Le 20h30 du 16 Juillet 2024
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NewsTranscription
00:00de l'actualité.
00:22L'information sur la CRTV.
00:25Madame, messieurs, bonsoir. Les
00:27députés, saltant pour les villes
00:32d'ordures jusqu'aux pieds des
00:35sept collines de Yaoundé, la
00:37rédaction TV balaie devant sa
00:39cour avec trois enquêtes sur le
00:41problème et ses solutions dans
00:43le dossier du vingt-heure-trente.
00:45Commerce régional, perte sèche
00:47du Cameroun, au marché de la
00:49poids lourd des importations
00:51sur la balance, l'entrée en
00:53vigueur de la zone de libre
00:55échange continental n'est pas
00:57suffisant pour inverser la donne
00:59dans ce journal. J'ai ballé dans
01:01le littoral, les charmes de
01:04Lille, tonnes plus que cent
01:06chars d'assaut. L'ancienne base
01:08arrière de la première guerre
01:10mondiale est aussi la terre
01:12d'origine de l'étoile du
01:14football, Kylian Mbappé,
01:16rendez-vous touristique dans
01:18cette édition. Voilà donc pour
01:20les titres. Restez sur la CRTV
01:22pour regarder le vingt-heure
01:24trente et je vous dis tout. Sur
01:26tout cela. Tout de suite.
01:28Alors, dans nos grandes villes
01:29y compris Yaoundé, la capitale
01:31du Cameroun, pourquoi ces
01:33déchets persistent-ils malgré
01:35l'existence de la société
01:38Isakam et en dépit de l'impôt
01:40instauré depuis deux-mille
01:42dix-neuf au profit des communes
01:44pour l'enlèvement des ordures,
01:46des questions qui fâchent et qui
01:48ont inspiré le dossier de ce
01:50soir, tout commence par cette
01:52enquête de Daoud Moulion. La
01:54gestion des déchets ménagers
01:56comme un caillou dans la chaussure
01:58à différents coins de la ville,
02:00des tas d'immondices inondent les
02:02chaussées et polluent l'atmosphère.
02:04Les causes et le constat sont
02:06évidents. L'approche des déchets
02:08est fonction du nombre de la
02:10population parce qu'on se
02:12retrouve supeupli à Yaoundé.
02:14D'où cette gestion non
02:16maîtrisée. Réfléchir en amont
02:18et ça, ça a été pris en charge
02:20par la présidente de la République
02:22pour pouvoir trouver des
02:24mesures éloignes à déployer
02:25pour régler de manière définitive
02:28ce problème. Le droit d'assise
02:30est déjà là, il est calculé
02:32sur une certaine base, mais il
02:34faut aussi qu'il soit payé
02:36et que la péréquation soit
02:38régulée. Il faut peut-être
02:40distinguer du droit d'assise
02:42spécial qui est dédié aux
02:44ordures ménagers, qui lui est
02:46institué par la loi de finances
02:482019, puis revu par la loi de
02:50finances 2022 et dont le taux
02:52est de 1% qui lui est collecté
02:54et transféré directement aux
02:56collectivités territoriales
02:58décentralisées dans le cadre de
03:00la gestion des ordures. Souvent
03:02pointés du doigt, les
03:04collectivités territoriales
03:06décentralisées restent butées
03:08face à une réglementation qui
03:10nécessite une mise à jour. Leur
03:12volonté d'assainissement est
03:14pourtant grande et perceptible.
03:16Par exemple, le problème de la
03:18précollecte, de ramasser à
03:20l'intérieur de nos quartiers
03:22ou des tricycles. Donc ça peut
03:24également appeler au civisme des
03:26citoyens. Les mairies
03:28d'arrondissement ne sont pas
03:30impliquées dans les opérations
03:32de collecte et de traitement des
03:34ordures à ce jour. Aujourd'hui,
03:36les ordures ménagères sont
03:38plutôt humaines, c'est du
03:40diamant. Je pense qu'il y a des
03:42majors internationaux qui
03:44s'intéressent à l'enlèvement des
03:46ordures et au traitement de ces
03:48déchets. La question des droits
03:50de l'ordure, c'est une question
03:52qui est très importante.
03:54Les compétences dans la chaîne
03:56d'exécution des tâches de
03:58ramassage, enlèvement ou
04:00traitement de ces déchets
04:02affichent une complexité qui
04:04peut favoriser des dénis de
04:06compétences de certains acteurs,
04:08des questions d'hygiène et
04:10salubrité. Du coup, des
04:12montagnes d'ordures entachent le
04:14relief de la capitale. Chaque
04:16année, il faut 15 milliards de
04:18francs. La réduction
04:20gouvernementale à la matière
04:22atteint à peine 5 milliards de
04:24francs CFA. Tout cela reste bien
04:26insuffisant pour le moment.
