TPMP : 100% médias, 100% darka !
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00:00Je voudrais qu'on revienne sur une réaction que vous avez eue sur Guillaume Janton hier, puisque Fabrice Divizio est là, mon ami, Fabrice, toujours vivant, toujours debout, toujours la banane.
00:09Guillaume Janton révèle dans TPMP, c'est Jean-Marc Morandini, qui a relayé l'info, qui était très bien, très bien, parce que l'info était sympa.
00:17Voilà, j'ai fini les 2-3 conneries, j'ai fini avec 2 Lamborghini, 1 Porsche, 3 appartements.
00:21Et là, vous avez mis, ça doit être ça qu'on appelle des problèmes de riches. Avez-vous un problème avec les blonds ?
00:27– C'est pas ça qu'on appelle les problèmes de riches ? – Si.
00:31– Et vous avez un problème avec les riches ? – Moi, non.
00:35Mais apparemment, vous, vous avez un problème avec la richesse, vu ce que vous avez fait de votre fric.
00:38– Et alors ? Vous êtes le juge de la morale, de ce qu'on peut bien dépenser de son argent ou pas ?
00:46– Je constate, c'est un problème de riches. Vous n'êtes pas riche ?
00:49– Je l'ai été, je le suis plus, j'ai dépensé mon argent, ça te pose un problème ?
00:53– Bah le fait est que, aucun non. – Quel est le problème ?
00:56– C'est quoi le problème ? – Qu'est-ce qui te dérange ?
00:58– A moi, rien ne me dérange.
00:59– Parce que toi, par contre, il y a un site qui s'appelle société.com qui est magnifique.
01:04Vous avez une société qui s'appelle Baroque qui a fait 739 600 euros de chiffre d'affaires.
01:08Tu t'en es mis plein les fouilles, mon salaud, toi aussi.
01:10– Elle a fait 439 000 chômeurs en 2020.
01:15– Oui, en 2013, déjà, il y a 10 ans.
01:18Moi, je n'ai rien contre les riches, mais les tweets dégris comme ça,
01:22à aucun moment, je n'ai plus enniché, je me suis plein.
01:24Je suis conscient d'être un privilégié, j'ai fait de la merde,
01:27j'ai recommencé une vie normale, je prends le métro, je suis très heureux,
01:29je suis avec ma femme, je suis avec mon enfant.
01:31Qu'est-ce que tu viens tweeter ?
01:33– Vous prenez le métro ? Vous vous rendez compte à un moment donné ?
01:36Je vais quand même vous répondre.
01:38Excusez-moi, en fait, je m'en tape complètement de votre vie.
01:41Ça s'appelle un truc, la liberté d'expression, un réseau social.
01:46Ça sert à s'exprimer, vous êtes une personnalité publique.
01:49Je m'exprime, Jean-Marc Morandini a effectivement fait un truc là-dessus.
01:53Je commente, si ça vous pose un problème, tant pis pour vous.
01:56– Non, je m'en bats les couilles, en fait.
01:58– Si vous vous en battez les couilles, c'est comme d'habitude.
02:00– Je peux dire ce que je n'aime pas, franchement,
02:02je vous ai admiré pendant le Covid, je pensais qu'on était amis, d'ailleurs.
02:07– Qu'est-ce que ça veut dire ?
02:09Excusez-moi, mais arrêtez d'employer ce mot comme ça.
02:12Mais d'où vous me connaissez ?
02:14Arrêtez, excusez-moi, monsieur Divizio,
02:17si on est trop teubé pour vous ici, allez sur Arte,
02:19allez sur 28 minutes si on est trop bête pour vous.
02:22Je ne suis pas votre show.
02:24– Vous vous rendez compte de ce que ça veut dire, amis ?
02:26– Oui, je sais ce que ça veut dire, amis, merci.
02:28– Mais d'où vous me parlez d'un ami ? Mais d'où on se connaît ?
