The 7:30pm News of June 15, 2024

  • il y a 3 mois

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00:00Marwa pleure en tant que 6 enfants âgés entre 7 et 14 ans s'étendent pendant 48 heures.
00:27La tragédie dans la subdivision de Diamary laisse beaucoup inconsolables.
00:31Les préparations spirituelles et matérielles prennent la scène au centre dans des maisons musulmanes et des mosquées de moins de 24 heures
00:42jusqu'à la fête de sacrifice de l'Eid al-Adha.
00:45Les faits-fous s'efforcent de prendre le meilleur bateau et de démontrer leur dévotion à l'Allah.
00:51En plus, l'oncle de la primaire de CRTV, Karine Olivia Bitt, reste avec ses ancêtres, laissant ses proches en pleurs.
00:59Des milliers de mourants ont remplacé la cathédrale de Bafang pour dire au revoir à l'ancienne star de la télé.
01:05Bonsoir mes chers spectateurs, heureux de vous recevoir sur 7.30 News avec moi, Raihanatou Desali.
01:13La ville de Marwah est en pleurs après avoir été rapporté à la mort de six enfants après une série d'incendies au début de la semaine.
01:23Les morts ont eu lieu au cours de 48 heures et quatre de ces enfants, âgés entre 7 et 14 ans, viennent de la même famille.
01:33L'officier de la division du Diarmarais, Jean-Marc Ekwambarga, en sympathisant avec les familles blessées, a appelé pour plus de vigilance pendant cette période de vacances.
01:44Henry Tatoy, Cambay Reports.
01:48Moumi Moussa en choc profond, confusion et désespoir.
01:54Ses quatre enfants ont tué après avoir tombé dans un trou dans ce bâtiment de rivière de Marwah, rempli d'eau après un déchirage.
02:03Ils étaient là-bas pour aller chercher les bois.
02:33Une fille de 4 ans a paniqué et s'est allongée à la maison pour appeler son frère plus vieux.
02:37Le frère plus vieux est venu. Il est tombé dans l'eau. Il ne savait pas comment le sauver. Il s'est donc tué.
02:43Au-delà de ce père de dix qui a perdu quatre enfants dans le quartier de Markabai, deux autres familles ont aussi perdu un enfant, tous dans des circonstances similaires.
02:54Un jeune de 11 ans, Bouba, jouait avec ses amis sur cette petite brèche après les pluies lourdes du dimanche 11 juin, avant de tomber dans l'eau.
03:06La mère de Bouba, qui était même malade, a quitté l'hôpital pour la maison, mais a rencontré son fils sur le chemin.
03:13Quand elle a demandé à l'enfant d'où il allait, il a dit qu'il venait.
03:18Quelques minutes plus tard, un enfant est allé à la maison et a dit que Bouba avait été emporté par l'eau.
03:24L'officier de la division supérieure pour la Jamaïque a évoqué un communiqué pour informer et aussi dire aux parents de prendre leur responsabilité ou de faire face à l'ordre de la loi.
03:35Nous allons donc passer à la phase repressive. Chaque fois que nous trouvons des enfants qui prennent des risques autour des masses d'eau, nous arrêtons et les arrêtons. Les parents doivent donc être prudents.
03:50Avec 4 des 6 enfants qui s'étouffent à cause des trous créés par ceux impliqués dans la pêche, les autorités ont interdit ceux impliqués dans cette activité,
04:01ainsi que ceux qui dégagent les trous pour la pêche traditionnelle, de respecter la décision d'interdire cet acte, sinon ils seront emportés à Bougues.
04:11Et en tant que mesure de sécurité pour éviter que de telles incidents ne se produisent, l'officier de la division supérieure pour la Jamaïque a évoqué un communiqué
04:23qui prévoit que tous les enfants retrouvés dans la pêche autour d'une rivière non attendue seront emportés en garde et que leurs parents devront répondre à la loi.
04:35En ce soir, le week-end spécial, il y a des lumières sur les droits de l'enfant, car Cameroon prépare pour observer le jour de l'enfant africain.
04:45Demain, avec la pêche, la violence sexuelle, l'exploitation et les mariages d'enfants sur les routes, les acteurs de la chaîne de protection d'enfants ont été en train d'impliquer des programmes de tellot pour s'assurer que les droits de ces groupes vulnérables soient respectés.
05:00Les loupons n'y sont pas. Les détails dans les rapports suivants.
05:04Des enfants se déplacent d'un endroit à l'autre dans Yaoundé, une image qui montre un infringement sur les routes d'enfants dans le centre de la ville capitale.
05:17La pêche, la violence sexuelle, l'exploitation, les mariages d'enfants aussi tombent dans cette catégorie.
05:23Les actions dans la chaîne de protection d'enfants ont été des fruits, la persévérance n'en est qu'une.
05:29Nous avons organisé des sessions de racontation où nous enseignons aux enfants des choses concernant la violence sexuelle et générale.