04:28Yaoundé demande des mesures
04:30d'urgence. Agnès Hollange à
04:32Bessolo.
04:33Ces images font dorénavant
04:35partie de notre quotidien,
04:37Yaoundé. Des tas d'immondices
04:39qui jonchent les trottoirs et
04:41les chaussées. Les populations
04:43semblent malheureusement s'être
04:45accommodées aux odeurs
04:47d'ordure. C'est pourquoi
04:49nous devons repenser la
04:51stratégie d'enlèvement des
04:53ordures selon les pouvoirs
04:55publics. Maintenant, en plus de
04:57collecter, il faut les traiter,
04:59ces ordures. Une solution
05:01urgente.
05:02Jusqu'à présent, le déchet
05:04était constitué comme un
05:06matériau fini. Alors que de plus
05:08en plus, les questions de
05:10donner une nouvelle vie, une
05:12seconde vie au déchet. Dans le
05:14cas de l'économie circulaire,
05:16l'exécutif communal de
05:18collecte des ordures a
05:20investi plus de 5 milliards par
05:22an pour ramasser les ordures.
05:24La mairie de la ville montre des
05:26signes d'essoufflement, tout
05:28comme le principal opérateur en
05:30charge de cette activité. En
05:32plus de recruter d'autres
05:34opérateurs, la communauté urbaine
05:36de Yaoundé envisageait, il y a
05:38quelques mois encore, d'instaurer
05:40une taxe pour financer
05:42l'activité de collecte des
05:44ordures. Le conseil, l'exécutif
05:46communal de la ville de Yaoundé
05:48face au grand conseiller, avait
05:50promis ceci. En 2024, une
05:52attention particulière sera
05:54portée sur les travaux de
05:56voirie, l'acquisition du
05:58matériel d'entretien de la
06:00voirie, l'enlèvement des ordures
06:02ménagères, l'aménagement et la
06:04réhabilitation de certains
06:06espaces. Comme dit la chanson,
06:08on continue d'attendre que les
06:10ordures quittent enfin la rue
06:12pour la poubelle, et c'est
06:14possible.
06:16Une chanson qui ne fait pas
06:18danser de joie, en tout cas.
06:20Ces ordures représentent pourtant
06:22une aubaine, mais à condition de
06:24les transformer. Quelques
06:26entrepreneurs locaux s'y emploient
06:28d'ailleurs et fabriquent du
06:30biogaz, du charbon écologique et
06:32même des pavés et d'autres
06:34produits dérivés. Beauté et
06:36richesse des ordures, une
06:38enquête, d'Issidouane Monkam.
06:40Sortie des décharges
06:42pour une seconde vie, les déchets
06:44ménagers prennent la côte et sont
06:46de plus en plus recherchés par les
06:48maîtres recycleurs. Dans cette
06:50usine de biogaz, située dans le
06:52sixième arrondissement de Yaoundé,
06:54les ordures collectées passent par
06:56plusieurs étapes. Le tri, la
06:58décomposition avant la phase de
07:00transformation proprement dite.
07:02Nous utilisons les déchets de
07:04ménage, les trucs qui contiennent
07:06les déchets de poudre d'ananas,
07:08pour valoriser et exploiter un
07:10biogaz. Processus de
07:12transformation sur plusieurs
07:14jours, avec au préalable un
07:16passage dans ces dispositifs,
07:18une sorte de turbine de fortune.
07:20Il faut beaucoup d'efforts et de
07:22patience pour voir s'échapper
07:24de la matière bio. Lorsque nous
07:26produisons le biogaz, cela
07:28permet de résoudre un problème,
07:30le problème de salubrité, le
07:32problème de pollution atmosphérique.
07:34Dans cette transformation des
07:36biogaz, nous utilisons le
07:38biogaz de Franklin Gallim,
07:40basé à Bamenda. Il s'en sert
07:42dans les potagers et les jardins
07:44verticaux. Cette machine, par
07:46exemple, peut broyer jusqu'à 400
07:48bouteilles par jour pour la
07:50fabrication des pavés
07:52écologiques. Du biogaz,
07:54avantageux pour l'environnement
07:56autant que le charbon écologique.
07:58Ce combustible produit à partir
08:00de résidus végétaux et autres
08:02déchets, suit pratiquement le
08:05Au niveau du ménage, ça va
08:07permettre à ce que les employés
08:09réduisent les sommes d'argent
08:11destinées pour l'achat du
08:13combustible pour la cuisson des
08:15aliments. Une option déjà
08:17choisie dans certains ménages
08:19même si elle se heurte encore à
08:21la rareté, défaut de production
08:23en quantité industrielle. Le
08:25Cameroun perd au change au terme
08:27des trois premières années de la
08:29zone de libre-échange
08:31continentale africaine. Une
08:33production de qualité et en
08:35quantité portée par une
08:37technologie innovante,
08:39respectueuse des normes de
08:41l'ASLECAF. Voilà en une phrase
08:43la solution pour tirer le
08:45meilleur parti de ce marché
08:47d'1,3 milliard de consommateurs.
