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00:00Cameroon est en quatrième position des marketeurs de coco au monde.
00:24Il a atteint le prix supérieur de 5200 francs par kilogramme.
00:28Un triomphe de style, d'incentif gouvernemental et de dévotion.
00:37L'émergence d'un phénomène de marquage et de meurtre dans la ville de Douala
00:42qui préoccupe les habitants et les forces de sécurité.
00:45Donc, les sylloges suggèrent la vigilance, la surveillance intense et la sécurité.
00:52Et les cyclistes de Cameroon sont tous amoureux du sport.
00:56A la troisième édition de la Côte d'Ivoire Cycling Tour,
00:59le triomphe de la S&H Véloclub monte la scène après la course du 7ème
01:04en prenant la première place générale.
01:07Ce sont les nouvelles de la 7h30. Merci d'avoir regardé.
01:10Je suis Esther Kima.
01:12Le modèle de coco de Cameroun est impressionnant
01:15avec le pays qui occupe maintenant la quatrième position
01:18dans le marché du coco mondial.
01:20Les experts disent que son prix actuel est attribué
01:23à la libéralisation du secteur.
01:26Cela a permis aux producteurs de travailler vers la production qualitative et quantitative
01:31avec des incentives gouvernementales qui augmentent les coûts.
01:34Prince Will Mukode Aduma rapporte que,
01:36alors que les conditions climatiques ont affecté les cultivateurs étrangers,
01:40les Camerooniens ont été résilients.
01:44Il y a du coco, il y a du coco Cameroonien
01:47qui est en train de se développer à travers le monde,
01:50qui a brisé toutes les barrières de la norme et des marchés.
01:535 000 CFA francs par kilogramme.
01:56Le coco rouge,
01:58seulement Cameroun a ce color
02:00après avoir processé les bouteilles de coco.
02:02Toutes les entreprises de processage de coco au monde entier,
02:05nous avons Cargill, nous avons Barry Calbo, nous avons Mars, nous avons Nestlé.
02:09Ils sont en train de courir après l'origine de Cameroun
02:12à cause de ce goût et de ce color.
02:14Le Côte d'Ivoire, le Côte d'Ivoire,
02:16avec 2 millions de tonnes,
02:18c'est le Côte d'Ivoire,
02:20le Côte d'Ivoire,
02:22le Côte d'Ivoire,
02:23le Côte d'Ivoire,
02:24le Côte d'Ivoire,
02:25le Côte d'Ivoire,
02:26le Côte d'Ivoire,
02:27le Côte d'Ivoire,
02:28le Côte d'Ivoire,
02:29le Côte d'Ivoire,
02:30le Côte d'Ivoire,
02:31le Côte d'Ivoire,
02:32le Côte d'Ivoire,
02:33le Côte d'Ivoire,
02:34le Côte d'Ivoire,
02:35le Côte d'Ivoire,
02:36le Côte d'Ivoire,
02:37le Côte d'Ivoire,
02:38le Côte d'Ivoire,
02:39le Côte d'Ivoire,
02:40le Côte d'Ivoire,
02:41le Côte d'Ivoire,
02:42le Côte d'Ivoire,
02:43le Côte d'Ivoire,
02:44le Côte d'Ivoire,
02:45le Côte d'Ivoire,
02:46le Côte d'Ivoire,
02:47le Côte d'Ivoire,
02:48le Côte d'Ivoire,
02:49le Côte d'Ivoire,
02:50le Côte d'Ivoire,
02:51le Côte d'Ivoire,
02:52le Côte d'Ivoire,
02:53le Côte d'Ivoire,
02:54le Côte d'Ivoire,
02:55le Côte d'Ivoire,
02:56le Côte d'Ivoire,
02:57le Côte d'Ivoire,
02:58le Côte d'Ivoire,
02:59le Côte d'Ivoire,
03:00le Côte d'Ivoire,
03:01le Côte d'Ivoire,
03:02le Côte d'Ivoire,
03:03le Côte d'Ivoire,
03:04le Côte d'Ivoire,
03:05le Côte d'Ivoire,
03:06le Côte d'Ivoire,
03:07le Côte d'Ivoire,
03:08le Côte d'Ivoire,
03:09le Côte d'Ivoire,
03:10le Côte d'Ivoire,
03:11le Côte d'Ivoire,
03:12le Côte d'Ivoire,
03:13le Côte d'Ivoire,
03:14le Côte d'Ivoire,
