C'est Votre Avenir - Émission du 04 octobre

  • il y a 3 jours
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2024-10-04##
Transcription
00:00lavoyance.com, La Voyance par téléphone, tchat et vidéo présente...
00:04Écoute Bernard, je crois que toi et moi, on a un peu le même problème.
00:0716h17, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delavanne.
00:12C'est-à-dire qu'on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi.
00:14Oublie que t'as aucune chance, vas-y, fonce.
00:16On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.
00:18Bonjour à tous, alors vous venez d'écouter un extrait débronzé, fond du ski,
00:23un classique de la cinématographie française.
00:27Et oui, un hommage à Michel Blanc, à celui qui nous a fait beaucoup rire et même pleurer.
00:32Et à toi Michel, il restera de toi ce que tu nous as offert.
00:36Et bienvenue à tous, dans votre émission, c'est votre avenir.
00:39Et comme tous les jours, je vous accompagne dans vos choix, dans vos prises de décisions
00:44et votre orientation de vie.
00:46Mais parfois, vous pouvez douter ou ignorer de ce qui peut vous arriver.
00:51Mon intuition et ma clairvoyance vous permet d'avoir plus d'éclaircissement
00:56et durant cette heure, je réponds à toutes vos questions,
01:00mais aussi je vous accompagne dans vos changements de vie.
01:03C'est ce que je vais faire avec nos auditeurs d'aujourd'hui.
01:06Pour participer à l'émission, un seul numéro, le 0826 300 300.
01:11Zach Austandard vous attend.
01:17Et à présent, j'accueille ma première auditrice, bonjour.
01:22Bonjour Alexandre.
01:24Bienvenue dans l'émission, c'est votre avenir.
01:27Oui.
01:28Et vous êtes Lily.
01:29Oui, c'est ça.
01:30Bien.
01:31Vous avez 41 ans, vous nous appelez de Bordeaux Lily.
01:34Oui, c'est bien ça.
01:35Alors Lily, aujourd'hui, on parle un petit peu d'accompagnement.
01:40Est-ce que vous, vous avez eu affaire à de l'accompagnement
01:43ou est-ce que vous-même vous accompagnez des personnes autour de vous ?
01:47Vous savez que ce week-end, un seul week-end, des personnes aidantes
01:52sont auprès des personnes qui ont besoin justement d'accompagnement.
01:55Et justement, c'est un petit clin d'œil aussi pour toutes ces personnes
01:58qui donnent beaucoup d'elles-mêmes tous les jours.
02:01Est-ce que pour vous, vous avez déjà vécu cette expérience-là ?
02:05Alors, justement, très récemment, oui.
02:09C'est quelque chose de pas facile et surtout quand ça touche un proche.
02:14D'ailleurs, c'est pour ça que je pense fortement me former
02:19parce que ça a été très difficile pour moi d'accompagner mon conjoint
02:24qui a perdu sa maman cet été.
02:27Donc, ça a été délicat pour moi.
02:30Je ne savais pas quelle aurait dû être ma posture.
02:33Ça a été très difficile.
02:34Je me suis sentie un petit peu abandonnée.
02:38Je me suis sentie un petit peu transparente, inutile des fois.
02:42Oui.
02:43Voilà.
02:44Donc, impuissante.
02:46Mais bon, je suis restée là malgré tout.
02:50Mais c'est très difficile d'être aidant.
02:52Bien sûr.
02:53Et d'accompagner l'individu, mis à part de l'accompagner physiquement,
02:58mais moralement et psychologiquement,
03:00c'est aussi de permettre à l'individu de sortir de l'isolement
03:05et de se sentir écouté, rassuré et encouragé aussi.
03:08Et c'est très important, surtout dans des périodes comme ça difficiles
03:11quand on traverse des moments de deuil
03:13ou bien sur d'autres événements de notre vie.
03:16Lily, vous êtes passée avec nous l'année dernière,
03:21exactement le 20 septembre 2023.
03:24Oui.
03:25Bien.
03:26Et vous vous posez des questions sur votre devenir professionnel.
03:31Oui.
03:32Et aujourd'hui, où en êtes-vous ?
03:35Eh bien, j'ai concrétisé mon projet comme vous l'aviez vu.
03:41D'accord.
03:43Pour juste qu'on revienne un petit peu sur votre histoire
03:46et que nos auditeurs sachent un petit peu de quoi on parle.
03:49Auparavant, vous faisiez quoi ?
03:51Et quel a été votre projet sur lequel vous souhaitiez vous lancer à cette période-là ?
03:56Alors, je travaillais dans le paramédical
03:58et j'ai voulu donc reprendre mes études pour devenir psychothérapeute.
04:04Donc, j'ai fait six années avec des spécialisations.
04:09Donc, de la thérapie de couple, l'aide à la parentalité.
