, il y en a...
04:43 Regarde, Ali Burton, hier, ta TJ McConnell, il sort du banc,
04:47 il te met 15 points en 20 minutes.
04:48 C'est quand même formidable.
04:49 C'est un peu ça aussi que montrent les playoffs, je trouve.
04:52 C'est quand une équipe a des petits éléments un peu partout
04:56 qui vont réussir à faire la différence.
04:58 L'équipe qui était toute sauf euphorique quand elle est à -10
05:02 contre l'Enix dans le quatrième ou fin de troisième du match 3,
05:06 elle a dépendu de ce mano à mano, ce bras de fer,
05:11 les stops qu'ils ont fait dans la fin de quatrième.
05:14 L'arbitrage qui avait été aussi en faveur de l'Enix,
05:17 on va dire, pour synthétiser avant et qui a basculé, là,
05:21 du côté de l'équipe à domicile, ça a été...
05:24 C'est comme souvent en playoffs, on va dire, finalement.
05:27 Ou comme... Je ne sais pas si on peut dire ça.
05:31 Non, je ne suis pas d'accord avec ça.
05:33 Non, ça joue toujours un peu, là, à domicile.
05:36 Là, on peut dire que les Nuggets ont été plutôt bien sifflés hier, si tu veux.
05:40 Contrairement... Mais alors qu'on était à Minnesota,
05:43 on a laissé jouer, quoi.
05:45 Si tu veux, comment ça, les Nuggets ?
05:48 Hier, ouais.
05:50 C'est un peu un statut différent parce qu'ils sont champions.
05:53 Mais par exemple, même pour les Nuggets 0-2,
05:57 la première mi-temps à Minnesota du match 3,
06:01 tu n'as pas intérêt à te laisser marcher dessus.
06:03 Ça, c'est comme les requins, ça.
06:05 Tout arrive en même temps.
06:07 Et en plus, tu n'as pas de bol.
06:08 L'odeur du sang.
06:09 Bien content que le bus n'ait pas crevé pour rentrer à l'aéroport.
06:13 On passe justement à cette série entre Minnesota et Denver.
06:19 De 12-0 à 2 partout.
06:21 Personne n'a gagné à domicile dans cette série.
06:23 Denver qui a retrouvé sa superbe.
06:26 Ce n'était pas une mince affaire après les deux premiers matchs
06:30 où on avait l'impression que Minnesota, pour le coup,
06:33 dévorait ses Nuggets dans l'intensité défensive.
06:35 C'était impressionnant.
06:36 Jamal Murray bousculait comme rarement.
06:38 Et puis, comme un champion, les Nuggets qui prennent les deux à Minnesota.
06:43 Et cette nuit, ils ont fait un sacré boulot
06:46 pour jamais laisser vraiment revenir Minnesota dans la partie.
06:48 Ils ont toujours eu ces 10-15 points en avance.
06:51 Et ça a suffi.
06:53 Il y a une méthode, elle fonctionne.
06:55 Ils ont été fébriles quand même les Nuggets.
06:57 On se souvient de la bouillotte lâchée par Jamal Murray
07:00 qui quand même s'en sort bien dans cette histoire
07:02 puisqu'il joue encore et qu'il n'a pas été suspendu.
07:04 C'est après le deuxième match.
07:06 Oui, mais bon, c'est le moment où quand même,
07:10 on ne les sent pas au top les Nuggets.
07:12 Mais ils ont su se remettre à l'endroit
07:15 avec Nikola Jokic qui est un MVP,
07:18 que Jouk est un MVP,
07:20 et Aaron Gordon qui est formidable, 11 sur 12 hier soir.
07:23 Là, pareil, je trouve que chacun a son carton.
07:26 Jokic qui ferme la boutique à la fin,
07:28 Aaron Gordon qui met tout le monde bien,
07:30 Jamal Murray qui fait un gros troisième carton.
07:33 Ils sont deux, ils ont repris la main.
07:38 C'est vraiment dans la domination mentale,
07:42 en tout cas, ils sont bien remis,
07:44 et aussi Anthony Edwards qui a mis 44 points hier.
07:46 Ils ont moins défendu les autres.
07:48 Ça a permis à Denver de faire bouger beaucoup mieux le ballon.
07:51 Il y a eu beaucoup de tirs ouverts, je trouve,
07:53 dans ce match pour Denver.
07:55 Contrairement au début de la série,
07:57 maintenant ça tombe dedans et ça change pas mal de choses.
07:59 C'est un peu, comment dire, je vais essayer.
