Jean-Pierre Raffarin était l'invité de BFMTV à quatre jours du premier tour des élections législatives
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00:00Pour moi, je considère le désordre comme la conclusion de cette échéance électorale, sauf s'il y a un sursaut.
00:06Et le désordre, c'est deux nuages, un nuage de brutalité et un nuage d'économie d'effondrement.
00:12Et un arc-en-ciel entre les deux. Votre sursaut, il va forcément de François Hollande à Laurent Wauquiez pour faire une majorité.
00:17Bien sûr qu'il faut avoir tous les républicains. Je ne dis pas que l'ancien président de la République soit républicain.
00:26Je trouve qu'il n'a pas été à la hauteur de sa propre histoire quand il s'aligne sur Mélenchon.
00:31Je trouve qu'il aurait dû prendre d'autres positions. Je reconnais bien évidemment que c'est un républicain.
00:37Et je reconnais que Wauquiez, même si j'ai quitté le parti parce que Wauquiez dit qu'entre Macron et Le Pen, il n'y a pas de différence.
00:43Moi, je suis là. C'est pour ça que j'ai quitté les LR. Donc dans ce contexte, j'ai des désaccords. Mais ce sont des républicains.