Hardtalk :Jimmy Jean-Louis Recoit Lyndsey Collen et Sateeanand Biltoo_0

  • il y a 2 semaines
́́ : ́ ’ ? Cet enjeu doit être au centre des préoccupations électorales si nous voulons garantir l’autosuffisance alimentaire de la population à court, moyen et long terme. Car si nous continuons à importer plus de 75 % de ce que nous consommons, le risque d’aller vers un désastre socio-économique est réelle. Ce sujet sera au centre de notre Hardtalk cet après-midi. Pour en débattre Jimmy Jean-Louis accueille : (i) Lyndsey Collen, dirigeante de la Lalit. et (ii) Sateeanand Biltoo Président de l’Agricultural Allied Industries and other Unions. A suivre d’autres interventions dont : (a) Kreepalloo Sunghoon, président de la Small Planters Association. Rendez-vous ce mercredi entre 17h30 et 19h00 sur Top FM. Vos questions sur le 213 7777 Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36 Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV.

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00:01:27C'est un tel schéma économique. Donc, qui se regarde de l'autre côté sur cette question de sécurité alimentaire? Lindsay Golen,
00:01:37on le connaît, elle travaille beaucoup pendant plusieurs années, l'eau s'adresse là, qui se regarde de l'autre côté?
00:01:43On le connaît, nous nous trouvons qu'il est bien important pour tout pays dans le monde, étant donné qu'un pays a une souveraineté,
00:01:51qui a un degré d'indépendance ou de souveraineté alimentaire. Ça veut dire que ce pays-là est capable, pas tellement d'être autosuffisant,
00:02:01mais il est capable d'être débrouillé en tant qu'un pays. Et nous, on le connaît, quand on utilise ça longtemps, beaucoup de gens ne comprennent pas
00:02:11l'importance. Mais en fait, nous avons un peu de sens avec ce qu'ils nous apprennent. Depuis les dernières élections, et puis il y a eu une autre élection
00:02:21qu'on m'a encadré. Mais depuis les dernières élections, pour Vinzicastella, nous avons eu une pandémie, la COVID, qui a été un peu comme un warning.
00:02:31Une révélatrice. Oui, et les partis ont tellement eu une épidémie grave en termes de mortalité, par exemple. Alors, c'était contrôlable.
00:02:40Mais ça nous a donné l'idée qu'il y a une crise de la santé. Et avec un peu, on dirait, la concentration de la population qu'on a dans le monde un peu partout,
00:02:54et comme je disais, nous poussons toutes les autres spécies dans une place de plus en plus serrée, nous avons ce phénomène d'augmentation de la possibilité
00:03:04d'avoir une épidémie, une pandémie. Alors, nous avons un warning qui est capable d'arriver. Mais là, nous avons un autre warning avec la guerre
00:03:12à l'Ukraine. Ça veut dire qu'il n'y a qu'une seule fois qu'on réalise qu'il pousse un tas de blé avec de l'huile cuisson, produit par ces pays-là.
00:03:21L'Ukraine et la Russie. Quand la Russie est en conflit avec l'OTAN comme ça, tous les deux, il y a un problème de production et de destruction.
00:03:29Et ça en a l'effet ici et partout dans le monde. Et là, troisièmement, quand il y a ce génocide qui peut aller dans... qui Israël peut perpétrer là, contre les Palestiniens,
00:03:40nous avons cette espèce de gouvernement routier qui ne peut pas attaquer un navire qui est ciblé pour soutenir ce génocide.
00:03:49Qui est installé à la Cour internationale et qui finit par dire qu'il est plausible qu'il y ait un génocide. Alors, vous pouvez agir d'une façon avec la force morale quand vous faites ça.
00:03:59Et les autres pays peuvent quand même bloquer ça. Mais là, nous ne trouvons pas d'autre façon de faire les choses. Alors, manger, c'est toujours plus cher.
00:04:09Et qu'est-ce qui est important pour une société indépendante, là, Jimmy? Supposer que nous avons un bon système quand il y a à assez grande échelle une production alimentaire, en général.
00:04:22Production alimentaire à assez grande échelle. Ça veut dire que quand il y a une crise comme ça, et là, dans la période de la guerre, moi je trouve que tous les deux,
00:04:32partout dans l'Amérique, il y a eu des élections, la période de la guerre avec la Chine, ça pose un problème immense, le fournissage de manger partout dans le monde.
00:04:42Si on a déjà une bonne base, c'est impossible, là, pour commencer à faire des séances. Alors, nous avons besoin d'une bonne balance entre,
00:04:54qui nous fait causer, hein, nous fait causer des choses comme maïs, du riz, pommes de terre, fruits à pain, toutes des choses qui sont dans cette catégorie-là.
00:05:03Pour l'exercice, normalement, nous faisons assez bien pour le moment. Ça aussi, il y a un problème. Mais normalement, ça, production locale, pas mal. Côté légumes, pas mal.
00:05:13Mais côté poisson, la plupart importent. Alors, nous avons à côté l'élevage pour gérer. Nous, il n'y en a presque du tout. Et les autres, là, il n'y en a pas pour peine.
00:05:23Alors, comme je l'ai dit, nous pouvons imaginer une forme de production pour la plantation, l'élevage et la pêche, plus sur l'industrie, préservation, transformation, et aussi pour l'exportation dans la région, pour qu'il y ait une devise.
00:05:37Nous pouvons imaginer, comme je l'ai dit, qu'il y a un moteur pour créer ce travail, parce qu'il y a beaucoup de gens qui, encore, ont une connaissance de la plantation.
00:05:46Dans Rodrigue, il y a beaucoup de connaissances. Mais dans Maurice aussi, dans l'île Maurice, il y en a 21 dans l'âge. Et il y a un peu 20 qui, après, dans les autres parents, qui ont une connaissance qui, là, ne peut pas se mélanger avec la connaissance scientifique et moderne.
00:06:01Et faire production, là, est un assez grand laissé pour local et aussi pour l'exportation et en préparation pour cette crise qui vous venez là.
00:06:13D'accord. Et Satyannan Biltou, président du Comité mondial de l'Agriculture, Allied Industries and Other Unions, qui regarde, pour toi, cette question de sécurité alimentaire?
00:06:25Vous connaissez d'abord, moi, une des premières choses que vous nous demandez, là. Maintenant, nous sommes dans une chose politique, une élection, et qui programme un parti politique bien implémenté pour qu'il soit capable de faire face à sa sécurité au cours de la vie, là.
00:06:45Et nous payons beaucoup de ressources, mais nous avons des ressources humaines, nous avons la terre disponible, et nous sommes capables de produire pour ne pas dépendre de l'importation.
00:06:59Qu'est-ce que nous pouvons produire? Nous pouvons produire de la nourriture. Vous connaissez, moi, quelque chose que nous consommons dans nos risques. Nous importons et nous payons des vises. Nous payons des vises avec l'attribution de l'Europe. Toute la population va souffrir avec ça.
00:07:14Nous ne sommes pas capables de pallier cette situation-là qu'avec l'augmentation du salaire. Alors, nous devons trouver une alternative. Quelle alternative pouvons-nous trouver? Nous devons produire ce que nous mangeons. Il y a des normes qui nous permettent d'évaluer, en termes d'argent, l'importation de la nourriture. Il y a des normes.
00:07:33Alors, les premières affaires que nous devons faire, nous devons diminuer nos dépendances sur l'importation et nous devons trouver que le coût de frais peut augmenter. Et comme Mme a dit, s'il y a une pandémie, à ce moment-là, la population peut souffrir, être vulnérable.
00:07:53Pour sortir de cette situation-là, les premières affaires qu'un parti politique doit implémenter, qu'ils doivent amener comme modèle pour qu'ils soient capables de produire ce qu'ils mangent.
00:08:08Est-ce qu'il y a un modèle qui existe et qui est capable de résoudre le problème?
00:08:13Oui, s'il nous faut 70, 80, jusqu'à 2 000. Quand nous avons une exploitation et une importation, nous devons faire la balance. Parce que nous devons produire assez. Nous devons produire beaucoup.
00:08:30Et nous devons produire moins les affaires que nous consommons, la culture ouvrière. Pourquoi devons-nous produire moins? Nous avons une faible implémentation des politiques décisionnaires. Nous devons avoir des gens qui aient accès à la terre, comme on le disait.
00:08:52Nous devons avoir assez d'équipements logistiques pour que les gens qui sont dans la plantation soient capables de produire de la terre. Et quand nous avons accès à la terre, comme on l'a dit, nous avons une très petite terre qui est notre terrain. C'est notre terrain loué.
00:09:11Et c'est notre génération de plantiers qui est là. C'est notre planterie vieillissante. Les jeunes ne peuvent pas rentrer. Quand un jeune rentre dans le business, dans le travail ou dans la plantation, la première chose qu'il doit faire, c'est qu'il doit faire une carrière là-dedans.
00:09:32Et pour faire sa carrière là-dedans, s'il n'a pas la même terre, qu'est-ce qu'il peut faire? Comme vous le savez, il prend un terrain de propriété à un court terme. Ce n'est pas deux ans, trois ans. Ou bien il fait un cycle et il retourne au terrain là-dedans. Il y a plein de raisons pour les jeunes de ne pas rentrer. Mais par contre, dans la disponibilité de la terre qu'il y a autour de vos rues, vous ne trouvez pas tous les bétonnets.