05:35Nous avons aussi travaillé sur des projets concernant le management de la hygiène mentale où nous avons des écoles de toilettes et des endroits où les filles peuvent se sentir libres.
05:44En parlant de les filles, notre projet de management de la hygiène mentale nous a permis de toucher les vies d'au moins 10 000 enfants.
05:50Les acteurs portent des programmes de tellot pour s'assurer que ces droits soient respectés.
05:55Nous avons aussi pu sensibiliser les enfants, les enfants et les parents sur les droits des enfants dans la communauté grâce au mécanisme de protection des droits de l'enfant.
06:05Nous avons aussi entraîné les acteurs sur les droits de la protection des enfants.
06:13Même si beaucoup a été accompli pour protéger les droits des enfants, il y a des loupoles à filer.
06:18La manque de ressources humaines n'est pas suffisante pour gérer tous les cas concernant la protection des droits de l'enfant.
06:25Nous avons besoin d'un policier et d'un professionnel de l'ordre pour pouvoir aider les professionnels qui ont des problèmes.
06:38Le voyage vers la lumière sur les droits des enfants est dit, nécessite des efforts concertés si le progrès doit être fait.
06:46Plus de 200 enfants sont reportés avoir perdu le contact avec leurs familles après avoir trouvé un nouveau domicile sur la rue.
06:56La plupart survivent dans les circonstances les plus dangereuses que l'enfant ne devrait pas vivre.
07:03Mais au-delà de leurs difficultés, la plupart espèrent quitter la rue avec un bon entraînement vocationnel qui deviendra une source ultime de vie.
07:12Alphonse Abongwa Achu nous emmène dans les ghettos habités par les enfants de la rue de Yaoundé.
07:25Je suis arrivé à l'âge de 14 ans quand j'ai perdu mon père et ma mère.
07:29C'était mon premier maison, ce bâtiment, c'est là où je dormais.
07:34Une enfance volée, distorsée et trompée pendant de nombreuses années.
07:40Chaque histoire est unique, mais ces enfants, de différentes origines familiales, partagent un espace commun appelé la maison.
07:49Ils sont emprisonnés dans les rues de Yaoundé.
07:52Dans ce ghetto, ils trouvent un nouveau domicile.
07:54J'ai perdu mes parents biologiques très jeunes.
07:58J'ai laissé la famille s'asseoir à Balmayo pour venir chercher un survivant à Yaoundé.
08:05J'ai préféré rester sur les rues parce qu'ils m'embêtent tous les jours à la maison.
08:09Ma mère n'est pas là.
08:11L'un d'entre eux est ce jeune homme de 21 ans et sa copine de 19 ans.
08:17Elles se sont rencontrées sur les rues.
08:19Aujourd'hui, elles ont grandi de enfants de rue à parents de rue.
08:23Leur fille de 2 ans est née dans le ghetto.
08:28Sa vie d'enfance tourne déjà vers l'endettement de l'histoire.
08:34Ce qu'on trouve par jour, ce qu'on mange.
08:36Ce qu'on trouve par jour, c'est ce qu'on mange.
08:38Quoi qu'il en soit, parce qu'on n'a pas de poêle ici pour cuisiner.
08:43La vie pour eux sur les rues par jour est une bataille de guerre.
08:47Une bataille pour la survie.
08:49Le premier signe, c'est la faim.
08:51Parce qu'on a faim.
08:53Mais au moins, comme on connaît la rue de Yaoundé,
08:57on va s'habituer à notre propre mode,
08:59à notre propre façon de vivre.
09:02Pour moi, on a beaucoup de malades.
09:04Parmi nous, beaucoup sont malades.
09:06Beaucoup ont des blessures, des typhoïdes et de la jaundice.
09:12Au-delà de ces expériences désespérées,
09:15la plupart de ces enfants de rue rêvent encore d'être soignants,
09:18pour donner la bonne direction à leur vie.
09:23J'aimerais être un chauffeur de trucs à l'avion.
09:26C'est l'un de mes rêves.
09:30J'aimerais être un mécanicien.
09:33J'ai essayé de le faire,
09:35mais personne ne m'a aidé.
09:37J'aimerais être un homme militaire.
09:39Leur leader dit qu'au sein de la division Mfundi,
09:41il y a plus de 200 enfants de rue qui rêvent d'une meilleure vie,
09:46avec les espoirs élevés
09:48qu'un jour, ils se divorceront des rues
09:51et deviendront des gens responsables dans la société.
09:56Les officiers du ministère des Affaires sociales
09:58disent que le gouvernement,
10:01et les centres de réhabilitation,
10:03s'attendent aux besoins divers
10:05des enfants vulnérables,
10:07comme les drogués et les enfants de rue.
10:09Ces groupes vulnérables
10:11offrent soit l'éducation formelle,
10:13les activités de génération de revenus,
10:15ou la rééducation.
10:17Emmanuella Vemney nous le dit.
10:21Les structures sont diverses,
10:23chacune qui s'occupe d'un domaine particulier
10:25de l'éducation de l'enfant.
