• il y a 2 mois
L'entraîneur espagnol du PSG ne vit pas la pression avec appréhension. Au contraire, il le voit comme quelque chose de postif et cela démontre même pour lui, qu'il conduit un pojet ambitieux.

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Transcription
00:00La pression, si je subis une pression, c'est une sensation positive, ça veut dire que
00:09j'occupe une charge importante, ça veut dire que je suis dans un club important, ça
00:12veut dire que j'ai un groupe de joueurs de haut niveau, donc oui, moi j'en veux cette
00:17pression-là, c'est la pression que je veux, mais ensuite je ne suis pas idiot, ça fait
00:21des années que je subis cette pression et si les résultats sont bons, on nous aime,
00:25on nous soutient et si les résultats ne sont pas bons, dans ce cas-là, il y aura quelqu'un
00:29d'autre qui viendra à ma place et qui essaiera de le faire mieux que moi, avec cette simplicité-là,
00:33avec cette tranquillité, j'assume tous les défis que me pose ce sport, mais en ce sens-là,
00:40je n'ai ni précipitation, ni problème, je me sens tout à fait privilégiée de subir
00:46cette pression.
00:47Donc cette pression mentale de toujours gagner, gagner, c'est votre deuxième saison au PSG,
00:52est-ce que vous sentez que ça a changé, que c'est une saison un peu plus tranquille où
00:57la pression externe est moins forte ou pas ?
00:59Non, en vérité, ce n'est pas le cas, il y a une pression interne qui est celle du
01:05staff, on a toujours envie de s'améliorer, de continuer, moi je connais les standards
01:09du club, je connais les objectifs du club et les objectifs, c'est que nous voulons entrer
01:13dans l'histoire et pour faire cela, pour entrer dans l'histoire, il faut gagner tout
01:17ce qu'on peut et gagner la compétition la plus importante et c'est l'objectif que
01:21je me suis fixé, je ne viens pas ici pour obtenir d'autres options, mais la pression
01:29n'est pas la seule chose qui te conditionne, c'est typique d'un grand club et je crois
01:32que c'est comme ça que ça doit se passer.

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