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00:00:00L'accès aux soins de santé est un droit humain fondamental qui place une responsabilité légale sur les États pour assurer l'accès à un soin de santé timide, acceptable et affordable pour leurs citoyens.
00:00:19La hausse du nombre de soins de santé payés en Cameroun aujourd'hui représente un obstacle significatif pour les Camerooniens dans l'accès aux soins de santé.
00:00:33Environ 70 % des soins de santé pour les Camerooniens sont payés par les familles, ce qui double presque la moyenne régionale de 34 %.
00:00:46C'est la troisième partie de Cameroun dans l'Afrique du Sud-Sahara.
00:00:51Et cela conduit à des difficultés financières qui interdisent l'accès aux soins de santé et affectent négativement la santé au pays.
00:01:03Ce gouvernement a initié et déroule maintenant un processus pour l'établissement d'un système de soins de santé universel fonctionnel dans le pays,
00:01:13qui facilite l'accès aux soins de santé de haute qualité pour les Camerooniens, tout en réduisant les dépenses de soins de santé pour les familles.
00:01:2636 % des Camerooniens dépensent plus de 5 % de leur revenu en soins de santé.
00:01:33Près de 5 % des Camerooniens dépensent au-dessus de 40 % de leur revenu en soins de santé, ce qui conduit à des paiements pénibles pour l'accès aux soins de santé dans le pays.
00:01:46Ces chiffres portent, d'abord, un débat énorme entre la santé, l'équité et la protection financière des citoyens,
00:01:56et, deuxièmement, le fait que les pauvres Camerooniens sont ceux qui souffrent le plus de dépenses de soins de santé catastrophiques du pays.
00:02:08Cependant, il y a une volonté politique forte et de haut niveau pour offrir des soins de santé universels en Cameroune,
00:02:17ce qui présuppose un augment de la dépense de soins de santé conséquentiel pour le pays pour réaliser sa vision d'accès aux soins de santé équitable pour tous ses citoyens.
00:02:32La voyage vers un accès à des soins de santé universel en Cameroune et la création d'un chemin pour un accès à des soins de santé équitable pour tous,
00:02:42sont les principaux trusts de l'édition d'aujourd'hui de votre programme.
00:02:47Bonjour à tous, je suis Ben Menopoufong de Yaoundé. Bienvenue à News Inside Out.
00:03:01C'est exactement 16 mois aujourd'hui que le gouvernement de Cameroune a lancé son programme d'accès à des soins de santé universel.
00:03:14Un programme qui a l'ambition de réduire le poids excruciant des soins de santé sur les Camerooniens,
00:03:22tout en réduisant les dépenses de soins de santé.
00:03:27Il marque un pas critique vers aider les populations vulnérables, y compris les enfants, les femmes enceintes et les personnes vivant avec le HIV, à accéder à des soins de santé affordable et de qualité.
00:03:42L'ambition de l'accès à des soins de santé est de réduire les dépenses de soins de santé qui dépassent les soins de santé des Camerooniennes.
00:03:52Inside Out, Edwin Kinziker a observé le système d'accès à des soins de santé du pays en l'absence d'un accès à des soins de santé universel,
00:04:03et il s'est rendu compte qu'il n'est pas seulement les services de santé et les infrastructures inadéquates,
00:04:11mais qu'ils sont touchés par les taux de pauvreté qui augmentent dans les secteurs de soins de santé,
00:04:17ce qui complique encore plus les problèmes pour les soignants de soins de santé.
00:04:21Bonjour Mouki.
00:04:51Nous avons les soins de santé subdivisionnels, que nous appelons parfois les soins de santé inférieurs,
00:04:59et nous avons les soins de santé du district, lesquels nous suivons immédiatement.
00:05:04Les soins de santé du district et les soins de santé subdivisionnels sont tous sous un cadre de soins de santé du district,
00:05:12qui est dirigé par un officier de santé du district, appuyé par le ministre de la Santé.
00:05:19Les soins de santé du district, nous les considérons maintenant à un niveau subdivisionnel.
00:05:26Quand il y a des difficultés à ce niveau, nous les appelons les soins de santé catégorisés.
00:05:32Ils peuvent maintenant être envoyés à des soins de santé spécialisés, comme les centres d'urgence à Yaoundé,
00:05:41comme les soins de santé centrales.
00:05:43Mais quand on va aux soins de santé centrales, nous les avons ici.
00:05:48Donc quand il y a des difficultés, nous les appellons les soins de santé centrales.
00:05:51Tout cela constitue un total de 2260 soins de santé publique, la majorité desquels sont tenus par le gouvernement.
00:06:01Les soins privés et confessionnels existent aussi dans le pays.
00:06:06L'un d'entre eux sont les soins tenus par les catholiques, les baptistes, les églises présidentielles.
00:06:14Au-delà d'aider les gens en les traitant de leurs maladies, ils les traitent aussi spirituellement.
00:06:21Ils sont aussi trouvés dans les 10 régions du pays, ce qui rend la carte de santé très belle.
00:06:27Mais à Ben Poufong, la multiplicité des hôpitaux et des centres de santé
00:06:33n'a pas encore permis d'offrir une bonne couverture de la santé dans le triangle national.
00:06:39Parce que les Camerooniens sont généralement très pauvres,
00:06:42il y a de mauvaises routes de leur village à l'hôpital,
00:06:46et le problème de l'affordabilité provoque des problèmes.
00:06:51Le gouvernement nous a rendu très simple.
00:06:54La façon dont nous organisons les hôpitaux, en termes de délivrage, est très simple.
00:07:00Quand vous avez une femme qui doit délivrer,
00:07:05vous devez suivre toutes ses consultations dans les hôpitaux de gouvernement.
00:07:10Certaines de ces consultations sont maintenant gratuites,
00:07:13grâce à ce qu'on appelle la couverture de la santé universelle.
00:07:17Dans les hôpitaux des districts, certains de leurs tests et certains d'eux sont gratuits.
00:07:24Ils n'ont qu'à s'inscrire dans la plateforme de la couverture de la santé universelle.
00:07:29C'est pareil pour les petits-enfants dans le monde pédiatrique.
00:07:33Nous les consulterons gratuitement.
00:07:35De 0 à 5 ans, les consultations sont gratuites.
00:07:38Certains de leurs tests sont gratuits.
00:07:40C'est grâce à la couverture de la santé universelle,
00:07:42qui est implémentée par le ministère de la Santé publique,
00:07:46sous les ordres du gouvernement cameroonien.
00:07:48Quand vous regardez ces personnes qui viennent pour la délivraison,
00:07:54la délivraison simple est de 8000 francs,
00:07:57ce que vous payez pour la délivraison simple.
00:08:00Mais pour être donné une opération,
00:08:02il y a des kits qui sont tous gardés jour et nuit.
00:08:07En cas d'urgence, les kits de délivraison sont utilisés.
00:08:12Et ils sont utilisés sans vous demander de payer.
00:08:15C'est parce qu'ils ont sauvé la vie d'abord.