10:27Le gouvernement du Cameroun,
10:29le ministère des Affaires sociales,
10:31et les centres de réhabilitation
10:33offrent aux enfants vulnérables
10:35une approche holistique à la vie.
10:37Nous capacitons les parents
10:39à s'occuper de l'enfant
10:41pour lui donner des valeurs
10:43qui lui aideront
10:45à développer son personnalité.
10:47Nous avons des centres de réhabilitation
10:49dans le domaine,
10:51des centres de réhabilitation
10:53pour voir comment ils peuvent travailler
10:55avec l'enfant,
10:57dans les institutions éducatives
10:59pour ces enfants qui sont déjà très impliqués
11:01dans la délinquance.
11:03Les enfants sont considérés comme
11:05la capitale humaine d'une nation
11:07et quand ils deviennent délinquants
11:09et s'éloignent de la rue,
11:11cela dégrade la qualité de ces ressources.
11:13C'est pourquoi les centres et les programmes
11:15pour les amener à la raison
11:17sont inévitables.
11:19L'action du ministère des Affaires sociales
11:21est vers la prévention, la sensibilisation,
11:23la communication, l'éducation.
11:25Nous devons aider l'enfant
11:27à comprendre lui-même,
11:29à aider les parents
11:31à voir comment mieux
11:33interagir avec leur enfant.
11:35Cela nécessite un effort concerté
11:37qui met en place des partenaires
11:39et des parents pour l'efficacité.
11:41Nous avons une commission nationale
11:43sous le nom du ministère des Affaires sociales
11:45qui peut appeler les autres acteurs
11:47pour voir ensemble
11:49comment mettre en place une meilleure synergie
11:51pour être plus efficace.
11:53Les actions du gouvernement
11:55sont toujours en délai,
11:57avec la délinquance, la violence
11:59et le comportement non éthique des enfants
12:01qui persiste dans le pays.
12:03Cela signifie que plus d'efforts sont nécessaires.
12:05Dans d'autres nouvelles,
12:07moins de 24 heures
12:09pour l'Eid al-Adha,
12:11ou la fête des sacrifices,
12:13les musulmans de Yaoundé
12:15s'entraînent pour attraper les meilleurs poissons
12:17et démontrer leur dévotion à Allah.
12:19Les vendeurs de poissons
12:21sont en train de faire des profits.
12:23Un rapporteur de Florence Ngomba
12:25est juste de retour du marché.
12:27Des marchés comme le marché Huitième
12:29à la village de Chinga
12:31sont en train d'attraper des vendeurs,
12:33la plupart desquels sont des familles musulmanes,
12:35qui achètent les produits nécessaires
12:37pour servir comme nourriture pour la famille
12:39et les proches sur la fête des sacrifices.
12:43Je vais faire mon achat général pour demain.
12:45Je vais préparer du poulet, des poissons et du lait.
12:47Les vendeurs de poissons
12:49sont en train de faire des profits
12:51car le rhum est l'un des éléments essentiels
12:53pour la fête de demain.
12:55Le marché n'est pas facile.
12:57Le marché ne se déroule pas bien.
12:59Vous venez voir un petit rhum,
13:01ils vous disent 200 000 francs.
13:03Vous ne pouvez pas trouver un rhum pour 100 000 francs,
13:05mais heureusement, j'en ai acheté un pour 135 000.
13:07Je vais partager avec la famille,
13:09les amis et les voisins.
13:11On va se partager autour de la famille,
13:13le voisinage, l'entourage.
13:15L'année dernière,
13:17on pouvait vérifier les rhums du Nord,
13:19mais cette année,
13:21ça a changé à cause des prix élevés.
13:23Ce n'est pas une fête,
13:25on doit célébrer, satisfaire nos familles
13:27et honorer notre religion.
13:29Des gens disent que,
13:31malgré l'augmentation du prix des produits,
13:33ils sont sûrs
13:35d'avoir quelque chose sur leur table.
13:37Les préparations pour la fête
13:39vont bien.
13:41J'ai acheté une variété de produits
13:43pour ajouter ce que j'ai à la maison.
13:45C'est une atmosphère similaire
13:47qui s'affiche dans les marchés les plus populaires
13:49l'année dernière à Yaoundé,
13:51à l'avance de la célébration de demain.
13:53Et à l'avance de la fête de demain,
13:55les préparations ont éclaté
13:57dans les maisons
13:59et les lieux de prière.
14:01Les familles musulmanes
14:03font des achats à la dernière minute
14:05de ce qu'ils nous accueillent
14:07au D-Day.
14:09Chaque petit aideur compte ici.
14:11Annato Yaoundé et ses enfants
14:13sont en train de préparer les choses
14:15à l'avance de la fête de Tabaski.
14:17Ce n'est pas aujourd'hui que nous commençons.
14:19Nous avons commencé il y a quelques jours
14:21en faisant notre ching-ching.
14:23Maintenant, nous faisons
14:25notre feuille d'eau.
