Jean-Sébastien Martinez, invité de L'Interview à la une
Alors que l'office de tourisme métropolitain Nice Côte d'Azur s'apprête à fêter les 30 ans de son changement de statut, Jean-Sébastien Martinez dresse l'état des lieux et fixe le cap des années à venir. La stratégie? La montée en gamme. Pas plus, mais mieux.
Le 4 octobre 1994, l'office de tourisme de Nice devenait un Epic [Etablissement public à caractère industriel et commercial]. Cet anniversaire est, pour son nouveau directeur général, Jean-Sébastien Martinez, l'occasion de regarder dans le rétroviseur mais surtout de dessiner l'avenir. "Savoir quel tourisme on veut demain, qui on veut accueillir et dans quelles conditions", expose-t-il dans L'Interview à la une, le rendez-vous hebdomadaire de la rédaction de Nice-Matin. Le tourisme, aujourd'hui, c'est "quasiment 40% des emplois du territoire, soit près de 22.000, directs et indirects. Selon les années, 17 à 20% du poids économique de la métropole" et même "un chiffre d'affaires de 4,7 milliards d'euros pour l'ensemble de la Côte d'Azur." Le tourisme, demain, c'est "un tourisme premium, de qualité, avec des séjours expérientiels, culturels. Pas du "one shot"." "On ne cherche pas à avoir plus de visiteurs mais à mieux les accueillir. À lisser à lisser la fréquentation sur l’hiver pour maintenir l’activité", insiste Jean-Sébastien Martinez, qui avait passé 14 années au cabinet du maire de Nice Christian Estrosi avant de prendre ses nouvelles fonctions début 2024.
Le 4 octobre 1994, l'office de tourisme de Nice devenait un Epic [Etablissement public à caractère industriel et commercial]. Cet anniversaire est, pour son nouveau directeur général, Jean-Sébastien Martinez, l'occasion de regarder dans le rétroviseur mais surtout de dessiner l'avenir. "Savoir quel tourisme on veut demain, qui on veut accueillir et dans quelles conditions", expose-t-il dans L'Interview à la une, le rendez-vous hebdomadaire de la rédaction de Nice-Matin. Le tourisme, aujourd'hui, c'est "quasiment 40% des emplois du territoire, soit près de 22.000, directs et indirects. Selon les années, 17 à 20% du poids économique de la métropole" et même "un chiffre d'affaires de 4,7 milliards d'euros pour l'ensemble de la Côte d'Azur." Le tourisme, demain, c'est "un tourisme premium, de qualité, avec des séjours expérientiels, culturels. Pas du "one shot"." "On ne cherche pas à avoir plus de visiteurs mais à mieux les accueillir. À lisser à lisser la fréquentation sur l’hiver pour maintenir l’activité", insiste Jean-Sébastien Martinez, qui avait passé 14 années au cabinet du maire de Nice Christian Estrosi avant de prendre ses nouvelles fonctions début 2024.
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