03:15le Côte d'Ivoire,
03:16le Côte d'Ivoire,
03:17le Côte d'Ivoire,
03:18le Côte d'Ivoire,
03:19le Côte d'Ivoire,
03:20le Côte d'Ivoire,
03:21le Côte d'Ivoire,
03:22le Côte d'Ivoire,
03:23le Côte d'Ivoire,
03:24le Côte d'Ivoire,
03:25le Côte d'Ivoire,
03:26le Côte d'Ivoire,
03:27le Côte d'Ivoire,
03:28le Côte d'Ivoire,
03:29le Côte d'Ivoire,
03:30le Côte d'Ivoire,
03:31le Côte d'Ivoire,
03:32le Côte d'Ivoire,
03:33le Côte d'Ivoire,
03:34le Côte d'Ivoire,
03:35le Côte d'Ivoire,
03:36le Côte d'Ivoire,
03:37le Côte d'Ivoire,
03:38le Côte d'Ivoire,
03:39le Côte d'Ivoire,
03:40le Côte d'Ivoire,
03:41le Côte d'Ivoire,
03:42le Côte d'Ivoire,
03:43le Côte d'Ivoire,
03:44le Côte d'Ivoire,
03:45le Côte d'Ivoire,
03:46le Côte d'Ivoire,
03:47le Côte d'Ivoire,
03:48le Côte d'Ivoire,
03:49le Côte d'Ivoire,
03:50le Côte d'Ivoire,
03:51le Côte d'Ivoire,
03:52le Côte d'Ivoire,
03:53le Côte d'Ivoire,
03:54le Côte d'Ivoire,
03:55le Côte d'Ivoire,
03:56le Côte d'Ivoire,
03:57le Côte d'Ivoire,
03:58le Côte d'Ivoire,
03:59le Côte d'Ivoire,
04:00le Côte d'Ivoire,
04:01le Côte d'Ivoire,
04:02le Côte d'Ivoire,
04:03le Côte d'Ivoire,
04:04le Côte d'Ivoire,
04:05le Côte d'Ivoire,
04:06le Côte d'Ivoire,
04:07le Côte d'Ivoire,
04:08le Côte d'Ivoire,
04:09le Côte d'Ivoire,
04:10le Côte d'Ivoire,
04:11le Côte d'Ivoire,
04:12le Côte d'Ivoire,
04:13le Côte d'Ivoire,
04:14le Côte d'Ivoire,
04:15le Côte d'Ivoire,
04:16le Côte d'Ivoire,
04:17le Côte d'Ivoire,
04:18le Côte d'Ivoire,
04:19le Côte d'Ivoire,
04:20le Côte d'Ivoire,
04:21le Côte d'Ivoire,
04:22le Côte d'Ivoire,
04:23le Côte d'Ivoire,
04:24le Côte d'Ivoire,
04:25le Côte d'Ivoire,
04:26le Côte d'Ivoire,
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04:30le Côte d'Ivoire,
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04:35le Côte d'Ivoire,
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04:38le Côte d'Ivoire,
04:39le Côte d'Ivoire,
04:40le Côte d'Ivoire,
04:41le Côte d'Ivoire,
04:42le Côte d'Ivoire,
04:43le Côte d'Ivoire,
04:44le Côte d'Ivoire,
04:45le Côte d'Ivoire,
04:46le Côte d'Ivoire,
04:47le Côte d'Ivoire,
04:48le Côte d'Ivoire,
04:49le Côte d'Ivoire,
04:50le Côte d'Ivoire,
04:51le Côte d'Ivoire,
04:52le Côte d'Ivoire,
04:53le Côte d'Ivoire,
04:54le Côte d'Ivoire,
04:55le Côte d'Ivoire,
04:56le Côte d'Ivoire,
04:57le Côte d'Ivoire,
04:58le Côte d'Ivoire,
04:59le Côte d'Ivoire,
05:00le Côte d'Ivoire,
05:01le Côte d'Ivoire,
05:02le Côte d'Ivoire,
05:03le Côte d'Ivoire,
05:04le Côte d'Ivoire,
05:05le Côte d'Ivoire,
05:06le Côte d'Ivoire,
05:07le Côte d'Ivoire,
05:08le Côte d'Ivoire,
05:09le Côte d'Ivoire,
05:10le Côte d'Ivoire,
05:11le Côte d'Ivoire,
05:12le Côte d'Ivoire,
05:13le Côte d'Ivoire,
05:14le Côte d'Ivoire,
05:15le Côte d'Ivoire,
05:16le Côte d'Ivoire,
05:17le Côte d'Ivoire,
05:18le Côte d'Ivoire,
05:19le Côte d'Ivoire,
05:20le Côte d'Ivoire,
05:21le Côte d'Ivoire,
05:22le Côte d'Ivoire,
05:23le Côte d'Ivoire,
05:24le Côte d'Ivoire,
05:25le Côte d'Ivoire,
05:26le Côte d'Ivoire,
05:27le Côte d'Ivoire,
05:28le Côte d'Ivoire,
05:29le Côte d'Ivoire,
05:30le Côte d'Ivoire,
05:31le Côte d'Ivoire,
05:32le Côte d'Ivoire,
05:33le Côte d'Ivoire,
05:34le Côte d'Ivoire,
05:36Et l'entreprise de développement de coco,
05:38Sodecao,
05:39a joué un rôle remarquable
05:40en poussant la production dans le pays.