14:27C'est une atmosphère conviviale
14:29entre sa famille et ses voisins
14:31animée par des discussions dans la langue de la mère.
14:33Elle prépare ce qu'elle appelle
14:35une nourriture,
14:37pour une occasion.
14:49Les garçons et les filles
14:51essayent dans leurs petites façons
14:53de faire le travail plus facile pour leurs parents.
14:55J'ai aidé mes parents aujourd'hui
14:57en faisant la feuille d'eau.
14:59Nous avons brûlé le tapis
15:01et nettoyé la maison
15:03et préparé les dîners pour demain.
15:05C'est un complexe islamique.
15:07Tout le bâtiment a été décoré
15:09avec une nouvelle couche de peinture.
15:11Ici, la nettoyage est l'ordre du jour.
15:13Les environs et l'intérieur
15:15sont tous nettoyés.
15:17C'est juste un peu de travail léger
15:19car la plupart du travail
15:21sera fait dans la nuit.
15:23Nous devons dormir,
15:25nous devons nettoyer tous ces espaces
15:27que vous voyez, même à l'intérieur du mosquée.
15:29Nous devons nettoyer partout
15:31pour que demain, très tôt,
15:34il n'y aura plus beaucoup de travail
15:36et les gens viendront prier.
15:38L'atmosphère générale parle
15:40des volumes d'une fête
15:42qui est très anticipée
15:44et qui sera célébrée par les musulmans
15:46de tous les endroits.
15:48La couche de peinture
15:50est un aspect important
15:52de la célébration de la fête
15:54de la sacrifice.
15:56Les femmes musulmanes, dans le gendarme,
15:58acquièrent le plus possible
16:00en fonction de leurs approches en pouvoir,
16:02en les apportant à leur goût
16:04pour qu'ils ressemblent beaucoup
16:06pendant et après la fête.
16:08Amos et Nonyaket rappellent
16:10l'importance de la couche de peinture
16:12dans la célébration de la fête du tabasco.
16:16Dans l'un des nombreux boutiques
16:18dans le gendarme,
16:20les femmes musulmanes ont travaillé
16:22en nombre indien pour acquérir
16:24différents types de couches.
16:26Ils disent qu'elles seront utilisées
16:28au jour de la célébration du tabasco
16:30ou après,
16:32car la fête peut prendre une semaine.
16:34Comme Fadimatsu,
16:36elle est heureuse
16:38d'avoir acheté et couturé
16:40deux couches pour la fête
16:42car cela la rend belle
16:44en gardant ses origines.
16:46Les couches de différentes couleurs
16:48et qualités attirent les femmes musulmanes
16:50mais seulement celles
16:52avec les moyens financiers disponibles
16:54qui retournent heureusement chez elles
16:56avec la fabrique.
16:58Les femmes sont de plus en plus intéressées
17:00à acheter des couches de top qualité.
17:02Elles sont toujours très demandées
17:04avant, pendant et après la fête.
17:06Les deux dernières semaines
17:08ont été bénéfiques pour nous.
17:10Nous avons vendu plus de 3000 couches
17:12au cours d'une période de 7 jours.
17:18Les couches considérées
17:20par de nombreuses femmes musulmanes
17:22au Goundhari
17:24valorisent la fémininité
17:26et commandent
17:28le respect de l'art
17:30car c'est un héritage culturel
17:32qui doit être gardé
17:34et préservé pour la postérité.
17:38Les pèlerins caméroniens
17:40à l'Arabie Saoudite
17:42ont prié pour une vie longue
17:44et une bonne santé pour le Président Pogbia.
17:46Ils ont fait la supplication
17:48à Allah aujourd'hui dans le plaine d'Arafat
17:50à l'extérieur de Mecca
17:52pour marquer le jour de l'Arafat
17:54et c'est un pilier très important
17:56de l'Arafat.
17:58Plus sur cette histoire
18:00avec notre envoyé spirituel
18:02à l'Arabie Saoudite
18:04Goninge Swaibushari.
18:06Le choix du jour de l'Arafat
18:08pour prier pour le Cameroun
18:10et son président illustre
18:12Pogbia
18:14n'est pas par accident.
18:16C'est une tradition pour les Caméroniens
18:18ici à l'Arabie Saoudite
18:20une fois qu'on arrive à Arfa
18:22on fait la supplication pour le Président
18:24et l'ensemble du pays.
18:26Et donc les Caméroniens
18:28ne pouvaient pas s'en occuper
18:30d'une telle opportunité
18:32pour prier pour la paix
18:34dans leur pays.
18:36S'il vous plaît, que Allah
18:38apporte une solution paixfuelle
18:40pour tout ce qui se passe
18:42au nord-ouest et au sud-ouest
18:44et au Cameroun en général.
18:46Ils implorent aussi Allah
18:48pour offrir une vie longue
18:50et une bonne santé
18:52à leur bénéficeur, le Président Pogbia
18:54qui a joué un rôle important
18:56dans la facilitation de l'Arafat.