00:08:18Vous devez aussi savoir que 60 à 70 % des Camerooniens
00:08:23ont besoin d'aide médicale à des institutions traditionnelles africaines.
00:08:28Ils les appellent les practitioners traditionnels.
00:08:30Et environ 20 à 30 à 40 % vont à l'hôpital.
00:08:34La raison, c'est qu'ils sont très pauvres.
00:08:36Ils ne vont qu'à l'hôpital
00:08:38quand ils se trouvent dans des conditions désespérées,
00:08:41dans des situations désespérées.
00:08:43Mais comment se traitent ces conditions à l'hôpital
00:08:46quand il n'y a pas d'argent à payer ?
00:08:48Comment se traitent les patients insolvés ?
00:08:51Un jour, je suis allé à mon bureau
00:08:53et j'ai vu une dame qui était à l'extérieur
00:08:55qui est venue à l'hôpital.
00:08:57Personne n'était avec elle.
00:08:59Elle venait du nord de notre pays.
00:09:01Elle n'entendait rien en français et en anglais.
00:09:04On a dû chercher un traducteur.
00:09:06Et quand j'ai amené la voiture au gynécologiste,
00:09:09cette dame était déjà préparée pour la délivraison.
00:09:13Ils ont dû l'opérer.
00:09:15On s'est pris sur nous-mêmes.
00:09:17Parfois, on a contribué de nos poches.
00:09:20On a pris les enfants et ils l'ont opéré.
00:09:23Et grâce à Dieu, elle n'avait pas de complications.
00:09:26Certains n'ont pas d'argent
00:09:28et on les laisse partir
00:09:30parce qu'on ne peut pas faire autrement.
00:09:33On a du mal, d'abord, à sauver leur vie
00:09:36avant de parler de l'argent.
00:09:38La plupart d'entre eux partent sans payer.
00:09:40Le traducteur leur donne des réductions.
00:09:42Certains les réduisent à 50%.
00:09:44Ils n'ont même pas d'argent.
00:09:46Certains le donnent à 75%.
00:09:48Ils n'ont même pas de diner.
00:09:50Il n'y a même pas de nourriture.
00:09:52Parfois, on leur donne de la nourriture.
00:09:55C'est vraiment difficile pour les caméras de l'Union.
00:09:58On ne peut pas les garder ici.
00:10:00On n'a pas le droit de les garder ici.
00:10:02Parce que nous les considérons
00:10:04comme nos propres frères et soeurs
00:10:06qui sont en difficulté.
00:10:08En tant qu'hôpital public,
00:10:10on a le droit et la responsabilité
00:10:12de les traiter.
00:10:14Mais parfois, ça nous inquiète
00:10:16au niveau de la pharmacie.
00:10:18Quand ils ont besoin de drogues,
00:10:20c'est difficile
00:10:22parce que la pharmacie n'est pas opérée par les hôpitaux.
00:10:24Imaginez,
00:10:26le Cameroun a un problème sérieux
00:10:28de personnes déplacées à l'intérieur,
00:10:30des réfugiés, des retenus,
00:10:32et tous sont en situation d'urgence
00:10:34en cherchant l'attention médicale.
00:10:36Ils vont à ces hôpitaux,
00:10:38mais ils sont aussi en difficulté
00:10:40parce qu'ils doivent couvrir de longues distances,
00:10:42ils doivent vivre difficilement
00:10:44pour accéder aux hôpitaux
00:10:46qui ne sont pas toujours proches.
00:10:48Ils doivent chercher des spécialistes
00:10:50qui ne sont pas toujours dans les villes
00:10:52où ils sont situés.
00:10:54Ils doivent aller à Yaoundé Douala,
00:10:56à Garoua, pour trouver des traitements.
00:10:58Les hôpitaux sont non existants
00:11:00dans certains cas.
00:11:02Les hôpitaux sont mal équipés
00:11:04et le personnel médical est absent.
00:11:06Ce n'est pas un secret que beaucoup d'entre eux,
00:11:08en fait, des milliers,
00:11:10sont allés à l'Europe,
00:11:12en particulier au Canada,
00:11:14pour chercher une pasture plus verte.
00:11:16Et puis la situation devient préoccupante
00:11:18à la maison,
00:11:20ce qui rend la situation plus difficile,
00:11:22en particulier dans les zones rurales.
00:11:24Cela signifie encore une fois
00:11:26que beaucoup d'argent est expédié
00:11:28par le gouvernement.
00:11:30Si ce n'est pas le cas,
00:11:32il n'est pas possible
00:11:34d'acheter une pasture plus verte.
00:11:36Ce n'est pas possible.
00:11:38Ce n'est pas possible.
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00:18:58Ce n'est pas possible.
00:19:00C'est une vraie picture rouge
00:19:02dans la région nord-ouest.
00:19:04Merci, Mercy.
00:19:06Dans la région sud-ouest du pays,
00:19:08la carte de santé n'est pas différente.
00:19:10Même si,
00:19:12comme les officiers de santé
00:19:14de la région l'appellent aussi,
00:19:16une picture relativement plus brillante
00:19:18se trouve là-bas.
00:19:20Mais il y a des défis.
00:19:22Des défis qui ne sont pas
00:19:24uniquement routine,
00:19:26mais communs aux autres
00:19:289 régions du pays.
00:19:30Comme dans la région nord-ouest,
00:19:32et contre l'avancée
00:19:34de l'avancée
00:19:36sociopolitique,
00:19:38les services de santé essentiels
00:19:40et l'infrastructure
00:19:42dans la plupart des régions
00:19:44ont tous collapsé.
00:19:46Et l'accès aux gens
00:19:48dans les régions
00:19:50les plus difficiles
00:19:52est toujours un défi.
00:19:54Comme l'a capturé
00:19:56le ministère de la Santé,
00:19:58dans le package suivant,
00:20:00l'accès au soins de santé
00:20:02dans la région sud-ouest
00:20:04est devenu un défi quotidien
00:20:06du point de vue central,
00:20:08intermédiaire et périphérique.
00:20:10Depuis un certain temps,
00:20:12la région sud-ouest
00:20:14vit un améliorement
00:20:16dans son état de santé.
00:20:18Si on croit que la plus grande
00:20:20des régions est la santé,
00:20:22alors il sera prévu
00:20:24que la région sud-ouest
00:20:26s'améliore,
00:20:28notamment avec la naissance
00:20:30du plan présidentiel
00:20:32de la couverture de la santé universelle.
00:20:34La migration des personnes
00:20:36intermédiaires
00:20:38des périphériques
00:20:40vers les villes centrales
00:20:42de la région,
00:20:44comme Goya,
00:20:46Limbie et Ticou,
00:20:48à cause du défi
00:20:50sociopolitique,
00:20:52nous avons rencontré
00:20:54de nombreux défis
00:20:56en termes d'accessibilité
00:20:58aux soins de santé.
00:21:00Plus de 50 %
00:21:02de nos soins de santé
00:21:04dans les régions
00:21:06intermédiaires
00:21:08ont été fermés.
