Retrouvez le replay de la première partie de l'Équipe de Greg du 26/06/2024.
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SportTranscription
00:00Musique
00:24Bienvenue, plaisir de vous accueillir ce soir dans l'équipe de Greg, j'espère que vous allez bien.
00:28On est très heureux de vous retrouver après la soirée de dingue d'hier.
00:32On est reparti pour séquencer l'émission avec, autour de la table, Alicia Nomi.
00:36Bonsoir Alicia.
00:37Bonjour, on peut se dire encore bonjour Greg.
00:38Oui c'est vrai, vous avez raison.
00:39Bonjour Alicia.
00:40Avec ce grand soleil en plus.
00:41Bonjour à tous.
00:42Bonjour Benoît Tremoulinas.
00:43Bonjour Greg.
00:44Team Samizet aussi.
00:45Bonjour Samuel Olivier.
00:46Bonjour à tous.
00:47Ça va bien ?
00:48D'excellente humeur, je crois en cette équipe de France, je suis peut-être le seul mais j'ai des arguments.
00:51Voilà, Samuel Olivier est donc animateur, vous l'aurez compris parce qu'il nous répond bonjour Greg.
00:54Il dit bonjour à tous, bienvenue.
00:56Et il croit en l'équipe de France.
00:57De l'autre côté, Nabil Jaïd.
00:58Bonjour Nabil.
00:59Bonjour à tous, moi je crois dans l'être humain.
01:01Bien sûr.
01:02Djibril Sissé, notre star absolu, bonsoir.
01:05Bonjour Djibril.
01:06Ça va ?
01:07Ça va ?
01:08Très bien.
01:09Bon et puis Adrien Kouroub qui va bosser très dur ce soir.
01:10On va tout vous expliquer.
01:11Ça va Adrien ?
01:12Comme tous les jours.
01:13Oui, mais là encore plus.
01:14On vous a confié une mission.
01:15Il y a quand même une coupe que je rêve d'avoir.
01:16Comment on arrive à faire ça ?
01:17La coupe mulaine, c'est simple, tu vas chez le coiffeur.
01:18Allez chez le coiffeur.
01:19Laissez pousser.
01:21On ne va pas faire une heure sur la coupe mulaine, mais en revanche, voici le sommaire
01:24de l'émission.
01:25De quoi allons-nous parler ce soir ?
01:26De ça.
01:27Regardez le programme.
01:28Didier Deschamps, le grand fou.
01:29Est-ce qu'il est le principal responsable de cette première partie d'euro ?
01:33Pas réussi ?
01:34On va dire ça comme ça.
01:36En tout cas, on attendait mieux.
01:37Les bleus sont-ils toujours favoris ? Avec qui vous nous montrez ?
01:39Évidemment, la Vox Populis et non.
01:41Est-ce qu'autour de la table, ça reste oui, dans cette arborescence, cette partie
01:45de tableau si compliquée désormais ?
01:47Et puis quel adversaire pour les bleus ?
01:49Ok, on va savoir ce soir sur la chaîne équipe.
01:53Parce qu'on vivra ça ensemble, évidemment.
01:55On se plongera pour savoir qui sera notre adversaire.
01:58Est-ce que ce seront nos copains voisins belges ?
02:01Peut-être.
02:02Et puis De Zerbi est à Marseille.
02:03On vous parlera de ça parce que l'actualité de La Ligue 1 continue d'exister.
02:07D'ailleurs, La Ligue 1, il y a l'audition de Vincent Labrune avec les parlementaires.
02:11On vous en parlera avec Adrien, vous saurez tout.
02:13Sur ce flou également, si les bleus sont dans le flou, La Ligue 1 et ses diffuseurs
02:18sont encore plus dans le flou.
02:19On aura évidemment Antoine Pinault, ce sera le replay.
02:22On jouera, il y aura le zapping.
02:24Bref, on ne loupera rien.
02:26Mais à 17h01, voici tout de suite l'indispensable du soir.
02:32On n'a pas de jingle ?
02:33On n'a pas de jingle.
02:34Il ne part pas.
02:35Alors, ne pas avoir de jingle, ce n'est pas grave.
02:37Ce que je préfère, c'est avoir Jérémy Gélin-Gros en direct.
02:39Jérémy, est-ce que vous êtes bien en direct, vous ?
02:41Plus présent que le jingle depuis le camp de base.
02:44Bonjour Jérémy !
02:48Bonjour Greg, oui, je suis en direct.
02:50Ça, c'est bien.
02:51Ça, ça me fait plaisir.
02:52Le jingle, je m'en fiche.
02:53Vous, ça m'aurait embêté davantage.
02:54Bon, racontez-nous la journée des bleus après cette déception d'hier soir.
02:58Que s'est-il passé aujourd'hui pour nos bleus ?
03:02Les bleus sont en repos aujourd'hui.
03:04Ils sont avec les familles, même depuis hier à Dortmund.
03:07Ils ont retrouvé ses familles après la rencontre face à la Pologne.
03:11Ils avaient une heure de trajet.
03:13Ils sont maintenant à Bad Lipspring dans leur camp de base.
03:15C'est ensoleillé aujourd'hui, 28 degrés.
03:17C'est idéal pour…
03:19On a vu quelques-uns se balader, disaient des chants normalement,
03:22alors que le jingle retentit maintenant, j'ai l'impression.
03:25Saliba et Fofana aussi sont partis avec leurs familles se balader à pied.
03:28Et puis, il y a ceux qui restent aussi à l'hôtel,
03:31peut-être pour suivre aussi les rencontres de 18 heures
03:33qui vont être décisives pour savoir contre qui ils vont jouer.
03:36Et puis ensuite, à partir de demain, les familles partiront à midi
03:39et puis on reprendra le rythme des entraînements,
03:41des conférences de presse jusqu'au huitième de finale lundi.
03:43Merci Jérémy.
03:44Je voudrais m'excuser auprès de vos proches et de votre famille.
03:46Vous avez pris un jingle dans la tête.
03:47Ce n'est pas très agréable à la télévision française.
03:49Écoutez, il est arrivé en retard, un peu comme les Bleus dans ce premier tour.
03:52Finalement, il est bien par rapport à ça.
03:55Il y a quand même quelqu'un dont on va parler.
03:58C'est Didier Deschamps, le sélectionneur de cette équipe de France.
04:01On va se demander s'il est le principal responsable.
04:04Est-ce qu'on a des chiffres, Adrien, pour étayer ça ?
04:06Oui, on a des chiffres sur ce troisième match,
04:07notamment de la part de Didier Deschamps,
04:10si l'on regarde ce match de l'équipe de France.
04:15C'est comme une défaite.
04:16La France n'a pas terminé à la première place de son groupe
04:18pour la première fois sous Didier Deschamps.
04:20C'est la première fois que ça arrive.
04:21La France n'a pas remporté son dernier match de phase de groupe
04:23lors des neuf derniers tournois majeurs.
04:26Il y a d'autres stats.
04:27Greg, notamment le fait que l'équipe de France n'ait pas marqué dans le jeu
04:30sur les 53 tirs qu'ils ont eu dans cette phase de groupe de l'Euro.
04:33Il y a eu deux buts, un contre son camp et un but marqué sur pénalty.
04:37Et puis, il y a les statistiques.
04:38Évidemment, la moyenne de l'équipe de France face aux adversaires,
04:4116 frappes pour les bleus contre 8, pour les adversaires 4,7,
04:44cadré contre 3,3 pour les adversaires.
04:47Mais les bleus, encore une fois, ont manqué de finition.
04:49Merci, Adrien.
04:50On va écouter Didier Deschamps nous parler.
04:52Justement, lui, il n'est pas déçu.
04:53Non, non, Didier, il n'est pas déçu du tout.
04:55Tout va bien, tout est sous contrôle, les gars.
04:58Non, je ne suis pas déçu.
05:00Pas du tout, sincèrement.
05:03Si ce n'est le fait que, oui, à travers ce match-là,
05:06c'était pour aller chercher la première passe.
05:09On a fait ce qu'il fallait.
05:11Premier objectif est atteint.
05:14On sait quand on jouera.
05:15Le 1er juillet.
05:16Pas encore l'adversaire.
05:19Et une nouvelle compétition va commencer.
05:21Bon, ben voilà, Didier Deschamps, il est content du calendrier.
05:23Alors maintenant, je vous pose la question.
05:25Est-ce qu'il est le principal responsable de cette première phase ?
