Véronique Jacquier, journaliste et Paul Melun, écrivain, débattent autour du procès des viols de Mazan.
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00:00Gabrielle a raison, elle a bien entendu raison sur la prégnance du culturel,
00:06voilà, dans le fait que certaines femmes malheureusement sont massacrées,
00:09il n'y a pas d'autre mot.
00:10Cela dit, je voudrais vous citer le mot de Camus,
00:12un homme, ça s'empêche, voilà.
00:15Et ça résume tout, finalement.
00:16C'est-à-dire que oui, s'il ne s'empêche pas,
00:19s'il n'est pas bien éduqué, s'il n'est pas civilisé,
00:21eh bien malheureusement, on a la noirceur que l'on voit aujourd'hui
00:24et ça existe depuis la nuit des temps.
00:25Donc Karim Rizoli, en soleil, dit quelques banalités
00:28et il devrait relire Camus.
00:30Je suis un peu dure, mais c'est comme ça.
00:32Pour répondre à Gabrielle Penet sur les féministes,
00:33pour juste, je suis d'accord avec ce qu'elle dit,
00:34mais juste une nuance, pas toutes les féministes.
00:36Encore une fois, il y a des féministes, par exemple,
00:38Élisabeth Badinter, Caroline Fourest,
00:40qui ont eu des propos assez clairs, me semble-t-il,
00:42dans leur condamnation universelle.
00:44Pas dans la... Encore, c'est la même chose.