08:49La plupart, ce sont des
08:51emballages qui sont
08:53fabriqués à partir de
08:55résidus végétaux et autres
08:57déchets, suit pratiquement
08:59le
09:01Cameroun perd au terme des
09:03trois premières années de la
09:05zone de libre-échange
09:07continentale africaine.
09:09Le Cameroun perd au terme des
09:11trois premières années de la
09:13zone de libre-échange
09:15continentale africaine.
09:17La plupart, ce sont des
09:19emballages qui sont fabriqués
09:21à partir de résidus végétaux
09:23et autres déchets, suit
09:25pratiquement le Cameroun perd au
09:27terme des trois premières années
09:29de la zone de libre-échange
09:31continentale africaine.
09:33La plupart, ce sont des
09:35emballages qui sont fabriqués
09:37à partir de résidus végétaux
09:39et autres déchets, suit
09:41pratiquement le Cameroun perd
09:43au terme des trois premières
09:45années de la zone de libre-échange
09:47continentale africaine.
09:51Des espaces spirituels
09:53toujours grandement
09:55riche de contenance
09:57et d'électricité
09:59qui sont déjà
10:01résonées,
10:03ce sont des produits alimentaires vendus au Ghana et au Rwanda,
10:07puis récemment des lingots d'aluminium à l'Algérie.
10:10L'urgence reste la transformation de nos produits phares à travers des chaînes de valeur.
10:15Lorsqu'on parle d'exporter les produits,
10:17on ne parle pas simplement des habitudes de consommation locales,
10:20mais on va également à la quête de l'apprentissage des habitudes de consommation de l'étranger.
10:24Et quand on va sur le marché étranger,
10:26on doit également se confronter aux aspects liés à la norme et à la certification étrangère.
10:31Les entreprises locales, au-delà des engagements de l'État,
10:34devraient remplir deux conditions.
10:36Celle de l'origine qui offre aux produits le certificat d'accès au marché continental
10:41à zéro frais de douane.
10:44Heureux quicomme Hilarion Eton a fait un long voyage au Canada,
10:48puis est revenu hier au Cameroun,
10:51au réolé du titre de président de l'Assemblée parlementaire de la francophonie.
10:56Du coup, le député était reçu ce mardi même par le président de l'Assemblée nationale,
11:00Kava Yégué Dibril,
11:02après l'accueil tout en triomphe,
11:04réservé par une forte communauté de la Haute-Sanaga,
11:07son département d'origine,
11:09à l'arrivée hier à Yaoundé.
11:11Clarice Tang
11:14Le tout nouveau président de l'Assemblée parlementaire de la francophonie,
11:17dès son retour au pays natal,
11:19s'est rendu au cabinet du chef de chambre,
11:21le très honorable Kava Yégué Dibril,
11:24toutes affaires cessantent.
11:26Après avoir rendu grâce à Dieu,
11:28j'ai donc revenu au Cameroun,
11:30que je revienne vers M. le Président de l'Assemblée nationale du Cameroun,
11:34pour d'abord prendre compte
11:37de ce qui s'est passé à Montréal, au Canada,
11:41et puis surtout,
11:44le remercier
11:46pour toute la sollicitude qui a été la sienne,
11:49à mon endroit,
11:51à l'endroit de la délégation camerounaise
11:54que j'avais le privilège de conduire là-bas.
11:56Le président de l'APF, dans un même élan,
11:58a décliné sa feuille de route.
12:00L'Assemblée parlementaire de la francophonie
12:02est structurée comme un parlement tout à fait classique.
12:04Vous avez d'abord
12:06la promotion de la langue française,
12:09les valeurs de l'État d'autre part,
12:11les valeurs démocratiques,
12:13le genre et l'environnement
12:15qui s'est inscrit également.
12:17Le président Hilarion Eton
12:19a été chaleureusement félicité
12:21par le très honorable Kava Yégué Dibril.
12:23Le président de l'APF peut être rassuré,
12:25il bénéficiera du soutien total
12:27de l'Assemblée nationale
12:29et du chef de la diplomatie camerounaise,
12:31son Excellence M. Paul Bia.
12:33À son arrivée à l'aéroport international
12:35d'Yaoundé-Zimalène,
12:37les proches collaborateurs
12:39du président de l'APF,
12:41l'élite et les populations de la Haute-Sanaga
12:43n'ont immergé dans une ambiance
12:45mémorable.
12:47Le ministre de l'Économie
12:49Alamin Ousmane Mey
12:51a reçu ce mardi à Yaoundé
12:53le président directeur général
12:55de BGFI Bank,
12:57Henri-Claude Ouima.