00:09:57Si vous avez une bonne partie de la terre à quatre coins de l'île, vous mettez ça à long terme à disposition des jeunes pour faire un business. Vous connaissez les jeunes, vous êtes éduqués aujourd'hui. Vous avez beaucoup de techniques. Vous êtes à l'université, vous êtes à suivre cours dans Faray et vous êtes capables de développer des techniques de production. Et ça, le business, c'est pour rentable. Mais le plus gros problème, c'est qu'ils n'ont pas un bon accompagnement et ils n'ont pas accès à la terre. C'est la raison pour laquelle.
00:10:23– On retrouve Lindsay pour répondre à sa question de l'accès à la terre. Parce que depuis très longtemps, ça nous demande une démocratisation. Ça, je trouve, M. Biltou, un point très important, c'est cette question de bétonnage. Ça peut y aller depuis un certain nombre d'années. Tous les gouvernements qui sont venus sont un peu prisonniers de cela.
00:10:43Mais est-ce qu'il n'est pas possible, l'unité de bonne l'intérêt fait-il qu'ils convertissent en bâtiments? Est-ce qu'il n'est pas possible, impose le gouvernement, impose un certain minimum, par exemple, quand on demande une conversion, là, on va prendre l'exemple de 100 repas, il impose un minimum qui disait que 20% allait pour la sécurité alimentaire.
00:11:03C'est-à-dire que ça devient une obligation. Il ne faut pas dire qu'il y a une commandière, bon vouloir Michela, bon vouloir Mme la, Mme la baronne, ça devient une obligation. Comment pensez-vous de cela?
00:11:14Oui, il est bien important. Là, nous pouvons l'apprécier, là, dans un sens comment dire grand l'échelle. Ça, c'est important. Vous connaissez, pendant la Deuxième Guerre mondiale, quand il y a eu un bel problème navire qui s'est circulé dans les derniers trois ans,
00:11:30il y a eu un gouvernement colonial britannique qui a mis en place une loi qui a mis tout l'établissement à côté et a tiré les repas qui étaient sous cultivation pour la sécurité alimentaire, pour la production alimentaire.
00:11:46Dans l'époque de la Deuxième Guerre mondiale.
00:11:48Deuxième Guerre mondiale.
00:11:49Et là, vous savez, quand on fait un travail à la base, alors n'importe quel endroit dans la campagne ou dans le Maurice, on peut dire, ah, tu plantes du riz là-bas longtemps. Dans chaque endroit, il y a une place que vous connaissez, l'établissement, tu plantes du riz.
00:12:01Il y a du riz et du maïs. Là, on peut dire, si vous avez un peu de blé, vous pouvez faire du pain pour ajouter de la farine à l'eau.
00:12:09Mais ça, c'est une réponse qui est encore aujourd'hui, en fait, par les grands propriétaires d'établissements, ces cinq grands conglomérats là, comme on dit, Omnicain, LTE, il y en a Terra, il y en a ENL, Médine, ces cinq-là, plus tous les établissements.
00:12:28Encore, il y en a quatre pour milliers d'enfants. Nous disons, imaginez que vous preniez un engagement. Premièrement, dites-moi, vous-même, est-ce que vous pouvez prendre un engagement, mettre 20 % ou bien 30 % dans la production alimentaire?
00:12:44Ça veut dire les productions, pas se planter, mais se transformer, se préserver. C'est-à-dire, servir les affaires. Il y a encore des moulins, il y a encore des structures, il y a des cimées, il y a de l'électricité, tout ça, il y en a encore là.
00:12:58Pour qu'ils puissent, on dirait, dans l'industrie, il y a des affaires qui restent, qui peuvent être exportées ou bien gardées pour quand besoin.
00:13:07Ça, c'est une façon importante. Et s'ils ne sont pas d'accord pour faire ça, dans l'établissement, il y a le gouvernement qui doit imposer. Et si le gouvernement ne fait pas ça, les peuples vont l'obliger à faire ça.
00:13:19C'est la peine à manger, à part les maîtres. Les maîtres ne sont pas là pour créer de la mange, ils peuvent créer d'autres. Ça veut dire qu'ils vont l'obliger à faire ça de toute façon, à la longue.
00:13:27Mais c'est dans l'intérêt de l'établissement.
00:13:30C'est dans l'intérêt. Et là, nous venons de ce côté économique. Tout le temps, tu me disais, il ne faut pas faire profit, c'est l'établissement qui peut le faire. Enfin, ce n'est pas tout à fait vrai.
00:13:41Parce que quand on est bien gâté à cette ère-là, l'État peut mettre en subvention une immense quantité d'eau. Immense.
00:13:51Il paie les gens pour les replanter. Pas eux. Il paie les gens pour les tenir ici. Il les paie. Il les ajoute à la maison. 25 000 ou quoi que ce soit.
00:14:02Et comme je disais, indirect plus encore. Il y a une immense dépense d'entreprises comme l'Industrial Authority qui, on dirait, font tout.
00:14:14Ils préparent s'il y a un cyclone ou bien l'incendie pour les cannes. C'est là où il y a l'assurance.
00:14:20Il y a une présence, il y a un logement pour l'installation, comme on dit.
00:14:24Il ne faut pas attendre là-bas. C'est à peine pour les souffler, ou bien pour l'alcool rouge, ou bien le maïs.
00:14:31C'est à peine pour mettre en subvention, nourrir. Parce qu'il existe pour la production électrique, il y en a ça.
00:14:37Ils stockent les produits avant de les vendre. L'État. Vraiment. Et l'État, il les met en bateau.
00:14:47Parfois, il les prend ici. Depuis le Brésil, il n'y a rien qui manque ici pour un contrat. Il les met reverse dans le vrac.
00:14:54Et il y a toutes les qualités, les subventions qui s'utilisent ici.
00:15:01Et en même temps, le gouvernement prend beaucoup l'os avec les subventions importations tirées de la farine.
00:15:08Alors quand nous disons qu'il n'est pas rentable, nous disons qu'on dirait...
00:15:14Il est relatif.
00:15:15Oui, il n'est pas économique pour le grade 4, pour le quatrième dans la primaire, non.
00:15:20Non, il n'y a pas d'économique.
00:15:22La macroéconomie.
00:15:23Oui. Vraiment, ce qui peut arriver, c'est qu'il y a une immense subvention.
00:15:27Et ce n'est pas juste une subvention, c'est la raison de tout ce que l'on peut dire.
00:15:33Ça veut dire qu'il y a un mécanisme qui amasse, qui désallie.
00:15:40Le dérocking, par exemple, pour le canne, l'irrigation, pour le canne. Tout ça, il y a une association.
00:15:47Et tout à l'heure, je dirais, dans la Deuxième Guerre mondiale, il y a eu une immense diversification agricole, pendant un temps,
00:15:55mais aussi plus récemment, il ne fait que ça avant ce programme-là,
00:15:59l'établissement est plus ou moins obligé par le gouvernement de donner une entreligne,
00:16:05quand il y a un nouveau canne qui est plantée chaque six ou sept ans,
00:16:09pour, soit ils aiment les planter, l'établissement, maïs, les haricots rouges, pommes de terre,
00:16:17toutes sortes d'affaires, tu peux planter, et oignons, toutes sortes d'affaires,
00:16:22ou bien tu peux donner une plantée qui est dans le coopératif. Et ça, c'est régulier.
00:16:28Et en fait, il y a eu une étude faite par MSIRI, qui montrait qu'il n'y a pas nécessairement un nouveau canne chaque six ans,
00:16:36on est capable d'organiser l'irrigation, tout, pour coster de la ligne canne.
00:16:41Entraînée.
00:16:42Oui, la plante est entraînée chaque année, ça veut dire qu'avant la canne tout flouillée,
00:16:46il y en a beaucoup qui sont capables de finir et de la récolter.
00:16:49Alors ça, c'est pour optimiser la manière dont est servie la terre.
00:16:54Et si le gouvernement veut mettre tant pour 100 tasses de terre là-dedans, dans la production alimentaire,
00:17:01il doit le faire pour sa façon aussi.
00:17:04Mais ces affaires-là, ce serait un dernier point, ces affaires bétonnages-là,
00:17:10moi je crois que c'est un vrai arrêt d'un permis pour toutes sortes d'affaires villas.
00:17:15Tu sais quand tu vends la terre comme ça, tu peux vendre-la une fois, une fois pour toutes.
00:17:20Oui, moi non plus.
00:17:22Quand tu vends-la, c'est pire, mais quand tu vends-la aussi, ce n'est pas bon.
00:17:25Si c'est pas bon, s'il y a un terrain golf, on dirait qu'on peut faire une place pour un des gens riches jouer.
00:17:32Quand on connaît l'école primaire-gouvernement, ça n'a pas besoin d'avoir plein de football.
00:17:38On peut faire une place pour les enfants jouer, on peut créer une place pour les gens riches venir jouer.
00:17:44C'est un style de développement qu'on peut faire, qui entrave ce qui est nécessaire pour ce pays-là.
00:17:52Dimitri, j'aimerais tout le temps avoir une position d'obligation.
00:17:56On soulève ces affaires bétonnages-là, c'est ce que j'aimerais dire.
00:17:59Je trouve que c'est une très bonne contribution.
00:18:01Cette question d'avoir une obligation, d'avoir une conversion pour les barons secrétaires,
00:18:07pour les gros propriétaires terriens, qui peuvent obliger quelqu'un de la sécurité alimentaire,
00:18:12obliger à accorder une pourcentage de ce terrain-là à la sécurité alimentaire.