05:42Plus de 120 unités de production
05:44sont distribuées
05:46dans le pays,
05:47en particulier dans 6 régions
05:49de la nation.
05:50Sodecao crée environ 4,5 millions
05:52de sédiments de coco par an,
05:54qui sont distribués
05:56ou vendus aux producteurs
05:57à 50 francs
05:58par sédiment amélioré.
06:00Yoti Kalelissonge a les détails.
06:03Travailler incessamment
06:05pour augmenter la capacité
06:06de production de coco du pays
06:08est un objectif quotidien
06:10pour la coopération
06:11de développement de coco,
06:12Sodecao.
06:13L'entreprise compte
06:144 plantations de coco,
06:15deux d'entre elles
06:16sont dans la région sud,
06:17l'une à l'ouest
06:18et l'autre
06:19dans la région sud-ouest.
06:21L'un des plus grands
06:22producteurs
06:23était
06:24la région du sud-ouest.
06:26Mais,
06:27à cause de ce que vous savez,
06:29cette production,
06:31elle s'est diminuée.
06:33Les efforts pour augmenter
06:34la qualité de production
06:35sont réalisés
06:36dans les 125 unités
06:38de production
06:39que l'entreprise
06:40de développement de coco
06:41a soutenu.
06:42Mais le combat qui reste
06:43est de créer
06:44le nombre
06:45de sédiments de qualité
06:46de haute qualité.
06:47Sodecao produit
06:49environ 4 millions
06:52et 500 plantations
06:55de coco.
06:56Cette production
06:57est distribuée
06:58à tous les producteurs
07:00de coco.
07:01L'accès aux plantations de coco
07:03doit aussi être amélioré
07:05et Sodecao affirme
07:06qu'ils ont maintenant
07:07les logistiques nécessaires
07:09pour embarquer
07:10sur la mission.
07:11Il y a quelques années,
07:12c'était très, très difficile.
07:14Mais maintenant, je pense
07:15qu'on va pouvoir
07:16attaquer
07:17ce problème.
07:19Le changement climatique
07:20semble
07:21se dérouler
07:22dans le chemin
07:23de leur progrès,
07:24mais l'entreprise assure
07:25que la plantation
07:26des arbres est implémentée
07:27pour réduire
07:28l'impact
07:29sur les plantations
07:30afin d'atteindre
07:31l'objectif ultime
07:32d'améliorer
07:33les activités.
07:34Dans cette histoire
07:35de développement,
07:36le stade du dike
07:37sur la plage Magai
07:38dans le Mayo de Valdini,
07:40a été assessé
07:41par le ministre
07:42de l'administration territoriale,
07:44Paul Atanganji,
07:45visant la région
07:46pour offrir
07:47des aides humanitaires
07:48aux victimes de flotte.
07:49Contrairement aux sources
07:51qui parlent
07:52d'un dike collapsé,
07:53le ministre a observé
07:54que l'embarquement
07:55était plutôt
07:56en urgence
07:57de maintenance.
07:58Il a assuré
07:59à l'administration
08:00des instructions
08:01sur le début immédiat
08:02du travail sur le dike
08:03ainsi que celui
08:04sur la rivière Lugon.
08:05Ebenezer Atanganji
08:06a voyagé à Magai
08:07et voici nos rapports.
08:10Contrairement
08:11à certaines informations
08:12circulant
08:13sur les médias sociaux,
08:14les dikes
08:15sur la plage Magai
08:16et la rivière Lugon
08:17n'ont pas collapsé.
08:19Selon les explications
08:20reçues par les techniciens
08:22sur ce port,
08:23ce qui s'est passé
08:24c'est que,
08:25vu qu'il y avait
08:26beaucoup de pluie,
08:27le niveau d'eau
08:28dans la rivière Lugon
08:29a augmenté
08:30et l'eau
08:31a commencé
08:32à flotter au-dessus du dike
08:33vers la plage Magai.
08:34Cela a amené
08:35certaines personnes
08:36à penser
08:37que le dike
08:38ou la rivière Lugon
08:39avaient cassé.
08:40Mais ce qui est vrai
08:41est que les deux dikes
08:42ont besoin
08:43d'efforts urgents.
08:44Le dike
08:45ou la plage Magai,
08:46par exemple,
08:47a 39 points critiques
08:48qui doivent être réparés.
08:50Le ministre
08:51de l'administration territoriale
08:52a vu pour soi
08:53certains des points critiques.
08:57De l'autre côté,
08:58les efforts de consolidation
08:59doivent être réalisés
09:01sur le dike
09:02ou la rivière Lugon
09:03pour éviter
09:04que l'eau
09:05ne flotte
09:06de la rivière Lugon
09:07vers la plage Magai.
09:08Paul Atangaji
09:09a dit
09:10que le chef d'État
09:11a instruit
09:12que les efforts
09:13de maintenance réguliers
09:14doivent être réalisés
09:15sur les deux dikes.