05:28Franchement, raté au niveau du jeu.
05:30Et puis, pas premier de la poule.
05:31Les bleus, finale de la Coupe du Monde.
05:32Non, non, non, non, non.
05:34De l'autre côté.
05:35Ça dit quoi pour Nabil ?
05:37En partie, quand même, non pour Djib et oui pour Adrien.
05:40Ben oui, en partie, quand même, parce que...
05:42C'est tard.
05:43Vous avez commencé, Nabil.
05:45J'ai hâte d'écouter leurs arguments pour me dire, non, il n'est pas responsable.
05:49C'est quand même lui qui a choisi, par exemple, hier,
05:50de ne pas faire souffler Kanté et Rabiot, qui n'ont été pas bons.
05:53C'est lui qui a fait des mauvais choix.
05:54Et c'est lui aussi qui n'a pas pris un groupe de 26 joueurs,
05:56ce qu'a fait tout le monde.
05:57Et quand vous retrouvez confronté à Ousmane Dembélé,
06:00qui n'est pas bon à droite et que son remplaçant numéro 1,
06:02malheureusement, il s'appelle Kingsley Coleman,
06:04et même si je l'adore,
06:05il est plus souvent blessé qu'opérationnel.
06:08On peut se dire qu'on a peut-être laissé de la fraîcheur,
06:11peut-être en réserve de la République, si je puis me permettre.
06:15Alors évidemment, responsable, ça ne veut pas dire coupable.
06:17Évidemment, on est qualifié.
06:18On n'a pas mis coupable, on a mis responsable.
06:20C'est pour ça que je précise bien ma pensée,
06:21pour ne pas passer pour un mauvais garçon.
06:24C'est un peu comme le Tour de France.
06:26On a quand même le droit de s'exprimer
06:27sur la première semaine de compétition des favoris.
06:30Et donc, si vous me demandez si l'équipe de France,
06:32pour l'instant, sur ce que j'ai vu,
06:34ne me rassure pas forcément.
06:37Hier, j'ai même été inquiet sur la fin du match,
06:39pour être un intellectuel.
06:40Je pense que les Polonais ont compris
06:42qu'on était prenable sur la fin du match.
06:44Avec un peu de réussite et peut-être un peu moins de déchet technique,
06:46on aurait pu aussi perdre ce match.
06:49À juste titre, vous avez rappelé quand même
06:51que N'Golo Kanté et Rabiot, qui revenaient de blessure,
06:53ils ont enchaîné les trois matchs, si je ne dis pas de bêtises.
06:57On aurait peut-être espéré un peu de management.
06:59Et ensuite, pour terminer, je lâcherai la balle
07:01puisque j'ai hâte de parler.
07:03Le plan A, qui est le plan A de tout le monde,
07:06en règle générale, quand on est dans un effectif Mbappé,
07:08il n'est pas, pour l'instant, au niveau espéré,
07:10pour certaines raisons qu'on connaît.
07:12Un nez cassé.
07:13Voilà, le nez cassé.
07:14Mais bon, aussi un garçon qui est arrivé avec une saison compliquée.
07:17Plan B, il n'y en a pas.
07:19Et moi, ce qui m'inquiète, et je terminerai là-dessus,
07:21c'est qu'en fait, tout le monde, même les Pays-Bas,
07:25c'est-à-dire les Pays-Bas, c'est un pays qui joue tout le temps au foot,
07:27même eux, ils ont vu la tornade arriver,
07:29ils ne veulent même plus jouer au foot,
07:30ils neutralisent, ils se font des passes.
07:32Tout le monde nous attend.
07:34Je n'ai pas l'impression que dans ce registre-là,
07:36on soit forcément au point, mais on verra.
07:38Oui, bien sûr, mais après, il y a une explication.
07:40On va la développer avec Alicia dans un instant, Djibril.
07:42J'aimerais votre expérience de ça, des grandes compétitions au sein d'un groupe.
07:45On dit souvent que Didier Deschamps prépare ses équipes
07:48pour la phase finale d'un tournoi,
07:50qu'il y a une montée en puissance qui doit se faire.
07:52Le truc, c'est que c'est vrai que les phases de poules
07:54n'ont jamais toujours été extraordinaires,
07:56mais enfin, rarement à ce niveau-là comptablement.
07:58Est-ce que vous croyez à cette montée en puissance ?
08:01Oui, parce qu'à un moment donné, tu vas être obligé.
08:03Tu vas être obligé.
08:05Si tu te prends la Belgique en huitième,
08:07tu ne pourras pas faire ce genre de match,
08:09parce que sinon, c'est la porte.
08:11Donc, tu seras obligé d'hausser le niveau
08:15et de te mettre à ton vrai niveau.
08:17Et après, j'ai mis non à la question
08:19parce que moi, je trouve que c'est cohérent quand même.
08:23Les joueurs qu'il a mis, il n'a pas mis n'importe qui, n'importe où
08:27hors position.
08:28Quand même, il n'a pas de créativité au milieu.
08:30Il met des joueurs qui ont été arrêtés longtemps.
08:32C'est les joueurs qui sont censés amener cette folie-là.
08:35Il manquait Griezmann hier.
08:37Même sans Griezmann, je pense qu'il y avait de la qualité
08:39sur le terrain.
08:40Il y avait mieux à faire.
08:42Il y a eu un manque vraiment d'efficacité
08:46qui continue au fil des matchs.
08:50Et je pense que ce n'est pas forcément
08:52que la faute de Deschamps.
08:54Moi, je pense que son équipe était bonne.
08:56Les matchs n'ont pas été assez bons.
08:58Il y a un autre problème qui a été pointé du doigt
09:00au sein du groupe France.
09:02Un débat assez vif en interne.
09:04C'est le manque d'intensité des séances d'entraînement.
09:07Certains estiment avoir énormément perdu physiquement
09:10ces derniers jours.
09:11Et d'ailleurs, Youssouf Fofana a évoqué de lui-même
09:14spontanément la différence entre l'intensité
09:16entre les matchs et les entraînements
09:18hier devant les médias.
09:20L'intensité, elle est différente des entraînements.
09:23Il y a peu de marge entre les deux matchs.
09:26Donc, c'est compliqué de travailler physiquement.
09:28Après, il faut s'adapter aussi aux coéquipiers.
09:31Je veux bien rentrer à la 87ème
09:34et rapporter un nitty punch.
09:35Mais si tous les autres ne me suivent pas,
09:37je ne vais pas attaquer tout seul.
09:38Donc, il faut s'adapter quand même
09:39à ceux qui sont autour de vous.
09:40C'est quand même une petite bombe
09:42lâchée par Youssouf Fofana.
09:44Une opinion partagée en plus
09:46par plusieurs de ses coéquipiers.
09:47Donc, la gestion des joueurs qui ne jouent pas
09:49ou très peu, c'est un autre problème
09:52à gérer pour Didier Deschamps
09:53dans les prochains jours.
09:54Cette gestion des remplaçants.
09:55Vous voulez dire un mot, Djib ?
09:56Oui, j'ai échangé un peu avec lui.
10:00Ce n'est pas du tout dans ce sens-là
10:01qu'il voulait dire.
10:02Il ne voulait pas dire
10:03moi je rentre et les autres ne font rien.
10:06C'était justement, je rentre, j'ai un peu de jus.
10:09Les autres ont fait beaucoup d'efforts,
10:11ont beaucoup couru
10:12et ils n'en ont plus trop.
10:14Donc, c'est plus dans ce sens
10:15où les autres font beaucoup d'efforts
10:17et lui est un peu plus frais
10:19plutôt que de dire moi j'arrive,
10:21je suis en pleine forme.
10:22C'est maladroit.
10:23Ce n'est pas une sortie ratée.
10:24C'est maladroit, mais ce n'est pas dans le sens...
10:26Ce n'est pas une attaque.
10:27Ce n'est pas une attaque.
10:28Imaginez bien en après-match
10:29quand les bleus finissent deuxième
10:30que vous avez quelqu'un qui est rentré
10:31tous les entrants ont été mauvais
10:32et qu'il vous balance ça.
10:33On a le droit de s'interroger.
10:34C'est super que vous soyez venu
10:35nous expliquer ce fond de pensée finalement
10:38de Fofana.
10:39Jérémy, vous n'êtes pas tout à fait d'accord
10:41avec ce que vous entendez depuis le début.
10:43Vous êtes plutôt persuadé
10:44qu'il est vraiment responsable
10:45Didier Deschamps.
