Deux femmes ont été reconnues coupables de complicité de diffamation publique ce jeudi 12 septembre pour avoir diffusé des rumeurs transphobes sur Brigitte Macron. Elles ont été condamnés à une amende de 500 euros assortie de sursis. Elles devront également verser 8.000 euros en réparation à Brigitte Trogneux - le nom de jeune fille de la Première dame - et 5.000 euros à son frère Jean-Michel Trogneux.
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00:00Cette affaire sur les fausses rumeurs colportées via internet sur Brigitte Macron, les deux youtubeuses qui ont affirmé dans une vidéo que la première dame était une femme transgenre, ont été reconnues coupables de complicité de diffamation publique et condamnées entre 5000 et 8000 euros de réparation.
00:18Elles vont faire appel, c'est ce qu'elles ont annoncé. Écoutez les avocats des deux parties.
00:23La décision qui est parfaitement conforme, c'est pas une victoire, c'est l'application de la loi. Et ce qui est important, c'est que ces propos qui sont parfaitement fantaisistes ont fait l'objet de reprises, et depuis quelques mois de reprises dans le monde entier.
00:37Et nous avons maintenant instruction de poursuivre systématiquement, tant en France qu'à l'étranger.
00:43Natacha Ray, qui j'estime est victime d'une justice républicaine de style francard, va bien sûr faire appel de la décision. Nous irons devant la cour de cassation s'il le faut.
00:59Nous formerons des inscriptions de faux, nous ferons la procédure complète pour que Natacha Ray puisse rentrer dans ses droits, en espérant que d'ici là, on puisse rétablir un fonctionnement normal dans cette justice républicaine qui aujourd'hui dysfonctionne complètement.