09:16Il a dit
09:17qu'un rapport compréhensif
09:18devait être envoyé
09:19au chef d'État
09:20pour qu'il puisse
09:21prendre des décisions
09:22sur les deux dikes.
09:25Le travail est expecté
09:26de commencer bientôt.
09:27Les effets
09:28des dernières flammes
09:29dans la plage Lugon
09:30et Shari
09:31ont été détruits.
09:3220 villages ont été détruits,
09:3310 écoles ont été détruites
09:34et plus de 100 hectares
09:35de terres fermées
09:36ont été éliminées.
09:37L'officier de la subdivision
09:38de Ouaza,
09:39Jean-Jaurès Medjaou,
09:40et le maire
09:41de la localité,
09:42Ibrahim Mohamed,
09:43ont été sur le terrain
09:44pour évaluer la perte
09:45estimée
09:46en ce moment
09:47à plus de 33 millions
09:48de C.A.V. de France.
09:49Emos Enonia Ketagbo
09:50a les détails.
09:55Le village de Zigagi,
09:56comme les autres villages
09:57affectés par la flamme,
09:58est visité par l'officier
09:59de la subdivision
10:00de Ouaza,
10:01Jean-Jaurès Medjaou,
10:02accompagné
10:03par le maire
10:04Ibrahim Mohamed.
10:05Les dégâts causés
10:06par les dernières flammes
10:07sont visibles
10:08car les terres fermées
10:09et certaines infrastructures
10:10ont été détruites.
10:11Dans certaines localités,
10:12les villages sont forcés
10:13à élever
10:14des embankments locaux
10:15pour éviter
10:16l'eau
10:17de la plage
10:18dans leurs maisons
10:19et dans les villes
10:20d'Ouaza.
10:21L'ambulance
10:22de l'ambulance
10:23est en train
10:24de flotter
10:25leurs maisons
10:26et leurs terres fermées.
10:27Les statistiques
10:28montrent
10:29qu'il y a environ
10:3020 villages
10:31qui ont été flottés
10:32jusqu'à présent,
10:33avec plus de 100 hectares
10:34de fermes
10:35et de pêcheurs
10:36pour les Katurs
10:37complètement dévastés
10:38et 10 écoles fermées.
10:39Les efforts sont
10:40sur le sol
10:41pour s'assurer
10:42que les flottes
10:43sont contenues
10:44alors qu'un census
10:45pour identifier
10:46ceux qui ont perdu
10:47des propriétés
10:48est en cours.
10:49De la division
10:50Mayodanai,
10:51les flottes
10:52sont en train
10:53de flotter
10:54jusqu'à présent
10:55dans les villes
10:56d'Ouaza
10:57et dans les villes
10:58d'Ouaza.
10:59L'ambulance
11:00de l'ambulance
11:01est en train
11:02de flotter
11:03leurs maisons
11:04et leurs terres fermées.
11:05Les statistiques
11:06montrent
11:07qu'il y a environ
11:0820 villages
11:09qui ont été flottés
11:10jusqu'à présent,
11:11avec plus de 100 hectares
11:12de fermes
11:13et de pêcheurs
11:14pour les Katurs
11:15complètement dévastés
11:16et 10 écoles
11:17fermées.
11:18Les statistiques
11:19montrent
11:20qu'il y a environ
11:21120 villages
11:22qui ont été flottés
11:23jusqu'à présent.
11:24Les statistiques
11:25montrent
11:26qu'il y a environ
11:2750 cultures
11:28fermées
11:29à chaque village
11:30qui a été flottée
11:31jusqu'à présent
11:32et une base
11:33qui a été devenue
11:34un collège
11:35pour les contenaires
11:36de tous ces villages
11:37qui ont été flottés
11:38jusqu'à présent
11:39et la France
11:40et la France
11:41a été rencontrée
11:42dans le village
11:43et les Canadiens
11:44ont été rencontrés
11:45dans le village
11:46et c'est cette
11:47première dizaine
11:48de cas
11:49qui ont été
11:50Le processus est régulé.
11:52Pour que quelqu'un procède à n'importe quelle coalition publique,
11:56il doit avoir appliqué et obtenu l'autorisation du ministre en charge de l'administration territoriale.
12:02Et ceux qui sont qualifiés incluent l'administration ou n'importe quel établissement public ou parapublic,
12:08tous les Camerooniens d'au moins 21 ans,
12:12qui ont des droits civiques et de bonne moralité,
12:15groupings de développement communautaire, associations.
12:19Vous pouvez justifier que votre activité a quelque chose à voir avec la localité.
12:27La loi de 1983 et son texte d'application, daté de 1985,
12:31sont clairs que les fonds, quels qu'ils soient,
12:35doivent être utilisés uniquement pour l'intention.
12:38Le gouvernement peut demander un rapport sur la gestion des fonds publics.
12:43Et si le gouvernement voit qu'il y a des investissements,
12:46ceux qui sont en charge peuvent être chargés d'inappropriation.