08:01 Minnesota arrivait à contrôler l'impact de Jokic
08:07 en mettant de l'agressivité près de lui,
08:09 que ce soit de Kata, en dessous de Reed,
08:13 ou de McCruddy en chasseur derrière en aide,
08:15 qui défendait sur Gordon
08:17 et qui prenait le risque du scoring de Gordon.
08:20 Je rappelle que Gordon dans la série,
08:22 il a fait 1 sur 10 à un match.
08:24 Il fait 11 sur 12 là.
08:25 Il fait 10 sur 10 à un moment ou l'autre.
08:27 Jamal Murray a été contrôlé par Conley,
08:30 par Anthony Edwards, par McDaniels,
08:34 et par Alexander Walker.
08:38 Et cette espèce de duel canadien,
08:40 il finit par le gagner en ce moment Murray.
08:42 Murray a été dans le mur,
08:44 il a frôlé la suspension,
08:45 ou il l'aurait mérité ou pas mérité,
08:47 c'est un autre débat, en tout cas il joue.
08:49 Et l'évolution de cette équipe, elle est formidable.
08:54 Parce que même, je vais aller plus loin,
08:55 Murray est revenu en leader dans le troisième match,
08:59 alors qu'il était boué de partout.
09:00 Et dans le premier quartan du troisième match,
09:03 Jokic il est pas bien.
09:04 Il est pas bien dans les réceptions de balles.
09:06 Il a pas de bol au rebond,
09:08 il se resitue pas comme il faut.
09:10 Et c'est Murray par sa réussite
09:13 qui a emmené l'équipe à prendre confiance,
09:15 Caldwell-Pogues, dont on parle jamais,
09:17 mais qui est toujours là.
09:18 Et qui, ils se sont remis,
09:21 et là le joker, il est remonté.
09:25 Lui il est en poker face,
09:27 parce qu'il était pas content
09:28 après l'histoire de la Bouillotte,
09:30 parce que si la Bouillotte ça fait un match de suspension,
09:32 ils sont à Cancun, c'est clair.
09:36 Ils ont trouvé aussi Christian Brown,
09:38 qui redevient efficace en sortie de banc,
09:40 alors qu'il a pas fait une immense saison,
09:42 c'est une rotation réduite.
09:44 Et de l'autre côté, ça s'étouffe.
09:46 Ça s'étouffe parce que Carl Anthony Towns
09:48 n'est pas stable mentalement.
09:50 Ça s'étouffe parce que Murray a pris le pas
09:54 sur la ligne arrière.
09:56 Mais c'est fragile, là.
09:59 Il y a deux-deux.
10:00 C'est une série au meilleur des deux matchs.
10:03 Au meilleur des trois matchs, le premier a deux.
10:07 On parle beaucoup d'Anthony Edwards.
10:09 Il a encore été énorme cette nuit, 44 points.
10:12 Mais il a un peu aussi été lâché par Towns, par Conley.
10:15 Nasrid aussi a eu beaucoup moins d'impact
10:17 sur les deux derniers matchs.
10:19 J'ai l'impression qu'ils ont choisi leur poison, les Nuggets.
10:22 Allez, vas-y, on le laisse mettre 44,
10:24 mais les autres, par contre, on les laisse pas respirer.
10:27 Je trouve que dans la Jamal Murrah en conférence de presse,
10:31 il dit "mais moi je veux qu'on défende comme ça aussi
10:33 avec l'équipe canadienne".
10:34 C'est vrai que là aussi, ça s'est inversé un petit peu.
10:37 On disait "ah Minnesota, ils étouffent tout le monde" et tout ça.
10:39 Et là, vraiment, tout a été fait pour qu'ils n'arrivent pas à s'exprimer,
10:44 les Wolves.
10:46 Oui, et puis la défense canadienne, moi, c'est marrant qu'ils disent ça
10:51 parce que je viens de l'employer dans un autre débat.
10:54 Entre Luddard, Dylan Brooks,
10:58 Nigel Alexander-Walker, quelques spécialistes,
11:02 la défense canadienne, ça va rester un label.
11:05 Et je crois que Jamal Murrah a su matcher ce niveau-là à l'extérieur
11:10 et que sa performance est immense.
11:12 Quant au Joker, tout d'un coup, il est rentré dans une espèce de mission
11:17 et à sa manière, il est en train de...
11:20 Pour l'instant, il a retourné l'opposition avec les trois ours,
11:24 ou les trois loups.
11:25 Aaron Gordon l'a bien aidé à la retourner.
11:27 Oui, mais la qualité de la défense de Minnesota,
11:33 c'était d'avoir coupé cette relation.
11:35 Il lui donnait le shoot, mais on ne le voyait plus.
11:38 Il ne pouvait pas le servir sur la ligne de fond, d'où les balles perdues.