10:47Oui, mais je vais prendre un pas de côté
10:49par rapport à tout ça.
10:50Je vais dire qu'il est principalement responsable
10:52mais du moins bon.
10:53C'est ce que vous avez cité,
10:54mais aussi du bon.
10:55C'est-à-dire qu'en fait la France
10:56jusqu'à maintenant elle est qualifiée
10:57au prochain tour.
10:58Elle va disputer un deuxième tournoi
10:59comme Deschamps a l'habitude de le dire.
11:00Mais elle n'a toujours pas perdu.
11:01Elle a fait un match contre l'Autriche
11:03qui était honnête.
11:04Et puis on sait aussi que jusqu'à maintenant
11:06Didier Deschamps en face de poule
11:08ce n'est jamais flamboyant.
11:09Et qu'en fait, attention,
11:10il y a des voyants qui sont en rouge
11:12et on est inquiet, on attend plus.
11:14Mais il y a aussi une assiste défensive
11:16qui est trouvée.
11:17Ils prennent peu de buts.
11:18Alors même s'ils ne marquent pas beaucoup
11:19et que ça c'est aussi quelque chose
11:21que Deschamps va devoir corriger.
11:23Il est le principal responsable de tout.
11:25Il personnifie cette équipe de France
11:27depuis qu'il est arrivé.
11:28Plus qu'un autre joueur,
11:29c'est lui qui fait tout dans cette équipe.
11:31Mais tout n'est pas à jeter, je pense.
11:33Jusqu'à maintenant,
11:34même si on dit tout ce qui est à améliorer,
11:36il y a encore une compétition à faire.
11:38En huitième, ils ne vont pas affronter
11:39un grand favori.
11:40Donc la compétition pourrait encore continuer.
11:42Le bilan, si on peut le tirer,
11:44il ne faut pas le tirer maintenant, à mon avis.
11:46Vous avez raison,
11:47puisqu'on se demandera
11:48s'ils sont toujours favoris dans un instant.
11:49Mais excusez-moi, Benoît,
11:50on a le droit d'être déçu.
11:51On a vu le match d'hier.
11:52Pardon, on était plus proche d'une purge.
11:53On a eu plein de matchs super,
11:54enthousiasmant, avec plein d'action.
11:55Il y a eu un très grand gardien polonais.
11:57On ne veut pas l'enlever.
11:58Et moi, tous les gars qui étaient autour de la table
12:00quand on a fait le débrief,
12:01certes à chaud,
12:02avec évidemment à côté supporters,
12:03pas satisfaits de ce qu'on a vu.
12:05Et vu les noms, c'est légitime.
12:06Vu la façon dont il a construit l'équipe aussi.
12:08Donc maintenant, ça va être mieux ?
12:09C'est ça que vous nous dites tous ?
12:11Je ne sais pas.
12:12Il va falloir en tout cas qu'il fasse des choix.
12:15Oui, il a aligné quand même une équipe compétitive.
12:20Quand on voit le 11,
12:21c'est quand même assez fort
12:23et bien au-dessus du 11 de la Pologne.
12:25Et ce n'est pas normal que l'équipe de France
12:27ne fasse qu'un partout face à la Pologne.
12:29La Pologne B.
12:30Moi, ce qui m'inquiète un petit peu,
12:32c'est que ça manque un petit peu de lien
12:34cette équipe de France.
12:35Il n'y a pas d'âme, je trouve.
12:37Il y a des individualités
12:38qui sont capables de renverser un match,
12:40qui sont capables de faire gagner des matchs.
12:43Mais il manque quelque chose.
12:45Il manque du lien.
12:46Quand je vois aussi Antoine Griezmann qui rentre,
12:48j'ai l'impression qu'il était déjà éreinté
12:50avant de rentrer.
12:52J'ai l'impression qu'il était fatigué.
12:54Est-ce qu'il l'a perdu ?
12:55On s'est posé la question,
12:56parce que de ne pas le mettre titulaire,
12:57on se demandait si c'était sanction ou pas.
12:58Je ne pense pas.
12:59Vu comment il est rentré,
13:00c'était quand même sa pire rentrée dans l'histoire.
13:02Est-ce qu'il a un problème physique ?
13:03Est-ce qu'il est cuit ?
13:04On ne sait pas.
13:05Il y a aussi des joueurs comme Rabiot
13:08qui a fait un super premier match face à l'Autriche.
13:10Là, pareil, je le sentais un petit peu emprunté,
13:12éreinté.
13:15Ce qui est malgré tout encourageant,
13:18c'est que l'équipe de France
13:20se procure énormément d'occasions.
13:22C'est juste ça.
13:23Deschamps ne va pas être là devant le but
13:24à marquer les buts.
13:25C'est-à-dire qu'à un moment donné,
13:26l'équipe de France se procure des occasions
13:28à chaque match.
13:29Donc, il y a quasiment 2, 3, 4 occasions franches.
13:32Et on ne sait plus finir.
13:33C'est ça.
13:34Si tu les mets,
13:35on n'a pas le même débat.
13:36Et on se dit peut-être que dans le jeu,
13:37l'équipe de France…
13:38C'est le principe du foot.
13:39C'est la marquée des buts.
13:40Oui, mais ce que je veux dire,
13:41c'est qu'on a les occasions.
13:42Ce n'est pas une équipe de France
13:43qui n'a pas d'occasion,
13:44qui ronronne.
13:45Là, effectivement, dans le jeu,
13:46ça peut mieux faire,
13:47mais on a les occasions.
13:48Si les attaquants comme Mbappé marquent,
13:51ça change la donne.
13:53On va aller voir l'optimiste.
13:54Il est toujours là.
14:00Je n'ai pas envie, moi,
14:01de tomber dans la sinistrose ambiante
14:02depuis hier soir.
14:03Qu'on n'ait pas fait un bon match.
14:05Vous n'avez plus opté en regardant le match ?
14:06Non, mais je ne vais pas vous raconter
14:07une autre histoire.
14:08Merci.
14:09Ce n'était pas horrible non plus,
14:10les amis.
14:11Ce n'était pas bien.
14:12Ce n'était pas un bon match
14:13de l'équipe de France.
14:14Je pense que tout le monde a pu le voir.
14:15C'est clair.
14:16Mais on ne découvre pas Didier Deschamps
14:17et on ne découvre pas l'équipe de France
14:18là en 2024.
14:19Contre l'Autriche,
14:20il y avait une autre intensité.
14:21Ça, c'est le plus inquiétant.
14:24C'est l'absence de progression
14:25du premier au troisième match.
14:26Ça, d'accord.
14:27Mais enfin,
14:28combien de fois
14:29on a vu l'équipe de France
14:30être franchement moyenne,
14:31voire mauvaise
14:32sur la phase de poule
14:33et ensuite se transformer
14:34complètement en huitième de finale ?
14:35Ce France Danemark 0-0
14:36de Coupe du Monde
14:37était tellement beau.
14:38C'est vrai.
14:39À chaque compétition,
14:40c'est la même chose.
14:41On a l'impression de tâtonner.
14:42Sans doute, on tâtonne.
14:43On n'a pas toujours
14:44les bons joueurs au bon poste
14:45et il se passe toujours
14:46quelque chose
14:47à partir des huitièmes de finale.
14:48Cette équipe se sublime.
14:49Cet entraîneur est né pour ça
14:51pour les matchs à élimination directe.
14:52Sauf au dernier euro.
14:53Sauf au dernier euro
14:54sur quatre, cinq, six compétitions
14:55où on a toujours été performant.
14:56Je crois vraiment, moi,
14:57à l'argument
14:58de ces nouvelles compétitions
14:59qui commencent.
15:00Est-ce qu'on s'est trompé
15:01et après,
15:02on marque une courte pause
15:03et je vous pose la question.
15:04Est-ce que notre déception
15:05est encore accentuée
15:06par le fait que,
15:07comme je parlais d'arborescence
15:08depuis le début de l'émission,
15:09on savait depuis le début
15:10que si on était deuxième
15:11de la poule,
15:12on basculait du côté
15:13de l'Allemagne,
15:14de l'Espagne,
15:15du Portugal.
15:16Alors,
15:17qu'il y avait un tableau
15:18probablement plus dégagé.
15:19Est-ce que ça,
15:20ça accentue encore la déception
15:21et ça nous permet
15:22de juger plus durement ?
15:23Oui, je pense.