12:50Au-delà de tous les objectifs de dons, vous verrez que vous avez des intérêts politiques derrière.
12:56Et donc, l'administrateur autorisé a le droit de faire des vérifications et de balancer
13:01pour être certain que les fonds ne sont pas divertis pour d'autres utilités.
13:05L'officier divisé est l'acteur principal de ce fonds.
13:09Il doit collecter les fonds, distribuer les fonds,
13:12et il doit être très très transparent.
13:15Les demandes de dons publics en Cameroun ne sont pas nouvelles.
13:19Dans certains cas, le processus viole la loi.
13:22En ce qui concerne les mines légales, ceux trouvés en culpabilité
13:25insistent qu'ils sont aussi liables que ceux qui ont approprié les fonds publics.
13:32L'inhabitant de l'économie capitale du Douala,
13:35qui est l'un de nos pires histoires,
13:37a volé dans les rues pour s'occuper de son business,
13:40en incertainté et en peur d'un groupe de délinquants violents
13:43qui emprisonnent des propriétaires et brisent les maisons.
13:45Ils ont été nommés les microbes,
13:47et sont notorieux de causer le désastre que les sociologues disent
13:50qu'ils peuvent être restreints par des mesures de sécurité renforcées
13:53et des villages par la population.
13:55Cynthia Etim nous en dit plus.
13:59Le phénomène des microbes est né de plusieurs facteurs,
14:03le plus important étant le manque de bonnes familles,
14:08ce qui, en revanche, empêche beaucoup de jeunes d'être délinquants.
14:14Il est né du résultat de nombreux facteurs,
14:17y compris les mesures de sécurité renforcées au pays,
14:21la crise sociale, les familles cassées et l'emploi.
14:25Les sociologues révèlent que ces jeunes délinquants
14:29ont réagi sporadiquement après avoir eu
14:31une surveillance sous-terrain de l'environnement.
14:36Grâce à l'influence de plateformes sociales comme Facebook,
14:40ils obtiennent plus d'informations et s'organisent mieux.
14:43Ils ont une unité d'information sophistiquée.
14:46Les sociologues conseillent que tous les acteurs doivent être impliqués
14:50pour combattre ces jeunes.
14:52En étant un mouvement sporadique,
14:55il faut avoir une unité d'investigation sous-terrain pour les gérer.
14:59Les mesures longues termes pour gérer cette situation
15:02vont impliquer les familles, limiter l'emploi et la crise sociale.
15:06Des propositions qui, si regardées,
15:09pourraient contribuer à contenir cette situation
15:12qui est une menace à la vie et à la sécurité des habitants de la ville.
15:18En Ardennes, deux semaines après la résumé des écoles,
15:21certains parents sont encore venus à l'école
15:24pour obtenir l'admission pour leurs enfants.
15:27Les délais sont parfois accusés d'insuffisance financière.
15:31Mais leurs espoirs pour la majorité ont été détruits
15:34car les plusieurs écoles ont fermé l'admission pour l'année.
15:37Réhanatou Sali a rapporté sur la situation.
15:41Des parents désespérés, clochent les documents
15:44et espèrent construire une longue queue qui s'écoule dans les couloirs.
15:48Leurs yeux sont remplis de détermination
15:50car ils souhaitent négocier un lieu pour leurs enfants
15:53deux semaines après l'année.
16:11Certains parlent de maladies soudaines
16:13qui ont interrompu leurs plans
16:15et d'autres parlent d'espoirs financiers
16:18qui les ont laissés tomber à la dernière minute.
16:21Ma fille était très malade.
16:24C'est pourquoi je n'ai pas pu chercher l'admission plus tôt.
16:27Je suis venu vérifier si elle a été admise.
16:30Les espoirs de beaucoup d'enfants
16:32peuvent bientôt être éloignés de la réalité de la capacité de l'école.
16:36À l'extérieur, à l'entrée, nous avons déjà fermé l'admission.
16:41Nous ne pouvons pas faire des rencontres tous les jours.
16:44L'année académique a commencé
16:46et c'est maintenant le moment de se concentrer
16:48sur le développement de l'enseignement et l'engagement des élèves.
16:51L'incertitude tombe dans l'air comme un nuage
16:54qui casse des ombres sur les rêves des arrivés tardifs.
16:57On leur a dit de choisir une école privée
17:02et l'année prochaine, ils pourraient venir nous voir.
17:07Combien de familles peuvent-ils vraiment porter le burdeau
17:10des fiches de l'école privée exorbitantes ?
17:12L'anser reste allusif.
17:15Dans les nouvelles économiques,
17:17le Fonds monétaire international protège
17:19la hausse mondiale de 3,3 % entre 2024 et 2025.
17:25Les chiffres ont été publiés par le Comité sur la politique monétaire
17:28de la Banque Centrale des Etats-Unis
17:31lors de sa troisième session ordinaire.
17:33Le président de la réunion virtuelle, Yvonne Sanna-Bangui,
17:36et le gouverneur Biak ont affirmé
17:38que les perspectives macroéconomiques
17:40au niveau mondial et subregionnel sont à l'arrêt.