12:59C'est dans la perspective
13:01de l'inauguration
13:03du siège social
13:05de cette banque
13:07en décembre prochain.
13:09Les précisions du banquier
13:11dans cet extrait d'interview
13:13sélectionné par Rosin Manga.
13:15C'était opportun de rencontrer
13:17le ministre en charge
13:19de l'économie,
13:21notre stratégie
13:23et prendre ses précieux conseils
13:25dans les orientations
13:27du plan de développement
13:29du Cameroun.
13:31Nous sommes en train
13:33d'édifier notre siège social
13:35qui sera inauguré au mois de décembre
13:37pour montrer l'implication
13:39du groupe BGFI Bank
13:41ici au Cameroun.
13:43Nous sommes aussi en train
13:45de regarder le plan stratégique
13:47de développement
13:49de ces deux grandes villes
13:51que sont Yaoundé et Douala.
13:53Plus de 13 000 milliards de francs CFA
13:55engrangés par les trafiquants
13:57d'êtres humains
13:59dans le monde seulement
14:01en 2023.
14:03Touchés par le phénomène,
14:05le Cameroun est en ordre de bataille
14:07depuis ce mardi à Douala
14:09à travers une campagne d'affichage
14:11à l'aéroport international
14:13de Douala.
14:15Deux membres du gouvernement
14:17s'y sont engagés.
14:19Avec 1 100 000 passagers
14:21enregistrés en 2023,
14:23l'aéroport international de Douala,
14:25l'une des principales voies d'accès
14:27et de sortie du Cameroun,
14:29s'est mis en rempart contre le trafic
14:31et la traite des personnes.
14:33Le lancement de la campagne de sensibilisation
14:35par le dévoilement de ces affiches
14:37est l'une des actions du gouvernement
14:39pour prévenir et limiter ces différents fléaux
14:41devenus des causes urgentes.
14:43En effet, l'Organisation internationale
14:45du travail estime
14:47à 23 milliards de dollars américains
14:49le profit engrangé par les trafiquants
14:51dans le monde en 2023.
14:53Au cours de l'année 2022,
14:55les services compétents
14:57du ministère des affaires sociales
14:59ont pris en charge 514 cas
15:01de traite de personnes
15:03et 190 cas de trafic
15:05sur l'ensemble du territoire
15:07dont plus de 30 %
15:09ont été rapportés dans la région
15:11du littoral.
15:13L'Organisation internationale du travail
15:15a multiplié les stratégies de lutte
15:17avec l'appui de ses partenaires de développement.
15:19La remise des attestations
15:21de capacitation à ses 24 personnels
15:23de l'aéroport
15:25et qui traitent de ces questions au quotidien
15:27avec la population
15:29rentre dans le cadre
15:31de la politique générale mise en oeuvre.
15:33Cette initiative,
15:35faisant suite à celle de Yaoundé Tenu
15:37le 18 mars 2024,
15:39représente une étape cruciale
15:41pour lutter contre
15:43cette fléau qui menace
15:45la dignité humaine
15:47et la sécurité de nos sociétés.
15:49La campagne qui se déroule à Douala
15:51a été lancée à Yaoundé au mois de mars dernier.
15:53La ministre des affaires sociales a annoncé
15:55que cette croisade va s'étendre
15:57aux lycées, collèges et universités
15:59dès la prochaine rentrée académique.
16:01Le groupement
16:03des entreprises du Cameroun
16:05propose de repenser
16:07le dialogue et les rapports
16:09entre le secteur public
16:11et le secteur privé camerounais.
16:13Propos tenus ce mardi
16:15à Yaoundé par Célestin Tawamba
16:17le président du GECAM
16:19qui conduisait une délégation
16:21du nouveau bureau exécutif
16:23chez le ministre du travail et de la sécurité sociale
16:25Grégoire Wona.
16:27Je vous propose d'écouter
16:29Célestin Tawamba dans cet extrait
16:31d'interview sélectionné par
16:33Martin Amougou.
16:35Vous savez, comme vous le savez,
16:37il s'agit de présenter l'équipe,
16:39de présenter
16:41le nouveau programme
16:43et inviter à ce que
16:45le dialogue public-privé
16:47qui est au cœur
16:49de l'action de son gouvernement
16:51puisse être amélioré
16:53changer le paradigme
16:55du dialogue public-privé
16:57et puis également la question
16:59de la représentativité
17:01du patronat
17:03dans le cadre du dialogue public-privé.
17:07Saveurs et senteurs de vin de palme
17:09dans le journal pour ceux qui en consomment.
17:11Le breuvage nous vient de Zamangwe
17:13un village de la Léquié
17:15l'étudiant en communication
17:17Ulrich Landry Messina apprend
17:19à produire ses nectars
17:21dont le commerce finance
17:23la vie et plusieurs générations
17:25dans cette bourgade.
17:27Aventure de vacances
17:29racontée par Barbara Padjama.