15:24Parce que,
15:25du coup,
15:26là,
15:27tu ne te facilites pas la tâche
15:28même si ça ne va pas être
15:29forcément une partie de plaisir
15:30de l'autre côté.
15:31Mais,
15:32tu te dis qu'avec
15:33le groupe que tu avais,
15:34la qualité qu'il y a
15:35dans le groupe,
15:36oui,
15:37tu dois dominer,
15:38tu dois être premier.
15:39C'est ça,
15:40ne pas être premier
15:41d'un groupe comme ça
15:42quand vous avez battu
15:43le plus dur
15:44qui était l'Autriche
15:45a priori.
15:46C'est frustrant.
15:47C'est très frustrant
15:48et puis,
15:49dans un monde normal,
15:50pour se dire clairement
15:51les choses,
15:52tu galères contre l'Autriche
15:53et les Pays-Bas,
15:54je veux bien.
15:55Parce qu'Autriche,
15:56Pays-Bas,
15:57c'est des pays,
15:58par exemple,
15:59si tu vas en Coupe du Monde,
16:00tu peux les croiser
16:01en quart de finale
16:02mais tu n'as pas le droit
16:03contre une Pologne-Romanie
16:04d'être à la fin du match
16:05exposé à une défaite
16:06et ça,
16:07c'est inquiétant.
16:08Contre qui les Bleus ?
16:09On va en parler tout à l'heure.
16:10Il y a quatre adversaires possibles.
16:11Alors là,
16:12c'est le flou total.
16:16On aura aussi le footwork
16:17avec deux amis
16:18qui arrivent du côté de Marseille
16:19et puis,
16:20on aura le zapping
16:21à tout de suite.
16:30De retour dans l'équipe de Greg.
16:31Merci d'être avec nous
16:32avant de s'intéresser au footwork.
16:33Il se passe des choses
16:34sur la planète football
16:35en plus de l'Euro
16:36et de revenir sur i
16:37pour jouer contre les Bleus.
16:38Alors,
16:39contre qui on va jouer en 8e ?
16:40On se posera la question.
16:41Meilleur choix,
16:42pire choix.
16:43Voici le zapping
16:44préparé par Mathieu Monnier
16:46Derrière,
16:47encore une fois,
16:48Chapelbourg.
16:49Ils sont désorganisés.
16:50La transition canadienne
16:52avec Jonathan David.
16:54Il ne faut jamais
16:55laisser Jonathan David
16:57dans ce genre de position
16:59avec ce genre de ballon.
17:09What a way to win it.
17:11What a performance
17:12from Karolina Mukovic
17:14A statement win on her return
17:18and into the quarterfinals
17:19in Eastbourne.
17:44Oh, you're kidding.
17:48And Kenny was
17:49maybe a little casual
17:51with that finish
17:52and it just invited...
17:54Give me one of the
17:55Brazilian shirt, please.
17:57OK.
17:58Give me one.
17:59What size ?
18:00L.
18:07Dame dos.
18:08Dame dos.
18:09Dame dos.
18:10Dame dos.
18:11Dame dos.
18:12Dame dos,
18:13Dame dos.
18:14Dame dos,
18:15Dame dos.
18:16Dame dos,
18:17Dame dos,
18:18Dame dos.
18:19Dame dos,
18:20Dame dos.
18:21Dame dos.
18:25Aujourd'hui,
18:26je ne me mets
18:27pas forcément dans les limites.
18:29Je rêve un peu
18:30à l'image
18:31de la saison
18:32que j'ai faite
18:33ici à Bourg,
18:35pouvoir contribuer
18:37à faire gagner
18:38une équipe.
18:39Pouvoir apprendre
18:40au sein d'une équipe
18:41au sein d'une équipe NBA, et voilà, petit à petit, faire ma place dans un effectif.
18:48C'est bête à dire, mais comme l'équipe de France 7 le fait souvent et ont mis en place
19:16un moyen de pouvoir maîtriser leur tempo, des pas, changement de rythme, etc.
19:22C'est quelque chose qui m'apporte un équilibre aussi avec le rugby, cette famille.
19:27C'est de l'énergie que je dépense ailleurs.
19:30C'est le moment où Canelpus a fait savoir qu'il ne serait pas candidat à l'appel d'offres.
19:47On travaille.
19:48On a travaillé depuis septembre 2022, un an avant le lancement de l'appel d'offres,
19:52à consulter, à démarcher, à essayer de trouver des solutions alternatives.
19:56On n'a pas réussi.
19:58Pour l'instant, je prends ma part, bien évidemment.
20:00Je croyais qu'on fait notre maximum.
20:03C'est compliqué, mais il y a un chemin.
20:05Il y a un chemin qui sera sans doute moins bénéfique pour les clubs si on n'arrive
20:09pas au final à trouver un arrangement avec Canelpus.
20:11Mais il y a un chemin qui est tout simplement celui de faire d'une contrainte théorique
20:16une opportunité en prenant notre destin entre nos mains et en essayant de créer notre
20:21propre média.
20:23D'ailleurs, puisqu'on parlait de Vincent Labrune dans le foutoir, tout à l'heure,
20:29l'être humain à ma gauche, Aka, Adrien Courrouble, formidable journaliste talentueux.
20:32Grand humain.
20:33Grand humain.
20:34Parce qu'il est très grand, Adrien.
20:35Vous nous présenterez un dossier complet sur son audition.
20:36Vous êtes en train de travailler dessus.
20:37Vous avez bossé tout l'après-midi dessus.
20:38Là, j'ai l'oreille droite avec la régie, l'oreille gauche avec l'audition de Vincent
20:42Labrune.
20:43En tout cas, pour être encore un peu plus sérieux, il a bien assisté à toute audition
20:47de Vincent Labrune.
20:48Vous le saurez tous sur cette histoire de droite télé et même de rémunération de
20:51Vincent Labrune parce qu'il y a des passages qui passent, on l'a vu sur le compte X de
20:53la chaîne Équipe, assez spectaculaire.
20:55Voici le foutoir.
21:02Alors, ça y est, il était attendu.
21:04De Zerbi est à Marseille en charge.
21:06Il est bien là.
21:07Adrien, pardon.
21:08Il est bien là.
21:09Preuve à l'appui.
21:10Regardez, on a une petite image.
21:11Ah non, ce n'est pas cette image qu'on avait.
21:12Ce n'est pas la bonne image.
21:13Ce n'est pas le bon.
21:14Il n'y a rien qui va, les gars.
21:15De Roberto De Zerbi.
21:16Mais ça, c'est une image de lui à Brighton.
21:17En tout cas, il y a une image qui a été récupérée.
21:18Voici.
21:19Roberto De Zerbi qui arrive du côté de Marseille.
21:21Donc, au moins, on est sûr qu'il est bien là.
21:23Sachez qu'il travaille déjà sur le mercato diathétique qui annonce qu'il y a un accord
21:26de principe entre Watford et Marseille pour le milieu canadien qui est actuellement à
21:29la Copa América.
21:30Et que vous pouvez voir d'ailleurs sur l'équipe LiveFood.
21:32J'en profite.
21:33Petite promo.
21:34Ismaël Conné.
21:35Et puis, selon RMC également, Leonardo Balerdi, dont l'avenir était incertain, serait éclairci,
21:39prolongé, en bonne voie pour l'argentin.
21:4215 millions d'euros.
21:43Ismaël Conné.
21:4412 millions d'euros.
21:4515 millions d'euros.
21:46Il y a plusieurs sources divergentes.
21:48Diathétique, en tout cas, parle de 15 millions d'euros.
21:50Nabil, vous suivez beaucoup l'actualité des transferts.
21:52Qu'est-ce que vous en pensez ?
21:53C'est un joueur dont j'avais entendu parler il y a quelques années.
21:56Il est d'origine ivoirienne.
21:57Il était surnommé Gaïa Touré en MLS.
22:00Ce n'est pas exactement le même registre.
22:02Ça se saurait, sinon.
22:03Pardon ?
22:04Si c'était au niveau de Gaïa Touré, on le saurait.
22:06Si c'est Gaïa Touré, vous êtes dans les 30 du ballon d'or, dans le top 10.
22:10C'est intéressant.
22:12Je me méfie quand même avec le recrutement de l'Olympique de Marseille ces dernières années.
22:15J'espère qu'ils vont être…
22:17Mais là, est-ce que c'est une demande de De Zerbi ?
22:18Posons la question.
22:19Vous avez raison d'être méfiant.