00:18:19Dimitri, tant qu'il m'en rappelle, dans le passé, c'était comme ça.
00:18:24Les propriétaires secrétaires avaient une obligation de mettre à disposition des gens coopératifs,
00:18:31surtout les planteurs de pommes de terre, les gens qui font l'entraînement.
00:18:34Ils avaient un terrain, et une pourcentage qu'ils étaient obligés de donner.
00:18:38C'est une loi, ça.
00:18:40Mais il ne faut pas connaître la valeur du jour et si la loi a encore existé, parce que c'est un amendement.
00:18:45Quand on dit qu'on met une obligation aux barons secrétaires,
00:18:52le gouvernement donne l'exemple lui-même.
00:18:56Je me rappelle bien, quand ils regroupent tout le terrain qui appartenait à l'État,
00:19:02ils le faisaient dans le landscape.
00:19:05Mais quand vous avez un landscape, c'est un business que vous avez.
00:19:10Et ce n'est pas avec un but que vous faites ça.
00:19:13Si vous faites ça avec un but, nous pourrons avoir un land bank,
00:19:18à ce moment-là, quand nous aurons la terre disponible, qui nous permettra de faire beaucoup de bonnes choses.
00:19:22Je vais vous donner un simple exemple.
00:19:24Nous avons un établissement innovant à Vendée.
00:19:29Dans les régions de l'île de l'Île d'Hermitage, Côte d'Or.
00:19:33Nous avons une grande quantité de terrain qui est disponible,
00:19:38mais il y a une place, on va dire, humide.
00:19:41Il y a un problème là, c'est ce reste.
00:19:43C'est-à-dire qu'il y a beaucoup de plantations.
00:19:45Mais je vous dis, quand nous pouvons aller faire des affaires,
00:19:48faire des bâtiments, nous pouvons aller dans telle industrie,
00:19:51nous pouvons développer telle affaire, nous pouvons développer telle affaire.
00:19:54Pour 1,2 millions de population, est-ce qu'il nous faut cette quantité de bâtiments-là?
00:20:00Est-ce qu'il ne nous faut pas venir dans un système où nous mettons nos îles partout
00:20:04pour que les étrangers puissent travailler contre nous?
00:20:07Et un jour, nous-mêmes, nous ne pouvons pas avoir une place, une location.
00:20:11C'est une affaire, je vous donne un exemple.
00:20:14Nous avons un grand joueur de football anglais, David Beckham,
00:20:16qui est resté à Villacôte.
00:20:19Je lui ai posé une question, comment il fallait venir?
00:20:22Et quand nous pouvons faire des affaires comme ça,
00:20:25je vous donne un autre exemple pour choquer, comme on dit.
00:20:28On peut causer la démocratisation de la terre,
00:20:30la démocratisation de l'économie.
00:20:32Est-ce que vous connaissez aujourd'hui tout ce qui nous consomme,
00:20:35tout ce qui nous consomme, qui vient de la poignée du monde sur la mer?
00:20:39Qu'est-ce qu'il y a dans nos grands supermarchés?
00:20:43Dans les conglomérats.
00:20:46On peut causer les poulets, aujourd'hui.
00:20:48Qu'est-ce qu'il y a dans nos petites maisons?
00:20:51Dans les conglomérats.
00:20:53On peut causer les maux, aujourd'hui.
00:20:55Tous les petits labos qui nous ferment, les portes, les distributeurs,
00:20:58ils faisent ça. Dans les conglomérats.
00:21:01Aujourd'hui, tout ce que nous consommons, que nous mangeons,
00:21:04vient de la poignée du monde sur la mer.
00:21:06Imaginez-vous ce que je peux vous dire.
00:21:08Pour un moment, je demande à tous les mauriciens et mauriciennes
00:21:12de réfléchir.
00:21:15C'est eux qui vont décider qui prend le pouvoir d'acheter,
00:21:17qui prend le pouvoir d'acheter,
00:21:19qui consomme le pouvoir d'acheter,
00:21:21et ils vont décider aussi.
00:21:22Je vous donne un petit exemple.
00:21:24Dernièrement, nous finons en manque de poulet.
00:21:26Est-ce que nous finons en manque de production?
00:21:31Non.
00:21:33Nous ne finons pas en manque de production.
00:21:36Des affaires, nous finons.
00:21:38Nous finons en conversion des produits poulets
00:21:41qui demandent de la force en grande quantité,
00:21:44qui sont plus chers,
00:21:45qui ne sont pas accessibles à tout le monde.
00:21:47Et deuxièmement,
00:21:50quand ce supply a diminué,
00:21:52ce qu'on a besoin,
00:21:54c'est un simple calcul,
00:21:55les prix ont augmenté.
00:21:56Regardez les prix des poulets, aujourd'hui.
00:21:58Les prix disaient comment ils étaient.
00:22:01Il y avait un monsieur qui s'appelait Diago.
00:22:03À l'époque, il représentait l'association des consommateurs.
00:22:08Il était en France.
00:22:10En Angleterre.
00:22:11En Angleterre ou bien en France.
00:22:12C'est un monsieur qui venait dans les affaires tout le temps.
00:22:14Je l'imagine.
00:22:15Il disait comment ils étaient.
00:22:17Quand il est allé en Europe,
00:22:19les prix des poulets ont augmenté.
00:22:21Tous les Européens ont arrêté les poulets.
00:22:23Le prix des poulets a diminué parce que les poulets ne continuaient pas.
00:22:26Mais ici, j'ai vu que les poulets ont diminué.
00:22:28Aujourd'hui, tout le monde peut aller à l'étagère.
00:22:32Il y a un petit peu de responsabilité pour chaque citoyen
00:22:35qui est capable de contrôler des affaires comme ça.
00:22:39Parce que c'est un système qui nous permet d'aller à l'étagère
00:22:42et de revenir au supermarché.
00:22:46Combien de publicités peuvent-ils faire ?
00:22:48Ils ne peuvent pas réduire le prix de la consommation.
00:22:52Combien de gens peuvent prendre ce pamphlet
00:22:54et l'écouter ?
00:22:55Imprimez une photo.
00:22:56Pour vous, prenez une photo d'une caméra
00:22:58et vous pouvez l'écouter.
00:22:59Ils ont fait un pamphlet pour des milliers et des milliers.
00:23:01Ils ont dit qu'ils ne pouvaient pas faire ça.
00:23:04Carrément, ils ont fait une publicité
00:23:06sur la radio même.
00:23:07Ils ont dit qu'ils ne pouvaient pas
00:23:08faire un tel produit
00:23:09au marché pendant une semaine.
00:23:10Ils n'ont pas besoin d'aller à l'étagère.
00:23:12Ils vont aller de l'autre côté.
00:23:13Ils ont réduit le prix.
00:23:14Maintenant, si on parle de sécurité alimentaire,
00:23:17on parle de l'écosystème.
00:23:19Nous pouvons dire que c'est la terre primaire.
00:23:21C'est la terre que nous devons produire.
00:23:24Et c'est la terre marginale à un moment donné.
00:23:27Si on veut faire du développement,
00:23:31nous avons toutes ces technologies
00:23:33pour faire du développement dans la terre marginale.
00:23:35C'est la terre qui nous permet de faire de la production.
00:23:37C'est la terre primaire.
00:23:39Elle nous permet de servir.
00:23:41Pour la servir.
00:23:43Parce qu'ici, il y a une pandémie.
00:23:45Ou bien une troisième guerre mondiale.
00:23:48Une situation géopolitique.
00:23:50Oui, il n'est pas loin.
00:23:52C'est une catastrophe.
00:23:54La pression peut monter des jours en jours.
00:23:56En mer de Chine,
00:23:58on trouve le problème aux Philippines et de la Chine.
00:24:00En Taïwan et la Chine,
00:24:02de nos côtés,
00:24:04même avec les problèmes pirates,
00:24:06avec toutes ces affaires-là.
00:24:08C'est une poudrière.
00:24:10Détroit poudrière.
00:24:12C'est une catastrophe.
00:24:14Quand il y a la COVID-19,
00:24:16s'il n'y a pas de bon samaritaine
00:24:18qui aide les gens,
00:24:20il y a des dégâts.
00:24:22Oui, des dégâts.
00:24:24Peut-être qu'on peut se demander
00:24:26s'il y a des affaires.
00:24:28Depuis plusieurs années,
00:24:30on est dans ce soulève-lé.
00:24:32On voit l'aspect de la production de la viande.
00:24:34Mais là,
00:24:36depuis plusieurs années,
00:24:38il y a des affaires.
00:24:40Une banque de terre, une banque de mer.
00:24:42Comment est-ce qu'on va pouvoir
00:24:44mettre ça en place?
00:24:46Je trouve que
00:24:48c'est un peu important.
00:24:50Oui, parce qu'en fait,
00:24:52quand on dit responsabilité gouvernement,
00:24:54il y a Rosebell,
00:24:56qui est capable tout le temps,
00:24:58avant Éclairère,
00:25:00qui a fait une diversification agricole
00:25:02dans sa établissement-là,
00:25:04au moins,
00:25:06pour tester ces affaires-là,
00:25:08avec la popularisation.
00:25:10Il y a aussi la CIT,
00:25:12la Landscope.
00:25:14Ils sont venus dans sa moule
00:25:16pour mousseler, pour vendre.
00:25:18Mousseler, vendre,
00:25:20et parfois bétonner.
