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AmusantTranscription
00:00Soyez le bienvenu au journal d'émergences d'Abidjan.net.
00:17Pour ce que nous disons très souvent, s'il y a des gens qui trouvent de tout carré dire
00:23ou nous donner des informations, ces personnes peuvent appeler au 00225-01-01-08-02-31.
00:32Nous allons parler de ce qui s'est passé à Agamé, le déguerpissement qu'a eu lieu à Agamé,
00:38les casques qui ont eu lieu à Agamé. On va parler de ça parce qu'on a constaté que des
00:43gens se plaignent en Côte d'Ivoire. D'autres disent que non, c'est pas bien. D'autres disent
00:47que non, c'est comme ça, les héblés se plaignent. Soyons honnêtes, quand un pays évolue,
00:54quand une ville évolue et que la ville croise un village, le village n'existe plus. À plus
01:02fort raison, une capitale. Nous sommes à Abidjan, c'est une capitale. Donc au fur et à mesure que
01:08la capitale va évoluer, si cette capitale croise un village, eh bien que ce village-là,
01:13ils doivent savoir que ce village-là ne va plus exister. Ça, c'est comme ça.
01:16Et puis, les héblés n'ont pas été les seuls à être déguerpis. Il faut qu'on soit très honnête.
01:23Regardez là où on a mis le parallèle à Coutu, et puis aux alentours là. Mais c'était un village
01:29héblé aussi, on dit à Noumabo. Des gens ont été déguerpis là pour aller ailleurs, rien que pour
01:35le développement de la nation, pour le développement d'Abidjan. Et on a construit là. Quand tu prends
01:42le camion de barrage en Côte d'Ivoire, quand tu prends le barrage de Kossou, quand tu prends le
01:48barrage de Tabo, des gens ont été déplacés, allés ailleurs, rien que pour le développement de la
01:54Côte d'Ivoire. Donc il n'y a jamais la légitimité. Ce n'est pas les premiers à être déguerpis.
01:58Et puis, où est le problème ? Où est le problème ? Il y a longtemps que vous devez partir,
02:06des gens ont déjà été dédommagés. Et après, pour cette affaire de la Saint-Ouattara,
02:11ils ont repris encore des choses. Il y a eu des accords qui ont été signés avec l'ancienne
02:16chefferie qui était là. L'accord a été signé pour le dédommagement. Ils sont partis en justice,
02:21la loi, la justice s'est prononcée là-dessus. Signé tous les accords. L'argent est déposé à la
02:27banque. Tout est fini. Alors, comme on aime bien les revendications en pays hébrié,
02:32deux cent vingt-et-un à Dième-Uni maintenant, quand il y a une nouvelle chefferie, on revendique
02:36encore pour qu'on annule les anciens accords, répandre encore des accords, pour qu'on va
02:40reprendre des nouvelles listes, tout, tout, tout. On ne reprendra rien. Aucune liste ne va
02:45être reprise. Rien ne sera repris. Ce qui avait été fait, les accords qui avaient été signés,
02:51et puis c'est parti en justice. C'est ça qui sera respecté. C'est ça qui va se faire. Mais
02:57du coup, on va reprendre des accords encore, signés avec de nouvelles chefferies. Ils vont
03:02envoyer de nouvelles personnes. Ils vont augmenter tant. Ça ne va jamais finir comme cette affaire de
03:07déchets toxiques. On ne va pas le faire. Ça ne va pas reprendre. Voilà. Et déjà, ils vont déguerpir,
03:14ils vont quitter pour que la route passe. Vous savez de quoi ça? On est dans un pays détroit.
03:19Il faut que tout soit respecté. Et puis l'administration est une continuité. Qu'on
03:25arrête ça quand même, vous aussi. Rien ne sera repris. Les anciens accords qui ont été signés là,
03:29on va dédommager les gens. Les quatre milliards et quelques sales là, si vous ne les prenez pas,
03:35il n'y a pas de problème. Si ça dure là, eh, eh, à la prochaine.