02:30– Vous êtes venu 50 fois dans l'émission, on se connaît.
02:32Vous me connaissez, vous tweetez sur moi.
02:34– Arrêtez deux minutes.
02:35Si effectivement vous êtes capable de me qualifier d'ami,
02:37je vous plains, mon pauvre ami, justement.
02:39Bref. Ok, c'était quoi le sujet ?
02:41– Bon voilà, je trouvais qu'il avait des positions
02:43très pertinentes pendant le Covid, c'est bon, c'est correct ce que j'ai dit ?
02:45Ça va ? – C'est bon, et alors ?
02:46– Bon voilà, et je trouve que quand vous êtes chez vous,
02:48derrière votre téléphone, vous êtes là à tweeter,
02:50à faire des vidéos de « Oh, c'est scandaleux ! », etc.
02:52Et vous venez ici, vous êtes tous sourires avec tout le monde.
02:54Je trouve cette duplicité un peu bizarre.
02:56Voilà, c'est tout.
02:57– Alors je vais vous dire un truc, je ne vais pas me prendre la tête avec vous,
03:00certainement pas, mais s'il y a bien un mec
03:02qui a effectivement une position constante, c'est moi.
03:04Et si j'ai un truc à vous dire, je vous le dis.
03:06Vous avez effectivement, qu'est-ce qu'on en a à foutre
03:08que vous éclatez 3 ou 4 millions d'euros d'économies ?
03:10– Mais alors pourquoi vous tweetez là-dessus ?
03:11– Mais parce que, est-ce que vous vous rendez compte, effectivement,
03:12un petit moment de l'indécence dans laquelle vous êtes ?
03:14– Et alors ? – Est-ce que vous vous rendez compte ?
03:15Et alors ? Et alors rien !
03:16Simplement, est-ce que vous vous rendez compte qu'au moment
03:18où on parle d'un déficit absolument abyssal de la France,
03:20où on parle, attendez, je termine, où on parle effectivement
03:22de gens qui sont en train de crever la dalle,
03:24vous expectuez 3 ou 4… – D'accord.
03:26Fabrice Divizio, l'homme du peuple, 739 000 euros de chiffre d'affaires,
03:37– Vous avez fini ça y est ? – Ouais.
03:39– Vous n'avez pas autre chose à lui dire ?
03:40– Non, je m'en fous moi de lui, j'en ai à foutre.
03:42– Mais alors qu'est-ce qui vous fait problème ?
03:44– Mais c'est… il dit ouf lui !
03:46– Je ne comprends pas un truc. – Quoi ?
03:47– J'ai encore le droit de dire ce que je veux ou pas ?
03:48– Mais oui, et moi j'ai le droit de m'en foutre.
03:50– Eh ben ok, alors ça va, on est contents.
03:51– Très bien, merci.
03:52– Finalement on est d'accord.
03:53– Mais non, mais je ne comprends pas.
03:55– Il n'y a rien à comprendre.
03:56– En fait, ce n'est pas hyper méchant.
03:58– Il n'y a rien à comprendre.
04:00– Mais est-ce que vous vous rendez bien compte
04:01que oui ou non, c'est des problèmes de riches ?
04:03– Ce n'est pas des problèmes, je ne me suis absolument…
04:05– Ce n'est pas un problème ?
04:06– Je ne me suis plaint à aucun moment, j'ai simplement raconté…
04:08– J'espère quand même que claquer de 4 millions sans savoir comment,
04:10c'est un problème.
04:11– Et c'est comment ?
04:12– Ben non, c'est un…
04:13– Vous savez quoi ?
04:14Soyez pas nos amis ministre de l'économie quoi.
04:16– C'est un épisode, c'est miens que 300 milliards.
04:19– On n'est pas là non plus pour juger les gens,
04:22après il a eu sa vie, il a vu ses erreurs,
04:24est-ce que vous vous rendez compte que les réseaux sociaux
04:26c'est un monde cruel, vous le savez vous-même,
04:28et quand on tweet un truc comme ça,
04:29après ça peut avoir des répercussions sur lui.