18:58En ce qui concerne
19:00ce que le Président Pogbia
19:02a fait dans l'Arafat
19:04c'est quelque chose
19:06que nous pouvons vraiment payer
19:08plutôt que de faire la supplication
19:10pour le Président
19:12pour une bonne santé
19:14et une longue vie pour le Président.
19:16L'un des dignitaires musulmans
19:18qui a vécu l'événement
19:20l'a décrit comme un marquant
19:22de patriotisme
19:24en tant que pilgrimes camerooniennes.
19:26C'est la preuve que les Camerooniennes sont très patriotes.
19:28C'est pourquoi nous avons organisé
19:30la supplication cette soirée
19:32pour dire merci à Allah
19:34pour nous donner un Président
19:36comme le Président Pogbia
19:38qui est le père de toutes les Camerooniennes.
19:40C'est l'espoir
19:42que ces supplications ferventes
19:44des Camerooniennes sur leur pays
19:46soient répétées par Allah
19:48vu qu'ici à l'Arafat
19:50et surtout sur le jour de l'Arafat
19:52Allah a dit de se calmer
19:54et de répondre aux supplications.
20:00Plus de 2 millions de pilgrimes
20:02qui font la supplication en Saudi-Arabie cette année
20:04ont ascendu la montagne de l'Arafat.
20:06Le rituel est le point supérieur
20:08de l'année de la pilgrimage,
20:10l'un des 5 piliers de l'islam
20:12et une voyage de vie pour ceux
20:14qui ne peuvent pas se nourrir physiquement
20:16et financièrement.
20:18Le 9 avril est le jour de l'Arafat
20:20et c'est le jour le plus important
20:22de l'Arafat.
20:24Si un pilgrime a perdu ce jour,
20:26il ou elle a perdu l'Arafat,
20:28comme nous l'a dit Jamilah Kadzalat.
20:30Dans des températures
20:32déprimantes,
20:34plus de 2 millions de pilgrimes
20:36se sont rassemblés dans le grand
20:38plaine saoudien de la montagne de l'Arafat
20:40pour le rituel le plus important
20:42de l'année de l'Arafat.
20:44Le rituel de la pilgrimage
20:46réenacte les actions du prophète Mohammed
20:48de plus de 1400 ans auparavant.
20:50Les chrétiens de plus de 150 pays
20:52se sont rassemblés
20:54à la montagne de l'Arafat
20:56à l'aube de la nuit,
20:58en portant des vêtements
21:00trop lourds pour les hommes
21:02et des vêtements
21:04pour les femmes.
21:06Les pilgrimes se sont montés
21:08des étagères dans la montagne
21:10Nous sommes très heureux
21:12et nous apprécions
21:14que nous ayons le privilège
21:16de venir à cette église
21:18Je me sens trop bien
21:20parce que c'est le pilage de l'islam
21:22et je suis satisfait
21:24J'ai accompli le pilage de l'islam
21:26Je remercie Dieu pour ça
21:28Pour être ici,
21:30à l'Arafat,
21:32nous nous sentons heureux
21:34et nous espérons que Allah
21:36répond à nos prières
21:39Dans un océan inondé de blanc,
21:41les pilgrimes marchent au sommet
21:43en récitant des prières
21:45et des supplications
21:49À l'aube de la nuit,
21:51les pilgrimes se dirigeront
21:53vers Muzdalifah,
21:55environ 9 kilomètres de l'autre côté
21:57Là-bas, ils passeront la nuit
21:59sous le ciel ouvert
22:01jusqu'à l'aube de la nuit
22:03et commenceront à collecter des pédales
22:05pour les voyages de la prochaine journée
22:07Dans d'autres nouvelles,
22:09des journalistes spécialisés en reportage économique
22:11ont été éclatés
22:13sur la dette publique de Cameroon
22:15en mars 2024
22:17C'était lors d'un lancement de presse
22:19organisé par le syndicat Autonomie
22:21Il a été déclaré que,
22:23avec plus de 12 700 milliards
22:25de CFA France,
22:27la dette publique de Cameroon,
22:29malgré le souci,
22:31reste sustainable
22:33Il y a quelques jours,
22:35l'IMF a mis en place
22:3771 milliards de CFA France
22:39pour permettre à Cameroon
22:41de s'adapter aux pressions budgétaires
22:43C'est une partie de l'accord économique
22:45et financier entre les deux
22:47Les analystes disent que c'est la preuve
22:49que le pays reste crédible
22:51malgré la dette publique
22:53En mars 2024,
22:55la dette publique de Cameroon
22:57était de plus de 12 700 milliards de CFA France
22:59C'est encore loin d'être un souci subregional
23:01vu que le sommet du 70%
23:03n'a pas encore été atteint
23:05Les billes publiques
23:07posent des questions
23:09sur la sustenance
23:11quand la dette publique
23:13est de plus de 43%
23:15Ce sont des préoccupations
23:17qui sont au centre des discussions
23:19entre les journalistes
23:21et les personnels de l'IMF
23:23Lors de l'échange,
23:25il a été déclaré que
23:27même si le pays
23:29est confronté à des difficultés
23:31qui rendent les obligations
23:33sociales et économiques
23:35une tâche inquiétante,
23:37le Trésor public a pu
23:39appuyer certains créditeurs
23:41Plus de 312 milliards de CFA France
