Qué Importa | Programa Completo 10/junio/2024
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00:00♪ ♪ ♪
00:30Le cas de Jésus Zambrano qui, après des années d'une relation tormentueuse et abusive avec le perdant,
00:36le douleur n'en manque pas.
00:37Il n'est pas prêt à abandonner la navette qui, par ailleurs, s'est déjà cassée.
00:41Parce qu'il s'enregistre comme parti,
00:43ainsi que l'amour.
00:45Il a déjà eu la...
00:46la tristesse.
00:49Nous continuons à travailler dans les 300 districts fédéraux de l'État,
00:54vérifiant l'un par l'autre les paquets électoraux
00:57qui s'ouvrent
00:59pour récupérer les votes en faveur du PRD.
01:04C'est faux que l'INE ait déclaré qu'on avait déjà perdu le registre.
01:09C'est faux.
01:10Et je suis sûr que nous allons nous maintenir dans la route
01:14dans laquelle les gens nous veulent,
01:15comme le PRD, comme un parti social-démocrate.
01:18Non, je ne crois pas.
01:21Désolé, désolé.
01:23Ici, j'ai clairement recherché l'amour à l'ombre.
01:26L'amour à continuer à recevoir de l'argent de l'INE.
01:30Cela doit aussi très bien faire mal au PAN et au PRI.
01:34Pourquoi?
01:35Je veux dire, parce qu'ils ne pourront plus faire 3 bisous avec le PRD.
01:38Regardez.
01:40Mais regarde, regarde, regarde.
01:41Ne t'en fais pas, Chucho, parce qu'il y a encore de l'espoir.
01:44L'espoir du Mexique, oui.
01:46L'espoir du Mexique, oui.
01:48L'espoir que tu te mouilles de Guindy
01:50et que tu sois purifié en moraine, oui.
01:53Mais attendez, attendez.
01:55Comment 1,86% ne se ronde pas à 3?
01:59Je veux dire, même si Jésus fait un travail extra,
02:03ou qu'il donne un pommeau au professeur,
02:06ou quelque chose comme ça, même pas comme ça.
02:09Regarde, parfois c'est mieux, Jésus.
02:11Laisse partir.
02:12Ne fais pas le même erreur que ceux de Magneto,
02:14qui, vous le savez, ne peuvent même pas danser sur le stade.
02:17C'est horrible, c'est tellement horrible.
02:18Mais bon, malheureusement, ce cas-ci a un final heureux.
02:21Un final heureux pour tous ceux qui ne sont pas du PRD.
02:25Parce que, oui, ils ont perdu le registre
02:28et le soleil ne brillera plus pour eux.
02:33Regarde, on ferme le cycle de gauche avec le PRD,
02:36qui perd son registre.
02:37Et si on le dit à Excelsior, je le crois.
02:39Ah, c'est triste, c'est horrible.
02:41Regarde, le soleil se met en place.
02:43Au revoir.
02:44Au revoir.
02:45Au revoir.
02:46Bon, maintenant, voyons le terrible cas d'Alejandro Moreno Arias Alito.
02:53Un homme d'âge avancé qui n'arrête pas de croître,
02:55mais pas seulement ça.
02:56Il n'arrête aussi pas de perdre son poste.
02:58Voyons ce cas de ténacité et de persévérance,
03:01appelé « Terquedad de Alito ».
03:04Ici, dans le PRD,
03:05ici, personne ne descend,
03:07ici, personne ne renonce,
03:09ici, l'adversaire s'éloigne,
03:11et ici, ici, nous allons construire
03:13le meilleur PRD de tous les temps.
03:16Il y a un PRI, regarde.
03:19Si il ne va pas descendre, je n'en suis pas intéressé.
03:22Exact.
03:23Et s'il ne va pas s'éloigner, moins.
03:25S'il s'éloigne, c'est tout.
03:26On te dit « s'éloigne Alito ».
03:28Bien sûr que nous voulons qu'il reste Alito.
03:30Comment allons-nous permettre
03:31qu'il laisse à la moitié la destruction du PRI ?
03:34Arrêtez-le.
03:35Exact, amie.
03:36Mais tu sais quoi ?
03:37Alito a raison.
03:38Pourquoi ?
03:39Les PRI ne renoncent pas et ne se détruisent pas.
03:41Seulement, ils s'éloignent vers Morena
03:44et c'est tout.
03:46Comme tous les autres.
03:48Que joli que le Mexique ne croit plus au PRI.