00:21:10Mais jusqu'à présent,
00:21:1210 à 15 %
00:21:14de nos soins de santé
00:21:16ne fonctionnent pas,
00:21:18soit parce que les structures
00:21:20ne fonctionnent pas.
00:21:22La shortage personnelle
00:21:24est un problème général
00:21:26à Cameroun,
00:21:28pas seulement au sud-ouest
00:21:30ni dans le secteur de la santé.
00:21:32Nous avons une shortage crue
00:21:34et chronique de personnel,
00:21:36de personnel de qualité,
00:21:38parce qu'il s'agit
00:21:40de la qualité du soin
00:21:42dont la couverture universelle
00:21:44est garantie par la population.
00:21:46Il y a des zones
00:21:48qui sont difficiles
00:21:50en termes de sécurité,
00:21:52mais aussi en termes
00:21:54de géographie.
00:21:56Il y a donc beaucoup
00:21:58d'aspects qui rendent
00:22:00ces zones difficiles
00:22:02à atteindre.
00:22:04Ce sont les spécificités
00:22:06en termes d'accessibilité
00:22:08aux soins de santé.
00:22:10Il y a 21 régions
00:22:12qui existent
00:22:14dans le sud-ouest.
00:22:16Le chômage est un problème
00:22:18pour les régions
00:22:20qui sont les plus pauvres
00:22:22dans le pays.
00:22:24Le centre de soins
00:22:26a donc pris des découvertes
00:22:28pour donner de la santé
00:22:30à tous ses patients.
00:22:32Nous payons
00:22:345 000 francs
00:22:36pour chaque session
00:22:38de chômage,
00:22:40deux fois par semaine.
00:22:42Avec la couverture universelle,
00:22:44nous payons
00:22:4615 000 francs.
00:22:48Cela nous protège
00:22:50toute l'année
00:22:52et est renouvelable
00:22:54chaque année.
00:22:56Depuis janvier 2024,
00:22:58le stade des soins de santé
00:23:00au centre de soins de santé
00:23:02de la région
00:23:04a beaucoup amélioré.
00:23:06Nous avons reçu
00:23:0813 nouvelles machines
00:23:10et les anciennes
00:23:12machines ont été
00:23:14réhabilitées.
00:23:16Le chômage
00:23:18dans la région en général
00:23:20est un autre problème
00:23:22qui doit être
00:23:24abordé urgentement.
00:23:26L'année dernière,
00:23:28nous avions un chômage
00:23:30de 72 %
00:23:32pour la plupart de nos indicateurs.
00:23:34Mais cette année, nous avons
00:23:36eu une diminution importante
00:23:38de plus de 10 points
00:23:40de notre immunisation
00:23:42et de nos antigènes.
00:23:44Cela est lié au défi
00:23:46de pré-enregistrement des enfants
00:23:48de 0 à 5 ans
00:23:50dans la couverture universelle
00:23:52de soins de santé.
00:23:54Cependant, la communication
00:23:56a été renforcée et restratégisée
00:23:58pour encourager plus de parents
00:24:00à pré-enregistrer leurs enfants
00:24:02dans le schéma de santé.
00:24:04Nous faisons de l'advocatie
00:24:06avec les partenaires régionaux
00:24:08dans le domaine
00:24:10pour encourager les autres délégations,
00:24:12notamment la délégation
00:24:14de l'éducation fondamentale
00:24:16qui s'adresse aux enfants
00:24:18et la délégation des femmes
00:24:20pour l'encouragement.
00:24:22Ces deux délégations
00:24:24collaborent activement
00:24:26avec la délégation
00:24:28de la santé publique
00:24:30dans la région du sud-ouest.
00:24:32Même si la construction
00:24:34du centre d'hôpitaux de référence
00:24:36a été arrêtée,
00:24:38la région est en train
00:24:40d'intercepter ces défis
00:24:42dans le futur.
00:24:44Les sensitisations publiques
00:24:46sont en train de s'arrêter,
00:24:48indiquant que les gens ont compris
00:24:50que la pré-diagnostication
00:24:52et le traitement,
00:24:54ainsi que l'observation
00:24:56de la hygiène fondamentale,
00:24:58jouent un rôle crucial
00:25:00pour combattre
00:25:02les défis de la santé.
00:25:06Un des défis les plus pressants
00:25:08dans les hôpitaux de Cameroun
00:25:10ces dernières années
00:25:12a été le déficit
00:25:14dans le nombre de lits
00:25:16pour accueillir
00:25:18le nombre de patients
00:25:20de plus en plus
00:25:22dans les hôpitaux,
00:25:24en particulier dans les zones
00:25:26suburbaines.
00:25:28Les hôpitaux de Cameroun
00:25:30sont en train
00:25:32d'accompagner
00:25:34les patients
00:25:36de plus en plus
00:25:38dans les zones
00:25:40suburbaines.
00:25:42Le déficit
00:25:44dans les zones
00:25:46suburbaines
00:25:48est en train
00:25:50de s'arrêter.
00:25:52Le déficit
00:25:54dans les zones
00:25:56suburbaines
00:25:58est en train
00:26:00de s'arrêter.
00:26:02Le déficit
00:26:04dans les zones
00:26:06suburbaines
00:26:08est en train
00:26:10de s'arrêter.
00:26:12Le déficit
00:26:14dans les zones
00:26:16suburbaines
00:26:18est en train
00:26:20de s'arrêter.
00:26:22Le déficit
00:26:24dans les zones
00:26:26suburbaines
00:26:28est en train
00:26:30de s'arrêter.
00:26:32Le déficit
00:26:34dans les zones
00:26:36suburbaines
00:26:38est en train
00:26:40de s'arrêter.
00:26:42Le déficit
00:26:44dans les zones
00:26:46suburbaines
00:26:48est en train
00:26:50de s'arrêter.
00:26:52La grossesse
00:26:54du déficit
00:26:56dans les zones
00:26:58mais également à travers d'autres indicateurs, comme la densité de l'hôpital.
00:27:03La densité de l'hôpital, qui représente le nombre d'hôpitaux par 1000 personnes en Cameroun,
00:27:09a fluctué au cours des années, mais certaines sources l'ont mis aujourd'hui
00:27:13entre 1,4 et 1,5 pour 1000 Camerounais.
00:27:17Le gouvernement a toujours nourri l'ambition d'améliorer la densité de l'hôpital dans le pays
00:27:23et d'améliorer l'infrastructure moderne dans toutes les 10 régions
00:27:27afin d'améliorer la qualité de l'hôpital offert aux Camerounais et de réduire les coûts.
00:27:33Ce rêve semble maintenant prendre forme, car au cours des trois dernières années,
00:27:38des hôpitaux modernes et bien équipés ont été inaugurés dans différents endroits du pays.
00:27:45La clé à l'expansion récente des hôpitaux dans le Cameroun peut être trouvée dans le plan d'urgence de trois ans,
00:27:52lancé sous la direction du président de la République.
00:27:56Sous ce plan d'urgence, l'objectif était d'améliorer la plateforme technique de l'infrastructure sanitaire
00:28:02dans Yaoundé et Douala, et avant tout de construire des centres d'hôpitaux régionales
00:28:07dans chaque des 8 autres régions.