17:33Derrière ce vêtement pouilleux
17:35on dirait le vigneron
17:37du village Zamangwe
17:39pas très loin de cette casquette
17:41en période de villégiature.
17:43C'est en réalité un étudiant
17:45en communication qui choisit
17:47de faire son stage dans les bois
17:49surtout là où on note
17:51ses souliers en présence
17:53de l'arbre spiritueux.
17:55Il s'en va nous cueillir
17:57des gouttes d'eau de vie.
17:59Leur premier contact
18:01s'est fait plus tôt
18:03Le vin peut venir vendre
18:05à 6h parce que les gens
18:07au village au delà de 8h
18:09ne seront plus disponibles
18:11pour boire le vin
18:13parce qu'ils ont d'autres occupations
18:15dans les champs.
18:17Comme un singe
18:19le jeune homme a dompté l'arbre.
18:21Pour avoir le bon vin
18:23il faut tailler 3 fois
18:25et le processus doit toujours
18:27être refait.
18:2917 minutes
18:32Ça fait partie du métier
18:34on aura quand même droit à la lit
18:36pour nous détendre.
18:38Père précoce,
18:40Ulrich Londry vend du vin de palme
18:42pour s'occuper de lui et de son fils.
18:44Dans notre cursus scolaire
18:46il y a eu certains égarements
18:48qui nous ont amené à avoir des enfants.
18:50Aujourd'hui nous ne pourrons plus
18:52aller crier maman j'ai faim
18:54et l'enfant à côté vous dira aussi
18:56il a faim.
18:58Nous sommes obligés
19:00d'acheter du vin.
19:02Il s'est multiplié
19:04ses sources de revenus.
19:06Ce n'est pas seulement
19:08le vin blanc qui nous permet
19:10de régler tout ça
19:12nous avons aussi des petits champs.
19:14C'est droit dans ses bottes
19:16que l'étudiant élargit son champ de savoir.
19:18Nous sommes nés dans une famille
19:20de cueilleurs de vin
19:22et de ce fait il est question
19:24de faire valoir et de faire pépécre
19:26l'histoire de la famille.
19:28Ilurich Landry vient très souvent
19:30seul au village
19:32comme ce grand qu'il devient.
19:36Pas de temps de s'ennuyer au Cameroun
19:38durant ses vacances allons à Djebalé
19:40une île pittoresque
19:42de la région du littoral
19:44fascinante comme un dribble
19:46de Kilian Mbappé dont la famille
19:48d'origine fait partie des rares autochtones.
19:50Les anciens combattants
19:52racontent d'ailleurs qu'une partie
19:54du matériel de la première guerre mondiale
19:56a été bloquée à Djebalé.
19:58Aboubacar Abou
20:00Comme un coeur qui s'emballe
20:02l'écho de la mer
20:04au rythme des vagues écrit face à nous
20:06une histoire nouvelle
20:08l'emblème éternel du Djebalé.
20:12Une île qui explique
20:14les légendes et impose le respect
20:16nous sommes dans l'arrondissement
20:18de Douala quatrième
20:20Ici nous vivons de la pêche
20:22de l'agriculture
20:24un peu de la chasse
20:26un peu de la cueillette
20:28Sur ce chemin vierge de Dou
20:30les traces humaines
20:32dans les années 1800
20:34ça c'est la couronne de la montagne
20:36c'est un canon qui date
20:38jusqu'à la première guerre mondiale
20:40Un regard vers la pointe
20:42rappelle qu'ici même
20:44un drame s'était produit
20:46Lorsque l'on voit ça, ça nous fait pas bon vivre
20:48parce qu'on s'est dit que ça allait être un canon combattant
20:50pour freiner nos ancêtres
20:5380 hectares de bout de terre
20:55habité par deux familles
20:57dont celle de l'international
20:59français, Kylian Mbappé
21:01Ici nous sommes dans la famille
21:03Mbappé
21:05derrière nous, il y a la famille
21:07de Kylian Mbappé
21:09là c'est la maison
21:11de sa grand-mère
21:13D'ailleurs la fondation Kylian Mbappé
21:15est bien visible, cette école
21:17porte son portrait
21:19L'école a connu
21:21l'époque de 1933
21:23à 2010
21:25Vous avez aujourd'hui des beaux bâtiments
21:27c'est grâce à la fondation Kylian Mbappé
21:29Le paysage change
21:31à chaque minute, idéal
21:33pour certains fruits de l'île
21:35Sous nos pas
21:37une force grande
21:39se sentent les vagues
21:41Nous sommes à quelques mètres
21:43de l'océan Atlantique
21:45Pour tout étranger qui veut
21:47entrer chez nous
21:50Il faut qu'on dise à nos ancêtres
21:52que les étrangers arrivent
21:54Si il n'y a pas ce rythme, vous n'allez pas entrer
21:56La mer ne peut pas vous avaler ?