03:51Quand il lui a dit
03:52« Donne-moi une autre opportunité,
03:54j'ai changé, je ne vais plus te battre
03:56quand je serai enceinte. »
03:57Et ces choses horribles qu'ils faisaient avant.
03:59Tu m'as même fait peur, amie.
04:01Mais regarde, Alejandro,
04:02peut-être que le botox se passe à la tête
04:06et c'est pour ça que tu as des idées si rigides.
04:09Tu l'as fait terrible.
04:11Va chez toi.
04:12Ou va dormir.
04:14Non, Silvia Stobalo, comme tu t'appelles.
04:17Il ne va pas y aller.
04:19Ce type est très naïf.
04:20Regarde,
04:21comme le décrivait il y a quelques années
04:23l'ex-président Peña Bombón,
04:24« Je t'aime dans mon couloir. »
04:37C'est bien qu'il l'ait tué à pellicot,
04:40si pas d'une autre façon.
04:42Mais bon.
04:43Maintenant,
04:44nous allons voir ce tristissime cas.
04:46Tristissime.
04:47Le cas de Marco Conca de Karma Cortez.
04:50Cet homme n'accepte pas sa situation actuelle
04:53et explique le cas tragique
04:55de pourquoi il doit quitter son poste
04:57même s'il ne le souhaite pas.
04:58Regarde ce qui est tellement indigne.
05:01Tu parles de la présidence du PAN, Marco ?
05:03C'est le moment,
05:04c'est le moment de dire
05:06qu'il faut que d'autres viennent faire le travail.
05:15Quand vas-tu ?
05:27Et ça, quand sera-t-il ?
05:30La semaine prochaine ?
05:37Bien sûr qu'il va !
05:39Il n'en a plus qu'une.
05:41Il est arrivé chez lui et il a trouvé
05:43qu'au Mexique, il avait laissé ses choses
05:45par la fenêtre et qu'il avait brûlé ses vêtements.
05:47Au revoir, Pucci !
05:49Les bleus.
05:50Mais ne nous confions pas.
05:52Marco peut être celui qui va,
05:54et après deux mois, il lui envoie un message au PAN
05:56bien pris en disant
05:58« Qu'est-ce qui s'est passé ? Il est disparu. »
06:01Exact.
06:02Mais ici, ce qui est ironique,
06:04c'est que malgré le fait que Marco soit conservateur,
06:07il n'a pas pu conserver son poste.
06:12C'est très bien.
06:13En bref, ça peut être longtemps.
06:15Par exemple,
06:16à l'IMSS, quand ils te disent
06:17« On t'attendra en bref »,
06:21Exact.
06:22Ça peut même passer
06:23une éternité.
06:26Bon.
06:27Rappelons-nous qu'il y a des cycles qui finissent.
06:29Ils finissent juste pour un moment,
06:31et puis ils repartent.
06:3228 jours plus tard,
06:33« Ah, quel sang ! »
06:34« Ah, quel sang ! »
06:35« Désolé, désolé. »
06:36Et bien, maintenant,
06:37nous avons le cas d'un homme
06:38que nous connaissons tous
06:39plus que ce que nous aimerions.
06:41Je parle de Gerardo Fernández Noronha,
06:43qui, en plus d'être député,
06:45est maintenant médecin.
06:47Oui.
06:48Il donne un diagnostic aux partis de l'opposition.
06:51Allez-y, Mr. Jerry.
06:52Si ils avaient obtenu ce triomphe
06:54ils n'auraient même pas voulu nous voir.
06:56Nous, ici, allons avoir un débat
06:58d'égalité, d'équilibre,
07:00sans malgréer personne,
07:02mais qu'ils se posent un peu.
07:04Parce que c'est vrai,
07:05ils sont en phase terminale.
07:07Le PRI et le PAN sont en phase terminale
07:09et le PRD a perdu le registre.
07:11Si ce n'est pas clair à eux,
07:13ce n'est pas clair à eux.
07:16Bon, mais il y a de l'espoir, non ?
07:18Oui, ils sont en phase terminale,
07:20mais nos hôpitaux de Dinamarca
07:22vont se récuperer bientôt.
07:24J'ai beaucoup aimé ça, amie.
07:26Maintenant, si vous le permettez,
07:28je voudrais vous donner un conseil
07:30comme un Mexicain,
07:32pardon, un Mexicain qui aime son pays.
07:34PRI-PAN et PRD,
07:36marchez vers la lumière.
07:38C'est le moment d'y aller.
07:40Si vous y allez, allez loin, loin vers la lumière.
07:42Ne vous inquiétez pas, PRI-PAN,
07:44vous vivrez toujours dans nos cœurs.
