Geoffroy Lejeune : «La force dominante à gauche c’est Mélenchon»

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Le journaliste Geoffroy Lejeune était ce vendredi 30 août dans l'émission Ca se dispute sur CNEWS. «La force dominante à gauche c’est Mélenchon. Le reste sont des satellites soumis à Mélenchon», a-t-il taclé.

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Transcript
00:00la force principale, la force dominante à gauche aujourd'hui, ça peut changer, mais c'est Mélenchon, c'est la France insoumise, le reste c'est les satellites
00:08qui sont soumis à Mélenchon et qui sont peut-être, parce qu'ils ont l'occasion de mettre quelqu'un à Matignon, en train de se décrocher un peu.
00:14Voilà, donc c'est pour ça que quand elle dit la gauche aujourd'hui, elle a raison de parler de Mélenchon.
00:17Donc elle parle de Mélenchon et donc il ne faut pas réduire la gauche à Mélenchon.
00:20D'accord, très bien.
00:21Maintenant sur le fond de ce qu'elle dit, dis-moi qui sont tes victimes et je te dirai qui tu es.
00:27Il faut observer le comportement de la gauche quand il y a des affaires comme ça et qu'on doit les commenter.
00:31La gauche, au moment de... Attends, attends.
00:34La gauche, au moment d'Éric Comine, n'a rien dit.
00:37Oui, oui, je sais.
00:38La gauche dont je parle.
00:39Elle a dit deux, trois choses, mais elle n'a pas dit de choses fortes.
00:42Attends, je vais venir à ce qu'elle a dit.
00:43La gauche de la France insoumise, la gauche de Mélenchon, etc., au moment d'Éric Comine, n'a rien dit.
00:49On n'a rien trouvé à dire.
00:51Quand la policière qui rentrait en 2021 dans son commissariat à Rambouillet a été assassinée par un djihadiste,
00:57la gauche n'a rien dit.
00:59Mélenchon n'a rien dit.
01:00A l'époque, ça avait fait du polémique à l'époque.
01:02Attends, attends, j'ai pas fini.
01:03Quand...
01:04On ne peut pas réduire le débat à les filles, quoi, parce que je pense que là-dessus, en plus, on est d'accord,
01:08on est censés se disputer, mais...
01:09Non, on commente, mais sauf que c'est important, parce qu'aujourd'hui, la majorité des voix de gauche,
01:14elles vont dans ce parti.
01:15Non, c'est pas vrai.
01:16C'est pas vrai.
01:17C'était pas vrai au premier tour de la législative, c'est pas vrai.
01:20Au moment de Crépole, la gauche a dit, attention, il y aura des ratonnades de revanche.
01:27Mais le petit Thomas, qui est mort à Crépole, la gauche s'en foutait complètement.
01:30Et quand par hasard...
01:31Le fait est qu'il y a eu des groupuscules.
01:32Bien sûr, mais c'est ça qui a intéressé la gauche.
01:34C'est pas un gamin qui est allé faire la fête avec ses copains, qui s'est fait assassiner par des voyous qui venaient de l'autre côté.
01:39Non, mais ça, c'est important.
01:40Et quand la gauche parle, et la gauche a parlé, tu as raison, un peu, la gauche de Mélenchon a parlé,
01:46cette semaine, on a Pablo Piovivien, on a Clémentine Autain, qui dit, attention, attention,
01:52comme elle s'appelle, Lucie Castex, attention, ce sont des faits divers, gardons la tête froide.
01:57C'est Clémentine Autain qui a dit ça.
01:58Lucie Castex n'a pas dit ça.
01:59Si, elle a dit ça.
02:00Non, elle n'a pas dit ça.
02:01Elle a dit, la police et la justice manquent de moyens.
02:04Alors, on pourrait critiquer en disant...
02:06Elle a dit ce que je dis.
02:07Elle a dit, attention, il faut garder la tête froide, on ne va pas légiférer à chaque fois, etc.
02:15Sous-titrage Société Radio-Canada

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