21:58Non, la mer ne peut pas vous avaler
22:00Mais si vous venez avec deux coeurs, vous n'allez même pas voir cette île
22:02Ici, c'est
22:04touristes amoureux
22:06S'imaginent
22:08seuls au monde, au royaume
22:10des îles, très privés
22:12Découvrir l'île
22:14de Djebalet, entendre parler, rencontrer aussi
22:16l'agriculture, la nouvelle culture
22:18Mais pour d'autres, l'île est d'abord
22:20une terre d'aventure
22:22Déjà, on ne peut pas parler de Djebalet
22:24sans parler de l'eau
22:26Et après, le peuple est
22:28très chaleureux. J'ai appris que
22:30le festival
22:32Gondo prend
22:34essence ici
22:36L'île de Djebalet, en bout d'air
22:38aux airs de paradis
22:40Un trésor qui a de moins en moins de secrets
22:42Une discrète petite localité
22:44encore préservée
22:47Parfait du tourisme de masse
22:49Voilà ce que nous avons parcouru
22:51L'île, vue du ciel
22:53Une révenge sur l'histoire
22:55Par de telles fascinations
22:57Eh bien, le Cameroun
22:59C'est bien le Cameroun
23:01Près de 2500 jeunes
23:03de l'église presbytérienne camerounaise orthodoxe
23:05ont été sensibilisés sur
23:07l'usage responsable
23:09des réseaux sociaux en vague
23:11dans le département de la Villa, région du Sud
23:13Une initiative de la ministre
23:15pour lutter contre
23:17la cybercriminalité
23:19Et c'était en marge
23:21du festival national
23:23décoral de cette église
23:25Flavien Zobo
23:27Le phénomène est réel
23:29chez les jeunes
23:31C'est-à-dire la mise en ligne des informations personnelles
23:33dangereuses et virales
23:35La sécurité numérique c'est exactement
23:37comme la sécurité dans la vie sociale
23:39Si vous n'arrivez pas à vous protéger
23:41suffisamment dans la vie sociale
23:44c'est à votre maison au bandit
23:46Pour y faire face, les jeunes doivent s'armer
23:48d'intelligence face aux crimes numériques
23:50tels que les spams, le piratage
23:52informatique, la fraude, le vol d'identité
23:54ou la violation de la vie privée
23:56Les 2500 jeunes de l'église
23:58presbytérienne camerounaise orthodoxe
24:00réunis en Vangane pour le
24:0234ème festival national décoral
24:04ont été édifiés sur les impacts
24:06des cyberattaques et les méthodes de riposte
24:08à adopter
24:10Les explications ont été assez claires
24:13On va apprendre et faire un bon usage
24:15Les différentes thématiques
24:17de ce rendez-vous national
24:19des jeunes de l'EPCO portent sur
24:21ce cancer des temps modernes
24:23Une des armes les plus efficaces
24:25c'est la sensibilisation, la formation
24:27la communication
24:29Les participants sont repartis
24:31les têtes bien faites
24:33Rendez-vous a été pris en 2025
24:35pour une 35ème édition
24:37Original et illustratif
24:39des mots utilisés
24:41par les admirateurs
24:43pour sublimer le logotype
24:45du système de gestion
24:47des effectifs et de la solde
24:49de l'Etat baptisé Aigle
24:51Le graphique dévoilé hier lundi
24:53à Yaoundé par le ministre de la fonction publique
24:55et de la réforme administrative
24:57est une oeuvre d'art
24:59conçue par Marius Etundi
25:01un étudiant camerounais
25:03de 20 ans seulement
25:07Ces couleurs flottent au vent
25:10l'identité camerounaise
25:12son originalité et la promesse tangible
25:14d'une gestion efficace
25:16du personnel de l'Etat
25:18Dans sa splendeur
25:20ce logotype coiffe
25:22l'application Aigle
25:24dans beau plumage
25:26une création sortie des cléfons
25:28de l'imagination
25:30d'un génie camerounais
25:32L'idée principale c'est
25:34par rapport au monument
25:36de la réunification
25:38Tel homme prédateur
25:40dissuasif en position d'attaque
25:42la représentation graphique
25:44est une conjonction de coordination
25:46entre les symboles identités nationaux
25:48la puissance de l'aigle
25:50et les indices représentatifs de la solde
25:52une production artistique
25:54sacré roi des choix
25:56parmi 67 prétendants
25:58Aigle est sur la bonne voie
26:00il faut donc maintenant
26:02commencer à donner de la visibilité à Aigle
26:04et cette visibilité
26:07commence par ses instruments
26:09un logo
26:11une charte graphique
26:13et bien d'autres
26:15Avec l'image de son visage
26:17Aigle déploie ses grandes ailes
26:19l'oiseau majestueux est déterminé
26:21à voler plus haut que ses prédécesseurs
26:23vers la réduction des redondances