11:42 Il y a eu un gros travail de Michael Malone,
11:45 d'adaptation au clés-fiches, il lui avait posé un vrai problème
11:48 qui a été super bien exécuté avec Rudy,
11:51 qui sortait bien sur les extérieurs, qui trichait bien entre les deux.
11:56 Pour choper Jokic et pour quand même contrôler Gordon,
12:01 tu ne peux pas leur donner des drives,
12:03 on sent ça en une demi-seconde, ils sont les deux mains dans le cercle,
12:06 ça va vite, ces bêtes-là.
12:08 Ils ont bien ciblé et gagné avec un Michael Porter
12:14 dont la qualité et le scoring ne l'emmène pas.
12:17 Donc ça, c'est bien, c'est un match de champions.
12:20 Mais je maintiens, comme je le dis depuis octobre,
12:22 que Samuels Brown et Jeff Green sont un peu courts.
12:25 Reggie Jackson, Watson aussi, c'est pas...
12:29 Tu joues ta maison ?
12:31 C'est peut-être pas le bon d'un futur champion, à pire.
12:33 Tu joues ta maison ?
12:35 En plus, je viens d'avoir une maison, donc je ne vais pas tout de suite la jouer.
12:37 Sauf que celui qui remporte cette série aura fait un grand pas, peut-être.
12:40 Ouais, parce que Sunder Mavericks, là...
12:44 Chaque jour, ce fils-là...
12:46 Je suis bien d'accord, mais bon...
12:48 Regarde Monaco, il faut en faire des choses
12:50 pour aller dans un Final Four de basket,
12:53 et trouver le final ennemi.
12:55 Pour moi, je vais te faire le résumé,
12:58 pour moi, les quatre équipes de l'Ouest peuvent être championnes.
13:00 Oui, bien sûr, tout à fait.
13:02 Hier, j'entendais, pendant un com,
13:05 oui, à l'heure actuelle, pour l'instant, surtout, sans Portzingis,
13:09 alors complètement, les quatre de l'Ouest peuvent battre Boston sans Portzingis.
13:13 Avec Portzingis, ça se discute.
13:16 Mais à l'heure actuelle, quand on dit la différence entre l'Est et l'Ouest,
13:19 elle est là, pour moi.
13:20 Oui, je suis d'accord avec ça.
13:22 Même si je me donne un petit avantage au vainqueur de Nuggets Who...
13:26 Son.
13:27 Ah ouais ?
13:28 Tu vois pas, Dallas, gros, comme un camion, toi.
13:30 Je les trouve pas assez sérieux, encore.
13:32 Ah, mais ils ont pris un peu l'unatique.
13:36 C'est quoi, c'est mon côté, quoi ?
13:38 Maîtresse d'école ?
13:39 Ah ouais, voilà ! La règle !
13:41 J'ai pris la règle.
13:42 Je fais partie d'une génération qui se faisait taper sur les doigts.
13:45 Ah, ça, c'est pas mal, ça.
13:46 Oh là là, qu'est-ce que... Regarde, moi, je m'en remets pas.
13:49 Attends, parle encore.
13:50 Mais tu faisais souvent taper sur les doigts ?
13:52 Ça pouvait arriver.
13:53 Ça pouvait arriver, ouais.
13:54 Bavard de trop.
13:55 Sunder Mavericks, Dallas, qui a retourné un peu cette série qui était menée à zéro,
14:00 qui mène maintenant deux ans avant d'avoir un quatrième match à Dallas.
14:05 J'ai failli m'embrouiller.
14:06 Dallas, qui, je trouve, est beaucoup plus sérieux depuis deux matchs,
14:11 et ça change tout.
14:12 Oui, mais alors attention !
14:13 Attention, justement, à ne pas rechuter.
14:15 Ils ont été sérieux pendant deux matchs, la rechute !
14:16 Qui fait quand même pas mal la différence, je trouve, avec...
14:19 Alors, évidemment, PJ Washington, qui est un peu le factor X pour le moment,
14:22 mais qui fait aussi beaucoup de mal avec Lavely et Gafford face au seul Chet Tompkren.
14:27 Il y a une différence de taille à l'avantage de Dallas,
14:30 qui, je trouve, commence à peser au fur et à mesure de cette série.
14:33 Peut-être.
14:34 Je sais pas.
14:35 Je n'ai pas encore assez confiance en eux.
14:38 Même si je me dis, tant que Kairi est là, tout peut aller.
14:42 Bien sûr, elle est dans le siège et tout,
14:44 mais je trouve que Kairi Irving en finisseur de match, c'est quand même assez formidable.
14:49 Mais je suis d'accord, ils ont tout ce qu'il faut,
14:54 mais je valide pas encore totalement ce qu'ils font.