22:20Il a fait du trading, tout ce que vous voulez.
22:22Là, s'il prend De Zerbi, ce n'est pas que De Zerbi choisit ses joueurs.
22:25Oui, évidemment.
22:26Ils sont validés par De Zerbi et par le directeur sportif qui vient avec De Zerbi également.
22:29Il ne faut pas l'oublier puisque c'est un package qui vient du côté de l'Olympique de Marseille.
22:34C'est plutôt une bonne chose.
22:35Après, il y a aussi Mehdi Benazia qui est quand même dans un rôle de conseiller,
22:38qui participe également au recrutement.
22:41Si ça pouvait apporter de la stabilité à l'OM sur deux ans, sur trois ans…
22:46Bien sûr, il y a un projet à trois ans, mais on va déjà attendre trois mois.
22:49C'est quand même le sujet.
22:50C'est quand même le problème à Marseille depuis, je ne sais pas, cinq, sept ans maintenant.
22:54C'est que tous les ans ou toutes les années et demie, il y a un changement d'entraîneur.
22:57Là, je pense que tout le monde est convaincu par le profil de De Zerbi.
23:00Maintenant, on veut le voir longtemps, pas juste un an.
23:03Un mot de Gibril ?
23:04On le connaît, c'est très bon.
23:05On l'a vu contre la France.
23:07Il avait été bon au milieu de terrain.
23:09Et avec Osser, on suit un attaquant canadien, donc on regardait un peu les matchs.
23:13Et c'est là où j'ai appris que c'était un Ivoirien.
23:16Très bon.
23:17Très, très bon.
23:18Je me rappelle, vous nous aviez dit hier, il faut que je devienne son pote.
23:20Très bon.
23:21Évidemment.
23:22Il faut voir après.
23:23Oui, il faut voir.
23:24Mais c'est plutôt une signature.
23:25Tout le monde n'est pas né pour ça.
23:26Pour réussir à Marseille.
23:27Vous avez raison.
23:28L'équipe de France Olympique, c'était jour de conf aujourd'hui.
23:29Oui, il y avait Alexandre Lacazette qui est notamment la star de cette équipe.
23:32On avait envoyé Raphaël Sebaoun et Tom Trichereau.
23:34Il a expliqué à Alexandre Lacazette comment ça marche quand on est un vieux au milieu des jeunes.
23:38Je reste naturel.
23:40Pour être honnête, la première semaine, j'étais assez discret.
23:43J'observais un peu pour comprendre et apprendre de mes partenaires.
23:47Cette semaine, ça va un peu mieux.
23:49Je m'ouvre un peu plus.
23:50Je parle.
23:51Mais je reste que à parler football parce que c'est le terrain le plus important.
23:54Après, je laisse la vie se dérouler.
23:57Thierry Henry pourrait quitter les Bleuets.
24:00C'est un peu l'info qui tombe comme un cheveu sur la soupe.
24:03C'est une information de la BBC puisque la Fédération galloise a très envie d'aller chercher Thierry Henry.
24:08Il est libre, le poste gallois.
24:10Lui qui a passé ses diplômes au Pays de Galles, évidemment.
24:12La Fédération galloise qui est donc dans le viseur pour remplacer Rob Page.
24:15Après les Jeux Olympiques, on imagine.
24:17Bien sûr.
24:18Je vais aller voir les gros yeux ronds de Benoît Tremolinas.
24:19Vous avez fait une drôle de tête.
24:21Celle-là, elle sort de nulle part.
24:23Pays de Galles, ça pourrait être un challenge qui l'excite.
24:25Une fois que les Jeux sont passés, les Bleuets l'exciteraient peut-être moins.
24:28Oui, je pense que ça peut être un challenge qui pourrait l'intéresser pour continuer son début de carrière d'entraîneur.
24:36Je ne pense pas non plus qu'il ait d'autres choix de club.
24:40Je pense que même pour débuter une sélection, c'est plutôt pas mal.
24:44Oui, quitter les Bleuets.
24:45Après, les JO, c'est moins intéressant.
24:47C'est ça que ça veut dire.
24:48Ça dépend du résultat.
24:49Clairement, Greg, je pense que c'était un petit peu le contrat.
24:51Comme pour Hervé Renard, d'ailleurs.
24:53Je pense que c'était en accord avec la FED.
24:57Je pense que si jamais il y avait une proposition d'un club ou même d'une sélection, ils le libèreraient.
25:03Et puis la Copa América, c'est sur l'équipe live foot.
25:05La chaîne 24h sur 24 du foot, du foot, du foot, c'est chez nous.
25:08Et c'était la deuxième journée du groupe A.
25:11La nuit dernière, on avait notamment l'Argentine de Léo Messi.
25:13On avait également le Canada de Joe David.
25:15Alors, Argentine, Chili, Canada, Pérou.
25:17Le résumé de ces deux matchs.
25:24Ballon à l'entrée de la surface de réparation.
25:26La tentative de Léo Messi.
25:28Il était idéalement placé, il avait le temps d'ajuster.
25:31Claudio Bravo, lui, n'a pas bougé, pardon, son ancien coéquipier.
25:35La frappe n'est pas cadrée.
25:38Oh, mais elle n'est pas cadrée de très, très peu.
25:44Messi.
25:47Le renversement sur le côté.
25:49Balle de but avec le ballon dans la surface de réparation.
25:51Nico Gonzalez, sur la barre transversale.
25:53Quel arrêt de Claudio Bravo.
25:55Ce n'est pas terminé avec la possibilité, toujours, pour Nico Gonzalez.
25:59Et quel arrêt, surtout, de Claudio Bravo qui vient détourner cette tentative sur sa barre transversale.
26:10Premier poteau pour Messi, cette fois.
26:11Cette fois, ça va faire but.
26:12Non, Lautaro.
26:13Lautaro Martinez à la 88ème minute.
26:16Pour délivrer l'Albi Céleste.
26:18Pour délivrer la sélection championne du monde.
26:20Il est entré en jeu pour marquer.
26:22Et il a marqué.
26:23Lautaro Martinez qui retrouve toute la confiance qui était nécessaire en sélection après une très, très longue gisette.
26:32Sous le maillot de l'Argentine pendant plus d'un an et demi.
26:36Il n'avait pas marqué.
26:38Mais depuis mars, c'est redevenu le goléador.
26:51L'intensité, encore une fois, mise par les Péruviens.
26:53Ils ont réalisé une excellente première période.
26:56Mais à un moment donné, ces gestes-là, il faut les sanctionner, monsieur l'arbitre.
27:03Carton rouge, il décide, l'arbitre de cette pelouse, d'annuler son carton jaune pour sortir le carton rouge.
27:09Donc peut-être tournant dans ce match.
27:11Parce que les Péruviens l'avaient en main.
27:14Les Péruviens dans le pressing, dans l'application, dans les occasions.
27:17Ils étaient en train de faire un match très intéressant.
27:22Et c'est bien fait.
27:24Et derrière, encore une fois, Schafelbourg.
27:27Ils sont désorganisés.
27:29La transition canadienne avec Jonathan David.
27:32Il ne faut jamais laisser Jonathan David dans ce genre de position.
27:37Il sait les travailler.
27:39Il sait les frapper ses ballons.
27:41Il rebondit sur le poteau sans aucun problème.
27:43Jonathan David, du pied droit, qui permet au Canada de mener un but à zéro.
27:47Et de, pour l'instant, prendre un avantage non négligeable dans la course à la qualification
27:53vers les quarts de finale de cette Copa América.
27:57Premier but marqué dans l'histoire du Canada en Copa América.
28:02Soulignons aussi ce moment important.
28:06Ce n'est pas fini, évidemment, la Copa América.
28:08Il y aura d'autres matchs à suivre avec Équateur-Jamaïque.
28:12Et puis Venezuela-Mexique, 3h du matin.
28:14On est très heureux de vous proposer ça.
28:16Parce que vous savez, la chaîne L'Equipe, c'est cette chaîne que vous regardez tous les jours.
28:19Merci d'avoir été aussi nombreux, par exemple, hier.
28:21Mais c'est aussi un bouquet de chaînes.
28:23L'équipe live 1, l'équipe live 2 et l'équipe foot 24h sur 24.
28:26Puis on termine avec Gareth Southgate, qui est content de ses joueurs.
28:28Comme Didier Deschamps, il est content de son tableau.
28:30Victoire poussive face à la Serbie.
28:32Match nul contre le Danemark.
28:33Match nul contre la Slovénie.