00:25:22Juste comme on peut préparer
00:25:24pour autre chose. J'ai trouvé un
00:25:26réclame dans la Gazette.
00:25:28Altio, il peut
00:25:30mousseler la terre.
00:25:32Il dit que c'est un investissement
00:25:34de premier choix.
00:25:36Un investissement.
00:25:38Ça veut dire que l'idée,
00:25:40c'est...
00:25:42Je crois qu'on connaît vraiment,
00:25:44l'idée de banque et de land bank,
00:25:46nous peut causer des affaires bien, bien profondes.
00:25:48Ça veut dire,
00:25:50il y a, pour nous survivre,
00:25:52il y a des qualités
00:25:54propriétaires.
00:25:56Il y a des affaires, comme
00:25:58il y a des plumes, il y a de l'air,
00:26:00il y a de l'eau,
00:26:02nous savons qu'il y a ça devant nous.
00:26:04Ça, c'est pour nous une propriété privée.
00:26:06C'est pour nous.
00:26:08Mais la terre,
00:26:10c'est mince.
00:26:12Les affaires qui font partie
00:26:14de notre vie, la totalité de l'humanité,
00:26:16c'est ça.
00:26:18Il n'y a pas d'affaires qui sont capables
00:26:20proprement parlant d'une propriété privée.
00:26:22Les propriétés
00:26:24sociales. Ça veut dire
00:26:26que tout le monde dépend de l'agriculture
00:26:28avec la pêche, la terre avec la mer,
00:26:30maman boule la terre avec sa
00:26:32maman l'océan, pour nous rester vivants.
00:26:34Alors, le fait
00:26:36qu'il existe, ça veut dire
00:26:38si un grand conglomérat
00:26:40contrôle ce qu'il mange,
00:26:42ou ce qu'il plante,
00:26:44c'est mince.
00:26:46Mais nous, on ne démocratise
00:26:48pas un peu, un petit peu.
00:26:50Ce contrôle, c'est démocratique.
00:26:52La masse du monde, c'est capable.
00:26:54La démocratie,
00:26:56elle s'expande depuis sa
00:26:58on dirait petite
00:27:00carotte qui est occupée par la parlementaire
00:27:02qui n'a pas beaucoup de pouvoir.
00:27:04De plus en plus de députés
00:27:06n'ont pas de pouvoir.
00:27:08La masse du monde n'a pas de pouvoir, les députés.
00:27:10Ça veut dire qu'il y a des erreurs politiques,
00:27:12pour le moment. Mais nous, nous faisons
00:27:14un réel contrôle des députés
00:27:16et les députés contrôlent les ministres
00:27:18et les premiers ministres. Comme ça, nous faisons un visé.
00:27:20Et là-là, en même temps,
00:27:22nous faisons un contrôle des
00:27:24bases qui font partie
00:27:26de la nature,
00:27:28comme la terre avec
00:27:30semences. Tous les deux, on dirait
00:27:32que c'est pour avoir assez de production
00:27:34pour qu'il y ait la semence.
00:27:36Et pour qu'il y ait une tradition
00:27:38et une connaissance parmi la masse du monde.
00:27:40L'eau tradition agricole
00:27:42et aussi l'eau tout à fait
00:27:44moderne, comme on dirait. Parce que si
00:27:46beaucoup de monde a sa mélange tous les deux,
00:27:48alors il est bien important que tous les deux
00:27:50nous puissions vraiment
00:27:52l'eau réparer
00:27:54dans de grandes catastrophes.
00:27:56Nous mentionnons la guerre, nous mentionnons
00:27:58l'épidémie qui peut être plus souvent,
00:28:00mais il y a aussi des problèmes
00:28:02dans l'environnement.
00:28:04Quand il y a une semaine immense,
00:28:06l'inondation,
00:28:08l'incendie,
00:28:10et qu'il y a la mer
00:28:12qui commence
00:28:14à faire un flooding,
00:28:16un changement climatique,
00:28:18c'est tellement grave
00:28:20et pour empirer, il y a la guerre.
00:28:22La guerre,
00:28:24c'est-à-dire la production en environnement,
00:28:26c'est un plus grand pollueur, il faut le doubler.
00:28:28Alors, il y a
00:28:30un autre problème, c'est en général
00:28:32pour les touristes, pour les gens
00:28:34à l'étranger,
00:28:36il peut arriver qu'il y ait
00:28:38un problème moral,
00:28:40parce qu'il peut ajouter dans sa pollution,
00:28:42qui peut faire sa global warming,
00:28:44qui peut amener sa catastrophe
00:28:46climatique.
00:28:48Alors, il y a une troisième
00:28:50grande influence.
00:28:52Même si l'inondation
00:28:54n'est pas à soi-même,
00:28:56ça affecte les prix
00:28:58et le supply.
00:29:00En même temps, dans, disons, Thaïlande,
00:29:02Pakistan,
00:29:04l'Inde, il y a de l'inondation.
00:29:06Souvent, car il y a trois grands
00:29:08suppliers pour nous dire
00:29:10qu'il y a de l'inondation.
00:29:12Mais ils n'ont pas besoin d'exporter du tout.
00:29:14Ils n'ont pas besoin, parce qu'ils sont
00:29:16d'occasion pour la population.
00:29:18Oui, ils ne sont pas obligés.
00:29:20Et là,
00:29:22alors,
00:29:24je pense que c'est un point
00:29:26très essentiel.
00:29:28J'ai une question pour vous.
00:29:32Vous avez un produit,
00:29:34dans l'époque de mon grand-père,
00:29:36mon grand-mère,
00:29:38vous connaissiez quelque chose
00:29:40que vous n'aviez pas fait depuis longtemps,
00:29:42et ça m'a beaucoup aidé.
00:29:44Vous plantez un pied,
00:29:46vous l'apportez,
00:29:48vous le gardez loin.
00:29:50Pareil, vous plantez un zarricot,
00:29:52vous le gardez là,
00:29:54vous le replantez pour
00:29:56encore plus longtemps.
00:29:58Mais il n'y a pas de fruits.
00:30:00Soit, ce sémence n'est pas rapporté,
00:30:02soit,
00:30:04le raisin n'est pas dans la graine.
00:30:06Oui.
00:30:08Vous avez une banque,
00:30:10et je vais vous donner un petit mot là-dedans.
00:30:12Vous savez, tout simplement,
00:30:14vous donnez la terre là,
00:30:16il existe des places.
00:30:18Il n'y a pas besoin de faire grand recesse.
00:30:20Il existe là. Dans MSRI,
00:30:22il y a un département qui s'appelle
00:30:24OPA.
00:30:26Vous savez, c'est un grand département.
00:30:28C'est un département de ressources.
00:30:30Il est couvert,
00:30:32la totalité de la terre est couverte par des cannes.
00:30:34Il y a ça,
00:30:36et il y a les données.
00:30:38Il y a aussi
00:30:40l'ASFB.
00:30:42Il y en a aussi?
00:30:44Oui.
00:30:46Il y a aussi des données.
00:30:48Il y a aussi l'équipe
00:30:50technique
00:30:52au niveau du ministère.
00:30:54Ils travaillent ça,
00:30:56et
00:30:58ils advertisent.
00:31:00Voilà, on a tant construit la terre.
00:31:02Et je me dis,
00:31:04si vous donnez à quelqu'un
00:31:06une petite portion de la terre pour une courte durée,
00:31:08il n'est pas intéressé de faire son business.
00:31:12Si vous donnez un long terme,
00:31:14disons 15 ans, vous donnez la terre là,
00:31:16il va rentrer.
00:31:18C'est un super bon terrain.
00:31:20Si vous donnez la terre là, vous faites la plantation,
00:31:22il rentre dans le business,
00:31:24et l'investissement,
00:31:26vous retournez, en plus, il va avoir un profit.
00:31:28Il n'est pas intéressé.
00:31:30Maintenant, le plus important, c'est le site-banc.
00:31:32C'est un aspect très important qu'on touche là.
00:31:34On entend, on a un paiement,
00:31:36on gagne un salarié là-dedans pour planter.
00:31:38C'est aujourd'hui qu'il va arriver.
00:31:40C'est aujourd'hui qu'on est sous l'emprise des conglomérats encore.
00:31:44C'est aujourd'hui qu'on peut amener tout dans des affaires hybrides.
00:31:46Comme on amène des affaires hybrides,
00:31:48on n'a pas qu'une sémence.
00:31:50Il y en a qui terminent à tôt.
00:31:52C'est ça que l'industrie nous donne, par exemple.
00:31:54Je ne dis pas nationale,
00:31:56mais internationale.
00:31:58Je cite son nom.
00:32:00Monsanto.
00:32:02Un danger public.
00:32:04Un danger international.
00:32:06Monsanto, c'est cette sémence-là.
00:32:08Ils ont génétiquement modifié cette sémence-là
00:32:10d'une façon
00:32:12qui oblige tout ce produit
00:32:14d'entrer dans
00:32:16les pesticides,
00:32:18les fondicides,
00:32:20pour qu'ils
00:32:22urinalisent l'eau.
00:32:24Et,
00:32:26finalement, avec le temps,
00:32:28on a découvert Monsanto.
00:32:30Beaucoup de monde le dénonce,
00:32:32mais il va continuer.
00:32:34Aujourd'hui, nous sommes dans cette situation de Maurice.
00:32:38Et cette situation-là, on peut dire
00:32:40toujours qu'on peut
00:32:42faire quelque chose.