15:00 Mais c'est bien ce qu'ils font.
15:01 Bravo !
15:02 Magnifique !
15:03 Tu prends Kairi Irving et John Chic,
15:05 donc ils sont dans une équipe où ils ne peuvent pas jouer
15:07 parce qu'ils sont vraiment archi battus à l'intérieur,
15:10 et tu restructures l'intérieur.
15:12 Et DJ Washington, il a eu l'Iegafort, ils ont une vraie force.
15:15 Et en plus, on oublie tous, Tim Hardaway qui revient.
15:20 Oui, je me posais la question.
15:21 Tim Hardaway qui est revenu et qui est redevenu un basketeur utile.
15:24 Dante X-Homme qui était déjà dans la boucle.
15:27 Cette équipe-là est dangereuse.
15:29 Elle a retourné la série, oui.
15:32 Kairi en finisseur, oui, mais il faut y arriver à la fin.
15:36 Bien sûr.
15:37 Quant au maestro, à Luca Donchic.
15:41 Alors ?
15:42 Il faudra que dans l'évolution de sa carrière,
15:45 ils comprennent qu'il faut relâcher quelques-uns pour être plus fit.
15:48 Déjà, c'est la leçon qu'il prendra après,
15:51 qu'il perd de toute façon, il faudra l'apprendre.
15:54 Hygiène de vie, je ne sais pas.
15:56 Il a une nature comme ça, il faut qu'il fasse gaffe.
15:59 Là, il a mal aux genoux, il n'a pas mal aux genoux.
16:01 Je sais aussi qu'il se régale de vivre dans le drama.
16:03 Il a un côté comme Joel Embiid.
16:05 Comme dans un match, quoi.
16:07 Il vit tout à tellement à fleur de peau
16:10 que tu as l'impression qu'il est out pour six mois
16:12 et il va te coller un panier à trois points sur l'action qui s'y suit.
16:15 Il est comme ça.
16:17 Mais il a la capacité à dominer les matchs,
16:20 à faire jouer l'équipe au rythme où il veut
16:23 et à faire jouer le match au rythme où il veut.
16:26 Il est infernal.
16:28 En face, c'est vrai que c'est un peu petit derrière Holmgren, on le savait.
16:31 On le savait déjà, bien sûr.
16:33 C'est vrai que Jaden Williams continue à faire des bonnes stats,
16:38 mais pèse moins sur les matchs que Holmgren.
16:41 Je pense qu'il n'y a jamais eu, très rarement,
16:44 un numéro 2 de draft aussi fort.
16:46 Enfin, bref, vous m'avez compris.
16:49 Un numéro 2 au rookie, bien sûr.
16:52 Quant à SJA, Isaiah Joe est vraiment une super bonne surprise.
16:57 Isaiah Joe et...
16:59 Jaden Williams aussi est pas mal.
17:01 Il avait déjà apparu dans la fin de saison régulière.
17:04 On ne va pas parler de Lou Dort.
17:06 Il fait partie de ses premiers points de défensive.
17:09 Et Shea est quand même un joueur d'une élégance, d'une beauté.
17:13 D'une régularité.
17:14 Ils ont inventé un move, lui, d'jamant,
17:17 avec le ballon qui part devant les appuis.
17:20 Il est smooth au possible.
17:23 Et puis, il est capable, lui aussi, de s'adapter à la défense canadienne,
17:28 parce que c'est un peu ce qu'il a sur le poil
17:30 quand il a la défense australienne avec Josh Green, qui est agressif.
17:34 Il a des mecs comme ça qui lui sautent sur le poil.
17:36 Il ne bouge pas une oreille.
17:38 Je ne suis pas loin de penser que le duel des stars, quand même, des franchises,
17:43 cette série marquera le duel entre Luca et Shea Giggles.
17:49 On met Kyrie à côté.
17:51 Oui, il a un profil de franchise, mais on sait qu'il ne peut pas l'être
17:54 parce qu'il y a trop de...
17:58 Parfois, ça fait de la friture sur l'œil.
18:00 Mais sans lui, évidemment, il ne passe pas.
18:02 C'est la valeur ajoutée.
18:05 C'est la valeur ajoutée que ne connaît peut-être pas encore totalement
18:08 Jalen Williams, côté de Shia.
18:10 Oui, mais le challenge, c'est de le devenir.
18:12 Oui, mais il va probablement le devenir.
18:16 Moi, à côté de Shia, très sincèrement,
18:20 celui que je verrai toujours en numéro 2,
18:22 les premiers assistants, l'autre, c'est le président, lui, le vice-président,
18:26 c'est quand même Olmgren.