28:35Mais visiblement, il est satisfait, le sélectionneur anglais.
28:38Nous avons été très forts en deuxième période.
28:41Nous l'avons totalement contrôlé.
28:43Je suis très content de ce que les joueurs ont fait aujourd'hui.
28:46Je comprends la réaction des supporters.
28:49Je ne vais pas reculer devant cette adversité.
28:51La chose la plus importante est qu'ils restent derrière l'équipe.
28:53Je comprends que l'on parle en mal de moi.
28:55Et c'est mieux pour l'équipe que ce soit contre moi, plutôt que contre les joueurs.
28:59Mais je suis très très fier de la façon dont ils avancent dans ce contexte.
29:02Un petit complément d'info sur la sélection anglaise.
29:04Sachez que Phil Foden a quitté la sélection.
29:06C'est la fédération qui vient de l'annoncer pour des raisons familiales urgentes.
29:09Mais selon le porte-parole de la fédération, il pourra être là pour les huitièmes de finale.
29:13Garry Southgate, pour revenir à lui.
29:15Il l'a reconnu en conférence de claresse.
29:17Il est très très critiqué.
29:18Et ce match hier n'a rien arrangé.
29:20Il est très critiqué que ce soit par les entraîneurs de Première Ligue reconvertis,
29:23consultants pendant l'Euro comme Eric Tenag.
29:25Par de grands noms du foot anglais comme Gary Lineker ou encore Alan Shearer.
29:29Ou encore par la presse britannique qui ne le loupe absolument pas.
29:33Et en parlant des tabloïds anglais, regardez la une du jour du son.
29:37Elle est assez explicite.
29:39Voilà ce que procure le jeu proposé par l'équipe de Garry Southgate aux supporters.
29:44On est très très sympa à côté parce que les tabloïds y vont très très très fort.
29:50Voilà ce supporter complètement endormi pendant le match.
29:54On a même regardé une autre photo.
29:57Et c'est celle même d'un joueur pour vous dire.
29:59Anthony Gordon qui est en train de bailler pendant le match Southgate.
30:02Qui ne s'est jamais caché de s'inspirer de Didier Deschamps pour son pragmatisme.
30:07Mais attention ça peut vite devenir chiant aussi.
30:09Sauf que nous on gagne quand même par rapport à l'Angleterre.
30:12Pour le moment ils sont encore qualifiés.
30:14Dernier trophée 66.
30:15Ça va Djibrilé ? Vous faites votre contre-émission tous les deux ?
30:18Je me demandais si c'était vraiment une photo de l'Euro ça.
30:20Il fait du table-checking.
30:21Il n'y a pas de siège.
30:23Le mec il est assis sur des...
30:25On ne va pas enquêter sur la photo.
30:27Je vous laisse raloter.
30:29C'est bien.
30:30Ça vous met dans l'émission.
30:31Ça vous met dans le jus.
30:32On va maintenant écouter Robert Lewandowski.
30:33Parce qu'il était l'adversaire des Bleus.
30:34Alors que son pénalty très pénible.
30:36Son pénalty on va le dire.
30:37Robert Lewandowski avec Mike Mignon qui n'a pas le droit de bouger.
30:39Mais lui il a le droit de faire 15 petits pas en saut de cabri.
30:41Deux stops avant la dernière part.
30:43Mais il n'est pas inquiet pour les Bleus.
30:44Robert Lewandowski.
30:48A l'Euro, une équipe comme la France a le temps pour trouver le meilleur système de jeu.
30:52Avec les meilleurs joueurs possibles.
30:54Donc ils pourront probablement changer quelque chose au prochain match.
30:57Jouer encore mieux.
30:58Et être plus difficile à manier pour les adversaires.
31:01Parce qu'ils ont beaucoup de joueurs formidables.
31:08Alors on va vous poser la question.
31:10Puis après on ira voir ce que disent les bookmakers.
31:12Est-ce que pour vous, malgré cette deuxième place.
31:14Et cette arborescence.
31:15Ce tableau compliqué.
31:16Les Bleus sont toujours favoris de l'Euro.
31:18Regardons vos réponses.
31:19Ça dit quoi ?
31:20Pour Alicia c'est non.
31:21Et ben non.
31:22Pour Benoit.
31:23Rendez-vous en finale.
31:24Il est là l'optimiste.
31:25Samuel Ollier.
31:26En partie.
31:27Il n'a pas changé.
31:28Nabil bien sûr.
31:29Oui pour Djibril.
31:30L'autre optimiste.
31:31Et non pour Adrien.
31:32Adrien.
31:33Que disent les bookmakers ?
31:34Les bookmakers ont longtemps mis la France deuxième grand favori.
31:37Deuxième grandissime favori derrière l'Angleterre.
31:39Et bien la position de la France a légèrement reculé ces derniers jours.
31:43Vous le voyez.
31:44L'Allemagne est passée devant l'équipe de France.
31:45L'Espagne aussi.
31:46Ça c'est une nouveauté.
31:47C'était très loin les Espagnols.
31:48Les Français sont désormais quatrièmes favoris.
31:50Ça reste quand même une bonne position.
31:51Ça veut dire demi-finale.
31:52L'Angleterre est grand favori.
31:53Ils prennent en compte la partie de tableau de l'Angleterre ?
31:56Ils sont tous seuls.
31:57Les autres s'affrontent.
31:58Mais Samuel, un bookmaker se rend compte que les quatre autres vont s'affronter.
32:02Donc les quatre ne pourront pas aller en demi.
32:04D'accord.
32:05L'Angleterre ne gagne jamais rien.
32:06L'Angleterre joue très mal.
32:07L'Angleterre a du mal à s'imposer en face de poule.
32:09Et l'Angleterre gagnerait l'euro ?
32:10Non.
32:11Ils sont favoris les bookmakers.
32:12Ce n'est pas pareil.
32:13À un moment ils vont bien finir par gagner.
32:1450 ans après.
32:15Allez-y.
32:17Enchaînez tant que vous avez la parole.
32:18J'y crois pour une raison simple.
32:20C'est ce que je commençais à expliquer tout à l'heure.
32:22C'est un autre tournoi.
32:23C'est ce que dit Didier Deschamps et c'est ce que je pense aussi.
32:26Cette équipe-là va se sublimer.
32:28Surtout avec le calendrier qu'on va avoir.
32:31Je pense que c'est un mal pour un bien.
32:32J'aimerais bien qu'on affronte.
32:33Ce sera le prochain débat.
32:34Mais la Belgique pour tout de suite upgrader.
32:37Vous faites partie de ceux qui pensent que les bleus ont besoin d'adversités costaudes
32:39pour être meilleurs ?
32:40Oui.
32:41Je pense qu'on sera meilleurs que de grandes équipes.
32:44Y compris dans la construction de notre jeu.
32:46On sera capable de souffrir.
32:48On sera capable de défendre et pas prendre de buts.
32:49On sera capable d'envoyer les flèches devant.
32:51En mode coupe du monde.
32:53Comme quand on bat les Anglais alors qu'on n'est pas forcément meilleurs.
32:55Pragmatisme.
32:56Là, ça voudrait dire Belgique, Portugal et après Allemagne ou Espagne.
33:02C'est ça.
33:03Avant, Italie, Angleterre.
33:04Bien sûr.
33:05Nabil, moi je veux bien.
33:06C'est l'euro.
33:07Oui, c'est l'euro.
33:08Mais quand vous avez une partie de tableau.
33:09Il n'y a pas la jambalique au premier tour.
33:10D'accord.
33:11J'ai tout le respect que j'ai pour ces pays.
33:12Mais quand vous avez une partie de tableau.
33:13Possiblement avec la Roumanie, la Turquie, même l'Autriche.
33:16Tu avais raison.
33:17C'est dangereux.
33:18C'est pas pareil.
33:19Non, mais tu as plus de chances de passer.
33:20Oui, mais c'est plus dangereux.
33:21Parce que là, au moins, tu sais que contre la Belgique, si tu n'es pas au niveau, c'est au revoir.
33:25Donc, tu es obligé.
33:26Tes stars, tes leaders, ils seront obligés de se mettre au déprimant.
33:30Sinon, tu rentres à la maison.
33:31Excusez-moi.
33:32Un huitième de finale, il n'y a pas besoin d'un adversaire pour être au taquet.
33:34Vous êtes en huitième de finale d'un euro.
33:36Vous êtes au taquet, quel que soit l'adversaire normalement.
