• il y a 7 mois
Que pensent les nouchis de l'égalité entre l'homme et la femme ?
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Transcription
00:00 Pourquoi vous la créez d'abord le chien d'abord on va défendre le moussou ?
00:02 C'est pas un gagnon, donc elle peut pas se diquer c'est un gagnon.
00:05 Elle nous dit c'est pas un voleur, elle le prend nous dit quand elle veut voir Tchéko.
00:07 Tchéko !
00:08 Avant que nous on soit venu au monde même là, y'a pas gagnon.
00:11 Y'a pas gagnon.
00:12 Parce que le contenu même d'abord nous ça fait djiatiki avant de dire qu'il va prendre un côté pour dire qu'il va créer un moussou.
00:18 Ouais, ça j'ai tombé sur ma catégorie.
00:21 Donc ça fait jamais gagnon même.
00:23 Pourquoi vous la créez d'abord le chien d'abord on va défendre le moussou ? C'est pas un gagnon, donc elle peut pas se diquer c'est un gagnon.
00:29 Mais ça va !
00:30 Quelque soit ton échec, Moussou même d'abord on va avoir échec là.
00:32 C'est pas elle son échec, c'est l'homme qui donne échec à Moussou.
00:35 Quelque soit ton sujet, quand vous allez travailler là, directement dans une télévision là, c'est un garçon.
00:40 Donc vous allez aller sur Baraba, vous allez dire qu'elle est mort, qu'elle est en piste, qu'elle est zippa.
00:44 C'est toi !
00:46 Voilà !
00:47 Y'a pas gagnon, viens mon gars.
00:49 C'est toi !
00:50 Tchéko !
00:51 Comment ça m'a pris ma tête même mon petit ?
00:53 C'est toi pour moi même.
00:55 Moussou peut jamais faire gagne avec l'homme.
00:57 Le moussou peut barrer, mais c'est l'homme qui doit barrer avant le moussou.
01:00 L'homme est toujours au-dessus de la femme, parce que elle doit rester en piste et faire les petits mouvements.
01:07 Et ça, ça, l'homme doit aller dans les boriboris pour envoyer le gagne à la maison.
01:12 Tchéko !
01:13 Même si c'est comme un combat même là, Moussou, puis garçon même là, y'a pas moment.
01:17 Garçon est toujours là, au moins c'est comme un...
01:19 C'est ce qui est juste.
01:21 Puis Moussou, même là, même là, il compte, mais il compte pas.
01:23 Oubain ?
01:24 Comment ça ? Explique-nous.
01:26 Ouais, puis là, y'a des moussous aussi là, y'a des fois là, ils se font les petits mouvements, à la moro moro.
01:31 Ça là aussi là, ça c'est un là, on est là pour s'aider, mais là, Moussou même là, il compte pas.
01:35 Si le moro aussi là, s'il a les bras croisés, ça c'est son affaire.
01:39 Sinon quand on dit garçon là, t'es né garçon.
01:41 Moussou là, faut avoir tout, hein.
01:43 Mais là, moi même là, c'est moi aussi garçon.
01:45 Il faut faire tout pour moi, mais c'est moi aussi garçon.
01:47 Donc Moussou là, il est assez calme, même si même là, même là, il est sujet.
01:50 Oumar, même là, même là, même là, c'est garçon, t'es là.
01:53 Quand on dit Oumar, là c'est Oumar.
01:55 Oumar, c'est Oumar.
01:57 Oubain ?
01:58 Quand on dit Oumar, c'est Oumar.
01:59 La femme, elle toujours considère le condom comme nos vieilles.
02:03 La femme doit faire tout pour les barras.
02:04 Même manahoua, même si on a des gens qui sont comme maman, tout ça là.
02:07 On doit faire gai juste, c'est comme ça.
02:09 Vrai Moussou, même à maman, et brou brou, elle fait gai à son moro.
02:12 Tout le monde a les mêmes choux.
02:13 Monsieur et madame, c'est le même chou.
02:15 Bon, ça dépend.
02:17 Voilà, ça dépend.
02:18 Si le Moussou est gêné, là, on peut dire que ça existe.
02:22 Le Moussou, il n'y en a pas un.
02:24 Le moro, il fait tout.
02:25 Dans les marchés, dans les maisons du jeune.
02:27 Elle a quoi à dire.
02:29 Donc selon moi, ça dépend.
02:31 Si le Moussou n'est pas un jossi, il participe dans la pièce.
02:34 Voilà.
02:35 Le moro, il n'y en a pas, il parle avec la mère.
02:37 C'est-à-dire que Moussou, il est hyper lourd.
02:39 Il parle un temps, un temps.
02:40 La mère, elle parle avec la mère.
02:42 Il ne mérite pas de respect.
02:44 Si elle ne fait rien, tu connais la vie du moro.
02:46 Si le Moussou, il est hyper normal.
02:48 C'est pas obligé.
02:50 Il y a un autre traducteur africain, c'est l'homme Kelo.
02:52 Le chef de la maison, celui qui doit s'occuper de sa femme, de ses enfants.
02:55 Si tu as les moyens, il faut le faire sans bruit.
02:57 Mais dans le respect.
02:59 Moi, je ne suis pas mon Moussou.
03:01 C'est deux grosses.
03:02 Si mon Moussou est tatani, je soutiens le Moussou à une partie.
03:07 Et c'est alléluia et samedi.
03:09 En tout cas, moi, c'est que je vois.
03:11 C'est juste un gaz.
03:13 Tu peux aller dans ton tatami, tu vas voir tout ton gaz.
03:16 Tu vas voir ton Moussou.
03:18 Et à la dernière minute, elle va voir ça en ton bras.
03:20 Quand c'est grand, c'est pas trop science.
03:22 Si elle est sans son problème, elle en voit pour elle-même.
03:25 Elle déclare tout c'est bien.
03:27 Moi, je peux déclarer pour moi.
03:28 Mais s'il y a manière, il y a manière de tout aussi.
03:30 Toi, tu connais.
03:31 C'est là que j'ai le courant de l'eau grise et tout.
03:33 Quoi?
03:34 Répétez, s'il vous plaît.
03:35 C'est là que j'ai le courant de l'eau grise et tout.
03:37 Mais là, moi aussi, mon baril est fait.
03:40 Il a même bien.
03:41 Tu vois un brinon?
03:42 Ça, c'est les garçons, les riche gars comme nous,
03:44 qui ont les reins droites.
03:45 Oui.
03:46 Ça, j'ai tombé sur ma catégorie.
03:47 Il a le droit de ça.
03:48 Donc là, c'est ce qui est juste.
03:50 C'est là plus que moi.
03:51 C'est Dieu qui a voulu.
03:52 C'est Dieu qui a voulu.
03:53 !

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