18:28 Parce que, oui, Gafford est imposant physiquement.
18:32 Zubach l'avait remué.
18:34 Si Olmgren refait surface sur un match et domine,
18:38 O'Casey gagnera le match.
18:40 Que ce soit... ou que ce soit.
18:42 Adala soit O'Casey, Olmgren...
18:44 Alors, il est peut-être fatigué, c'est un gamin.
18:46 Lui, il a progressé.
18:47 Au play-off, il en a appris des choses.
18:50 Mais Olmgren, ils ont un trio majeur.
18:54 Alors, oui, les autres, Jalen Williams, tout ça,
18:57 il y a Joe Bode, surprise, Gordon Eward, échec total.
19:01 Pour l'instant, il faut voir.
19:03 Ah oui.
19:05 Il n'a pas du tout apporté ce qu'il...
19:07 Non, mais bon...
19:08 Il ne joue quasiment pas, de toute façon.
19:10 T'en as des anciens comme ça, Patimil, Samy Ami, ça a fait pareil.
19:14 Gordon Eward, quand c'est la fin...
19:16 C'est la fin, c'est fini, c'est fini, voilà, merci.
19:19 On enchaîne, enfin, on termine,
19:22 pour la dernière série entre les Celtics et les Cavaliers.
19:26 Comme prévu, Boston a de la marge,
19:28 mais comme au premier tour, ils ont quand même lâché un match à domicile.
19:32 Ça, c'est quand même...
19:33 Je disais que Dallas n'était pas toujours très sérieux.
19:36 On peut faire exactement le même reproche à Boston.
19:38 Après, il leur manque un joueur.
19:40 Il leur manque un joueur.
19:41 Et heureusement que les Cavs...
19:42 Ce n'est pas les seuls.
19:43 Ce n'est pas les seuls, mais c'est vrai, ils ne sont pas sérieux.
19:47 Ils ne sont pas sérieux.
19:48 Les Cavs aussi ne peuvent pas être sérieux.
19:50 Mais si, ils peuvent l'être.
19:51 Qui ? Les Celtics ?
19:52 Moi, je trouve qu'ils doivent l'être.
19:54 Mais qu'est-ce que tu appelles ? Il arrive un moment où, moi,
19:57 c'est comme quand on dit ne pas mouiller le maillot.
19:59 Attends, je te pose une question.
20:01 Comme quand on dit ne mouille pas le maillot.
20:04 Ouais, si les mecs, il faut qu'ils passent à la douche avant d'entrer sur le terrain,
20:07 le maillot, il sera mouillé.
20:09 Être pas sérieux, ça veut dire quoi ?
20:12 Je pense que c'est une équipe qui doit être supérieure aux Cavaliers.
20:16 Mais comment même ?
20:17 En défense, en attaque...
20:20 Sur à peu près tous les secteurs de jeu,
20:22 Boston est censé être au-dessus de Cleveland.
20:25 Surtout quand tu as Darius Garland qui fait partie de série, il est extraordinaire.
20:27 Moi, je pense qu'une équipe qui a dominé comme ça
20:29 et qui est attendue par tout le monde aussi loin dans une saison,
20:33 doit arriver en étant plus maître de...
20:38 Vous auriez imaginé que ce soit un rouleau compresseur ?
20:41 Non, mais tu pars pas à domicile.
20:43 Tu peux en lâcher un ou deux à l'extérieur.
20:45 Je trouve que cette sensation de rouleau compresseur,
20:48 je m'attendais à la voir en regardant les Celtics en play-off.
20:51 C'est parce que vous l'attendiez que vous êtes surpris.
20:53 Elle est naturellement comme ça.
20:55 Oui, voilà.
20:56 On aimerait bien que ça change.
20:57 Ça s'améliore, sinon tu ne gagneras pas le titre.
21:00 C'est ça le souci pour Boston ?
21:02 Mais tous ils ont ce souci-là.
21:04 Boston, c'est quand même la nature de cette équipe.
21:07 Et encore, ils tombent sur un Derrick White de gala
21:10 pour compléter cette manière de jouer qui est magnifique,
21:14 mais qui est hyper dangereuse quand tu veux gagner.
21:18 Moi, je pense que c'est leur axe de progression le plus important.
21:22 Après, en ce moment, il n'y a pas Port Zingis, certes.
21:25 Est-ce que Port Zingis a plus d'influence sur Boston que Jaretta et sur Cleveland ?
21:29 Ça reste discutable.
21:31 Non, c'est discutable.
21:32 Ça reste discutable.
21:33 Oui, je ne sais pas.
21:34 C'est assez équivalent.
21:35 Donc, les deux.
