• il y a 7 mois
Première citation, et premier échec pour les Grosses Têtes ce 29 mai. Après seulement quelques minutes, 300 € partent déjà dans la poche d'un auditeur...

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Transcription
00:00Les grosses têtes de Laurent Ruquier, c'est de 15h30 à 18h sur RTL.
00:09Bonjour, heureux de vous retrouver avec pour vous aujourd'hui une grosse tête chanteuse
00:18qui se produit avec 2700 choristes sur scène et 5 autres grosses têtes à la radio.
00:25Une grosse tête qui s'appelle Michel et qui cherche toujours son Jackie, Michel Bernier.
00:38Une grosse tête aussi célèbre dans le grand studio que dans le TGV Paris-La Rochelle, Valérie Bérès.
00:50Une grosse tête dont le nom est célébré de Séville à RTL en passant par BFM, Christophe Barbier.
01:03Une grosse tête qui ne fait même pas son âge, Titope.
01:14Bonjour !
01:18Et une grosse tête dont la mémoire fait passer Essaye des éléphants pour des amnésiques, Paul Aïcarat.
01:29Vous ne connaissez pas encore Paul Aïcarat, Angoune, c'est votre première fois avec Paul.
01:34C'est vrai, mais j'ai tellement entendu parler de lui.
01:37Donc là, je pense qu'il va nous rendre la tâche facile pour tout le monde.
01:42Alors méfiez-vous parce qu'en plus, il aime les très jolies femmes et il n'a l'air de rien comme ça.
01:48Pourquoi je ne les aimerais pas ?
01:50Ça, c'est pas faux comme réponse.
01:53J'ai une idée, moi, mais bon.
01:56Ça peut arriver, oui.
01:58Non, en tout cas, je suis content de rencontrer Rêve Gracieux.
02:02Ouh, c'est pourquoi Angoune, ça veut dire rêve gracieux.
02:06Ça veut dire la grâce qui s'est créée dans un rêve.
02:09Il a étudié le javanais avant de venir.
02:12Mais enfin, il a étudié juste Angoune.
02:15La javanaise, c'est comment la chanson de la javanaise d'ailleurs ?
02:19Ne vous déplaisez en chantant la javanaise.
02:29Nous, nous ayons le temps d'une émission.
02:39Ça démarre bien tout ça.
02:41Et vous, M. Titoff ?
02:43Écoutez, c'est une bonne journée.
02:44M. Titoff est à l'or, il est là aujourd'hui.
02:47C'est même Paul qui est arrivé un petit peu à l'arracher, on va dire.
02:50Je lui ai rien dit.
02:51Je lui ai dit, c'est pas grave.
02:53C'est rien.
02:54Je suis très enfant, je suis content de voir Angoune.
02:57Moi, je me rappelle, quand j'étais tout jeune, je vous regardais à la télé.
02:59Vous n'avez pas bougé, mais pas pris une ride.
03:02C'est incroyable.
03:03Et toi, tu as été tout jeune, tout jeune, vraiment ?
03:05Non, j'ai toujours eu le même âge.
03:07C'est incroyable.
03:08Vous êtes très belle et très embêtée.
03:10C'est d'être beaucoup plus jeune que tous les autres, parce qu'il est arrivé en retard même à la naissance.
03:14C'est vrai.
03:15Je suis né à quatre heures et demie du matin.
03:16Allez, une première citation pour M. Léo Voisin, qui habite Strasbourg,
03:21qui a dit « J'ai une invention révolutionnaire, la voiture qui se replie dans son coffre arrière ».
03:27Paul ?
03:28Jean-Yves ?
03:29Non, et c'est quelqu'un qu'on n'a jamais cité.
03:32Ça commence bien.
03:33J'ai décidé d'élever le niveau des citations.
03:35Est-ce qu'il est vivant ?
03:36Il est vivant.
03:37Et je profite évidemment de la présence de Paul Elkarat pour effectivement citer quelqu'un
03:42qu'on n'a jamais cité, un écrivain français, auteur de quelques livres satiriques,
03:47critiques littéraires, dramatiques, reporter sportif.
03:51Il est toujours vivant ?
03:52Non, il est mort en 1933.
03:55Il a collaboré à l'hebdomadaire Le Rire.
03:58Il était aussi membre de l'Union Vélocipédique de France.
04:01On devrait nous le mettre sur la voie.
04:04Il a travaillé pour le Canard Enchaîné, pour la baïonnette, la vie au grand air.
04:09Francis de Croisset ?
04:10Non, non.
04:11On connaît des pièces ? Il a écrit des pièces de théâtre ?
04:14Alors, est-ce qu'il a écrit des pièces de théâtre ?
04:16C'est une bonne question.
04:17Je vais vous répondre tout de suite en regardant mes fiches.
04:19Parce que là, je dois vous avouer…
04:21Pendant ce temps-là, on cherche.
04:22Plus vite, Laurent.