26:25et l'amélioration de la transparence
26:27dans le fichier soldé de l'Etat
26:29La sixième édition
26:31du Festival du Peuple Sao Cotoco
26:33de l'extrême nord est en vue
26:35pour rendez-vous le ministre des arts
26:37et de la culture a reçu
26:39ce mardi les membres du comité d'organisation
26:41Idriss Feteu
26:45La sixième édition
26:47du Festival des Arts et des Traditions
26:49du Peuple Sao Cotoco
26:51se tiendra à Yaoundé
26:53une des localisations qui intervient
26:55après cinq éditions
26:57organisées dans le septentrion
26:59C'est la principale innovation
27:01de l'édition 2024
27:04lors d'une réunion préparatoire
27:06présidée par le ministre des arts et de la culture
27:08Pierre Ismaël Bidumpad
27:10Nous avons choisi la ville de Yaoundé
27:12c'est le lieu pour nous, peuple Sao
27:14qui vit aujourd'hui autour du lac Tchad
27:16qui va se déplacer
27:18pour partager avec l'ensemble
27:20de la communauté nationale
27:22et internationale ici à Yaoundé
27:24La rencontre de ce mardi
27:26a permis de débattre sur les aspects
27:28liés à l'organisation et à l'accompagnement
27:30des pouvoirs publics
27:32C'est un comité d'organisation
27:34à qui nous avons donné tous les pouvoirs
27:36pour organiser de manière
27:38satisfaisante et optimale
27:40ce festival-là
27:42Nous sommes allés auprès du ministre de tutelle
27:44naturellement pour obtenir
27:46les parrainages nécessaires
27:48Placé sous le thème
27:50levier de solidarité et du vivre ensemble
27:52avec beaucoup d'attractions au rendez-vous
27:54le festival Cotoco prévoit de réunir
27:56du beau monde au jardin
27:58du musée national de Yaoundé
28:01Le conseil scientifique
28:03du centre international de références
28:05Chantal Bia est en conclave à Yaoundé
28:07C'est pour le compte de la 20ème
28:09session ordinaire présidée
28:11par l'universitaire italien
28:13le professeur Carlo Frederico
28:15Perno et c'est en présence
28:17du professeur
28:19Alex Indiolo, le directeur
28:21général du CIRCB
28:23Le point de travaux, Joseph Clément Omba
28:27Derrière les laboratoires du centre
28:29international de références Chantal Bia
28:31se profite l'outil essentiel de prévention
28:33et de recherche sur le VIH au Cameroun
28:35Sous la présidence
28:37du professeur Federico Perno
28:39de l'université Torre del Catedrom
28:41en Italie, la 20ème session
28:43du conseil scientifique du CIRCB
28:45œuvre plus une vie meilleure
28:47des personnes vivant avec le VIH
28:49Le CIRCB a contribué
28:51beaucoup pour le
28:53triple test
28:55de dépistage pour le VIH
28:58Je pense qu'il y a
29:00une grande collaboration
29:02entre le CIRCB et les ministères de la santé
29:04pour la vie
29:06et la santé
29:08des personnes ici au Cameroun
29:10Le conseil scientifique est d'abord
29:12l'instance d'évaluation des projets de recherche
29:14avec en prime
29:16les publications scientifiques
29:1825 ans ont été faits
29:20pour les 6 premiers mois
29:22L'accent a été mis
29:24sur le VIH pédiatique
29:27et sur la prévention
29:29de la transmission mère-enfant
29:31et également
29:33la sécurisation des adolescents
29:35Hormis le SIDA
29:37le CIRCB entend désormais
29:39s'attaquer à un autre mal
29:41le cancer
29:43Contrôler et voir les virus
29:45qui ont la capacité de produire des cancers
29:47en particulier l'HBV
29:49pour le cancer du foie
29:51et l'HPV
29:53pour le cancer de l'utérus
29:55Dans les années à venir
29:57le centre veut s'attacher
29:59l'expertise d'une centaine de chercheurs
30:01et agrandir ses locaux
30:03pour se donner les moyens
30:05de ses nouvelles ambitions scientifiques
30:07Suite de notre série
30:09sur le Cameroun aux jeux olympiques
30:11de Paris 2024
30:13Lumière ce soir sur
30:15Erichel Anita Sopimbala
30:17qualifiée en judo
30:19dans la catégorie des plus de 78 kg
30:21Elle profite actuellement
30:24depuis la semaine dernière
30:26et elle ne manque pas d'ambition
30:28Evariste Yenga
30:30Elle a
30:32du coffre
30:34130 kg
30:36Elle cravache dans cette
30:38phase ultime de sa préparation
30:40des jeux olympiques de Paris 2024
30:42Erichel Anita Sopimbala
30:44sur ce dojo parisien
30:46réquisitionné par le comité national olympique et sportif
30:48du Cameroun bénéficie
30:50d'une variété de sparring partner