33:38Si il y a les deux, c'est bien.
33:39Normalement, oui, tu dois être à 100%.
33:43Mais si tu joues contre une équipe où, quand toi, tu n'es pas bien.
33:46Et tu joues contre une équipe qui a du répondant.
33:50Mais c'est quoi ? En termes de concentration, vous voulez…
33:53De tout.
33:54Tu te dis que tu ne peux pas rater ton match.
33:56Tu ne peux pas être à 90%.
33:58Oui, mais s'ils sont plus forts, vous êtes moins bien.
33:59Vous êtes battu.
34:00Vous prenez le risque de tomber sur quelqu'un de plus fort que vous parce qu'ils sont costauds.
34:03La Belgique n'est pas au-dessus de la France aujourd'hui.
34:07Après, c'est Portugal.
34:08Éventuellement, si on se projette…
34:10Si tu bats la Belgique, tu as confiance qui remonte.
34:16Et au-delà de l'aspect purement confiance et mental, je pense que du point de vue du jeu aussi,
34:21on sera meilleur contre une équipe qui attaque, qui va nous chercher.
34:24Je ne sais pas si tu as capté, ils ne veulent plus attaquer contre nous.
34:26Oui, mais ils ne savent pas défendre la Belgique.
34:30Je ne sais pas.
34:31Les Pays-Bas, c'est quand même un pays qui est connu pour jouer au ballon.
34:33À un moment, ils ont dit « Non, mais attendez, vous vous prenez pour des cons ou quoi ?
34:36Vous croyez qu'on va tomber dans le guet-pied ?
34:38On va se taper la tornade derrière dans le dos ? »
34:40Les Pays-Bas, c'est-à-dire que leur nature, c'est de jouer au football.
34:42Donc, attention.
34:44Moi, je suis comme vous.
34:45C'est comme en Ligue des Champions.
34:46On l'a fait assez de fois cette année.
34:48Quand le Paris Saint-Germain se coltine le Real Madrid et puis de l'autre côté,
34:50Manchester City, le FC Bal.
34:52Alors, OK, le PSG, ce n'est peut-être pas Manchester City.
34:54Il ne faut pas m'expliquer que le tableau, il ne compte pas dans ce qui va se passer à l'arrivée.
34:58Donc, jouer les pays que vous avez donnés ou jouer l'Espagne ou l'Allemagne à domicile,
35:04ce n'est pas la même chose.
35:05Tu as moins de chance.
35:06C'est comme ça.
35:07C'est le football.
35:08C'est les réalités de rapport de force.
35:09Et le talent, il y en a plus en Allemagne et en Espagne qu'il y en a en Roumanie ou en Autriche.
35:13Et au Portugal.
35:14Jérémy, j'ai l'impression que Nabil s'est fait votre porte-parole là.
35:17Non, mais c'est mon omni.
35:18Je comprends aussi ce qu'ils disent.
35:20Il faut écouter Jérémy.
35:21Oui, c'est une bonne idée.
35:25Il faut brancher le micro de Jérémy en revanche.
35:27Je peux continuer.
35:28Attendez, Jérémy.
35:29Apparemment, il y a soit vous, soit nous.
35:31Il y en a un des deux qui a un peu appuyé sur on.
35:33En régime, vous me dites si on a Jérémy.
35:35Oui, c'est bon.
35:36C'est bon, Jérémy.
35:37Ça fonctionne.
35:38Oui, on vous entend à nouveau.
35:39Et c'est le petit bouton on off quand il y a le petit trait qui apparaît.
35:41Ça veut dire qu'on peut y aller.
35:42Je vous écoute.
35:44Non, il est allumé.
35:46Simplement, je suis aligné avec Nabil.
35:49En fait, nous, on est obligé en tant qu'envoyé spécial ici de constater le niveau de la France
35:53comparé à celui des autres favoris.
35:54Avant ce match, avant ce premier tour, on aurait cité la France probablement si on
35:58en est dans l'isolé 1.
35:59Mais là, on constate que le niveau de jeu que propose la France est loin de celui que
36:03propose l'Allemagne, par exemple, même s'il y a eu un léger faux pas au troisième match.
36:07Loin de celui que propose l'Espagne ou le Portugal.
36:09Donc, ce braquette dans lequel on se retrouve, on est amené à les croiser.
36:13Ça ne nous laisse pas penser qu'on est forcément loin devant ou en tout cas qu'on est même
36:18en mesure de les concurrencer.
36:20Les envoyés spéciaux ici, on est à peu près tous après le match d'hier.
36:22On était tous à dire qu'on n'était pas certains d'aller voir Munich en demi-finale
36:27et encore moins Berlin en finale.
36:29On est vraiment plutôt pessimistes sur le fait que la France soit absolument favori
36:33de cet euro après ce qu'on a vu.
36:34Moi, j'étais envoyé spécial en 2018, en 2016 et on se disait tous la même chose.
36:38Et on a tous fini aussi en finale.
36:40Donc, l'expérience doit servir à ça.
36:43Et à Didier Deschamps, on a de l'expérience.
36:45Benoît, ça m'intéresse d'avoir votre avis sur ce qu'a dit Djibril.
36:49Parce que vous, vous savez, nous on ne sait pas.
36:52Donc, nous, on vous écoute religieusement.
36:54Le côté concentration, confiance, jouer des gros, sublime et permet de mieux jouer.
36:59Je suis entièrement d'accord avec Djibril.
37:01Moi, c'est avec Nabil.
37:02Pourtant, Nabil, je suis un grand admirateur.
37:04Tête de Djib.
37:05On a eu une tête de Djib, je suis content.
37:06De Nabil.
37:07J'ai beaucoup d'estime pour toi, Nabil.
37:08Tu as des très belles chemises à chaque fois.
37:10Je tiens à le répéter à chaque fois.
37:11Merci.
37:12Non, je pense que je suis d'accord avec Djib parce que l'équipe de France face à des
37:17équipes comme la Belgique, qui ne sait pas défendre.
37:20La Belgique, ils vont peut-être vouloir faire comme les Pays-Bas, mais ils ne savent pas
37:22défendre la Belgique.
37:23Ce n'est pas marqué non plus.
37:24Donc, ça veut dire que le match sera beaucoup plus ouvert.
37:26Et on l'a vu hier soir face à la Pologne, en début de seconde période, quand c'était
37:30plus ouvert, bizarrement, la France était beaucoup plus dangereuse parce qu'ils se
37:34retrouvaient quasiment en 2 contre 2 ou en 3 contre 3 sur quasiment 40 mètres.
37:38Face à une défense regroupée, type des nations comme la Slovaquie ou la Roumanie
37:42ou l'Ukraine, ça va être beaucoup plus compliqué parce qu'on sent que l'équipe
37:45de France a énormément de balles face à un bloc bas.
37:47Mais vous avez entendu, ils ne sont pas fous, ils savent qu'il ne faut pas se jeter à
37:49la règle.
37:50Oui, c'est ce que je vous dis Greg.
37:51Vous m'avez pas écouté.
37:52Mais si, je vous ai écouté.
37:53Vous m'avez dit la Belgique, ils ne savent pas défendre.
37:55La Belgique, c'est une chose, mais moi je suis sur le Portugal, l'Allemagne, l'Espagne.
37:59Mais vous les prenez pour des neneux, en fait, les autres, non ?
38:03Non, puisque la Belgique, je vous le dis, c'est la Belgique.
38:05D'abord, on ne jouera pas forcément la Belgique.
38:07Mais si je vous dis, pour moi, le meilleur adversaire de l'équipe de France en BDM,
38:10c'est la Belgique, pourquoi ? Parce qu'en fait, je fais le thème précédent.
38:13Mais on peut y aller, allez-y, allez-y.
38:15Donc vous préférez la Belgique ?
38:16Mais bien sûr, parce qu'ils ne savent pas défendre.
38:18Donc l'équipe de France, c'est une équipe qui ne sait pas défendre, c'est beaucoup
38:21plus ouvert et avec des flèches comme Dembélé, Mbappé, Barcola ou Comane s'il revient.
38:25Ok, très efficaces les flèches.
38:26C'est très bien que vous parliez des prétendants, des autres favoris de cet euro, parce qu'on
38:31allait poser la question à nos différents correspondants, que ce soit en Allemagne
38:35avec Alexis Menuge, que ce soit avec Antoine Simono depuis Madrid ou encore à notre confrère
38:40Pierre-Etienne Minanzio qui suit l'équipe d'Angleterre pour le journal.