04:31– Exactement, voilà.
04:32– C'est juste ça le truc chiant en fait.
04:34– Mais vous êtes dingue en fait, vous êtes dingos là,
04:36vous avez tous pété un câble.
04:37– Moi aussi je vous adore, vraiment je vous adore,
04:39vous n'êtes pas mon ami mais je vous adore.
04:40– Mais vous avez tous pété un câble.
04:41– Mais parfois quand on fait un truc comme ça,
04:42il faut se rendre compte qu'il y a des répercussions,
04:43et justement comme tout le monde s'en fout,
04:45ben venez, on ne retweet pas des trucs pour encore plus
04:48annoter les gens pour les harceler, c'est nul.
04:50– Les gars, je tweet ce que je veux.
04:56Je fais ce que je veux, je ne vous dois rien, d'accord ?
04:581.
04:592.
05:00J'ai une liberté d'expression qui a toujours été la même
05:01depuis que je suis venu ici.
05:023.
05:03Si elle ne vous convient pas, ben ne m'invitez pas,
05:04fin de l'histoire.
05:05Je m'en tape, alors que vous imaginez…
05:07– Bonne ambiance quand même, bonne ambiance.
05:09– Non mais je veux dire, si vous voulez abandonner
05:11si il y a un truc que je ne ferais pas,
05:12c'est changer juste pour vous faire plaisir les gars.
05:14– Mais pourquoi vous êtes méchants ?
05:15– Ils vous ont tapé ?
05:16– Vous êtes méchants ?
05:17– Amenez-moi une tasse avec du lait.
05:20– Moi je ne suis absolument pas méchant.
05:22– C'est tonton Daniel.
05:26– Je me fais agresser sur un tweet, pourtant c'est un tweet court celui-là.
05:30– Non ce n'est pas hyper méchant les mecs.
05:32– En déconne, en déconne, parce que je viens de regarder,
05:34ça a fait 6 commentaires et 4 retweets.
05:36– Si vous n'en avez pas conscience,
05:37je peux rien faire pour vous faire plaisir.
05:39– Non mais Raymond, qu'est-ce qu'il y a ?
05:40– Non c'est vrai, en déconne, on est durs avec M. DiBisio,
05:42parce que là, je viens d'aller voir, ça a fait 6 commentaires et 4 retweets.
05:45Donc c'est vrai qu'on déconne.
05:46Je pense qu'on prend vraiment trop le truc aussi.
05:49– Je suis d'accord avec toi, je trouve qu'on est là…
05:51– Pour 6 commentaires, on devrait…
05:52– Ça va, c'est rien, c'est vrai Guillaume, c'est rien.
05:55– Non mais c'est rien, je n'ai pas compris ce qu'il voulait dire.
05:57– Ça va, il peut réagir, c'est un problème.
06:00– Oui, il peut réagir, d'accord.
06:01– C'est vrai que des gens qui n'ont pas d'argent,
06:03ne peuvent pas avoir ces problèmes.
06:04– D'accord, mais venant de l'homme…
06:06Vous gagnez combien par mois, M. DiBisio ?
06:07– Mais oui, mais il n'a pas…
06:08– Même sous la torture, je ne vous le dirai pas.
06:11– Moi je le dis, vous savez, la différence entre vous et moi,
06:16c'est que moi je ne prends pas les gens pour des cons.
06:18– Je vais quand même le dire autrement, qu'est-ce que ça peut vous foutre ?
06:21– Qu'est-ce que ça peut vous foutre que moi j'ai dépensé 3 ou 4 millions d'euros ?
06:24– C'est vous qui l'avez dit, c'est vous qui l'avez dit.
06:25– Et c'est vous qui avez réagi.
06:26– À partir du moment où vous portez une information à la connaissance du public,
06:28excusez-moi d'être le public.