07:46Holoborgo.
07:48Holoborgo, Holoborgo, PRI-PAN.
07:50Maintenant, je crois, je crois,
07:52je ne crois pas qu'on va rester comme ça
07:54pour un moment plus,
07:56dans son état végétal.
07:58Pourquoi ?
08:00Parce qu'il manque des plantes au Congrès
08:02pour qu'il soit joli,
08:04quelque chose de vert.
08:06Ah non, le vert, nous ne l'avons pas mentionné.
08:08C'est horrible.
08:10Maintenant, de ce pain mangé,
08:12il ne reste plus qu'une mousseline.
08:14Exact. Mais regardez,
08:16trois Doritos plus tard,
08:18il s'est mis à l'arrière
08:20et a dit qu'il n'avait pas dit ce qu'il avait dit.
08:22Accompagnez-moi à voir ce cas
08:24d'Alzheimer politique de Noronha.
08:48Le minimum d'honneur.
08:50Le minimum d'honneur.
08:54Il devait se dire et il l'a dit.
08:56Ah, Jerry, très bien.
08:58Il te manquait seulement de relâcher le micro
09:00comme ça, poum. Et tu sais quoi ?
09:02Tu fais très bien. Après un bruit,
09:04il faut bloquer les ex de tous les endroits.
09:06Zéro contact, tu le sais, mon Jerry.
09:08Très bien, mon ami.
09:10Il me semble que ce qu'il manque
09:12pour limer les pérusses,
09:14c'est un peu de...
09:16du sexe de réconciliation
09:18au Congrès.
09:20Ouf, les calons.
09:22Ils me donnent, ils me donnent, ils me donnent.
09:24Mais tu sais ce que j'aime ? Parce que maintenant,
09:26on peut demander des choses comme
09:28« T'as un manque de rigueur intellectuelle ou tu t'en fais ? »
09:30C'est-à-dire que ça sonne beaucoup moins attentif,
09:32moins insultant, la vérité.
09:34Merci beaucoup, mes amis et mes amies.
09:36C'était Opposition,
09:38des cas de la vie réelle.
09:40Au revoir.
09:42À bientôt, avec beaucoup plus de tragédies politiques
09:44et beaucoup plus d'amour et des déclarations lamentables.
09:46Au revoir.
09:48Sors-en une pour m'imaginer l'autre.
09:52Une citadelle, une citadelle, mesdames et messieurs.
09:54Mais bon,
09:56Mayito Bésares est un homme
09:58qui a beaucoup parlé.
10:00Et il se trouve que tous les rumeurs
10:02sont vraies.
10:04Il est entré dans la maison des célèbres.
10:06Et pas seulement ça,
10:08mais en plus,
10:10vous savez qui il veut inviter avec lui.
10:12C'est Mayito Bésares.
10:42OK,
10:44allez-y.
10:46Mais bon,
10:48pendant qu'il l'invite à un programme
10:50et pas à des tacos,
10:52tout va bien.
11:06Et quand il a dit
11:08qu'il devait y aller,
11:10ils l'ont tiré au sol instantanément.
11:12Instantanément.
11:14Je pense que Mayito
11:16va le faire incroyable.
11:18Au final, il sait
11:20ce que c'est d'être enfermé
11:22dans un endroit sans pouvoir sortir
11:24pendant des mois.
11:26Et vous savez quoi?
11:28Quand ils lui ont demandé
11:30s'il était prêt à entrer dans le programme,
11:32il a dit, tu dis « rana » et moi « charco ».
11:34Je veux dire, je saute, je saute.
11:36Si j'étais pour manger,
11:38je pensais à ça.
11:40Parce que le dernier taco
11:42qui a accompagné Mario
11:44n'a pas été aussi bien.
11:46Non!
11:48Et bien,
11:50quand on va à l'OXO,
11:52il y a des choses qu'on n'espère jamais trouver.
11:54Par exemple, la deuxième boîte ouverte,
11:56Maluma.
11:58Non? Jamais.
12:00Et bien, une de ces choses s'est passée.
12:02Adivinez laquelle de les deux a été.
12:08C'est Maluma.
12:10A qui ressemble-t-il?
12:12A qui ressemble-t-il?
12:14A qui ressemble-t-il?
12:16A qui ressemble-t-il?
12:18A qui ressemble-t-il?
12:20A qui ressemble-t-il?
12:22A qui ressemble-t-il?
12:24A qui ressemble-t-il?
12:26A qui ressemble-t-il?
12:28A qui ressemble-t-il?