17:44Béatrice Ngcum a des rapports.
17:49La croissance inclusive avec un impact positif
17:52sur la réduction de la pauvreté ne peut être atteinte
17:55que par l'implémentation de politiques monétaires et fiscales
17:59qui améliorent le dépensement des consommateurs
18:01mais également protègent les entreprises.
18:04C'est sur cette base que la Banque Centrale des Etats-Unis
18:08projette une croissance de 2,9 % en 2024 dans la subrégion,
18:14en hausse de 7 points par rapport à 2023.
18:18D'entre les forces qui conduisent,
18:20c'est l'amélioration de la mobilisation du revenu non-oil
18:24de 2,9 % en 2023 à 3,5 %.
18:29Cela indique un progrès fait par les Etats
18:32pour investir dans les secteurs non-oil
18:35pour diversifier leurs économies.
18:38Pour sa part, l'augmentation générale des prix est expérimentée
18:42pour voir une petite diminution de 4,2 %
18:45contre 5,6 % en 2023.
18:49Cela implique encore plus d'efforts nécessaires
18:52pour vérifier la croissance des commodités
18:55en gardant le flux de l'argent stable.
18:58De ce point de vue, la Banque Centrale des Etats-Unis
19:01a décidé de maintenir le taux d'intérêt tendue
19:04ou le taux clé à 5 points de base.
19:08La Banque a également décidé,
19:10parmi d'autres mesures de stabilisation de la croissance,
19:13de garder le logement de marge à 6,75 %
19:17pour permettre aux banques de constituer de l'emprunt
19:20en leur donnant plus d'aménagement pour investir dans l'économie.
19:24Pour l'économie, 40 projets ont été examinés
19:27par le Comité interministériel de maturation.
19:30Jusqu'à présent, 9,98 % des projets ont été atteints.
19:33Au stade de maturation, l'implémentation
19:36de la stratégie de développement nationale est bien en cours
19:39et la performance du pays montre un degré de résilience
19:43et l'absorption de chocs.
19:45Dans un rendez-vous conducté par le ministre délégué
19:48au ministre de l'Économie en charge de la Planification,
19:51Paul Tasson, de nombreux efforts pour améliorer la croissance
19:54seront soutenus pour atteindre ces objectifs.
19:56L'exécution du budget de l'investissement public
19:59en ce sens est de 24,8 %.
20:03De l'autre côté, le stade de Cameroun a un ambition
20:07d'installer de proches d'un millier de sites de minage
20:10dans le pays avant que l'année ne s'arrête.
20:13Après l'inauguration du premier circuit fermé
20:17pour le processus de l'or en Kété, à l'est de Cameroun
20:20par le ministre de la Minière, des Industries
20:23et des Développements Technologiques,
20:25le professeur Fou Kalisto Gentry, d'autres sont en vue.
20:29L'un d'entre eux est le Colomine en Goua
20:32de la Division Lomb & Germes.
20:34Voici ce rapport de Larisse Lanné-Potter.
20:40170 kilomètres de loin de la capitale du Bétouin,
20:44capitale de l'Ouest,
20:46le site de la mine de l'or de Colomine
20:49est un bâtiment d'activité.
20:51Des mois après l'annonce du stade de construction
20:54de 10 systèmes fermés pour le processus de l'or,
20:57le matériel est graduellement assemblé
21:00pour construire le bâtiment.
21:02Le tunnel d'où les minéraux seront minés
21:05est déjà un kilomètre loin.
21:07Avant, ils utilisaient ces bâtiments
21:09pour nettoyer les pierres,
21:11pour produire les matériaux.
21:13Maintenant, ils sont en train de changer le système,
21:16le système fermé, qui est plus sûr et plus sécurisé.
21:19Le champ de minage de Colomine
21:21dure environ 309 kilomètres.
21:24Des recherches ont déterminé
21:26plus de 485 000 tonnes d'or.
21:29Sa production est prévue
21:31pour produire 500 kilogrammes d'or par an
21:34depuis le deuxième an d'exploitation.
21:37Lorsque nous obtenons les matériaux rares du tunnel,
21:40nous les emmènerons dans le bâtiment.
21:42Ces pierres seront processées
21:44dans ce lieu.
21:46Le tunnel est juste pour l'extraction
21:49des matériaux rares.
21:51Le travail artisanal a été arrêté.
21:53Lors de l'accomplissement,
21:55l'utilisation du système permettra à l'État
21:57de sécuriser 600 millions de CFA France
21:59en revenu, en préservant l'environnement
22:02de la destruction.
22:04Des nouvelles du Parlement.
22:06L'Assemblée parlementaire franco-française
22:08est prête pour le 19e sommet francophone
22:10qui sera construit pour la France
22:12depuis l'octobre 4 à 5 2024.