23:43a été dépensé
23:45pour la dette externe et interne
23:47en mars 2024
23:49Cela a contribué à créer
23:51plus de confiance
23:53avec les partenaires bilatéraux
23:55et multilatéraux
23:57et à l'exécution
23:59de certains projets
24:01La communauté caméronienne
24:03en Éthiopie et d'autres Africains
24:05spécialement les diplomates
24:07ont célébré l'élection
24:09du premier ministre
24:11Philippe Mognin
24:13comme président de la 79ème session
24:15de l'Assemblée Générale des Nations Unies
24:17C'était lors d'un événement
24:19organisé à Addis Ababa
24:21par l'ambassadeur caméron
24:23pour le pays,
24:25Addis Ababa, Éthiopie
24:27le 7 juin 2024
24:29Les diplomates
24:31se sont réunis à la résidence caméronienne
24:33pour un double événement
24:35Le premier, la célébration de l'élection
24:37du candidat de l'Union africaine
24:39le premier ministre caméronien Philippe Mognin
24:41comme président de la 79ème session
24:43de l'Assemblée Générale des Nations Unies
24:45à la fin du mois de septembre
24:47Le deuxième événement
24:49pour atteindre les célébrations
24:51de la 52ème fête nationale
24:53l'ambassadeur caméron
24:55extraordinaire et plénipotentiel
24:57pour l'Éthiopie
24:59et représentant permanent
25:01pour l'Union africaine
25:03et la Commission économique des Nations Unies
25:05pour l'Afrique
25:07a remercié l'ensemble du continent
25:09pour la confiance qu'il avait
25:11et a montré le candidat caméronien
25:13qui finit avec son élection
25:15Votre présence ici aujourd'hui
25:17améliore la solidarité
25:19de cette célébration
25:21et témoigne
25:23de votre amitié
25:25et de votre attachement à notre pays
25:27pour lequel
25:29nous sommes tellement reconnaissants
25:31Churchill Ewomboye Monono
25:33voit aussi l'occasion de la fête nationale
25:35pour réciter à la communauté caméronienne
25:37en Éthiopie
25:39le chemin couvert jusqu'ici
25:41dans la promotion de l'unité nationale
25:43et de vivre ensemble sous le leadership
25:45de le président Paul Dia
25:47Les personnes vivant
25:49avec des difficultés
25:51dans l'arrière-plan
25:53de l'Union africaine
25:55ont été sensibilisés
25:57à la nécessité d'être enregistrés
25:59pour faire leur devoir civique
26:01Les officiels de l'Union caméronienne
26:03portant l'exercice
26:05ont reçu l'opportunité
26:07d'enregistrer certaines de ces personnes
26:09vivant avec des difficultés
26:11comme nous l'a dit Julius Nebah
26:13L'exercice de sensibilisation des votants
26:15a éducé environ 100 personnes
26:17vivant avec des difficultés
26:19dans la communauté caméronienne
26:21sur la nécessité de participer activement
26:23dans la vie locale, nationale et sociopolitique
26:25de l'État en s'enregistrant
26:27sur les rôles électoraux
26:29Pendant l'exercice de sensibilisation
26:31le président de l'organisation
26:33en charge des personnes
26:35vivant avec des difficultés
26:37leur a rappelé que voter
26:39pendant les élections
26:41est un devoir civique
26:43Les personnes vivant avec des difficultés
26:45sont souvent discriminées
26:47mais heureusement aujourd'hui
26:49nous parlons de l'inclusion
26:51nous leur disons que l'inclusion signifie
26:53être où les décisions sont prises
26:55nous devons donc être bons citoyens
26:57et participer à tous les processus électoraux
26:59Le rôleur traditionnel de Saint-Gilles-les-Pôles
27:01a rappelé qu'au niveau local
27:03ils sensibilisent les personnes
27:05vivant avec des difficultés
27:07pour savoir que la meilleure façon
27:09d'entendre leur voix est de participer
27:11Les personnes vivant avec des difficultés
27:13pensent qu'elles ne sont pas concernées
27:15par l'élection
27:17donc notre rôle est de les sensibiliser
27:19pour enregistrer massivement
27:21sur les rôles électoraux
27:23et participer à l'élection
27:25Sur les côtés de la campagne de sensibilisation
27:27les officiers électoraux
27:29ont enregistré un bon nombre de personnes
27:31vivant avec des difficultés
27:33dans la municipalité de Garouaté
27:35qui disent qu'ils attendent de voter
27:37pendant les élections
27:39Un slot de santé spécial
27:41regarde l'albénisme
27:43un disordre génétique rare
27:45où l'on n'est pas né
27:47avec la même quantité de mélanine
27:49le chémique dans le corps
27:51qui détermine la couleur de la peau
27:53Les experts disent que les personnes
27:55avec cette couleur de peau sont prunes
27:57à la chaleur du soleil et parfois
27:59à la cancer de la peau
28:01Laurel Abateia Achang nous en dit plus
28:03Savez-vous que l'albénisme
28:05est un conditionnement génétique
28:07que l'on appelle au monde entier?