00:32:44Qu'est-ce qu'on peut faire?
00:32:46L'autorité ne peut pas faire assez.
00:32:48On est longtemps dans
00:32:50le ministère de la Culture.
00:32:52On peut faire des sémences,
00:32:54des haricots, des pommes d'amour,
00:32:56des maïs.
00:32:58Au MSA,
00:33:00il y a un département qui s'appelle Foodcrop.
00:33:02Là, on peut faire ça.
00:33:04On a eu l'opportunité de travailler
00:33:06avec ces gens-là.
00:33:08Et là, on a fait un hommage
00:33:10qui est un génie
00:33:12dans la production culturelle ouvrière.
00:33:14Et il s'y fait très, très bien.
00:33:16Ce moment-là aussi, ils vont couler.
00:33:18Si le gouvernement
00:33:20en veut profiter, à ce moment-là,
00:33:22il est capable d'arriver avant qu'ils nous perdent ça.
00:33:24Juste, moi, j'ai une petite pause pub
00:33:26pour faire, et il m'aurait promis de nous la parole.
00:33:28Pause pub, la suite
00:33:30de l'émission d'aujourd'hui.
00:33:32Sécurité alimentaire, défi politique
00:33:34majeur pour l'avenir.
00:33:36Avec nous en studio,
00:33:38nous pouvons écouter aussi
00:33:40Thaléa Kripalu-Songo.
00:33:52Téléchargez notre application
00:33:54Top FM Radio
00:33:56sur App Store, Play Store
00:33:58et sur aussi Huawei App Gallery.
00:34:00Top FM Live TV,
00:34:02une grande première.
00:34:04Vivez en temps réel.
00:34:06Découvrez
00:34:08notre studio,
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00:34:14en clips
00:34:16et l'info complète,
00:34:18factuelle et crédible.
00:34:36Quand vous êtes dans les montagnes,
00:34:38au loin,
00:34:40le meilleur goût vert,
00:34:42les herbes et les goûts
00:34:44offrent un goût
00:34:46deux fois plus agréable.
00:34:48Détox, maintenant fait facilement.
00:34:50Juste déposer et boire.
00:34:52Sans doute qu'ils disent
00:34:54Girnard, mon thé, mon temps.
01:03:06Voilà, de retour en studio pour poursuivre la fin,
01:03:09la suite et la fin de ce débat sur la sécurité alimentaire
01:03:13et les défis politiques à venir.
01:03:15Donc, l'autre question que Fabrice finit de se lever.
01:03:18Lindsay Golan?
01:03:20Oui, il est bien intéressant ce qu'on m'a dit,
01:03:23la négligeance dans un certain sens qui va de l'autorité
01:03:26envers l'industrie de la peau,
01:03:29parce qu'elle est bien, bien pas soignée,
01:03:32elle n'est pas gagnée d'un coup de main.
01:03:34Vous savez, quand on commence, on ne travaille pas...
01:03:37En fait, il n'est pas un seul pas gagné d'un coup de main,
01:03:40mais il est bien arrêté de cette manière artisanale
01:03:43pour faire le développement de l'industrie massive.
01:03:46Oui, faire une industrie plus grande.
01:03:48Mais il y a un autre développement intéressant
01:03:51que nous arrivons à connaître,
01:03:53il y a Mauritie qui est devenu un expert mondial,
01:03:56un grand pays qui est prenu comme un expert,
01:03:59et les Nations Unies aussi,
01:04:01en termes de l'agriculture.
01:04:03Et il y a une agriculture qui est soutenable,
01:04:08sans nouveau entrant,
01:04:10et il y a une base,
01:04:12on pense qu'il y a un bout dans la Chine,
01:04:14depuis 2000 ans,
01:04:16mais elle implique l'élevage de porcs,
01:04:19de plantations,
01:04:21et l'élevage de poissons.
01:04:23Et on dirait qu'il y a un besoin assez grand d'échelle,
01:04:28pas immense,
01:04:30mais quand on planifie ça,
01:04:32on ne peut pas dire qu'il n'y en a pas d'autres.
01:04:35Les balances sont les mêmes.
01:04:37Alors sa qualité, ça fait super,
01:04:39c'est un peu comme un village intégré aussi,
01:04:41parce que quand il y a des gens qui l'occupent,
01:04:43c'est la case construite tout autour.
01:04:45Alors vraiment,
01:04:47ici, c'est comme,
01:04:49je veux dire,
01:04:51Roderick, sa connaissance qu'il a,
01:04:54sa qualité de produit,
01:04:56Roderick, c'est extraordinaire.
01:04:58Et quand on parle de Roderick,
01:05:00on veut aussi garder un bout pour la production
01:05:03et l'industrie soutenable pour les poissons,
01:05:07dans sa 2,4 millions de mètres carrés.
01:05:13On dirait qu'il y a un kilomètre carré.
01:05:17Maurice est le 18ème plus grand pays dans le monde
01:05:21qui mesure la terre et la mer.
01:05:23Alors on veut réaliser ce récense et garder les biens
01:05:27et occuper les biens.
01:05:29Et là, nous réaliser qu'on a causé l'eau sans la mer,
01:05:32j'aime bien,
01:05:34qui nous encore là,
01:05:362024,
01:05:38et nous encore dans l'époque des colonisations.
01:05:42Ça veut dire l'eau propriété la terre.
01:05:45Nous avons le même schéma depuis l'époque esclavage,
01:05:49l'engagement,
01:05:51et le travail moderne,
01:05:54mais on dirait propriété la terre,
01:05:56des Grecs qui l'ont contrôlé,
01:05:58la terre n'est pas décolonisée du tout.
01:06:00La réforme n'est pas là du tout.
01:06:02La réforme agraire, nulle.
01:06:04L'indépendance, elle n'est plus là.
01:06:06Ça veut dire qu'il reste sa décolonisation.
01:06:08Et là, à côté de la mer,
01:06:10même si dans la cour internationale,
01:06:13Maurice contrôle l'eau Chagos,
01:06:16juridiquement.
01:06:18Nous tout le temps qu'on est sous son contrôle.
01:06:21Mais la cour indienne, c'était là,
01:06:23c'était là.
01:06:24Tout le monde connaît ce bagage,
01:06:25c'est l'Islamide qui peut dire ça.
01:06:27Mais seulement, il est encore sous domination
01:06:30et l'occupation militaire.
01:06:32Et l'occupation militaire.
01:06:34Le pays n'est pas encore libéré
01:06:37depuis la colonisation.
01:06:39Alors, on dirait que c'est des batailles
01:06:41pour contrôler démocratiquement la terre
01:06:44et pour contrôler démocratiquement la mer.
01:06:47C'est une grande bataille,
01:06:49mais c'est dans l'époque qu'on est capable de gagner.
01:06:52C'était impossible avant, oui.
01:06:54Oui, il y avait le côté palestinien.
01:06:55Vous ne vous en prenez pas compte.
01:06:57Vous ne vous en prenez pas compte.
01:06:59Mais à ce stade-là, vous pouvez souffrir.
01:07:02Vous pouvez souffrir pour un temps,
01:07:03mais tout le monde connaît.
01:07:04D'ailleurs, beaucoup de grands États,
01:07:05je ne vais pas rentrer dans ce débat-là aujourd'hui,
01:07:07alors qu'il faudra twister la solution.
01:07:11Ce n'est pas le débat du jour,
01:07:12mais certainement, même un grand État,
01:07:14même le gouvernement britannique et canadien,
01:07:19je rentre dans sa perspective.
01:07:21Oui, ça veut dire ce qu'ils m'ont dit,
01:07:23c'est un moment de décolonisation,
01:07:25une vie impossible.
01:07:26On dirait qu'on a beaucoup de crises.
01:07:28Il y a beaucoup de problèmes,
01:07:29mais il y a aussi beaucoup de possibilités.
01:07:31Une question qui est là,
01:07:33au-dessus de toutes les affaires,
01:07:34Suresh Biltou,
01:07:36ou une autre affaire, Thilapia,
01:07:38qui n'est pas trouvée là.
01:07:41Cette semaine, on a trouvé,
01:07:42au niveau de la prison de Richelieu,
01:07:44il y a eu le béret rouge
01:07:48qui n'a pas été détenu
01:07:50et qui a été fait en pisciculture là-bas.
01:07:55Mais le problème, je me pose une question,
01:07:56vous pouvez produire 50 tonnes de sa poisson là,
01:07:59mais quand vous sortez du travail,
01:08:01vous n'avez pas gagné.
01:08:02Et c'est ça que les gens qui nous utilisaient
01:08:04ont fait,
01:08:05pour sa qualité,
01:08:07pour l'industrie là,
01:08:09pour aller de l'avant.
01:08:10Des suites quand vous sortez,
01:08:11ils ont utilisé un rentable.
01:08:12Ils n'ont pas utilisé d'autres affaires.
01:08:14Là, c'est tout.
01:08:17Disons, on réforme les gens comme ça.
01:08:20Par exemple, pour rentrer dans l'agriculture,
01:08:22ou bien ce que vous pouvez dire
01:08:23dans le fish farming,
01:08:25pour réformer les gens comme ça,
01:08:27les nouveaux gens ne sont pas pour rentrer.
01:08:29Ce sont des gens là,
01:08:30pour une raison ou l'autre,
01:08:31ils ne commettent pas de petits délits,
01:08:32ils sont là-bas,
01:08:33ils ont une formation,
01:08:34ils ont envie de rentrer.
