• il y a 5 mois

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Transcription
00:00à Londres, retrouver notre correspondant Hervé Amoric. Hervé, bonjour. L'Angleterre attend de son côté
00:05beaucoup de cette finale depuis longtemps. Pour les Anglais, on peut dire que c'est maintenant ou jamais.
00:12Nous sommes en direct du Norbiton, un pub de la banlieue de Londres où
00:17les fans commencent à arriver, commencent à s'en plaire. Ils seront dans quelques heures agglutinés
00:21devant les écrans comme celui qui est derrière moi. Il y a un écran géant à côté.
00:26C'est une soirée qui sera la soirée la plus longue, beaucoup plus importante que la soirée électorale des législatives de la semaine dernière.
00:33Et vous voyez ici
00:35le Mail on Sunday qui rapporte à la une le message du prince héritier William « One last push to finish the job »,
00:42un dernier effort pour arriver au panthon, au panthéon du football, alors que ici le signe du Times dit
00:50« One game for immortality », un seul match et ce sera l'immortalité.
00:56Bien entendu, toutes les nations à travers l'Europe et à travers le monde veulent gagner une compétition comme celle-là, mais pour l'Angleterre,
01:03c'est vraiment une situation exceptionnelle.
01:05D'abord parce que c'est une équipe qui, pour la deuxième fois consécutive, se retrouve en finale de l'Euro, qui n'a pas gagné cet Euro jamais,
01:13et qui n'a pas gagné depuis un grand titre, depuis
01:171966, depuis la finale de la Coupe du Monde. Donc ce soir, c'est une opportunité.
01:24Évidemment, c'est une pression énorme qui pèse sur les épaules des joueurs et de leur entraîneur Gareth Sarsgate, avec en plus le roi qui
01:32a ajouté, dans un message de soutien à son équipe,
01:36un petit plus en demandant à l'équipe de gagner dans les 90 minutes réglementaires, pas dans les pénaltys, pour éviter du stress à la nation.
01:45Voilà, il y a un défi à relever. Merci Hervé Amori, que vous étiez en direct de Londres pour France 24.

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