00:28:10Le rêve prend maintenant forme, car au moins 6 des 8 centres d'hôpitaux régionales
00:28:17sont déjà opérationnels, avec la plupart d'entre eux inaugurés.
00:28:21Le centre d'hôpitaux régional de Betwa a été l'un des derniers à être inauguré dans la série.
00:28:26L'impact total des 8 nouveaux centres d'hôpitaux régionales au Cameroun peut être vu de plusieurs angles.
00:28:33D'abord, ils ont amélioré le ratio des soins de soins hospitaliers dans le pays.
00:28:38Chaque d'entre les 6 nouvelles infrastructures inaugurées jusqu'à présent
00:28:42possède une capacité d'accommodation d'environ 100 soins,
00:28:46tant pour le soin de soins, que pour la réhabilitation et l'admission à longue durée.
00:28:51Les centres d'hôpitaux régionales sont aussi stratégiques,
00:28:54car ils font disponible l'équipement médical nécessaire
00:28:58pour résoudre une grande variété de problèmes de santé,
00:29:01tout en réduisant le mouvement des gens à se chercher à un soin de santé de haute qualité
00:29:06dans les régions centrales et littorales.
00:29:08Les centres d'hôpitaux régionales ont déjà été inaugurés dans l'Ouest,
00:29:12le Sud, le Nord et l'Ouest.
00:29:15Les centres d'hôpitaux régionales du Nord, de l'Ouest et du Sud
00:29:18ont été dépassés à cause de la crise dans les deux régions.
00:29:22Mais j'espère qu'il ne sera pas trop longtemps avant que ces hôpitaux soient ouverts.
00:29:28Au-delà des centres d'hôpitaux régionales,
00:29:30le gouvernement a travaillé avec ses partenaires
00:29:33pour développer d'autres infrastructures de santé.
00:29:36C'est le cas avec les centres d'hôpitaux régionales de Ganderé.
00:29:41C'est le cas avec les centres d'hôpitaux régionales de Garoua.
00:29:44C'est le cas avec les centres d'hôpitaux régionales de Garoua.
00:29:46Offrir de la santé de haute qualité est une préoccupation constante pour chaque gouvernement
00:29:50parce que la santé est la base pour la création de l'argent.
00:29:54Avec la pléthora de centres d'hôpitaux régionales
00:29:57installés à travers le pays de récemment,
00:29:59le gouvernement confirme que la santé reste une priorité.
00:30:07Christian Tchiat, je suis là,
00:30:08Je suis là avec les bonnes infrastructures
00:30:11dans le secteur de la santé à Cameroun,
00:30:13dans les dernières années.
00:30:15Mais tous ces investissements colossaux
00:30:18dans le secteur de la santé
00:30:20n'ont rien à voir
00:30:22si le manpower n'est pas là
00:30:24pour ajouter de la valeur
00:30:26et les permettre de délivrer
00:30:28sur les besoins de la santé des gens.
00:30:31Des données du Conseil médical de Cameroun
00:30:34montrent que le ratio des patients à doctorés
00:30:36actuellement en Cameroun
00:30:38est de 1 docteur par 50 000 personnes,
00:30:42bien en dessous du ratio recommandé par le WHO
00:30:46de 1 docteur par 10 000 patients.
00:30:50Le Conseil médical attribue
00:30:52cette imbalance de patients à docteurs
00:30:56à la volée massive des médecins
00:30:59de l'étranger pour des pastures plus vertes.
00:31:03Mais le Conseil médical de Cameroun
00:31:06a besoin de 30 000 médecins de la santé
00:31:10pour s'aligner avec l'exigence du WHO
00:31:14de 1 docteur par 10 000 personnes.
00:31:17La situation devient encore plus compliquée
00:31:20quand la nécessité de spécialisation s'améliore.
00:31:23Les médecins spécialisés
00:31:26sont en short supply à Cameroun,
00:31:28et les peuples qui restent là-bas
00:31:31s'améliorent souvent,
00:31:33compte tenu du nombre de patients
00:31:35qu'ils attendent quotidiennement.
00:31:38Yoti Kalelisanghe a été curieux
00:31:41de la question du pouvoir de l'homme
00:31:44dans le secteur de la santé de Cameroun,
00:31:46en observant que,
00:31:48parmi les nombreux défis
00:31:50que face le secteur aujourd'hui,
00:31:52le défi de la spécialisation
00:31:55est un délirant,
00:31:57surtout en tant que la santé universelle
00:32:00qui est en train d'améliorer
00:32:03le système d'accueil de la santé du pays.
00:32:06Yoti?
00:32:091 docteur par 50 000 personnes,
00:32:12une figure de la ratio du docteur-patient
00:32:15en Cameroun, qui parle pour elle-même.
00:32:18Pour fournir une sorte de remède,
00:32:21les médecins sont obligés
00:32:23de passer moins de temps
00:32:25que le temps nécessaire
00:32:27pour s'assurer du bien-être du patient.
00:32:30La dynamique change
00:32:32lorsque l'on écrit aux médecins
00:32:35les statistiques alarmantes
00:32:37dans les domaines comme la rheumatologie,
00:32:40la branche de médecine qui s'adresse
00:32:43aux conditions infectieuses et inflammatoires
00:32:46des joints et autres parties
00:32:48du système musculoskeletal.
00:32:50Il y a seulement 35 rheumatologues
00:32:52dans le pays,
00:32:54et en basant sur les statistiques
00:32:56publiées dans le journal Pan-Afrique Med,
00:32:595 des régions de Cameroun
00:33:01n'ont pas de rheumatologue.
00:33:03Imaginez quelqu'un avec le lupus,
00:33:06par exemple, dans l'une de ces zones.
00:33:09Votre idée est aussi bonne que la mienne.
00:33:11Ils pourraient s'adapter
00:33:13à des pratiques inorthodoxes.
00:33:15Peut-être qu'un jour, en 2025,
00:33:17avec la graduation des résidents
00:33:19de 13 Parnia en entraînement
00:33:21à la Faculté des Sciences Biomédicales
00:33:23de l'Université de Yaoundé 1,
00:33:25le scénario changerait.
00:33:27Jusqu'alors, les spécialistes
00:33:29essayent de s'occuper
00:33:31des ressources disponibles.
00:33:55Ils viennent avec leur opinion,
00:33:57donnée à eux par les taxis,
00:33:59les motos, les relatives
00:34:01qui disent qu'il faut aller d'un côté à l'autre.
00:34:04Finalement, nous avons 30 à 40 %
00:34:06de patients qui sont prêts
00:34:08à être gérés
00:34:10par la médecine standard.
00:34:12Nous avons 30 %
00:34:14de notre population
00:34:16qui doit être gérée.
00:34:18Le reste, 70 %,
00:34:20sont dans la société,
00:34:22dans l'environnement,
00:34:24dans le secteur traditionnel.