01:08:35Mais quand le gouvernement
01:08:36a besoin de prendre de l'avant,
01:08:37ils ont une mesure d'accompagnement,
01:08:39ils ont une place idéale pour faire ça.
01:08:42Je vais donner un simple exemple.
01:08:44Il y a un moulin qui a été vendu.
01:08:46On l'a dit qu'il avait un étage.
01:08:49Il était assez grand.
01:08:51Il n'a pas servi ça pour faire
01:08:53les étages de poissons.
01:08:55C'était comme un moulin fermé
01:08:56qui avait une réserve de l'eau,
01:08:59qu'il avait disponible,
01:09:00qu'il avait servi.
01:09:02Presque chacun dans sa vêtement.
01:09:03Et tous les moulins qui sont dans ce système
01:09:05de canalisation,
01:09:06les moulins amènent de l'eau.
01:09:07C'est pourquoi,
01:09:08bientôt nous prenons une émission
01:09:09très importante,
01:09:10mais je ne vais pas vous dire.
01:09:11Je vais saluer Water Rights,
01:09:13qui est un acte qui est passé,
01:09:15parce qu'il est très, très important.
01:09:17Je ne vais pas vous dire
01:09:18qu'il n'y a pas d'assessorisme.
01:09:19Il y a des moulins,
01:09:20il y a des vendeurs,
01:09:21il y a des assesseurs.
01:09:22Il y a des établissements.
01:09:23Mais seulement,
01:09:24il y a une question d'équité
01:09:25et de fairness.
01:09:26Ça, c'est très important.
01:09:28Je vais profiter de l'occasion
01:09:30de vous dire une autre chose.
01:09:32Je demande à votre autorité
01:09:34si vous êtes capables
01:09:35de créer un département de mécanisation
01:09:37pour les plantations de légumes.
01:09:41Parce que ça,
01:09:42c'est un gros souci.
01:09:43Il y a besoin d'un département.
01:09:46Aujourd'hui,
01:09:47il y a une institution
01:09:48qui peut aider.
01:09:49Mais quand même,
01:09:50pour que je puisse dire
01:09:51que vous êtes indépendants
01:09:52de ça,
01:09:54je me rappelle
01:09:55que dans les années 70,
01:09:57quand on a planté
01:09:58l'industrie criée,
01:09:59il y avait un problème là.
01:10:00Le gouvernement
01:10:01venait de l'avant
01:10:02avec le Mechanical Pool.
01:10:03Oui.
01:10:04Si c'est capable,
01:10:05le gouvernement pense de cela.
01:10:06J'ai fait un appel
01:10:07avec le ministre
01:10:08de l'Agriculture et de l'Industrie.
01:10:09Il s'est dit qu'à part,
01:10:10on travaille dans une formule
01:10:11qui crée un département
01:10:13de mécanisation
01:10:14pour les plantations de légumes.
01:10:17À ce moment-là,
01:10:18ça dit qu'on n'a pas besoin
01:10:19d'investir dans des machines
01:10:21ou bien d'entretenir
01:10:23les machines
01:10:24pour qu'elles puissent
01:10:25servir à court duré.
01:10:26On peut avoir un service
01:10:28payé
01:10:29à un prix raisonnable
01:10:31et
01:10:32on gagne
01:10:33la préparation sur la terre
01:10:35comme on l'a fait
01:10:36pour les plantations de légumes
01:10:37à temps voulu.
01:10:38Il est là.
01:10:39Vous pouvez commencer.
01:10:40Il y a Amresh qui est avec nous
01:10:41pour une question.
01:10:42Amresh,
01:10:43bonsoir.
01:10:44Bonsoir.
01:10:45Bonsoir à tous.
01:10:47Et bonsoir
01:10:48à tous nos auditeurs et auditeuses.
01:10:50On dit que
01:10:53le Mechanical Pool
01:10:56a été créé
01:10:57dans cinq villages
01:10:59dans la région d'Assassi.
01:11:02On a créé
01:11:04le Mechanical Pool
01:11:05pour tous.
01:11:06Et
01:11:07on veut qu'il y ait
01:11:08une bonne facilité
01:11:09pour faire une bonne occupation,
01:11:10pour avoir
01:11:11une bonne
01:11:12machine
01:11:13pour nettoyer
01:11:14les terrains,
01:11:15pour redresser les terrains,
01:11:16redresser la terre,
01:11:17pour pouvoir
01:11:18planter
01:11:19les légumes
01:11:20ou bien faire.
01:11:21Aujourd'hui,
01:11:22tout est fermé.
01:11:23Par exemple,
01:11:24au Québec,
01:11:25on dit
01:11:26qu'il est fermé,
01:11:27totalement
01:11:28tout est fermé.
01:11:29Le Mechanical Pool
01:11:30n'a qu'à remonter,
01:11:31il n'a juste
01:11:32qu'à remonter
01:11:33avec la
01:11:34prévention du remboursement.
01:11:35Imaginons
01:11:36une
01:11:37personne
01:11:38qui est dans
01:11:39la troisième âge,
01:11:40qui est vieille,
01:11:41qui n'est pas capable
01:11:42de marcher,
01:11:43qui n'est pas capable
01:11:44de bouger.
01:11:45Comment elle peut
01:11:46aller
01:11:47faire son application ?
01:11:48Très,
01:11:49très difficile.
01:11:50Moi,
01:11:51j'ai déjà trouvé ça
01:11:52dans beaucoup d'endroits.
01:11:53Mais
01:11:54il y a
01:11:55des gens
01:11:56qui viennent
01:11:57faire l'application
01:11:58pour mettre la ligne
01:11:59parce qu'ils ne sont pas
01:12:00capables
01:12:01de faire l'application
01:12:02pour les caravanes,
01:12:03pour les caravanes
01:12:04et pour les terrains
01:12:05pour lesquels
01:12:06il faut planter.
01:12:07Nous,
01:12:08nous faisons
01:12:09notre alimentation
01:12:10pour planter
01:12:11les légumes,
01:12:12mais aussi,
01:12:13nous faisons
01:12:14planter les légumes
01:12:15quand il arrive
01:12:16l'heure pour récolter,
01:12:17les légumes
01:12:18ils finissent
01:12:19disparaître.
01:12:20Vos légumes
01:12:21ils finissent
01:12:22de passer
01:12:23avant vous.
01:12:24Moi,
01:12:25mon voisin,
01:12:26je fais planter
01:12:27en plantes pistaches.
01:12:28Moi,
01:12:29j'ai l'heure
01:12:30pour récolter.
01:12:31Je fais bien
01:12:32planter.
01:12:33Vous voyez ça?
01:12:34Je fais bien planter
01:12:35cette Sic.
01:12:36C'est bien
01:12:37bon.
01:12:38Il y a aucun
01:12:39seul bateau
01:12:40pour le tour de Sic
01:12:41dont il ne faut
01:12:42pas planter la pistache.
01:12:43Trop.
01:12:44Pistache,
01:12:45c'est génial.
01:12:46Aujourd'hui,
01:12:47d'où vous me voulez,
01:12:48malgré
01:12:49que je vous ai
01:12:50facilité,
01:12:51je vais vous
01:12:52mettre en caméra.
01:12:53Caméra là,
01:12:54je peux venir
01:12:55plus vite.
01:12:56Mais, on ne peut
01:12:57pas avoir une bonne
01:12:58sécurité
01:12:59et travailler
01:13:00sur ces bois
01:13:01Et Maurice est un des 21 qui donne des ressources, beaucoup.
01:13:07Il n'est pas nécessaire à l'impôt, ce n'est pas comme des terres, à l'impôt des oignons.
01:13:12Il donne beaucoup de ressources naturelles. Il n'y a pas à planter.
01:13:16Mais nous payons ça, il faut qu'il y ait un peu de hard-working.
01:13:22Volontairement hard-working, nous payons ça.
01:13:25Aujourd'hui, il n'y a pas d'hydrogène, d'aquaponique, des affaires faciles.
01:13:30Mais pour pouvoir travailler là-dessus, il faut travailler depuis Margas,
01:13:38depuis l'Inde, depuis la Philippine, depuis la Bangladese,
01:13:43pour pouvoir travailler dans nos quartiers.
01:13:45Aujourd'hui, pour implanter un canne, il y a beaucoup de cannes pour faire de l'école.
01:13:50Et il y a le Mauritien. Le Mauritien parle des cannes.
01:13:54C'est pour qu'il y ait des mécanismes.
01:13:57Il faut des mécanismes là aussi.
01:14:00Avant, il y avait beaucoup de cannes.
01:14:03Malgré une coopérative ou pas d'une coopérative,
01:14:07tout ça, il y avait des gens qui disaient,
01:14:09« Guiti, comment implanter une canne ? Est-ce qu'il n'y avait qu'à faire plusieurs cannes ? »
01:14:14Tout ça, ils disaient, Guiti.
01:14:17Après, nous prenons l'exemple de Rodrigue.
01:14:20Je vous dis qu'à mon âge, Rodrigue, là-bas,
01:14:23Rodrigue n'a jamais été assis à la poudre d'huile.
01:14:27Moi, il y a deux ans, j'ai été assis à la poudre d'huile.
01:14:31Les étagères ont rempli la poudre d'huile.
01:14:34J'ai été assis à la poudre d'huile,
01:14:37et je me suis dit, je ne vais pas assis à la poudre d'huile.