21:36 Et moi, ce qui me choque aussi, tu vas le souviens,
21:39 Joe Madzilla est un mystère.
21:42 Et quand je vois jouer les 6,
21:44 je vois des runs positifs qui sont stoppés par le coach adverse,
21:51 même si J.B. Pickerstaff ne fait pas l'unanimité,
21:54 mais je trouve qu'il stoppe quand même quand il y a le feu.
21:57 Madzilla, il a joué, lui, les runs positifs, oui.
22:00 Mais quand ils sont au point dans la truffe,
22:02 il ne bouge pas une oreille, dis donc.
22:05 Il faut, je pense que Jay Brown, et on a vu Jay Brown parler avec Tatum,
22:10 mais Tatum, c'est le Buster Keaton des franchise players.
22:13 Ça devient quand même...
22:16 Je sais qu'il travaille sur lui, je sais qu'il a envie,
22:19 mais communique un peu.
22:21 On voit Jay Brown qui va lui parler,
22:23 et heureusement qu'ils ont alors Ford.
22:25 L'autre, le Derek White, qui a un bonheur,
22:27 le petit Pritchard qui joue à 300 %,
22:30 mais ils n'ont pas de marge.
22:33 Parce que, je ne sais pas, ils n'ont pas cette dureté,
22:37 mais elle est comme ça, cette équipe.
22:40 Ils gagneront ou ils ne gagneront pas, mais comme ça.
22:43 C'est pour ça que je dis que les cadres de l'Ouest peuvent gagner.
22:47 C'est pour ça.
22:48 Toute l'année, je vous l'ai dit, il y a ce côté...
22:50 Et vous, vous attendez...
22:52 Non, je rigole en disant ça.
22:54 Vous n'en êtes très smais, et Marie-Patrick, institutrice en chef,
22:58 depuis le 15 octobre, elle dit "ils ne sont encore pas sérieux".
23:02 Bonne, très bonne élève, peut mieux faire.
23:05 C'est bien résumé pour Boston, pour le coup.
23:08 Oui, mais moi, je trouve qu'on n'arrête pas de dire,
23:10 ça fait des années qu'on dit qu'il faut qu'ils progressent là-dessus.
23:12 Ils n'ont pas progressé là-dessus.
23:14 Même si c'est leur nature, tu essaies de travailler là-dessus,
23:17 tu essaies de t'améliorer.
23:19 On revit les mêmes trucs, en fait.
23:21 C'est toujours le même feuilleton.
23:23 C'est comme ça qu'on fait des "what if".
23:25 Oui, mais pour l'instant, on ne fait pas un "what if".
23:27 On dit "on va revivre la même histoire avec cette même équipe
23:30 et ils vont revivre la même désillusion au mois de juin".
23:33 Alors qu'ils ont fait...
23:35 Vous avez des soucis pour eux, en fait ?
23:37 Non, parce que je pense qu'ils ne vont pas gagner.
23:39 Tu sais pourquoi, Nico ?
23:41 Parce que tu le palpabilises encore du titre que les Warriors ont piqué.
23:46 Pas du tout !
23:48 On n'a pas ça sur la table.
23:50 Ils sont traumatisés à vie, regarde !
23:53 Pour Cleveland, est-ce qu'il y a quand même un espoir dans cette série ?
23:58 Il y a deux ans, ça peut...
24:00 Ils peuvent pousser en six ou sept ?
24:02 Ça peut être long.
24:04 Ils peuvent les embêter longtemps ?
24:06 On va voir la suite.
24:08 Cleveland a un potentiel incroyable.
24:12 Donovan Mitchell est très mystérieux.
24:14 Il tombe sur Garland.
24:16 Mais le Vert vient de faire surface.
24:18 Je ne sais pas...
24:20 C'est bizarre, c'est pareil.
24:22 Ils ont tout ce qu'il faut.
24:24 En boutique, dans la boutique, il faut y aller !
24:26 Il y a des dynamiques.
24:28 Indiana est dans une dynamique positive.
24:30 Cleveland n'est pas obligatoirement ou pas encore.
24:32 Ça n'a pas fait le même effet.
24:34 Mais une petite chance, oui.
24:36 Petite, mais peut-être un peu plus grande qu'au début de la série.
24:40 On va rigoler un peu pour la fin.
24:42 Knicks-Pacers, qui passe ?
24:44 Pacers.
24:46 Jacques ?
24:48 Tu ne t'y attendais pas, mais je vous demande nos petits pronostics au milieu des séries.
24:52 Le pronostic, en toute objectivité, c'est les Pacers.
24:56 Mais il faut qu'ils donnent chaque goutte de transpiration jusqu'au bout.
25:00 Les Knicks vont la donner.