00:34:26Jour en jour,
00:34:28la différence en efficacité
00:34:30du personnel médical est réduite.
00:34:32A la fin de 2021, par exemple,
00:34:34Cameroun a disparu
00:34:36d'avoir seulement 5 nephrologistes
00:34:38en 2013,
00:34:40à 28,
00:34:42et le nombre continue d'augmenter.
00:34:44Il y a 10 ans,
00:34:46le pays comptait moins de 15
00:34:48chirurgiens autoperdiques.
00:34:50Actuellement, il y en a plus de 50.
00:34:52Nous sommes dans toutes les grandes villes
00:34:54de Cameroun,
00:34:56à Yaoundé, Douala, Bafoussame,
00:34:58on trouve des chirurgiens
00:35:00autoperdiques à Marois.
00:35:02Nous ne traitons pas tous les patients
00:35:04parce qu'il y a des professionnels
00:35:06qui peuvent traiter les patients
00:35:08avec des cas qui ne sont pas
00:35:10très difficiles.
00:35:12Nous recevons donc seulement
00:35:14des cas très difficiles
00:35:16parce qu'on n'est pas assez
00:35:18pour traiter tous les patients.
00:35:20C'est donc très difficile,
00:35:22mais nous essayons
00:35:24de satisfaire
00:35:26le maximum de patients.
00:35:28Mais l'arrivée est semblablement lente.
00:35:30Avec un grand burdeau
00:35:32de maladies non communiquables,
00:35:34les chirurgiens sentent
00:35:36la puissance des besoins
00:35:38des patients.
00:35:40Une réalité qui, parfois,
00:35:42joue sur la pression du sang,
00:35:44en ayant peu ou pas de repos.
00:35:46Ceux-ci ne sont pas
00:35:48les chirurgiens,
00:35:50mais les chirurgiens.
00:35:52Nous traînons
00:35:54de nombreuses anesthéses chaque année.
00:35:56Mais dans le processus d'intégration,
00:35:58le gouvernement prend seulement
00:36:00quelques anesthéses.
00:36:02Et maintenant, vous réalisez que dans
00:36:04la plupart des hôpitaux,
00:36:06notamment dans les hôpitaux districts,
00:36:08nous avons seulement des anesthéses
00:36:10qui gèrent les patients.
00:36:12Nous n'avons même pas le matériel,
00:36:14nous manquons de tout,
00:36:16nous n'avons pas de matériel,
00:36:18nous n'avons pas de matériel,
00:36:20nous n'avons pas de matériel,
00:36:22nous n'avons pas de matériel,
00:36:24nous n'avons pas de matériel,
00:36:26nous n'avons pas de matériel,
00:36:28nous n'avons pas de matériel,
00:36:30nous n'avons pas de matériel,
00:36:32nous n'avons pas de matériel,
00:36:34nous n'avons pas de matériel,
00:36:36nous n'avons pas de matériel,
00:36:38nous n'avons pas de matériel,
00:36:40nous n'avons pas de matériel,
00:36:42nous n'avons pas de matériel,
00:36:44un résident de neurosurgery de 4ème année
00:36:46à l'hôpital national de Kenyatta
00:36:48à Nairobi, au Kenya,
00:36:50prévoit de retourner à la maison,
00:36:52précisément dans la région du Nord,
00:36:54pour souffler la douleur
00:36:56dans cette partie du pays.
00:36:58De plus, de l'enquête atteste
00:37:00que le personnel médical dans la nation
00:37:02a les mains remplies.
00:37:04Même si les praticiens généraux
00:37:06continuent de leur donner leur mieux
00:37:08pour alléger la situation,
00:37:10certaines truths restent tristes.
00:37:12Comme le 20% de la population
00:37:14en besoin de services de soins de l'œil compréhensif.
00:37:16En février 2023,
00:37:18le Dr Henry Koumbé,
00:37:20renommé ophtalmologiste
00:37:22et spécialiste en cataracte,
00:37:24rétina, glaucoma
00:37:26et chirurgie réfractaire
00:37:28à l'Institut Maghrebi-Kamrounaï
00:37:30a admis le fait.
00:37:32Certains pointeurs indiquent aussi
00:37:34que l'environnement d'apprentissage
00:37:36n'est pas assez favorable.
00:37:38Notre entraînement est marqué par l'humiliation
00:37:40de tous.
00:37:42De votre professeur
00:37:44à l'assistante,
00:37:46la consultante,
00:37:48les lecteurs,
00:37:50les médecins,
00:37:52tout le monde vous respecte.
00:37:54C'est tellement humiliant
00:37:56que personne n'aimerait
00:37:58passer ce type d'entraînement.
00:38:00Malgré tout,
00:38:02les frontières médicales
00:38:04gardent l'espoir vivant,
00:38:06croyant qu'un jour,
00:38:08l'entraînement sera le bon antidote
00:38:10pour limiter la différence
00:38:12en matière de soins médicaux.
00:38:14Peut-être qu'à l'avenir,
00:38:16ils auront une dose de multiplication,
00:38:18malgré le brain drain,
00:38:20qui est l'un des principaux facteurs
00:38:22qui affectent négativement
00:38:24le ratio des médecins.
00:38:28Avec ce déficit
00:38:30de la différence entre les patients
00:38:32et les médecins
00:38:34qui intervient aujourd'hui en Cameroun.
00:38:36Et c'est juste un côté
00:38:38de la monnaie.
00:38:40L'autre côté
00:38:42est encore plus déprimant.
00:38:44Et cela concerne
00:38:46le phénomène du brain drain.
00:38:48C'est un grain de verre
00:38:50qui a plagié
00:38:52le secteur de la santé
00:38:54dans la plupart de l'Afrique,
00:38:56mais Cameroun semble
00:38:58en face d'une inquiétude
00:39:00plutôt frappante.
00:39:02Elle a été et est toujours
00:39:04l'un des meilleurs groupes
00:39:06de médecins qui sont tous
00:39:08allés à l'étranger pour chercher
00:39:10de meilleurs emplois et de meilleurs
00:39:12incentives financières,
00:39:14laissant le secteur de la santé
00:39:16du pays en état de précarité.
00:39:18Larrice Nannet-Epotais
00:39:20a fait
00:39:22des diagnostics
00:39:24et a confirmé
00:39:26qu'il y a une précédente nécessité
00:39:28d'incentiver le secteur de la santé
00:39:30et d'arrêter
00:39:32ce brain drain
00:39:34qui traînerait
00:39:36un secteur
00:39:38hyperanémique.
00:39:40Larrice?
00:39:44La migration des professionnels médicaux
00:39:46des pays développés
00:39:48est devenue une grande préoccupation.
00:39:50Ce brain drain, en retour,
00:39:52dépense les ressources de soins de santé dépliqués
00:39:54dans les pays pauvres
00:39:56et amplifie le gap dans les iniquités
00:39:58mondiales.
00:40:00Avec plus de 7 000 professionnels médicaux
00:40:02en Cameroun annuellement,
00:40:04le pays a un déficit
00:40:06de 83 000 professionnels médicaux,
00:40:08une situation qui questionne
00:40:10la qualité des professionnels médicaux
00:40:12entraînés en Cameroun.