30:52pour évaluer la championne camerounaise
30:54et favoriser ses derniers réglages
31:04L'intensité
31:06Erichel Anita Sopimbala
31:08la met dans le travail
31:10Cela est plutôt de bonne augure
31:12L'entraîneur national en charge de son suivi
31:14depuis de nombreuses années
31:16n'en doute plus, sa protégée est prête
31:22Actuellement c'est un peu le moment
31:24des réglages, corriger quelques déchets
31:26réajuster
31:28La judoka de 34 ans
31:30est championne d'Afrique des poids lourds
31:32Elle est aussi médaillée de bronze
31:34aux derniers jeux africains d'Akra au Grana
31:36Erichel Anita va participer ainsi
31:38à ses premiers jeux olympiques
31:40Elle pratique le judo depuis seulement
31:42ses 22 ans
31:44mais elle y met toute sa force
31:46Le judo c'est toute ma vie
31:48Sopimbala est aussi une tête bien faite
31:51Car titulaire d'une licence professionnelle
31:53en logistique industrielle
31:55la passionnée de musique rêve
31:57de frapper un grand coup
31:59cet été à Paris
32:01Vivement le grand coup
32:03En tout cas, bonne chance
32:05158 enseignants pour renforcer
32:07la cohésion sociale grâce au sport
32:09C'est en tout cas le vœu
32:11du ministre des sports
32:13et de l'éducation physique
32:15le professeur Narcisse Moulekambi
32:17qui leur remettait ce mardi à Garoua
32:19des diplômes et attestations
32:21de fin de formation
32:23Arlequin Soaibou
32:25Innovation et cohésion sociale
32:27c'est le nom de baptême
32:29de la 21e QV des maîtres principaux
32:31maîtres et maîtres adjoints
32:33de l'éducation physique et sportive
32:35des sénagestes de Bamenda, Berthoua,
32:37Tchang et Garoua
32:39parmi lesquels quelques éléments
32:41de nos forces de défense nationale
32:43qui ont suivi pendant deux ans
32:45leur formation académique
32:48Parce que je dois apprendre tout
32:50je dois donner tout ce que j'ai appris
32:52à l'école, à mes petits frères, à mes cadets
32:54L'éducation physique et l'animation sportive
32:56ont meublé leur formation
32:58eux qui désormais sont appelés
33:00à impulser le développement du sport
33:02et de l'éducation physique
33:04Le patron des sports les a engagés
33:06à renforcer la cohésion sociale
33:08On a appelé
33:10à la conscience professionnelle
33:12des lauréats
33:14qui désormais seront
33:16aux premières loges
33:18de l'accomplissement des missions
33:20que le Président de la République
33:22Son Excellence Robillard
33:24a bien voulu assigner au corps
33:26au vaste et ample corps
33:28de l'éducation physique et sportive
33:30dans notre pays
33:32Une cérémonie solennelle
33:34qui a vu la participation
33:36des autorités administratives
33:38traditionnelles et de deux représentants
33:40consulaires du Tchad et de la République
33:42Centrafricaine au Cameroun
33:45Joseph Densou
33:47Secrétaire Général des Services du Gouverneur
33:49ont tous apprécié l'esprit sain
33:51dans un corps sain de nouveaux enseignants
33:53L'Ecole Internationale de Guerre
33:55oriente son tir vers l'intelligence artificielle
33:57Les auditeurs de la 19ème promotion
33:59surfent sur les techniques
34:01de production des données
34:03et les contours de la nouvelle branche
34:05de l'informatique
34:07et un détachement
34:09de la Cameroun Telecommunication
34:11conduisait les opérations de formation
34:13Alain-Georges Bikélé
34:15La protection des données numériques
34:17est un réel problème pour les états africains
34:19A l'ère où l'intelligence artificielle
34:21infiltre l'univers numérique
34:23L'Ecole Supérieure Internationale de Guerre
34:25de Yaoundé veut être à l'abri
34:27de toute invasion
34:29Pour avoir la bonne méthode,
34:31le Général des Brigades,
34:33Directeur de l'Ecole de Guerre
34:35accompagné des auditeurs
34:37de la 19ème promotion
34:39issues de 25 pays
34:42dans les télécoms au Cameroun
34:44Deux heures d'échange
34:46aux allures de cours magistral
34:48ont permis aux stagiaires
34:50de dégager toute zone d'ombre
34:52liée aux questions de protection
34:54des données numériques
34:56et l'intelligence artificielle
34:58Preuve que Camtel
35:00conforte sa place de leader
35:02dans les télécoms au Cameroun
35:04et dans la sous-région Afrique centrale
35:06Ainsi va le Cameroun ce soir
35:08Merci de votre précieuse attention
35:10Les informations c'est ici
35:12Bonsoir