01:14:39J'ai dit, « Qu'est-ce que tu vas faire ? »
01:14:40Parce qu'à chaque fois qu'il y a une avalche,
01:14:44je gagne de la poudre d'huile et je fais de la poudre d'élevage.
01:14:49Je vous apprends l'exemple de Rodrigue.
01:14:51Rodrigue, c'est un modèle d'un côté agriculteur.
01:14:55Malgré que ce n'est pas bien facilité pour l'irrigation,
01:14:59mais seulement d'un côté agriculteur,
01:15:02c'est bien, bien, bien développé.
01:15:04Vous gagnez tout, vous gagnez l'oignon, vous gagnez tout.
01:15:08Ce que vous pensez, vous pouvez récolter.
01:15:10Mais pourquoi pas Mauritius ?
01:15:12Mauritius, c'est un peu plus grand.
01:15:14Il y a des ressources beaucoup.
01:15:16Mais ma chance, c'est qu'il y a une certaine passivité là.
01:15:20Pourquoi pas retourner dans la plantation ?
01:15:25Justement, quand il y a un travail,
01:15:28il y a un travail dans le gouvernement,
01:15:31il y a un travail dans l'assistement,
01:15:33il n'y a aucune satisfaction.
01:15:37Il n'y a pas de trappes.
01:15:38Il y a plus de trappes,
01:15:39il y a plus de trappes grasses,
01:15:41pour lesquelles il faut planter,
01:15:43et non.
01:15:45Et ceci nous inquiète le gouvernement,
01:15:47parce qu'il nous faut
01:15:49plus de prix,
01:15:51de l'équipement,
01:15:53pour qu'ils puissent travailler,
01:15:55pour planter,
01:15:57pour qu'ils puissent le faciliter.
01:15:59Et voilà.
01:16:01D'accord.
01:16:02Merci Amrèche,
01:16:03pour le témoignage,
01:16:04on connaît le sujet assez bien,
01:16:06de manière à proposer,
01:16:07est-ce que tu aurais envie de réagir ?
01:16:09Oui, je ne suis pas le porte-parole du MCI,
01:16:11mais quand même,
01:16:13je voudrais faire reconnaître
01:16:15qu'il y a la place
01:16:17qui est dans le FSI de Solitude,
01:16:20qui est en rénovation,
01:16:22mais juste à côté d'un bâtiment commercial,
01:16:25et là, le FSI a ouvert un bureau,
01:16:29et il est ouvert 5 jours, 6 jours de la semaine,
01:16:32pour planter,
01:16:34pour trioler,
01:16:36et on a un problème,
01:16:38de coupe-cane, etc.,
01:16:41et il y a déjà une coopérative,
01:16:44avec le MCAF,
01:16:46en collaboration avec le MCIA,
01:16:49et on a récolté,
01:16:51ce qui nous permet de planter.
01:16:53Mais là-dedans, il y a un petit problème,
01:16:55vous savez, dans quelques années,
01:16:57le gouvernement est venu avec une initiative,
01:17:00pour faire un regroupement pour les planter.
01:17:02Alors, si on a des murs sur la terre,
01:17:04d'autres là-dedans sur la terre,
01:17:06à ce moment-là,
01:17:08mais si tout ça est sur la terre,
01:17:10il faut qu'il y ait un grand bloc,
01:17:12pour faire une plantation,
01:17:14on prend un bloc,
01:17:16une grande aisselle,
01:17:18une aisselle pour mécaniser,
01:17:20pour faire la coupe,
01:17:22pour faire tout,
01:17:24et le bloc qu'il y a,
01:17:26pour gagner la quantité
01:17:28Malheureusement, le planter n'est pas venu d'avant,
01:17:30avec ce regroupement-là,
01:17:32et on a fait une courroie au gouvernement,
01:17:34pour prendre la terre, etc.,
01:17:36c'est totalement faux,
01:17:38et on a refait une demande,
01:17:40avec l'autorité,
01:17:42qui relance ce regroupement-là,
01:17:44et on encourage le planter à rentrer dans le regroupement,
01:17:46et ils sont capables de faire un service.
01:17:48En ce qui concerne,
01:17:50comme je vous l'ai dit,
01:17:54les récolteurs MCAF,
01:17:56ce n'est pas dans tout le terrain,
01:17:58qu'ils sont capables de faire,
01:18:00il y a un type de récolteuse,
01:18:02qui est là,
01:18:04dans l'essai,
01:18:06dans l'avenir,
01:18:08qui est capable de faire encore plus facilement,
01:18:10et de ce côté-là,
01:18:12il y a pas mal de choses,
01:18:14mais je peux vous rassurer,
01:18:16tous les centres FSI,
01:18:18qui sont pas si opérationnels,
01:18:20après 2012,
01:18:22ils ont dit qu'ils étaient opérationnels,
01:18:24et qu'ils étaient capables,
01:18:26à la base, d'avoir un service.
01:18:28Il y a des affaires,
01:18:30c'est qu'il y a une cause,
01:18:32le modèle Rodriguez,
01:18:34très important,
01:18:36en termes d'autosuffisance,
01:18:38et deuxièmement,
01:18:40une autre cause,
01:18:42c'est les jeunes,
01:18:44le manque de main-d'oeuvre,
01:18:46travail, bureau,
01:18:48et ainsi de suite.
01:18:50Comme tu l'as dit,
01:18:52je trouve ça drôle,
01:18:54c'est une autre réalité,
01:18:56quand l'établissement
01:18:58peut remettre les travailleurs d'en haut,
01:19:00dans sa série
01:19:02VRS,
01:19:04Voluntary Retirement Scheme,
01:19:06je l'appelle ça,
01:19:08mais il n'est pas trop volontaire,
01:19:10c'est difficile pour mettre les gens d'en haut,
01:19:12ils ont besoin de l'argent,
01:19:14de la terre,
01:19:16de l'emploi,
01:19:18et là-bas, beaucoup ne peuvent pas
01:19:20travailler pour le patron,
01:19:22ça veut dire que c'est une cause
01:19:24pour laquelle ils ne sont pas contents de travailler la terre,
01:19:26mais il y a une autre cause,
01:19:28comme je l'ai dit,
01:19:30comme je l'ai dit, il y a une platitude
01:19:32qui ne peut pas réfléter la réalité
01:19:34tout à fait. Ce que je connais
01:19:36pour mon lecteur de l'histoire,
01:19:38c'est la classe de dirigeants,
01:19:40ça veut dire surtout l'établissement,
01:19:42ils ont tout le temps dit
01:19:44qu'ils n'avaient pas de main-d'oeuvre,
01:19:46comme je l'ai dit, un refrain,
01:19:48c'est-à-dire que l'esclavage, l'engagement,
01:19:50vient d'eux-mêmes.
01:19:52Et dans ce cas-là, je pense qu'il y a plus
01:19:54de gens qui travaillent à l'étranger
01:19:56dans les autres pays d'en haut,
01:19:58que de gens qui viennent à l'étranger
01:20:00ici.
01:20:02Et chaque statistique me paraît être
01:20:04la raison.
01:20:06Ça veut dire qu'il y a des Mauritians
01:20:08qui travaillent au Canada.
01:20:10C'est vrai.
01:20:12C'est vrai.
01:20:14Il y a un garçon,
01:20:16il y a quelques semaines de cela,
01:20:18il sort du Canada,
01:20:20un ou deux jours, il retourne en Mauritie,
01:20:22il se suicide.
01:20:24Je ne comprends pas.
01:20:26Non, c'est bien difficile.
01:20:28Je connais assez beaucoup de gens qui travaillent
01:20:30et qui restent illégaux dans la France.
01:20:32Mais c'est la vie.
01:20:34C'est l'enfer.
01:20:36C'est l'enfer.
01:20:38On dirait que beaucoup de gens,
01:20:40en termes de travail, font beaucoup de travail.
01:20:42Alors, ce problème-là,
01:20:44c'est à quel point il y a des affaires idéologiques.
01:20:46Et ce n'est pas très facile pour les gens qui travaillent
01:20:48quand ils ont besoin de travailler.
01:20:50C'est une courroie
01:20:52que tout le monde connaît
01:20:54à travers un espèce
01:20:56de réseau camarade.
01:20:58Même quand j'ai fini l'école,
01:21:00j'ai aimé aller dans le caravane.
01:21:02Je connais que ça me l'a fait prendre.
01:21:04On dirait qu'il y a une réalité sociale.
01:21:06Tout le monde sait qu'il peut aller travailler
01:21:08à l'usine. Quand je deviens 13-14 ans,
01:21:10je vais prendre l'âge de naissance
01:21:12d'une grande cousine,
01:21:1414-15 ans, et elle travaille.
01:21:16On dirait que le patron
01:21:18connaît que je viens travailler.
01:21:20Le travailleur connaît que j'arrive là-bas.
01:21:22Mais aujourd'hui, c'est une courroie cassée.
01:21:24La seule manière
01:21:26de pouvoir travailler
01:21:28facilement, c'est à travers
01:21:30un contrat d'emploi
01:21:32ou un
01:21:34roulement,
01:21:36spécialement pour les esclaves modernes,
01:21:38qui permettent d'arriver d'un autre pays
01:21:40Je peux prendre du monde ici pour travailler
01:21:42dans l'hôtel de l'Amérique.
01:21:44Je travaille tout ça,
01:21:46dans un petit hôtel de l'Amérique.