00:40:14Selon les acteurs du domaine,
00:40:16ce brain drain
00:40:18peut être expliqué par les salaires bas,
00:40:20le recrutement minimal
00:40:22et les lois restrictives.
00:40:24Beaucoup d'entre eux
00:40:26sont entraînés chaque année
00:40:28et le recrutement est réduit.
00:40:30Donc, le ratio entre ceux qui sont entraînés
00:40:32et ceux qui sont gradués
00:40:34et ceux qui vont rester
00:40:36dans le pays
00:40:38est recruté par l'employeur principal
00:40:40qui est l'État.
00:40:42Le fait qu'on ne les emmène plus
00:40:44dans ces structures de santé publique,
00:40:46beaucoup de nos étudiants,
00:40:48même ceux en spécialisation,
00:40:50quand ils vont à l'étranger,
00:40:52les hôpitaux et les services
00:40:54se trouvent
00:40:56d'une bonne qualité
00:40:58et ils les gardent.
00:41:00Dans ces jours,
00:41:02quand les professionnels médicaux
00:41:04partent à l'étranger pour la spécialisation
00:41:06et puis retournent à Cameroun
00:41:08pour pratiquer à l'hôpital,
00:41:10ils restent dans le pays d'hôte
00:41:12ou partent à l'étranger
00:41:14avec les mêmes standards de vie
00:41:16pour des pastures plus vertes.
00:41:18Ils ont la capacité de travailler,
00:41:20d'offrir des services
00:41:22qui les satisfont
00:41:24et ils les gardent.
00:41:26Cela signifie que l'entraînement est bon.
00:41:28Parmi nos entraîneurs,
00:41:30nous avons de bons personnels médicaux
00:41:32et quand ils partent à l'étranger,
00:41:34ils sont certainement gardés
00:41:36par les autres pays,
00:41:38malheureusement pour nous.
00:41:40Cameroun, dans ses différentes institutions
00:41:42d'apprentissage médical,
00:41:44offre des entraînements professionnels de qualité.
00:41:46Mais les acteurs du secteur
00:41:48attestent que de plus en plus d'étudiants
00:41:50patronisent le domaine de la médecine,
00:41:52non pas à cause de leur passion pour le travail,
00:41:54mais pour réaliser leurs objectifs
00:41:56ou pour réaliser le désir
00:41:58de leurs parents d'avoir
00:42:00un travailleur de santé dans la famille.
00:42:02Le gouvernement,
00:42:04grâce à ses nombreux efforts
00:42:06d'offrir des services de soins de santé
00:42:08a été applaudi,
00:42:10mais a été appelé à voir
00:42:12l'entraînement de ces cerveaux,
00:42:14en particulier les bons,
00:42:16qui sont très nécessaires
00:42:18pour améliorer la qualité des services de santé
00:42:20dans les hôpitaux à travers le pays.
00:42:22Si les conditions de travail,
00:42:24en particulier pour ceux dans les zones de crise,
00:42:26avec peu ou pas de développement,
00:42:28sont améliorées,
00:42:30cela donnera un long chemin
00:42:32pour motiver les travailleurs de santé
00:42:34à continuer leurs duties.
00:42:36Il peut y avoir un genre de spécificité
00:42:38en considération de ceux
00:42:40qui passent leurs jours
00:42:42pour sauver des vies.
00:42:44C'est le genre de motivation
00:42:46par un certain salaire.
00:42:48Je ne sais pas comment le dire,
00:42:50car cela induit
00:42:52des impacts financiers.
00:42:54Mais je suis sûr que
00:42:56si nous améliorons nos conditions
00:42:58et l'environnement
00:43:00dans lequel ils travaillent,
00:43:02c'est très important pour un médecin
00:43:04de travailler avec une technique de plateau
00:43:06qui est adéquate,
00:43:08je pense que nous pourrions
00:43:10promouvoir l'entraînement
00:43:12de ces jeunes médecins,
00:43:14et peut-être même les revenus
00:43:16d'abroad pour venir travailler
00:43:18dans notre pays.
00:43:20C'est certain que l'entraînement du cerveau
00:43:22ne peut pas être arrêté,
00:43:24mais le nombre dans lequel ils migrent
00:43:26dans d'autres pays peut diminuer
00:43:28si les mesures adéquates pour garder
00:43:30ces cerveaux sont renforcées.
00:43:32Et laissez-moi dire,
00:43:34en suivant ce rapport,
00:43:36que si vous les avez besoin,
00:43:38gardez-les,
00:43:40et le gouvernement sait
00:43:42ce qu'il prend pour garder
00:43:44La santé est une richesse,
00:43:46comme dit l'adage,
00:43:48ce qui présuppose
00:43:50qu'il y a un lien clair
00:43:52entre le stade de la santé
00:43:54dans le pays
00:43:56et sa situation économique.
00:43:58Le système d'assurance de santé
00:44:00en Cameroun est un peu
00:44:02obligatoire de cette
00:44:04connexion existentielle.
00:44:06Pour une chose,
00:44:08l'assurance de santé ici manque
00:44:10d'un framework légal,
00:44:12elle n'apporte pas
00:44:14de bénéfices à l'ensemble
00:44:16de la population.
00:44:18Et c'est là qu'il y a le plus de problèmes.
00:44:20Inside Out,
00:44:22Alphonse Abongo-Aucho
00:44:24explore l'interplay complexe
00:44:26des défis
00:44:28et des opportunités
00:44:30de l'assurance de santé
00:44:32dans le système d'assurance de santé
00:44:34en Cameroun et dit
00:44:36avec conviction
00:44:38et assurance
00:44:40que l'assurance
00:44:42qui était supposée
00:44:44être un saviour pour la plupart des gens,
00:44:46en particulier les moins privilégiés,
00:44:48a plutôt
00:44:50devenu un dilemme
00:44:52pour les Camerooniens aujourd'hui.
00:44:54Sur la hiérarchie
00:44:56de l'index de développement
00:44:58humain des Nations Unies,
00:45:00HDI, la santé apparaît
00:45:02à la position supérieure.
00:45:04Cela suggère que chaque pays
00:45:06qui conduit sur la route
00:45:08d'un développement humain
00:45:10doit exercer plus de pression
00:45:12sur un pédale d'accélération
00:45:14appelé accès à la santé
00:45:16pour sa population.
00:45:18L'assurance de santé est donc
00:45:20l'un des outils clés
00:45:22pour atteindre ce but.
00:45:24Certaines personnes pensent que l'assurance de santé
00:45:26est un privilège.
00:45:28Ce n'est pas un privilège,
00:45:30c'est une nécessité.
00:45:32Un personnel qui n'est pas en bonne santé
00:45:34ne peut pas être productif.
00:45:36C'est une entreprise qui est sûre
00:45:38de sa productivité.
00:45:40Un travailleur qui vit à la maison
00:45:42avec sa femme malade
00:45:44et qui n'a pas d'argent pour acheter
00:45:46un paracétamol pour calmer la température
00:45:48ne peut pas être productif au travail.