28:09Oh oui! Ce n'est pas du witchcraft
28:11comme certains pensent
28:13Ils sont tous des humains
28:15et ont le même sang dans leurs veines
28:17comme les personnes avec la peau noire
28:19L'albénisme n'est pas une maladie
28:21mais c'est un problème génétique
28:23Le fait que les albénistes
28:25manquent de mélanine dans leur peau
28:27les exposent à des défis
28:29de la peau
28:31L'albénisme résulte
28:33dans le manque de pigmentation dans les cheveux
28:35Les yeux et les yeux
28:37causent la vulnérabilité au soleil
28:39et la lumière brillante
28:41pour développer la cancer de la peau
28:43Parfois, la plupart des gens
28:45ont mis leurs effets sur ce qu'ils mangent
28:47mais les médecins disent que ce n'est pas le cas
28:49C'est l'ignorance
28:51C'est l'ignorance, ils ne sont pas restrits
28:53à n'importe quelle nourriture
28:55Ils peuvent manger tout
28:57Par rapport à Lydia, elle parfois
28:59rencontre des défis
29:01et des difficultés d'interagir
29:03Elles ont
29:05beaucoup
29:07de noms
29:09Ils m'appellent, avec moi, ils me disent
29:11qu'elle ne voit pas très bien
29:13à la nuit
29:15elle voit bien
29:17Quand je l'entends
29:19je me sens mal moi-même
29:21Pas comme le petit Ange
29:23qui dit qu'il est aimé par ses amis
29:27Ses praticiens
29:29suggèrent aux albénistes
29:31de prendre beaucoup d'eau
29:33pour se déhydrater
29:35de la vitamine D
29:37et de faire des tests allergiques
29:39pour qu'il soit en sécurité et en bonne santé
29:41Notre livre de ce soir
29:43c'est I Have AIDS
29:45un livre écrit par Blasio Zongome
29:47dans lequel il souligne
29:49l'expérience traumatique de
29:51Damaskus Zondia
29:53qui a eu peur d'avoir contracté
29:55la maladie de HIV
29:57Isaac Ngankum a lu ce livre
30:00Le livre de fiction
30:02I Have AIDS
30:04a été publié en 2004
30:06à la fin de la pandémie de HIV et de l'AIDS
30:08à Cameroun
30:10L'auteur utilise le point de vue
30:12de la première personne
30:14pour souligner l'ordure de 45 ans
30:16de Damaskus Zondia
30:18qui a eu peur d'avoir contracté
30:20la maladie de HIV
30:22La histoire s'étend à 168 pages
30:2418 chapitres
30:26J'ai pensé que c'était mon combat
30:29contre l'HIV
30:31en utilisant
30:33la méthode éducative
30:35En utilisant deux personnages contrastants
30:37Zondia et Kwedi
30:39Blasio Zongome
30:41a réussi à porter
30:43la société Cameroun
30:45à l'époque où l'HIV et l'AIDS
30:47causaient beaucoup d'havoc dans le pays
30:49Zondia est quelqu'un
30:51qui a prévu
30:53d'être bien comporté
30:55et il est censé être un exemple
30:57même s'il est victime
30:59d'une disposition psychologique
31:01qui, à la fin,
31:03est HIV négatif
31:05Kwedi, pour sa part,
31:07a eu l'AIDS
31:09et a décidé de lancer
31:11une campagne d'AIDS pour tous
31:13en la distribuant aux jeunes femmes
31:15les mariées, etc.
