Louis Vuitton 37th America's Cup Barcelona 2024 - Emirates Team New Zealand Team Story
Emirates Team New Zealand is going for their third win in a row, something no Team has been able to do in the Cup.
Transcript
00:00Nous sommes une équipe dirigée par des yachtsman, pas par des commerçants.
00:07Nous n'avons jamais perdu l'esprit du but principal de l'American Cup.
00:11A ce jour, il n'y a jamais eu de manque de désir et de motivation pour gagner.
00:23Je m'appelle Kevin Shoebridge et je suis chef d'opérations à Emirates Team New Zealand.
00:27L'American Cup est difficile à gagner car c'est un défi multifacété.
00:32C'est un jeu technique, c'est un jeu d'avion, et c'est un jeu d'équipe et d'équipe.
00:39Et ça prend souvent plusieurs efforts pour que tout soit bien aligné.
00:48Quand nous avons commencé dans les années 80, nous étions les nouveaux enfants sur le bloc.
00:53Nous n'avons pas compris ce que nous n'avions pas compris.
00:55Nous ne savions rien.
00:56Et nous étions sur un chemin d'accident pour essayer d'être compétitifs.
01:00Les grandes leçons apprises de la première campagne, c'était le développement constant.
01:04C'était une nécessité que nous n'avions pas réalisée à l'époque.
01:09Nous avons sauté ce bateau, le KZ-7, le premier jour à Fremantle.
01:11Je ne pense pas que nous l'avons changé jusqu'au dernier jour.
01:13Et maintenant, nous ne passons pas un jour sans changer quelque chose.
01:15L'American Cup 1995, vous avez gagné.
01:18L'American Cup 1995, pour moi, c'était la première des équipes vraiment fortes qui sont sorties de la Nouvelle-Zélande pour l'American Cup.
01:23Si la Nouvelle-Zélande garde cette position, l'American Cup va venir à la Nouvelle-Zélande.
01:27C'était une grande campagne.
01:29C'était une de ces campagnes où, dès le début, vous saviez que vous étiez sur quelque chose.
01:33L'American Cup est maintenant l'American Cup de la Nouvelle-Zélande.
01:39Après la victoire de la Nouvelle-Zélande en 1995,
01:41j'ai eu l'occasion d'entraîner sur le terrain.
01:43Le processus de désign s'est remonté à un autre niveau.
01:46Nous étions en train de conduire la vague de la Nouvelle-Zélande.
01:49C'est noir pour l'avenir.
01:51Le 2 mars 2000.
01:53L'histoire de l'Haraki Golf.
01:57La faillite de 2003,
01:59il y a beaucoup de façons d'arrêter ça.
02:022003, c'était une époque très jeune.
02:04C'était une époque où l'équipe n'avait pas beaucoup d'expérience.
02:07C'était une époque où l'équipe n'avait pas beaucoup d'expérience.
02:10Ça faisait de la gare.
02:11On pouvait pas réussir à le faire.
02:132003, une équipe très jeune.
02:15Ils étaient relâchés.
02:17C'était la pire chose dans l'épreuve.
02:19Je regardais la montagne à l'eau
02:20Je regardais la montagne à l'eau
02:21et les câlins se démonter.
02:22et les câlins se démonter.
02:23Comme un pied de jeu.
02:25C'est juste pris !
02:26Le problème avec ça,
02:27on est allés dans l'épreuve de 2007
02:29et on a presque pris cette bagarre avec nous.
02:31Ils sont de retour et ils sont en línea
02:33pour couler la tente.
02:352007, une des décisions clés
02:37c'est que tout devait être reliable.
02:39Ça peut être détrimental pour votre performance.
02:41New Zealand est en train de descendre !
02:43Alinghi ! Alinghi va y arriver !
02:45En 2007, on a dû perdre encore une fois pour prendre un autre pas.
02:50Même la campagne de 2013 à San Francisco,
02:53à un moment donné, nous nous sommes restrits.
02:56Nous voulions que le bateau soit au sommet pour notre première course,
02:59et c'était le cas.
03:00Nous sommes sortis et nous avons basicament battu tout le monde.
03:03Mais nous étions juste sur cette piste lente, légère.
03:06La ligue est maintenant à 150 mètres,
03:09et il y a une minute et demie, c'était à 30 mètres.