00:45:50Mais quand tu sais que ta femme est malade,
00:45:52que tes enfants sont malades
00:45:54et qu'ils peuvent être traités
00:45:56sous l'assurance de santé,
00:45:58tu vas travailler avec moins de stress.
00:46:00L'assurance de santé conventionnelle
00:46:02couvre un grand domaine
00:46:04comme la consultation,
00:46:06l'hôpitalisation,
00:46:08la pharmacie,
00:46:10l'analyse laboratoire, l'ambulance
00:46:12et même l'évacuation.
00:46:14Le ministère de la Santé a défini un paquet
00:46:16et le syndicat national pour les médecins
00:46:18a aussi défini un paquet.
00:46:20Cela, pour le ministre,
00:46:22est adéquat
00:46:24pour les hôpitaux de gouvernement,
00:46:26des hôpitaux de districts
00:46:28jusqu'aux hôpitaux de référence.
00:46:30Le paquet pour le syndicat national
00:46:32est adéquat pour les hôpitaux privés.
00:46:34Les experts pensent que,
00:46:36sur le papier,
00:46:38le Cameroun a une politique d'assurance de santé
00:46:40appuyante,
00:46:42mais l'écosystème est toujours affamé
00:46:44avec plusieurs troublés
00:46:46car la réalité, dans certaines zones,
00:46:48raconte une autre histoire.
00:46:50Nous avons une politique d'assurance de santé
00:46:52très bien structurée
00:46:54qui, malheureusement,
00:46:56n'est pas consommée par la majorité.
00:46:58La couverture de l'assurance de santé
00:47:00est un résultat
00:47:02d'une pénétration faible
00:47:04de l'assurance.
00:47:06Aujourd'hui, le marché est moins de 10 % couvert.
00:47:08Dans certaines corporations publiques et parapubliques du pays,
00:47:10la politique d'assurance
00:47:12est décrite comme épileptique.
00:47:14Les personnes complaignent
00:47:16qu'elles doivent souvent vendre
00:47:18leurs dépenses de soins de santé
00:47:20et cela,
00:47:22reluctantement.
00:47:24L'assurance fonctionne aujourd'hui.
00:47:26L'assurance fonctionne aujourd'hui et demain,
00:47:28mais ce n'est pas bon.
00:47:30Vous êtes demandé de dépenser votre argent
00:47:32pour une réforme plus tard.
00:47:34Vous dépensez pour acheter des lumières
00:47:36pour vous-même et vos enfants
00:47:38et cela prend six mois pour qu'ils récompensent votre argent.
00:47:40Parfois, les documents
00:47:42se perdent dans un bureau.
00:47:44Par expérience,
00:47:46les personnels couverts par l'assurance de santé
00:47:48trouvent le processus simple
00:47:50quand ils arrivent à l'hôpital.
00:47:52En ce qui concerne l'assurance législative,
00:47:54le pays n'a pas encore
00:47:56sa propre législation indépendante.
00:47:58Le Cameroun n'a pas sa propre législation d'assurance.
00:48:00Le Cameroun utilise
00:48:02une législation d'assurance communautaire.
00:48:04C'est un code similaire qui est appliqué
00:48:06dans d'autres 15 ou 16 pays.
00:48:08Le Cameroun est l'un d'entre eux.
00:48:10C'est un code que nous utilisons qui couvre
00:48:12toutes les activités d'assurance,
00:48:14inclusivement l'assurance de santé.
00:48:16Dans certaines institutions de santé publique,
00:48:18il y a des gaps d'informations entre les patients
00:48:20qui bénéficient de l'assurance.
00:48:22Dans les hôpitaux,
00:48:24seulement 10 % des Camerooniens
00:48:26sont censés avoir de l'assurance de santé.
00:48:28Les experts pensent qu'il reste
00:48:30de l'espace pour l'amélioration
00:48:32si le gouvernement prend sa responsabilité.
00:48:34La destination dans ce domaine
00:48:36dans le Cameroun est encore loin
00:48:38et cela couvre
00:48:40pour atteindre son niveau.
00:48:42La population attend expectativement
00:48:44d'obtenir la réparation
00:48:46du pouvoir.
00:48:48Le Cameroun est un pays
00:48:50qui est en train d'obtenir
00:48:52une réparation des pouvoirs.
00:48:54Alphonse Abonguache est là
00:48:56avec la parodie
00:48:58de l'assurance de santé
00:49:00au Cameroun.
00:49:02La couverture de la santé universelle,
00:49:04la plus récente couverture
00:49:06de la distribution de soins de santé au Cameroun,
00:49:08est maintenant en train d'entrer
00:49:10dans le débat pour construire
00:49:12des Camerooniens
00:49:14à l'aide de l'assurance.
00:49:16C'est un schéma
00:49:18dont l'objectif
00:49:20est d'assurer
00:49:22que tout le monde
00:49:24ait accès aux soins de santé
00:49:26de qualité basique,
00:49:28malgré
00:49:30leur statut socio-économique
00:49:32et leur location géographique.
00:49:34C'est un schéma
00:49:36dont l'objectif
00:49:38est d'assurer
00:49:40que tout le monde
00:49:42ait accès aux soins de santé
00:49:44de qualité basique,
00:49:46malgré
00:49:48leur statut socio-économique
00:49:50et leur location géographique.
00:49:52Les anthropologistes de la santé
00:49:54considèrent cela
00:49:56d'une grande importance
00:49:58au Cameroun,
00:50:00particulièrement envers
00:50:02les coûts élevés
00:50:04nécessaires aux citoyens
00:50:06pour atteindre leurs objectifs de santé.
00:50:08Une fois
00:50:10holistiquement et concrètement fonctionnels,
00:50:12la couverture de la santé universelle
00:50:14triggera
00:50:16un tournant rapide
00:50:18dans le pays et deviendra
00:50:20le changeur du jeu
00:50:22dans le système d'accès aux soins de santé du pays.
00:50:24Cela,
00:50:26vous le dites,
00:50:28Butuslos Samba,
00:50:30conduira au gouvernement
00:50:32à faire le tour,
00:50:34plutôt que simplement
00:50:36de faire le tour.
00:50:38Le gouvernement a marqué les mots avec les actions
00:50:40quand, en avril 2023,
00:50:42l'une des couvertures de la santé universelle
00:50:44a été lancée à Manjou,
00:50:46dans l'Ouest.
00:50:54L'objectif de cette première phase
00:50:56est de pouvoir atteindre
00:50:586 millions de Camerooniens en 2025.
00:51:00Et maintenant, nous avons
00:51:024 millions de pré-arrivés et 3 millions
00:51:04de bénéficiaires.
00:51:06Et nous avons donc fait un certain nombre d'années.
00:51:08Le fait qu'il y ait un schéma
00:51:10ne signifie pas que tout le monde
00:51:12peut aller à l'hôpital
00:51:14et recevoir de la santé de qualité
00:51:16gratuitement, tout de suite.
