À la découverte du monde sous-marin avec un écoguide à Saint-Cyr
Le soleil brille, la mer est turquoise, les cigales s’éveillent sur la plage de galets : ce décor de carte postale, c’est la Calanque de Port d’Alon, à Saint-Cyr-sur- Mer. C’est dans cet espace protégé et prisé par les baigneurs que l’Atelier Bleu propose ses sentiers sous-marins, sorte de snorkeling mais "à visée pédagogique". Le but : sensibiliser les touristes aux écosystèmes méditerranéens grâce à une expérience plaisante, immersive et instructive. Car pour se familiariser avec l’environnement, l’écoguide Damien Braconnier est formel : "Être immergé dans la nature, c’est ce qui marche le mieux !"
Cette activité en plein air et en pleine mer ne nécessite pas d’adorer les sensations fortes ni d’être particulièrement sportif, mais plutôt d’aimer observer et nager à la surface."Pas besoin d’aller très profond pour voir des animaux, les petits fonds marins de ce type en regorgent", assure Damien.
Mieux connaître la nature
Ce mercredi matin, cinq vacanciers en provenance de Toulouse ou de Bruxelles ont tenté l’expérience. Mais avant de se jeter à l’eau, il faut s’équiper. Combinaison, masque, tuba, palmes… Damien passe chaque item en revue en expliquant comment s’en servir. Même avec ses conseils, la mise en pratique occasionne des rires au sein du petit groupe qui peine à enfiler les combinaisons : "C’est la galère !" s’exclame Ester, venue avec son mari et sa fille. Les nouveaux explorateurs prennent ensuite le large, le corps immergé et les yeux rivés sur le fond marin à la recherche de petites bêtes. Le mieux est de venir tôt le matin, lorsque l’eau est plus claire. Mais gare au mal de mer! Prenez soin de manger avant de venir nager.
Régulièrement, Damien plonge pour ramener un spécimen marin et revenir sur son mode de vie : alimentation, habitat, prédateurs… "Le sentier sous-marin permet d’être dans la communication, on parle beaucoup. C’est impossible de faire ça quand on est en plongée", argumente l’écoguide. Durant l’excursion, on peut poser des questions, discuter, émettre des hypothèses.
Cette activité en plein air et en pleine mer ne nécessite pas d’adorer les sensations fortes ni d’être particulièrement sportif, mais plutôt d’aimer observer et nager à la surface."Pas besoin d’aller très profond pour voir des animaux, les petits fonds marins de ce type en regorgent", assure Damien.
Mieux connaître la nature
Ce mercredi matin, cinq vacanciers en provenance de Toulouse ou de Bruxelles ont tenté l’expérience. Mais avant de se jeter à l’eau, il faut s’équiper. Combinaison, masque, tuba, palmes… Damien passe chaque item en revue en expliquant comment s’en servir. Même avec ses conseils, la mise en pratique occasionne des rires au sein du petit groupe qui peine à enfiler les combinaisons : "C’est la galère !" s’exclame Ester, venue avec son mari et sa fille. Les nouveaux explorateurs prennent ensuite le large, le corps immergé et les yeux rivés sur le fond marin à la recherche de petites bêtes. Le mieux est de venir tôt le matin, lorsque l’eau est plus claire. Mais gare au mal de mer! Prenez soin de manger avant de venir nager.
Régulièrement, Damien plonge pour ramener un spécimen marin et revenir sur son mode de vie : alimentation, habitat, prédateurs… "Le sentier sous-marin permet d’être dans la communication, on parle beaucoup. C’est impossible de faire ça quand on est en plongée", argumente l’écoguide. Durant l’excursion, on peut poser des questions, discuter, émettre des hypothèses.
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