01:21:48Il y a beaucoup de monde qui me connaît.
01:21:50Je peux y aller
01:21:52pendant 19-20 ans.
01:21:54Alors ça, il y a un problème.
01:21:56Nous essayons de décipher
01:21:58et de résoudre ce problème-là.
01:22:00Il y a du monde qui a envie de travailler là-dedans.
01:22:02Et il y a un deuxième problème
01:22:04qui est de soulever le vol.
01:22:06Mon camarade
01:22:08Il y a un problème grave.
01:22:10Mais ça aussi...
01:22:12Il y a du monde qui plante piment.
01:22:14Maintenant, il y a 500 pieds de piment là.
01:22:16Avec ce piment, avec ce pied, avec tout.
01:22:18C'est incroyable.
01:22:20Et il y a des choses qui, on dirait,
01:22:22ça aussi, il y a des choses qui les méritent.
01:22:24C'est une mobilisation populaire
01:22:26qui fait que du monde connaît
01:22:28qu'il n'est pas acceptable de faire ça.
01:22:30Pas par ces répressions.
01:22:32Il y a des choses qui rentrent là-dedans.
01:22:34Alors moi, je crois
01:22:36qu'il y a une époque
01:22:38où, en fait, beaucoup de monde peut travailler
01:22:40dans une place où il n'y a pas de droit politique
01:22:42pour mettre l'eau.
01:22:44Ça veut dire, on dirait,
01:22:46ils pouvaient, comment dire,
01:22:4810% travailler en Mauritie pour sortir de l'autre pays.
01:22:50Lorsque ce droit politique,
01:22:52il n'y a presque rien.
01:22:54N'importe quand, on peut mettre de l'eau.
01:22:56Là-bas, en Mauritie, il n'y a plus que ça.
01:22:58Là-bas, il faut un parti du monde
01:23:00dans l'Italie, la France, la Irlande,
01:23:02le Canada, pour travailler
01:23:04dans des conditions...
01:23:06C'est un Mauritien qui peut utiliser
01:23:08un bateau croisé là-bas.
01:23:10Parce qu'il y a un erreur qu'il fait
01:23:12dans l'hôtellerie, il amène une politique
01:23:14de bas salaire.
01:23:16Il raide du monde. Il exploite du monde.
01:23:18Ils ont une préface qui dit
01:23:20qu'il y a du monde qui cligne dans l'hôtel
01:23:22qui peut gagner un petit salaire.
01:23:24C'est ce qu'il peut gagner dans ce sens.
01:23:26À l'époque, un manager de la banque,
01:23:28il pouvait gagner ça.
01:23:30Et la question
01:23:32volée là, je vais vous faire un appel
01:23:34avec le gouvernement.
01:23:36Vous savez qu'il vous a dit aussi à la loi.
01:23:38Un dimanche,
01:23:40il coquine
01:23:4210.000 rupees.
01:23:44Un volet là,
01:23:46disons qu'il a payé
01:23:48en amont, puisqu'il a reçu pas trois mois de prison.
01:23:50Et un volet là,
01:23:52qui coquine
01:23:54légumes.
01:23:56Vous vous avez calculé sa plantée là.
01:23:58Il a planté, il passe trois mois
01:24:00pour faire sa plantation là.
01:24:02Il a soigné sa plante légume là.
01:24:04Il n'est pas venu coquiner
01:24:06ou aller.
01:24:08Je crois que la loi vous aime bien dire ça.
01:24:10Quand le magistrat prend la position
01:24:12de condamner un dimanche pour voler légumes,
01:24:14il prend en considération
01:24:16sa coût et sa quantité
01:24:18de peine qu'il a planté.
01:24:20Il a une faire pour planter sa légume là.
01:24:22Il peut coquiner, il peut y aller.
01:24:24Et à ce moment-là, qu'il soit capable
01:24:26de courager. Mais c'est vrai qu'au bout d'un jour,
01:24:28il y a un petit drogué avec une petite famille.
01:24:30Vraiment, il y a un gros problème.
01:24:32Oui, il y a un problème.
01:24:34Ça veut dire qu'il est lié au problème de la drogue.
01:24:36Moi aussi, je trouve ça.
01:24:38Le problème de la drogue est lié
01:24:40à la peine d'emploi
01:24:42qui convient à tout le monde
01:24:44pour entrer là-dedans.
01:24:46Parce qu'il y a une zone alliée.
01:24:48Nous pouvons arriver
01:24:50à la fin de l'émission. Je vous donne
01:24:52trois minutes, peut-être,
01:24:54pour résumer le débat
01:24:56parce que
01:24:58c'est la province centrale
01:25:00pour suivre
01:25:02les provinces centrales
01:25:04dans la campagne électorale
01:25:06à venir. Je trouve que c'est ce qui peut arriver
01:25:08déjà dans l'Amérique lors de la question
01:25:10dans l'Amérique des États-Unis,
01:25:12dans la campagne actuelle, qui est capable
01:25:14de dire, qui conseille et qui l'appelle
01:25:16aux dirigeants.
01:25:18Pour implémenter
01:25:20toutes les recherches et
01:25:22toutes les données qu'on a
01:25:24dans l'agriculture,
01:25:26nous devons prendre
01:25:28des décisions très fermes
01:25:30pour qu'ils soient capables d'implémenter
01:25:32tout pour le succès.
01:25:34Et là, pour terminer, je voudrais dire une chose
01:25:36qui ne peut pas être causée,
01:25:38vertical gardening.
01:25:40C'est un processus très important
01:25:42si nous discutons là-dedans,
01:25:44qu'il ne faut pas faire aucune émission là-dedans.
01:25:46Et je dirais que le gouvernement, à travers Farey,
01:25:48est capable d'encourager
01:25:50vertical gardening pour les gens qui paient
01:25:52ou bien pour les gens qui ont fait un part-time job.
01:25:54Ils sont capables de bénéficier
01:25:56d'un grant pour faire
01:25:58un lancer, un sheltered farming
01:26:00sur le toit de la maison.
01:26:02Et ça aussi,
01:26:04c'est le cas pour ces gens-là eux-mêmes
01:26:06et c'est le cas pour les pays.
01:26:08Moi, je suis un peu contente, mais...
01:26:10Est-ce que la lutte en première position
01:26:12par rapport au canastique, un moment,
01:26:14je t'ai dit, remplace le canastique
01:26:16par un produit alimentaire, un produit
01:26:18de consommation. Est-ce que cette position
01:26:20changera la lutte?
01:26:22Non, non. Encore quoi, il ne faudrait pas
01:26:24traiter le canastique comme quelque chose
01:26:26qui est tellement sacré ou pas capable de tout ça.
01:26:28Nous avons remarqué qu'il y a une paix.
01:26:30Physiquement, il y a une paix.
01:26:32Quand on nous dit comme ça,
01:26:34il y a un fausse établissement
01:26:36pour planter des produits alimentaires
01:26:38aux 20, pas 30% sur la terre.
01:26:40Il y a une paix qui commence à trembler
01:26:42quand on nous dit ça.
01:26:44C'est pas capable de dire ça, c'est pas capable d'écouter ça.
01:26:46Mais moi, j'ai fait l'appel à la partie politique
01:26:48pour mettre ça, pas juste dans notre programme
01:26:50en écrit, dans notre campagne,
01:26:52qui est d'obliger
01:26:54la production de manger ici pour garder le prix bas,
01:26:56pour garder la planète
01:26:58à un prix stable,
01:27:00et pour nous protéger contre un avenir
01:27:02bien, bien, bien dangereux pour un pays
01:27:04aussi,
01:27:06comment dire, dépendant
01:27:08de nos importations qui vont recéder.
01:27:10Et deuxième côté,
01:27:12la paix pour organiser
01:27:14l'industrie de la paix.
01:27:16On dirait avec un batteur
01:27:18qui occupe la région
01:27:20et qui prend une famille paissière
01:27:22qui désaccorde la paix
01:27:24pour travailler. Alors nous, nous en faveur,
01:27:26on dirait une grande entreprise
01:27:28obligée d'aider
01:27:30dans sa transition.
01:27:32Pas à battre la
01:27:34typisation, mais essayer de faire
01:27:36une démocratisation
01:27:38dans un grand
01:27:40l'espace, la terre
01:27:42et la mer. Et comme on dit,
01:27:44on part dans un processus
01:27:46de décolonisation.
01:27:48Très, très important.
01:27:50C'est un discours sur la décolonisation
01:27:52et nous pétons encore
01:27:54une petite parenthèse de trouver
01:27:56avec joie la décision
01:27:58qu'il prend pour
01:28:00ne pas détenir
01:28:02nos territoires,
01:28:04travailler
01:28:06les Sri Lankais
01:28:08qui peuvent être mis en prison
01:28:10les Américains. Ils auraient pu être dominés
01:28:12par un gouvernement là-bas.
01:28:14Et voilà, moi me remercie pour
01:28:16votre présence cet après-midi.
01:28:18Lindsay Colin, dirigeante de la LIT
01:28:20Satya Nand Miltu, aussi connue
01:28:22comme Suresh Miltu, président de l'Agricultural
01:28:24Allied Industries and
01:28:26Urban Union et également
01:28:28intervenant qui fait
01:28:30une
01:28:32intervention remarquable.
01:28:34Merci.
01:28:36On vous retrouve vendredi pour sept sur sept.
01:28:38Bonne soirée.
01:28:40Sur les ondes de Top FM.
01:28:42Merci.

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