38:43On leur a tous posé la question.
38:45Est-ce qu'après cette phase de groupe plus que décevante, l'équipe de France fait toujours peur ?
38:50Buenas tardes a todos.
38:51Alors ici en Espagne, l'équipe de France, pour le public comme pour les médias, reste
38:56un favori, mais un favori sérieusement remis en question.
38:59La France ne marque pas et n'a pas de jeu non plus, explique le quotidien espagnol El
39:05País.
39:06Marca, lui, parle d'un jeu à s'arracher les yeux.
39:10L'équipe de France joue à ce qu'il ne se passe rien.
39:12Beaucoup de déceptions, d'ennuis, même chez les médias espagnols, mais qui sont aussi
39:17unanimes sur le fait que l'équipe de France est largement capable de se réveiller en
39:21phase finale.
39:22On se demande en Allemagne si Didier Deschamps n'effectue pas le mandat de trop, la compétition
39:27de trop, parce qu'on fait souvent le parallèle avec Joachim Löw, qui était resté 15 ans
39:32à la tête de la Mannschaft.
39:33Et rappelez-vous, il avait été éliminé avec l'Allemagne dès le premier tour de
39:36la Coupe du Monde 2018 et dès les huitièmes de finale du dernier championnat d'Europe.
39:41Selon The Guardian, l'équipe de France manquerait ainsi de « lack of zip », c'est-à-dire
39:46d'un manque d'énergie.
39:47Et à en croire The Athletic, le site internet de référence, je cite « Le problème de
39:52l'équipe de France, ce n'est pas le masque de Mbappé, ce sont les joueurs qui entourent
39:56Mbappé ».
40:27Merci Alicia.
40:28Sacha Tavolière est notre belge préféré qui fait son entrée.
40:31Alors évidemment, là on l'accueille sympathiquement.
40:34Comment ça va Sacha ?
40:36Très bien.
40:38Sacha, à côté de ça, organise des tours très sympas pour aller voir les girafes,
40:44comme vous le voyez.
40:45Et moi je suis client.
40:46Mais à côté de ça, évidemment, il vient nous expliquer pourquoi la Belgique serait
40:49une proie facile pour la France en huitième, Sacha.
40:52Vous avez entendu ce qu'a dit Benoît, moi j'ai confiance.
40:56Il a dit que vous ne saviez pas défendre.
40:58Oui, c'est vrai.
40:59Vous n'avez pas allumé votre micro.
41:01Vous n'avez pas pris le micro ?
41:02Tiens, prenez ça.
41:03Sinon prenez ça.
41:04Donc pourquoi est-ce que vous êtes une proie facile pour nous ?
41:06Je ne pense pas que la Belgique est une proie facile.
41:09Parce que justement, on a vu les gros problèmes défensifs, notamment avec Dayot Upamecano
41:13contre la Pologne de la France.
41:15Et la grande qualité de la Belgique, c'est justement cette capacité à se créer des
41:19occasions.
41:20Le jour où, je l'ai déjà dit, un gars comme Jérémy Doku mettra 50% de ses occasions
41:24au fond, ce sera un top top joueur.
41:26Donc il faut à un moment donné aussi remplacer dans le contexte la valeur offensive qu'est
41:29la Belgique.
41:30Après, bien sûr, défensivement c'est très compliqué.
41:32On a des joueurs de 37 ans derrière.
41:34Il y a Wout Faas qui aujourd'hui, étant au championship, vient d'être promu en première
41:39ligue.
41:40Je suis persuadé que si la France met à un moment donné un peu le pied sur l'accélérateur,
41:45elle gagnera.
41:46C'est pour ça que je ne la veux pas tout de suite moi.
41:47En finale, putain !
41:48On a les compos de la Belgique ?
41:49Tout à fait.
41:50Alors allons-y.
41:51C'est la seule composition d'équipe de la Belgique avec un changement.
41:54C'est Trossard qui intègre ce 11 de départ à la place de Luque Bakio.
41:59C'est le seul changement de la Belgique qui continue à évoluer, Sacha, avec une défense
42:03à 3 notamment, avec Wout Faas, vous l'avez dit, Vertonghen notamment.
42:06Oui, alors une défense à 4 basée défensive.
42:09Donc il y a Castagne sur le côté droit.
42:11À gauche, il y aura Arthur Théatre qui est bien de retour.
42:13Et Dauphine qui évoluera dans un rôle de piston.
42:15Exactement, dans un rôle de piston.
42:17C'est relativement étonnant de voir cette composition-là.
42:20Mais sur les hommes, le seul changement qu'il y a eu, c'est Leandro Trossard.
42:24Leandro Trossard n'était pas titularisé contre la Roumanie.
42:28Il pourrait y avoir quelque chose d'intéressant.
42:31Luque Bakio étant suspendu évidemment.
42:33Mais alors, tout le monde préfère la Belgique là ?
42:35Pas moi.
42:36Moi je n'ai pas mis ça.
42:37Non mais dites-moi, répondez, il n'y a pas besoin d'ardoises parce qu'il va falloir
42:39qu'on file après.
42:40Vous préférez la Slovaquie vous ?
42:41Il y a un moment, le casting, l'Ukraine, il y a du talent devant, il n'y a rien à dire.
42:48La Belgique, peut-être qu'un jour, la pièce va retomber du mauvais côté pour nous.
42:52C'est une équipe quand même, même si défensivement, tu as raison, on peut avoir quelques réserves,
42:57même si elle ne défend pas bien et tout.
42:59Elle se crée beaucoup de situations, ça c'est vrai.
43:01Et puis, c'est quoi le troisième client déjà ?
43:03C'est la Slovaquie.
43:04La Roumanie, c'est un rôle collectif, ça court, il y a des jeunes.
43:08Mais les Belges, à la mi-temps, normalement, il y a deux ou trois zéros.
43:11Mais non !
43:12Ils ont eu un nombre incalculable d'occasions, les Belges.
43:15Bien sûr, bien sûr.
43:16Et même pour que les Slovaques, c'est un barraquin charmant.
43:18Là, vous me faites un show.
43:19Les Belges, c'est l'équipe la plus maudite depuis le début du tournoi, ils ont des hors-jeu
43:22à ça.
43:23Oui, mais c'est hors-jeu.
43:24Ça veut dire qu'ils savent marquer l'équipe.
43:26Qui préfère jouer la Belgique en huitième autour de la table ?
43:28Moi.
43:29D'accord, vous êtes vraiment isolés.
43:30Sacha, ils ne veulent plus que vous jouez.
43:34Je pense qu'il faut faire attention parce que la Belgique a cette réputation comme ça
43:37de looser, surtout en France, liée à toute une série de cultures qui sont instaurées.
43:41Non, mais c'est la vérité.
43:42C'est pas pour faire qu'on veut la Belgique, nous.
43:43C'est pour élever le niveau.
43:44C'est pas pour la prédominante faiblesse de la Belgique, c'est pour élever le niveau,
43:46justement.
43:47Pour pouvoir élever le niveau.
43:48On t'entend.
43:49Non, mais c'est pas vrai.
43:50Tout à l'heure, j'étais en relâche avec eux, ils disaient que les Belges, ils sont
43:53claqués.
43:54Il y a une chose est sûre, c'est que nous, à un moment donné, on va arriver sans avoir
43:56peur de perdre.
43:57Et il y en a d'autres qui vont peut-être arriver en ayant peur de la France.
44:00Est-ce que là, vous êtes confiant pour ce soir ? Ça va donner quoi ? Les Belges, quel
44:02classement, là ?
44:03Bon, je pense qu'on va gagner 3-0 facilement.
44:05Ah bon ?
44:06Oui, oui.
44:07Contre l'Ukraine, ce sera vraiment pas un problème.
44:08Ok, donc vous parliez l'inverse, les gars.
44:09Parce que Sacha, sinon, il serait le millionnaire.
44:10Non, non, non.
44:11C'est la grande soirée qui prend le relais.
44:15Oui, absolument.
44:16Non, mais ça va être passionnant.
44:17Nous, on vient à la mi-temps.
44:18On vient vous débriefer ce groupe-là pour savoir quel adversaire pour les Bleus Sacha
44:22est trainé dans le coin, évidemment.
44:23On est là, on est là.
44:24Allez, bonne grande soirée sur la chaîne.
44:26L'équipe, à tout à l'heure, à la mi-temps.
44:27Ce groupe fou !