31:17Avoir servi
31:19la compagnie nationale de refinement
31:21Sonorwa, pendant 35 ans
31:23en tant que chef de division
31:26Blasio Zongome
31:28a retiré en 2021
31:30en tant que conseiller technique
31:32au chef général de la compagnie
31:34Il est lecteur de communication corporelle
31:36à l'université de Boya
31:38et membre de l'initiative
31:40de transparence de l'industrie extractive
31:42EITI
31:56Une famille de 4
31:58une mère, une femme et une fille
32:00ont été tuées cet après-midi
32:02à la campagne de Banca
32:04dans la région de l'ouest de Bafang
32:06des milliers de monastères
32:08ont remplacé la cathédrale de Bafang
32:10en priant pour que la lumière éternelle
32:12s'illumine sur elles
32:14et pour que Dieu comporte ceux
32:16qu'elles ont laissés derrière
32:18Emmanuella Vemne a voyagé
32:20à Bafang et a apporté ce rapport
32:25Ils ont congrégé à la cathédrale
32:27de Saint-Immaculé de Bafang
32:29qui remplit la capacité de 3000
32:31la maison de l'église
32:33Carine Olivia Biddinger-Munet
32:35est à l'église une dernière fois
32:37non pour prier, mais pour être priée
32:39par ces ministres gouvernementaux
32:41membres du Parlement, business magnates
32:43traditionnels, rôles, familles et amis
32:45pour que la lumière éternelle s'illumine sur elles
32:47L'église de la prière,
32:49conduite par le général de la cathédrale
32:51de Bafang, Monseigneur Paulin Choukwani
32:53en unison avec les vivants
32:55brise le pain en faveur des décédés
32:57CRTV News,
32:59l'enfant, soeur, soeur et fille
33:01pleurent pour quitter la scène
33:03à sa prière
33:05Capitaine Yabit,
33:07père de la décédée,
33:09s'est réveillé
33:11à la cathédrale de Bafang
33:13et s'est réveillé
33:15Capitaine Yabit, père de la décédée
33:17dans toute l'esplendeur militaire pour sa fille
33:19a son cœur en pièces
33:21avec ce qu'il appelle
33:23la tragédie de son étoile
33:25sa mère Marie-Thérèse et ses soeurs
33:27ne se battent pas de rires
33:29car ils parlent de leur sœur et de leur fille
33:31qui a parfaitement assumé
33:33le rôle de seconde mère
33:41sa fille Lisan
33:43choisit de célébrer
33:45la femme forte dont sa mère
33:47a combattu la maladie pendant 3 ans
33:49la petite fille pleure
33:51et voit sa mère dans un meilleur endroit
33:53de repos
33:55Carine, l'épouse de Jean-Claude,
33:57est en désespoir
33:59de sa femme quitter cette vie
34:01confortée par son croyance
34:03de la vie après la mort
34:05en face des tributs
34:07vient l'oration du funéraire
34:09de la directrice générale de CRTV
34:11Eveline Mengu-Akou
34:41dans la région de Bafang
34:43marquant la fin de 48 ans
34:45d'épisodes de vie
34:49et elle sera très manquée
34:51certains 65 personnels
34:53et personnels de gouvernement
34:55de Global Light Cameroon
34:57ont été décorés avec des médailles
34:59en reconnaissance de leur travail dur
35:01et de leur dédicace
35:03à l'entreprise de production d'électricité
35:05la cérémonie des médailles, lundi 24 mai
35:07a été présidée par le ministre
35:09de l'Environnement et de la Sécurité Sociale
35:11Grégoire Owona
35:13les détails avec Scola Malouke
35:15Global Light Cameroon
35:17qui est le majoritaire
35:19des plantes d'électricité de Dibamba
35:21et de Cribi génère au moins
35:23304 kW d'électricité
35:25à Cameroun.
35:27C'est pour la résilience
35:29et la loyauté des travailleurs
35:31que ce médaille a été organisé
35:33pour les compenser.
35:35Global Light est honoré
35:37par le fait que le gouvernement a accepté
35:39de venir partager
35:41cette cérémonie
35:43et Global Light est fier
35:45des personnes qui travaillent ici.
35:47Nous avons des employés qui sont vraiment loyaux
35:49ils passent beaucoup de temps avec nous
35:51et vous avez vu
35:53plus de 61 personnes
35:55qui sont avec nous depuis plus de 10 ans
35:57donc c'est la fierté de Global Light
35:59la confirmation que l'environnement
36:01est bon pour nos employés.
36:03L'un des lauréats
36:05c'est Joseph Pangop
36:07qui a été en retraite depuis 2011.
36:09Je suis très heureux.
36:11Je le sens comme l'accomplissement
36:13de plus de 40 ans
36:15de travail
36:17très dur.
36:19La cérémonie de médaille
36:21a aussi été utilisée par le gouvernement
36:23de Cameroun pour assurer
36:25le personnel et le public
36:27de leur présence continue dans le pays.
36:29Global Light est un partenariat
36:31entre l'investissement international britannique
36:33le fonds de développement du Royaume-Uni
36:35et le fonds de développement du Nord.
36:37Ce sont des partenaires
36:39de longue durée.
36:41KPDC et DPDC
36:43sont responsables de 56%
36:45de Global Light et 44%
36:47de la République de Cameroun.
36:49Ce sont des entités publiques.
36:51Nous sommes commis pour la longue durée
36:53et je pense que nous représentons 25%
36:55de l'électricité consommée en Cameroun
36:57et nous sommes très fiers d'être ici
36:59et fiers de ce partenariat.
37:01Le représentant du personnel
37:03de Global Light Cameroun, Louis Manacoc,
37:05a exprimé sa gratitude
37:07au gouvernement de la compagnie
37:09pour leur soutien.
37:11Le ministre du Travail et de la Sécurité sociale,
37:13Grégoire Owonak, a reconnu
37:15les contributions
37:17de Dibamba et Kribi Power Plant
37:19dans le secteur énergétique en Cameroun.
37:23Et ce rapport nous amène
37:25à la fin de cette émission.
37:27Merci et bonne nuit.
37:31Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org