25:02 Ils vont la lâcher.
25:04 Oui, ça peut le faire.
25:06 Et tu en prends 30 dans le match aussi à Indiana.
25:08 Tu laisses tomber, tu fais tourner, enfin !
25:10 Tu fais tourner qui ?
25:12 Il a ouvert son banc hier !
25:14 Oui, il y a J.B. Newton qui a joué.
25:16 Ça s'est vu que ça faisait un moment que tu n'allais pas jouer.
25:18 Un jour, aussi, on l'en demande beaucoup.
25:20 Non, mais je ne dis pas ça, ce n'est pas mes gens.
25:22 Oui, qui c'est qui l'a commenté ?
25:24 Minnesota, Denver.
25:26 Denver.
25:28 Le champion.
25:30 Thunder, Mavericks ?
25:32 Ça c'est dur.
25:34 Moi, je pars pour les Mavericks.
25:36 Je vais dire Thunder pour ne pas dire comme Jacques, mais bon.
25:38 Mais bon, Kyrie.
25:40 Et puis les deux seront beaux.
25:42 Il va y avoir une finale de confé.
25:44 C'est absolument exceptionnel.
25:46 Et puis Boston et Cleveland ?
25:48 Boston, quand même.
25:50 Les six, et puis on a envie qu'ils sortent à l'Est.
25:52 On a envie d'aller jusqu'au bout.
25:54 Qu'ils jouent pour le 18ème.
25:56 Ça fait partie de l'histoire de la NBA.
25:58 Il y a deux équipes à 17
26:00 titres pour Boston.
26:02 Ce serait un formidable booster.
26:04 Depuis le temps qu'ils l'attendent.
26:06 On termine rapidement.
26:08 Marie, si tu as le temps.
26:10 C'était cette nuit.
26:12 Draft le 26 juin sur Bean.
26:14 Sur Bean ?
26:16 Oui, sur deux jours.
26:18 Un jour pour le premier tour,
26:20 un autre pour le deuxième, au Barclays Center.
26:22 Et Atlanta qui a récupéré le first pick,
26:24 alors qu'il n'y avait que 3% de chance de l'avoir.
26:26 Est-ce que ça doit impliquer
26:28 une reconstruction pour Atlanta ?
26:30 On exite Trayong,
26:32 les Capelas, peut-être des Jaunes-Téméraires ?
26:34 Est-ce qu'on repart sur un nouveau cycle ?
26:36 Je ne sais pas.
26:38 Mais est-ce qu'un premier ?
26:40 Ce n'est pas Victor Wembañama qui arrive.
26:42 Ça sera sûrement Alex Sarr ou
26:44 Zachary Rezaché.
26:46 En tout cas, ils ont de la monnaie d'échange.
26:48 Ils ont de quoi discuter, les Hawks.
26:50 Après, c'est peut-être
26:52 en effet le début d'une reconstruction
26:54 nécessaire pour cette franchise qui
26:56 me semble être allée au bout de son projet.
26:58 Après, moi, ce que je vais
27:00 retenir surtout, c'est qu'on va encore avoir des Français
27:02 très hauts et que décidément,
27:04 la France est un gros fournisseur
27:06 de bons joueurs
27:08 pour l'NBA.
27:10 C'est quand même super cool.
27:12 Pour la draft ? Oui, mais bon...
27:14 Il y a quelques trajectoires qui nous laissent dubitatifs.
27:16 C'est pour ça que moi, je ne suis pas sûr
27:18 que le fait qu'ils aient le choix numéro 1,
27:20 vu la qualité de la draft
27:22 qui va arriver,
27:24 rechange la vie des Hawks.
27:26 Tu veux dire par là,
27:28 pour traduire...
27:30 C'est pas de bol d'avoir du bol.
27:32 Voilà.
27:34 On ne gagne pas deux fois au loto, quoi !
27:36 Oui, mais...
27:38 C'est pas gagner trois fois en quatre ans, même.
27:40 Oui, mais deux fois de suite.
27:42 Et puis, Anthony Bennett dans l'autre.
27:44 Mais ça, c'est leur problème.
27:46 Mais ça, c'est leur problème.
27:48 Mais tu as le premier choix.
27:50 L'autre est bien faite, parfois, en NBA.
27:52 Mais la leçon,
27:54 c'est que Détroit a vraiment pas de bol.
27:56 5ème les Pistons.
27:58 Que si on est avec nos trois Français
28:00 top 8, on va dire top 10,
28:02 on a de fortes chances d'en avoir
28:04 encore un San Antonio qui a deux piques
28:06 bien placées, je crois que c'est 8.
28:08 4 et 8, donc...
28:10 ça peut le faire.