04:23Ça peut nous aider avec Paul.
04:24Ah oui, il m'a…
04:25Vous avez dit Ogoun ?
04:26Plus vite, Laurent.
04:29Plus vite.
04:31Voilà quand même.
04:32Désolé.
04:33Être l'esclave d'Ogoun.
04:35J'en avais rêvé.
04:36Mais on n'a pas.
04:38Il a un nom à particules, si ça peut vous aider.
04:41Francis de Croisset ?
04:42Non, non, non.
04:43Il était né le 14 juin 1874, à Joigny, écrivain français.
04:48Je vois que vous ne le connaissez pas.
04:50C'est bizarre.
04:52Il n'a pas fait l'Académie des Neufs ?
04:54Même M. Barbier.
04:55Ça ne vous dit rien, M. Barbier.
04:57Non, mais il a fait trop de choses.
04:59Henri, il est mort d'une crise cardiaque en 1933.
05:03Et c'est vrai qu'il avait inventé des choses un peu amusantes, un peu loufoques.
05:09Par exemple, la baignoire à entrée latérale.
05:12Le nouveau boomerang français.
05:15C'est Gaston Lagaffe.
05:16Non, non.
05:17Le nouveau boomerang français qui, pour prévenir tout risque d'accident, ne revient pas à
05:21celui qu'il a lancé.
05:23C'est drôle.
05:24Il était un peu dans l'absurde.
05:26Voilà, un peu dans l'absurde.
05:27Il avait aussi inventé le mètre de poche qui ne mesure que 10 centimètres.
05:31Avouez que c'est drôle.
05:33Est-ce qu'il dessinait ? Non, il ne dessinait pas ?
05:36Non, il ne dessinait pas.
05:37Ah si, il a aussi fait ça.
05:40Un peu de dessin.
05:41Un peu.
05:42Un peu.
05:43Vous le connaissiez vous, M. Riquet ?
05:45Pas du tout.
05:46Comment voulez-vous qu'on le connaisse ?
05:48Parce que je me suis dit, un jour où il y a Barbier et où il y a M. Polaykaracz,
05:53je peux tenter.
05:54J'aimais bien cette citation.
05:56Et j'avais vu le nom en dessous de ce monsieur que je ne connaissais pas.
05:59Et je me suis dit, tiens, je la garde pour un jour où il y aura Paul et Christophe.
06:02Oui, mais il n'a pas été guillotiné, donc il ne chute pas, Paul.
06:06Oui, en 1933.
06:07On peut voir son prénom ?
06:08Gaston, il s'appelait Gaston.
06:10Mais Paul, enfin, qu'est-ce qui t'arrive ?
06:12Attends, il me donne un truc impossible dès le début.
06:14On peut avoir un petit indice sur son nom de famille ?
06:17Je ne l'ai même pas mis dans la base de deux.
06:19Un rébut.
06:20Un rébut.
06:21Un petit jeu de mots.
06:22Écoutez, j'ai donné le prénom.
06:24J'ai donné la particule.
06:25Gaston 2.
06:26Gaston 2.
06:27Je ne peux pas faire beaucoup plus.
06:28L'initiale, alors.
06:29J'ai donné les dates.
06:30L'initiale.
06:31Et à un moment donné, je n'ai pas donné la réponse, quand même.
06:34Donc ça va être 300 euros pour…
06:36Non mais Paul, il a donné les dates, Paul.
06:38On va donner 300 euros pour…
06:40Lui, je ne le vois pas.
06:41Je ne l'ai pas, lui.
06:42Non mais moi, j'ai connu un Polaykaracz brillant.
06:44C'est fou, j'ai l'impression que dans le public, il y a la moitié des gens qui connaissent la réponse.
06:50Gaston 2.
06:51C'est incroyable, Paul.
06:52Je ne sais pas ce qui t'arrive, Paul.
06:53De funesse.
06:54De funesse.
06:57Écoutez, vous irez vous recueillir sur sa tombe au Père Lachaise, parce qu'il est au Père Lachaise.
07:01Il a quand même fait la première guerre mondiale aussi.
07:04Il a été chevalier de la Légion d'honneur.
07:06Gaston de Barbus.
07:07Puis officier de la Légion d'honneur.
07:09Donc quand même, là, on parle de quelqu'un pour qui vous pourriez avoir de la mémoire.
07:13Et on donne 300 euros à Léo Voisin, qui habite Strasbourg.
07:16Est-ce que quelqu'un connaîtrait son nom ?
07:18Non, personne dans le public.
07:20Écoutez, on a fait une seule question, une seule citation aujourd'hui.
07:25Donc je tiens à remercier Gaston de Pavlovski.
07:28En fait, il n'avait pas de citation.
07:30Il en a pris une très difficile pour faire trois minutes.
07:32Il nous a bien eu.
07:33Merci.
07:34Gaston de Pavlovski nous coûte 300 euros avec sa voiture qui se rétracte dans le coffre arrière.