22:14En prélude à l'ensemble consultatif
22:16du Parlement français,
22:18le Président de l'Assemblée
22:20de l'Assemblée franco-française,
22:22l'honorable Amélia Lacrafie,
22:24a reçu une audience aujourd'hui.
22:26L'audience a été suivie
22:28par une session de travail
22:30avec les membres du Parlement
22:32du Parlement franco-français.
22:34Des détails dans ces rapports.
22:36Le 19e sommet francophone
22:38en France est un chemin
22:40difficile.
22:42Et comme plus de 100 délégations
22:44s'unissent pour atteindre l'événement
22:46de créer, innover et faire des affaires
22:48en français,
22:50le Président de l'Assemblée franco-française
22:52en charge du langage français,
22:54l'honorable Amélia Lacrafie,
22:56a reçu une audience aujourd'hui.
22:58Avec l'Assemblée parlementaire
23:00du Président de l'Assemblée
23:02franco-française, l'honorable
23:04Hilarion Guiton, ils révèlent les valeurs
23:06de l'Organisation internationale
23:08de la Francophonie,
23:10ainsi que la coopération politique,
23:12économique et culturelle
23:14de l'Assemblée franco-française,
23:16l'un des 320 millions de
23:18francophones du monde entier.
23:20Nous discutons de comment nous sommes
23:22engagés dans ce langage
23:24et de combien
23:26d'Assemblées
23:28font partie de cela.
23:30Et le prochain sommet de la francophonie
23:32en Paris, le 4 et 5 octobre.
23:34Avec le français,
23:36maintenant la quatrième langue
23:38la plus diffusée sur Internet,
23:40la délégation française des législateurs
23:42et les législateurs discutent
23:44l'état de la législation concertée
23:46avec le Cameroun.
23:48Les relations entre
23:50la France et le Parlement
23:52Cameroun sont très bonnes.
23:54À la fin de l'année, nous aurons
23:56un plan d'action
23:58afin de continuer
24:00la coopération entre
24:02nos deux parlements.
24:04Le groupe d'amitié parlementaire
24:06Cameroun-France s'est engagé à travailler
24:08pour des programmes de développement
24:10en consonance avec les valeurs
24:12de la francophonie.
24:14Le sommet du futur est
24:16une opportunité de génération pour
24:18appliquer des décisions qui modernisent
24:20le modèle de gouvernement mondial
24:22pour mieux servir l'humanité.
24:24Cette assertion a été faite par le Président Paul Biya
24:26dans sa parole, écoutée par
24:28le Ministre des Relations Externe
24:30Mbela Mbela pendant les sommets
24:32de haut profil à New York.
24:34Attendue par les dirigeants du monde entier,
24:36le président de l'Assemblée générale
24:38de l'Union Européenne.
24:40Charles Eboné a les détails.
24:44Trois ans plus tard, c'est l'heure
24:46où la famille des Nations Unies a pris
24:48l'occasion de préparer le sommet
24:50du futur, pour produire
24:52le prochain blueprint pour le monde.
24:54J'ai appelé à ce sommet
24:56pour considérer des réformes profondes
24:58pour rendre les institutions mondiales
25:00plus légitimes,
25:02faires et efficaces
25:04en fonction des valeurs du Charter des Nations Unies.
25:06La Cameroune a signé
25:08une constitution nationale
25:10pour le sommet du futur.
25:12Selon le Président Paul Biya,
25:14dans sa parole,
25:16écoutée par le Ministre des Relations Externe,
25:18c'est un moment unique
25:20pour réfléchir collectivement
25:22à comment répondre aux réformes
25:24qui améliorent le monde.
25:28Le Pacte pour l'Avenir,
25:30juste adopté,
25:32est un pas en avant
25:34pour la promotion de la paix,
25:36le développement sustainable,
25:38la dignité humaine
25:40pour les générations à venir.
25:44Le sommet du futur
25:46cherche à créer un équilibre
25:48sur la façon de défendre
25:50les plus de 8 milliards de personnes
25:52dans le monde aujourd'hui,
25:54avec le multilatéralisme
25:56comme le meilleur choix.
25:58L'agenda le plus important
26:00cette année aux Nations Unies
26:02avec le dernier discours
26:04de Joe Biden comme président
26:06des États-Unis.
26:32Voici ce qu'a rappelé
26:34Ombosuzi Monjua.
27:02Si les contrats n'ont pas été exécutés
27:04et ne sont pas reçus
27:06le 15 novembre,
27:08il n'y a pas de possibilité
27:10d'une extension.
27:12Les contrateurs ont tous
27:14l'intérêt d'accélérer le travail.
27:32Il y a aussi été annoncé
27:34que la construction
27:36d'une structure permanente
27:38pour l'Assemblée régionale du sud-ouest
27:40est en cours
27:42après l'acquisition
27:44d'une pièce de terre.
27:46Encore dans la région du sud-ouest,
27:48les préparations sont en cours
27:50pour le festival
27:52culturel landmark
27:54construit pour le 13 décembre
27:56et pour le 14 décembre.