28:12 Il y aura peut-être d'autres Français aux Wizards aussi.
28:14 Top Peach, par contre,
28:16 plaît beaucoup à Osprey.
28:18 Donc, c'est un peu sur le poste
28:20 que peut... enfin bon, bref,
28:22 Corsak, Rizachet,
28:24 voire même Tidjane.
28:26 Ce qu'il y a à retenir, c'est Houston, 3ème,
28:28 avec une équipe qui a déjà un projet assez avancé.
28:30 Bilan à l'équilibre, cette saison 41-41
28:32 à l'Ouest. Tu récupères le
28:34 3ème choix de la draft.
28:36 Tu regardes dans la liste, parce que là, finalement, d'intéressant,
28:38 il peut y avoir Klingon,
28:40 il peut y avoir bien sûr Alexa.
28:42 Sur les postes 5,
28:44 Atlanta avec Okungu et Capella,
28:46 il faut prendre une décision sur un des deux, oui.
28:48 Ou le mettre en développement avec,
28:50 mais il faut voir, c'est pas une draft
28:52 qui change le visage de la Ligue,
28:54 mais il y aura des bons joueurs qui font sortir.
28:56 Il faut pas la résumer à ce qui est le top.
28:58 Peut-être, il va y avoir un volume
29:00 de joueurs et peut-être, et on voit de plus
29:02 en plus que des mecs qui sortent 37,
29:04 40, ils deviennent des
29:06 stars ennemis, des vrais stars, qui gagnent
29:08 des matchs. On n'a qu'à voir les cursus
29:10 de certains qui jouent en ce moment.
29:12 Parce qu'au bout du bout,
29:14 l'année 13e, c'est une super star maintenant.
29:16 Kawhi aussi a été 13 dans ses aulas.
29:18 Dans ses aulas entre 13 et 15,
29:20 il y a des stars après le top 10.
29:22 Il y a des joueurs aussi qui sortent
29:24 du deuxième tour, qui ont un vrai rôle dans des équipes
29:26 de play-off.
29:28 Michel Robinson,
29:30 c'est 36e du deuxième tour.
29:32 Il y en a plein.
29:34 C'est sûr que ça...
29:36 Cette année, effectivement, sans
29:38 faire un jeu à personne, il y aura
29:40 entre le numéro, ça va être
29:42 un petit peu, pas au bonheur la chance, mais la réussite.
29:44 Et que des mecs saisissent
29:46 leur chance, tu vas avoir
29:48 du numéro 5 au
29:50 numéro...
29:52 15 ans.
29:56 Plus ! Jusqu'au milieu du
29:58 deuxième tour. Tu parles pas bien le "bob bob bob".
30:00 C'est pas facile à traduire
30:02 des fois, à déchiffrer.
30:04 Il va y avoir une densité de joueurs,
30:06 et la maturité mentale,
30:08 le bon endroit,
30:10 le coach qui a envie, le joueur
30:12 qui est sérieux.
30:14 Il va y avoir des surprises incroyables.
30:16 Bref, ne soyez pas draftés à Détroit.
30:18 On peut souhaiter ça
30:20 aux futurs rookies.
30:22 Parce que c'est pas simple d'être rookie.
30:24 Ah si, et puis la nouvelle de la semaine,
30:26 c'est Mike Bildenhauser qui arrive
30:28 à Phoenix.
30:30 C'est qu'il a dit à tous les assistants
30:32 que s'ils voulaient pas rester, c'était pas grave.
30:34 Mais ils les ont pas gardés, de toute façon.
30:36 C'est lui qui a demandé.
30:38 Il a dit qu'ils étaient OK,
30:40 mais s'ils voulaient partir, c'était aussi bien.
30:42 Allez, c'est comme ça qu'on termine
30:44 ce numéro. Il y a beaucoup de choses
30:46 à revoir. Qu'est-ce que j'ai vu pour les Lakers
30:48 dans les nouveautés ?
30:50 Ils attendent leur coach encore.
30:52 Oui, mais justement, les nouveautés de coach.
30:54 Ah, les nouveaux côtés de coach.
30:56 James Borrego.
30:58 Oh purée.
31:00 On s'arrête là, il n'y a pas grand-chose à dire.
31:02 Vous en reparlerez dans la semaine.
31:04 C'est quand dans la semaine ?
31:06 Jeudi.
31:08 Merci à tous de nous avoir écoutés.
31:10 Merci Marie, merci Jacques.
31:12 Bonne semaine à tout le monde. Ciao.
31:14 Oh my goodness.
31:16 Ce spectacle va fermer.
31:18 C'est pas possible.
31:20 C'est pas possible.
31:22 [Musique]
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