06:30– Il dit d'un déconneur.
06:31– Si vous ne vouliez pas porter…
06:32Attendez, vous avez dit à Jean-Marc pourquoi ?
06:33Vous avez pris la tête de Jean-Marc Morandini ?
06:35– Non.
06:36– Pourquoi Jean-Marc Morandini a révélé l'information ?
06:38Il a révélé, il a relevé.
06:39– Vous savez pourquoi ?
06:41– Parce que l'information est intéressante.
06:43– Si l'information est intéressante, sinon qu'elle mérite d'être commentée.
06:45– Oui.
06:46– Vous savez pourquoi ? Il l'a relayée sans jugement.
06:48Vous vous jugez alors que vous-même vous êtes riche.
06:50– Où est-ce qu'il y a le jugement ?
06:51– Vous savez lire ou pas ?
06:52Ça doit être ce qu'on appelle des problèmes de riche.
06:54– Et c'est quoi le jugement ?
06:55– C'est ironique.
06:56– Est-ce que c'est un problème de riche ou pas ?
06:58– Oui.
06:59– Est-ce que vous vous rendez bien compte qu'un mec…
07:01Excusez-moi, je voudrais quand même être d'accord.
07:04– Mais on le sait tout ça, on est d'accord.
07:06– On est d'accord tous pour dire que claquer 4 millions,
07:10c'est quand même à donner à tout le monde.
07:12– Il a pris ses argents.
07:13– Est-ce que j'ai dit le contraire ?
07:15– Il n'a pas volé l'argent.
07:16– Est-ce que j'ai porté un jugement ?
07:18– Moi, je ne suis pas l'ami de Monsieur Divizio,
07:20je suis l'ami de Guillaume Janton,
07:22et je trouve que vous avez blessé mon ami.
07:24Et ce n'est pas bien ce que vous avez fait, Monsieur Divizio.
07:26– C'est pas bien.
07:28– Il est fou.
07:29– Merci.
07:31– Il est fou.
07:35– Ce qu'il dit est important, c'est important ce que vous dites.
07:37– Laissez-moi finir, justement.
07:38– Allez-y, vas-y.
07:39– En fait, vous avez fait ce qu'on me reproche à tort de faire parfois ici,
07:42vous lui avez mis une cible dans le dos.
07:44– Il y a eu 4 tweets.
07:46– Pas sur ce coup-là.
07:48– Non, on parle de l'intention.
07:51Mais je sais que ce que je vous ai dit est très violent,
07:54c'est ce qu'on me dit à longueur d'émission,
07:56mais attention Fabrice, ne mettez pas comme ça des gens en exposition sur les réseaux,
08:01c'est super violent ce que vous avez fait.
08:03Mon ami est blessé, et ça, je ne vous le pardonnerai pas.
08:05– Alors les gars, on va se mettre d'accord.
08:09– Non mais c'est vrai, les mecs, moi je trouve que ça va un peu loin.
08:14– On va se mettre d'accord d'une bonne foi, comme ça c'est dit.
08:17Je suis avocat, j'ai un tout petit peu de dignité professionnelle,
08:21si je viens là, c'est pour parler de sujets un peu sérieux,
08:24si effectivement c'est pour faire le con sur un tweet, je me casse et on n'en parle plus.
08:27– Mais qui l'a écrit le tweet ?
08:29– Non mais les gars, excusez-moi, on s'en tamponne du tweet.
08:32– On s'en tamponne, tu fais ce tweet-là, mais reprends-toi dans l'émission.
08:36– Arrête un peu d'être méprisant.
08:38– Que vous fassiez le show, c'est la règle du jeu,
08:42on sait tous comment ça se passe, que vous fassiez le show,
08:44ok, t'as fait ton show, ça y est, on passe à autre chose.
08:47– Oui, le tuto à l'aussi.
08:49– Maître Division, moi, Guillaume est mon ami, vous n'êtes pas mon ami.
