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00:00Est-ce que ce serait votre engagement, à vous-même, le brouillacouru que vous puissiez être candidat ?
00:04Tordons le coup au canard, si c'est un canard, est-ce que vous serez candidat quelque part ?
00:08Non. Non.
00:10Pourquoi ?
00:11Parce que j'essaie d'être un homme politique, je ne suis pas un politicien, donc je ne ferai pas ma vie en politique.
00:17Je pense qu'il y a des gens qui sont prêts à livrer ce combat.
00:22On a parlé de Nice, vous le savez.
00:24Il y a Greg Monati qui est un parfait candidat.
00:29Il vit là. Moi, je n'y vis que par intermittence.
00:34Quand mon activité ministérielle m'offre quelques heures de répit, je pensais que c'était par hasard.
00:41En revanche, je ferai comme j'ai fait aux précédentes législatives.
00:45J'ai fait pas loin d'une centaine de déplacements, de meetings.
00:50Ce matin, j'étais à Villeneuve-Saint-Georges.
00:52Hier, j'étais à Conflans-Saint-Honorin pour soutenir les candidats.
00:55J'ai vu d'ailleurs qu'à Conflans-Saint-Honorin, M. Rousseau, qui a préparé comme directeur de cabinet de Mme Borne la réforme des retraites,
01:03va aujourd'hui nous expliquer qu'elle n'est pas bonne.
01:05Je lui ai d'ailleurs, parce que je suis fair-play, souhaité bon courage.
01:08C'est plutôt une pierre dans votre jardin. Il était au cœur de l'État.
01:11Aurélien Rousseau, c'était un peu la lexicolaire de Mme Borne, était au cœur de l'État.
01:15Il passe chez les autres. C'est quand même un signe. Ce n'est pas très bon pour vous.
01:18Mais c'est excellent pour nous. Pardonnez-moi.
01:21Il a travaillé. Il a mis en place. Il a beaucoup bossé, directeur de cabinet.
01:26Ce n'est pas rien. Vous avez le ministre. Juste en dessous, vous avez son directeur de cabinet.
01:29La réforme des retraites. Et aujourd'hui, pourquoi ?
01:32Pour avoir un poste de député. Il vient nous raconter que ce qu'il a fait, ce n'était pas bien fait, au fond.