03:12Je me souviens toujours, même quand nous étions bien en avant,
03:15que ce soit 6 ou 7 courses,
03:17je pensais que nous étions en trouble.
03:18Nous aurions dû le voir venir avant de le faire.
03:20Dean Barker, Ray Davies et leur équipe sont des hommes classiques.
03:23Vous n'allez jamais les rencontrer.
03:24Ça va s'agrandir pour Emirates Team New Zealand.
03:27Les étoiles et les étoiles disent tout.
03:29Le retour de 2013.
03:32Nous devions avancer plus fort.
03:34Nous sommes revenus ici et nous sommes retournés dans notre étoile.
03:40Nous avons décidé que nous allions vraiment, vraiment pousser la technologie,
03:43prendre plus de risques.
03:46Nous avons décidé de ne pas aller à Bermuda et d'entraîner avec tous les autres équipes,
03:49et nous sommes restés ici, dans notre propre patch.
03:51Nous avons développé le design et la construction du simulateur,
03:54et l'idée de la puissance de moto.
03:58Nous nous sommes attachés à cela,
03:59et nous avons décidé que c'était une des choses
04:01pour lesquelles pourquoi ne pas le faire.
04:02Pourquoi ne pas faire quelque chose qui offre 30 ou 35 % de plus de puissance ?
04:07Nous avons installé une petite chambre,
04:09à l'intérieur d'une chambre,
04:10qui avait un padlock et un code pour l'entraîner,
04:12alors que peu de gens le connaissaient,
04:14et nous avons travaillé sur cela.
04:16C'était l'un des grands secrets.
04:18Honnêtement, c'était un an et demi, ce secret.
04:21Une fois développé, nous l'avons mis directement sur notre bateau de course.
04:24Le bateau a été lancé.
04:25Il était trop tard pour que personne n'arrive.
04:28C'est un équipement unique,
04:30avec les cyclistes qui pédalent tout leur temps.
04:35L'innovation est clé,
04:36et l'innovation a toujours existé dans la Coupe des Etats-Unis.
04:38Si vous retournez à Team Nouvelle-Zélande,
04:40ou à l'histoire de la Challenge de Nouvelle-Zélande,
04:42ou même à l'époque de Fremantle, au milieu des années 80,
04:44vous savez, nous avions le 12 mètres de fibreglace,
04:46qui n'avait jamais été fait avant.
04:50Cette innovation a toujours existé,
04:52mais elle a vraiment pris un saut quantique
04:54une fois que nous sommes arrivés à la génération 4L.
04:58Il y a eu plus d'innovation, je dirais,
05:00dans les 10 dernières années,
05:01qu'il n'y avait probablement pas dans les 100 années précédentes
05:03de la Coupe des Etats-Unis.
05:05Maintenant, dans la Coupe que nous avons gagnée
05:07il y a quelques années,
05:08pour moi, c'était le meilleur événement de l'équipe,
05:10parce que c'était un effort de design incroyable.
05:13C'était un effort technique incroyable
05:15pour le construire,
05:16pour le maintenir,
05:17pour le naviguer.
05:18Il y avait beaucoup de départements
05:19qui étaient intriqués dans ce bateau
05:21qui a gagné cette course.
05:23La Coupe des Etats-Unis reste
05:25la Coupe de Nouvelle-Zélande.
05:28Jusqu'à ce jour, la Coupe des Etats-Unis
05:29concerne l'équipe qui peut faire
05:30toutes les petites choses correctement,
05:31pas une seule balle de silver,
05:32et c'est ce qui sera le cas
05:34à Barcelone à ce moment-là.
05:36Je pense que la Coupe des Etats-Unis sera géniale
05:39et elle sera très difficile à gagner,
05:41et je ne dis pas ça juste
05:42parce qu'on est les défenseurs.
05:44Pour gagner la Coupe des Etats-Unis,
05:45on ne peut pas laisser aucune pierre sans tour.
05:47Tout doit être correct.
05:49On ne peut pas juste avoir les meilleurs navigateurs
05:50dans le deuxième meilleur bateau.
05:51On doit avoir les meilleurs équipes
05:52dans le deuxième meilleur bateau.
05:53On doit avoir un peu de chance.
05:55Tout ça,
05:56en même temps.