L'éditorialiste Adile Farquane a réagi au large dispositif de sécurité entourant les Jeux olympiques de Paris 2024.
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00:00C'est important parce que c'est inédit, et évidemment, la France s'apprête à accueillir l'un des événements les plus importants dans le monde.
00:08Donc forcément, cela engendre un dispositif exceptionnel, et Reda a raison de souligner et de mettre le trait, l'accent sur le fait qu'effectivement, aujourd'hui, la sécurité nationale est menacée.
00:22Donc forcément, Gérard Darmanin, le ministre de l'Intérieur, était obligé, rappelons quand même que dans le passé, souvenez-vous, au Stade de France, avec l'équipe anglaise,
00:32les fameux supporters anglais, bien compliqués, et ça nous a valu quand même, beaucoup de critiques qui ont entaché la France pendant très très longtemps.
00:44Donc, le ministre de l'Intérieur, il avait d'abord un souci majeur, c'est de mettre le paquet sur ces Jeux Olympiques, ça c'est le premier dispositif,
00:53et le deuxième dispositif, on a quand même, j'ai noté des chiffres parce que j'ai quand même un peu fouillé avant de venir, on a 45 000 policiers.
00:59Alors c'est pas en réalité, au quotidien, Reda m'arrêterait certainement, c'est pas 45 000. J'ai un peu regardé, j'ai fait mon calcul, etc., c'est une moyenne entre 30 et 35 000 policiers et gendarmes.
01:10Avec, tout de même, 20 à 22 000 agents supplémentaires qui sont passés à l'attrape, les agents de sécurité, ceux qui sont non fichés S, etc.,
01:21donc qui sont passés au grill, tous parmi les 20, entre 20 et 22 000. Aujourd'hui, les agents policiers et les gendarmes comptent beaucoup, évidemment, sur ce dispositif,
01:35parce que, encore une fois, je vous le dis, c'est un événement inédit.
01:40Sous-titrage Société Radio-Canada