00:51:18Tout d'abord, vous devez vous inscrire
00:51:20à la couverture de la santé universelle
00:51:22en utilisant vos documents d'identification
00:51:24à un poste de pré-enregistrement
00:51:26ou en ligne sur la plateforme électronique
00:51:28Cameroon Health Coverage,
00:51:30après lequel vous recevrez un carte.
00:51:32Une fois ceci fait,
00:51:34pour l'instant, un seul groupe de personnes
00:51:36peut accéder aux gains
00:51:38en tant que première phase
00:51:40de la couverture de la santé universelle
00:51:42pour les enfants de moins de 0 à 5 ans,
00:51:44les femmes enceintes, la tuberculose,
00:51:46les maladies de HIV et la dialysie.
00:51:48Et ce sont seulement quelques maladies
00:51:50considérées comme problèmes de santé publique.
00:51:52C'est une différence remarquable
00:51:54entre les patients en dialysie.
00:51:56Avant, ils devaient payer
00:51:585 000 CFA francs pour chaque session de dialysie,
00:52:0040 000 CFA francs par mois
00:52:02et 520 000 francs
00:52:04pour la dialysie hémorragique par an.
00:52:06Aujourd'hui, ils n'ont plus besoin
00:52:08de payer tout ça.
00:52:10Avec la couverture de la santé universelle,
00:52:12ils payent un impôt de contribution sociale
00:52:14de 15 000 CFA francs
00:52:16à un centre de dialysie
00:52:18pour obtenir une dialysie gratuite
00:52:20chaque année.
00:52:22Quand on payait la dialysie,
00:52:24j'étais aussi en train de faire
00:52:26mon test monétaire
00:52:28et d'acheter mes drogues.
00:52:30Donc, maintenant qu'ils ont réduit
00:52:32la charge de la dialysie pour nous,
00:52:34c'est une bonne chose pour moi
00:52:36parce que ça m'a vraiment aidé.
00:52:38Je peux acheter une drogue pour 5 000 CFA francs.
00:52:40Le problème, c'est le problème des blocs.
00:52:42Ce n'est pas vraiment facile.
00:52:44Le prix du bloc est trop cher.
00:52:46Pour améliorer
00:52:48l'agenda de santé ambitieux,
00:52:50le gouvernement a introduit
00:52:52des vouchers de santé
00:52:54pour les femmes enceintes.
00:52:56Avec seulement 6 000 CFA francs,
00:52:58elles ont accès à des services prénataux
00:53:00qui sont attendus
00:53:02pendant la délivraison.
00:53:04Dans le cas d'une section C,
00:53:06elles sont intitulées
00:53:08à un soutien gratuit
00:53:10avec seulement un voucher de 6 000 CFA francs.
00:53:12Et après la délivraison,
00:53:14pendant la postpartum,
00:53:16les femmes ont reçu des visites
00:53:18jusqu'à environ 42 jours plus tard.
00:53:20Les vouchers de santé sont disponibles
00:53:22dans 5 régions,
00:53:24exténdant vers les régions nord-ouest et sud-ouest
00:53:26cette année.
00:53:28Les régions nord-ouest et sud-ouest
00:53:30ne sont pas les seules régions
00:53:32à être atteintes.
00:53:34Le premier phase de la couverture de la santé universelle
00:53:36targete 6 millions de personnes.
00:53:38Environ 4 millions ont été enregistrées.
00:53:40Le défi d'enregistrer
00:53:42beaucoup d'autres est réel.
00:53:44Lorsque le premier phase s'arrête en 2025,
00:53:46le gouvernement travaille
00:53:48à améliorer la couverture
00:53:50afin d'assurer que chacun,
00:53:52irrespective du statut socio-économique
00:53:54et de la location géographique,
00:53:56s'assure de la sécurité du gouvernement
00:53:58et de ses choix de soins de santé et d'options.
00:54:12L'utilisation de la médecine traditionnelle,
00:54:14en particulier dans le domaine pharmacologique,
00:54:16est à l'augmentation mondiale.
00:54:18Le monde développé
00:54:20a trouvé des moyens
00:54:22d'améliorer
00:54:24l'économie
00:54:26grâce à des plans
00:54:28d'intégration robustes.
00:54:30Il semble y avoir
00:54:32un grand défi
00:54:34pour les pays développés
00:54:36de réaliser ces gains
00:54:38grâce au plus grand accès
00:54:40et à l'exploitation
00:54:42de la médecine traditionnelle,
00:54:44qui, paradoxalement,
00:54:46supplie la plupart
00:54:48des populations locales.
00:54:50Grâce au stigma négatif
00:54:52de cette forme de médecine,
00:54:54l'intégration de la médecine traditionnelle
00:54:56dans le système de délivrage
00:54:58de soins de santé formel
00:55:00continue de souffrir
00:55:02beaucoup de critiques.
00:55:04Même si la plupart des questions
00:55:06posées pour affirmer
00:55:08le statut semblablement inadéquat
00:55:10de la médecine traditionnelle
00:55:12et l'absolue indésirabilité
00:55:14de son intégration
00:55:16dans le délivrage
00:55:18de soins de santé formel,
00:55:20elles ne sont pas insurmontables.
00:55:22Moukwele Prince Wiladouma
00:55:24a réassassiné
00:55:26le développement historique
00:55:28de la médecine traditionnelle
00:55:30en Cameroun,
00:55:32les défis de son intégration
00:55:34dans le système
00:55:36de délivrage
00:55:38de soins de santé formel
00:55:40et l'avenir
00:55:42d'une intégration
00:55:44sustainable
00:55:46et dit que c'est crucial
00:55:48pour le gouvernement
00:55:50et d'autres partenaires
00:55:52de développer un plan
00:55:54d'implémentation plus holistique
00:55:56pour l'intégration
00:55:58de la médecine traditionnelle
00:56:00dans le système de délivrage
00:56:02de soins de santé formel.
00:56:04L'Association des pratiquants
00:56:06de la médecine traditionnelle
00:56:08en Cameroun n'est pas listée
00:56:10parmi les entités fondateurs
00:56:12pour le délivrage de soins de santé
00:56:14dans le pays,
00:56:16mais l'Association des pratiquants
00:56:18de la médecine traditionnelle
00:56:20en Cameroun
00:56:22n'est pas listée
00:56:24parmi les entités fondateurs
00:56:26pour le délivrage
00:56:28de soins de santé
00:56:30dans le pays.
00:56:32L'Association des pratiquants
00:56:34de la médecine traditionnelle
00:56:36en Cameroun
00:56:38n'est pas listée
00:56:40parmi les entités fondateurs
00:56:42pour le délivrage
00:56:44de soins de santé
00:56:46dans le pays,
00:56:48mais l'Association des pratiquants
00:56:50de la médecine traditionnelle
00:56:52en Cameroun
00:56:54n'est pas listée
00:56:56parmi les entités fondateurs
00:56:58pour le délivrage
00:57:00de soins de santé
00:57:02dans le pays.
00:57:14C'est la médecine pour l'ulcère gastrique.