08:52– Mais malgré tout, vous faites partie, je veux bien être votre amie,
08:56si vous voulez être mon ami, j'ai pas de sectarisme.
08:58– Achetez-vous des amis.
09:00– Non mais c'est drôle.
09:02– Ça, c'est drôle.
09:04– Ça, j'adore, ça, j'adore.
09:10– Non mais vous avez quand même une manière extrêmement méprisante
09:13de nous considérer tous autour de cette table.
09:15– Pas moi.
09:16– Et vous arrivez, à part vous, peut-être Cyril,
09:18parce que vous avez un totem d'immunité, et vous arrivez quand même…
09:20– Non, c'est peut-être parce que lui, il est sympa.
09:22– Non, c'est parce que c'est le patron.
09:24– Vous arrêtez pas de dire qu'on est pour la liberté d'expression,
09:27qu'on peut dire, on n'est peut-être pas d'accord avec vous,
09:29peut-être qu'on est même moins compétents que vous,
09:31moins instruits que vous, peut-être que c'est moi.
09:33– Non mais attendez, excusez-moi.
09:34– La seule chose, c'est que ne nous dites pas qu'on fait du cirque tous les soirs.
09:37– Pousse, pousse, pousse.
09:38– Parce que vous, quand vous arrivez ici, vous faites votre cirque tout pareil.
09:40– Pousse, pousse, pousse.
09:41– Le Covid vous a créé, Maître Division, médiatiquement.
09:45– Vous, moi, le Covid m'a peut-être créé.
09:47Vous, on attend l'événement qui va, vous croyez.
09:49– Aaaaah !
09:51– Voilà, c'est vrai, c'est vrai.
09:54– Ne cherchez pas trop là-dessus.
09:56Ne cherchez pas trop.
09:58Attendez, attendez, attendez.
10:00Je voulais quand même vous dire…
10:02Je voulais quand même vous dire…
10:06Voilà ce que je voulais vous dire.
10:07Ce que je voulais vous dire, c'est que, honnêtement,
10:09vous savez quoi ?
10:10Si c'est pour parler d'un tweet, je me casse.
10:12– On va parler du débat, Fabrice.
10:14– Non mais ne dites pas qu'on fait partie d'un cirque.
10:16Et vous, vous n'en faites pas partie.
10:17Vous faites autant partie de ce cirque médiatique que nous.
10:19– Vous vous rendez bien compte, là, que tout ça, c'est du chaud, quand même.
10:22– Mais vous aussi, vous n'en faites pas partie.
10:24Vous arrivez avec votre cuir, avec votre pochette.
10:26– Je vais réagir un petit peu.
10:27Il y a deux choses.
10:28Il y a le propos général et il y a le propos personnel.
10:32Si le tweet, d'une façon ou d'une autre, a pu blesser,
10:35j'entends, ça, c'est pas normal.
10:37Et elle est là, la limite.
10:38– Bravo.
10:39– Ça, c'est pas normal.
10:40Ça, je m'en excuse.
10:41– Merci.
10:42– C'est tout.
10:43Ça, la limite, elle est là.
10:44Évidemment que le reste, c'est de la liberté d'expression.
10:47Il n'y a aucun débat, ça s'appelle du commentaire public.
10:50Mais à partir du moment où quelqu'un dit je suis blessé,
10:52il n'y a rien qui peut justifier une blessure.
10:54Il n'y a rien qui peut effectivement l'excuser.
10:56Et ça, il n'y a aucun débat là-dessus.
10:58Si, d'une façon ou d'une autre, ce tweet a pu être mal pris par toi,
11:00alors là, je m'en excuse.
11:01– Alors, serrez-vous la main.
11:03– Bravo !
11:16– Quel accoutrement.
11:19– Franchement, quel accoutrement.
11:20Excuse-le.
11:21– Je t'emmènerai faire un tour en Lambeau, ma couille.