12:30A qui ressemble-t-il?
12:32A qui ressemble-t-il?
12:34A qui ressemble-t-il?
12:36A qui ressemble-t-il?
12:38A qui ressemble-t-il?
12:40A qui ressemble-t-il?
12:42Les choses encore plus étranges,
12:44c'est qu'à son retour,
12:46l'achateur lui dirait
12:48« Ça se saura, je l'avais sauvée! »
12:50« Maluma était au fond de l'oxygène. »
12:55Alors, quel terrible pas.
12:56Si il ne lui avait pas dit que c'était Maluma,
12:58ça aurait été d'ouf.
13:00C'est sûrement gratuit.
13:02On s'en repose.
13:04Tout le monde s'en souvient de l'été soirée,
13:07dans le magnifique port de Veracruz,
13:09où le dromedaire tépitaise
13:12a fait un énorme coup de poing à David Faitenson.
13:16Mais vous savez qui vous en souvient encore plus ?
13:20David Faitenson !
13:22Et il l'a réclamé au Quao en vivant, regardez !
13:35Quant à toi, Blanco, comment vas-tu ?
13:39Je vis, d'une certaine manière,
13:41baptisé, stigmatisé, je ne sais pas,
13:44par le coup que tu m'as fait.
13:46C'était vraiment une caresse,
13:48parce que tu n'appuies pas fort.
13:56Aujourd'hui, je vois,
13:58et je conseille aux jeunes
14:00de ne pas faire ça,
14:02parce que tu te vois mal.
14:05Nyeh, je m'en fiche !
14:08Mais bon, s'il l'avait voulu blesser,
14:10il ne lui aurait pas donné un coup de poing,
14:12il lui aurait donné un gros coup de poing !
14:14Oui, c'est comme si tu t'énervais,
14:16un gros coup de poing !
14:20Mais tu sais quoi ?
14:21Il faut que l'on se répète de lui avoir donné un coup de poing.
14:23Ce qui se passe, c'est qu'il est en train de pratiquer
14:25avec le canelon pour la prochaine fois,
14:27pour qu'il lui tire le canelon.
14:29Et bien, cette vidéo n'a pas été ce que je m'attendais.
14:31C'est comme voir le canelon et Golovkin
14:33prendre un café
14:35et parler de philosophie !
14:39La vérité, je vois le club très changé.
14:41C'est comme si, pendant ces 6 ans,
14:43j'avais appris à être
14:45plus politique.
14:49Il a appris, il a appris quelque chose.
14:51Mais bon, qui est le plus fort ?
14:53José Ra ou El Temo ?
14:55Je ne me suis pas rendu compte.
14:57Et bien, Checo Pérez
14:59l'a laissé aller jusqu'au fond,
15:01Max Verstappen.
15:03Et c'est que, après tant de rivalité
15:05avec le Mexicain, il ne s'est pas restreint
15:07et il l'a mis très fort sur son partenaire.
15:09Et vous ne vous imaginez pas
15:11par où ! Regardez-le !
15:13Cette massacre, s'il vous plaît !
15:15Allez, Checo !
15:19Jusqu'au fond !
15:21Il l'a mangé toute, Verstappen !
15:23Je vous l'ai dit, jusqu'au fond !
15:25Et après ce but, Checo a couru
15:27avec les directeurs de Red Bull
15:29pour leur dire, vous l'avez vu ?
15:31Vous l'avez vu comment il a gagné Verstappen ?
15:33Et bien non, vous ne l'avez pas vu.
15:35Comment ?
15:37Ils disent que c'est le second but
15:39que Verstappen a eu.
15:41Ils disent que le premier
15:43a été avec sa copine.
15:45Que bien que tu sois au courant !
15:47Mais bon, en vrai,
15:49j'aime beaucoup voir Checo courir librement,
15:51sans tomber sur quelque chose.
15:53Exact !
15:55Je crois que Checo a démontré
15:57qu'il est très mexicain, non ?
15:59Parce que, après avoir mis le but,
16:01il est encore allé devant Max,
16:03il lui a mis la patate et il lui a dit
16:05« Adieu, Max ! »
16:07Mais bon, merci Gabriela !
16:09Adieu, Tia !
16:11Tia Estaca !
16:13Il y a des personnes qui prennent
16:15la politique trop au sérieux.
16:17Et ce garçon, clairement non !
16:19Regardez ce qu'il a fait
16:21quand son père, qui est politique,
16:23l'a emmené au travail
16:25et il lui a demandé de s'occuper de lui.
16:27C'est un garçon malade !
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