27:58Le festival est organisé
28:00sous le thème de la paix,
28:02de la réconciliation culturelle,
28:04de la cohésion sociale et de la promotion d'investissements
28:06qui offrira à la région une opportunité
28:08pour montrer son riche
28:10culture et son héritage divers.
28:12Une réunion de préparation pour s'assurer
28:14qu'un festival sans chaleur
28:16soit organisé à Limber
28:18par le président de la conférence des chefs du sud-ouest,
28:20son majesté, le chef Moses Obenofonde.
28:22Les différents comités créés
28:24ont commencé à travailler
28:26avec honneur.
28:28Le débat sur les économies de la forêt
28:30dans les pays du Congo
28:32a été revu à Yaoundé.
28:34C'était à cause d'un public
28:36qui a donné la délégation
28:38des officiels du Banque mondiale
28:40par le ministre de la Forêt et de la Végétation,
28:42Jules Dorendongo.
28:44Les officiels ont également discuté
28:46des projets de priorité
28:48dans le secteur de la forêt et de la végétation
28:50de Cameroon et la contribution
28:52de la Banque mondiale
28:54au processus de développement
28:56de l'environnement et des ressources naturelles.
28:58Léa Carole Seagard
29:00a été l'interprète du débat.
29:02Ecoutez.
29:04La Banque mondiale a récemment
29:06lancé un programme de défis mondial
29:08sur les économies de la forêt.
29:10Le gouvernement
29:12de Cameroun
29:14est un partenaire dans ces efforts.
29:16C'est très important pour nous
29:18de suivre la vision du pays
29:20pour désigner
29:22cette opération.
29:24Ces débats ont été extrêmement
29:26utiles pour nous aujourd'hui
29:28pour obtenir la direction
29:30du ministre de la Végétation
29:32et de son équipe
29:34afin de déterminer les prochaines étapes.
29:36Les médecins de santé
29:38ont examiné
29:40le taux d'infection
29:42du virus de l'hépatite B
29:44dans un workshop
29:46aujourd'hui
29:48avec des experts en santé.
29:50Les biologistes, les techniciens
29:52et les médecins
29:54ont étudié
29:56les stratégies
29:58nécessaires
30:00pour traiter
30:02et, si possible,
30:04éliminer
30:06la maladie virale.
30:08Aujourd'hui,
30:10les médecins
30:12de santé
30:14ont étudié
30:16le taux d'infection
30:18du virus de l'hépatite B
30:20dans un workshop
30:22aujourd'hui
30:24avec des experts
30:26pour déterminer
30:28les prochaines étapes.
30:30Les médecins de santé
30:32ont étudié
30:34le taux d'infection
30:36du virus de l'hépatite B
30:38dans un workshop
30:40aujourd'hui
30:42avec des experts
30:44pour traiter
30:46et, si possible,
30:48éliminer
30:50la maladie virale.
30:52Nous essayons de faire tout
30:54pour satisfaire
30:56les patients
30:58et les Camerooniens
31:00qui ont le droit
31:02de savoir ce qui se passe
31:04en ce qui concerne
31:06les droits humains.
31:08Le workshop
31:10est prévu d'être
31:12timide,
31:14permettant
31:16d'éliminer
31:18la maladie virale.
31:20Les médecins
31:22de santé
31:24ont étudié
31:26le taux d'infection
31:28du virus de l'hépatite B
31:30dans un workshop
31:32aujourd'hui
31:34avec des experts
31:36pour déterminer
31:38les prochaines étapes.
31:40Les médecins de santé
31:42ont étudié
31:44le taux d'infection
31:46du virus de l'hépatite B
31:48dans un workshop
31:50aujourd'hui
31:52avec des experts
31:54pour déterminer
31:56les prochaines étapes.
31:58Les médecins de santé
32:00ont étudié
32:02le taux d'infection
32:04du virus de l'hépatite B
32:06dans un workshop
32:08aujourd'hui
32:10avec des experts
32:12pour déterminer
32:14les prochaines étapes.
32:16Les médecins de santé
32:18ont étudié
32:20le taux d'infection
32:22du virus de l'hépatite B
32:24dans un workshop
32:26aujourd'hui
32:28avec des experts
32:30pour déterminer
32:32les prochaines étapes.
32:34Les médecins de santé
32:36ont étudié
32:38le taux d'infection
32:40du virus de l'hépatite B
32:42dans un workshop
32:44aujourd'hui
32:46avec des experts
32:48pour déterminer
32:50les prochaines étapes.
32:52Les médecins de santé
32:54ont étudié
32:56le taux d'infection
32:58du virus de l'hépatite B
33:00dans un workshop
33:02aujourd'hui
33:04avec des experts
33:06pour déterminer
33:08le taux d'infection
33:10du virus de l'hépatite B
33:12dans un workshop
33:14aujourd'hui
33:16avec des experts
33:18pour déterminer
33:20les prochaines étapes.