04:16Et donc, je vous ai appelé l'année dernière parce que je doutais.
04:22J'étais à la fin de mes études et je doutais si je vais me lancer.
04:26J'avais peur en fait, je pense, de me lancer, je ne sais pas.
04:28Et donc, j'ai quand même concrétisé.
04:32J'ai ouvert mon entreprise le 1er janvier 2024.
04:38Sauf que jusqu'à présent, je ne fais que de la consultation en ligne.
04:42Je n'ai pas encore de cabinet.
04:44D'accord.
04:45Voilà.
04:46D'accord.
04:47Et vous avez commencé donc là, sur ce courant du début de l'année.
04:52Est-ce qu'il y a eu un bon démarrage pour vous ?
04:56Comment ça s'annonce ?
04:57Écoutez, non, parce que j'ai toujours ma première activité.
05:04Donc, je ne me consacre pas à 100%.
05:08Mais c'était le but.
05:10Quand on démarre une activité, on n'a pas le départ de la clientèle très rapidement.
05:19Donc, c'est pour ça que je voulais garder ma première activité.
05:24D'accord.
05:25Vous y croyez, à cette nouvelle activité, à ce projet dans lequel vous vous êtes lancée ?
05:29Vous y croyez vraiment ?
05:31J'y crois.
05:32Sauf que je pense qu'il faut que je précise un peu plus.
05:42Parce que je me suis formée à beaucoup de choses.
05:45Mais il y a quand même un public, un profil qui résonne en moi.
05:49Ce sont les enfants.
05:51Je sais que je vais atteindre cet objectif-là.
05:58Je vais aller là où je veux aller.
06:01Mais c'est vrai que j'ai l'impression qu'il y a des blocages.
06:07Il y a quelque chose qui m'empêche d'aller plus vite.
06:10Exactement.
06:11Alors, pour moi, je pense qu'il y a des peurs.
06:13Des peurs inconscientes.
06:14Et puis aussi, la peur peut-être de mal faire.
06:17Ou de ne pas être à la hauteur de vos capacités, de vos compétences.
06:22C'est normal.
06:23Parce qu'il vous faut un peu plus d'exercice et d'expérience par rapport à ça.
06:29Mais surtout, il y a un besoin chez vous de vous recentrer.
06:32Et attention, je ne porte pas de jugement.
06:34Je vous dis tout simplement par rapport à ce que je ressens.
06:36Et surtout que ça puisse vous donner cet élan et cette capacité à pouvoir perdurer dans le temps.
06:43Et à faire en sorte que ce projet et cette reconversion professionnelle soient une réussite pour vous.
06:49Et ça va l'être.
06:50Mais tout simplement, si vous retravaillez sur le recentrage.
06:54Sur peut-être ne pas trop vous disperser dans toute formation que vous pouvez faire.
07:00Et à la fois que ça ne soit pas pour vous quelque chose de perturbant et de déstabilisant.
07:07Dans ces cas-là, il y a une possibilité à ce que vous puissiez avancer.
07:12Et que vous puissiez vous-même vous sentir à l'aise dans votre activité.
07:17Et ça va se mettre en place progressivement.
07:20Donc, il faut encore un petit peu de temps.
07:22Peut-être que votre activité actuelle, sur laquelle vous avez gardé je pense par sécurité financière.
07:29Vous prend un petit peu de temps aussi.
07:31Et ne vous permet pas de vous consacrer totalement à cette nouvelle activité.
07:35Mais pour moi, n'hésitez pas à faire parler de vous.
07:38Parce que vous avez cette capacité d'approche et de relationnel avec l'individu.
07:44Qui fait qu'il y a une véritable réalisation de vie.
07:48Il y a une possibilité de changement de vie professionnelle pour vous.
07:53Avec une très belle réalisation.
07:55Très bien. Merci.
07:57Il faut perdurer.
07:59Et vous verrez que dans une période de 6 à 8 mois, il y aura eu de grands changements pour vous.
08:03Très bien. Merci Alexandre.
08:05Merci à vous.
08:06Et n'hésitez pas si vous avez besoin.
08:08Et surtout pour nous faire un retour de prédiction comme vous l'avez fait précédemment.
08:11D'accord. Au revoir.
08:13Merci.
08:15La parole est à Laure. Bonjour Laure.
08:17Oui bonjour.
08:18Bienvenue à l'antenne de Sud Radio Laure.
08:20Vous nous appelez d'où ?
08:22Du Poitou.
08:24Du Poitou. Très bien.
08:25Alors Laure, pour vous c'est une question professionnelle peut-être ?
08:29Oui. Oui, oui.
08:31Parce que j'ai été pendant une bonne dizaine d'années,
08:35on va voir un peu plus, en travail précaire.
08:39Surtout des CDD variés.
08:41Et puis je suis encore dans ce cas-là.
08:44Et là, j'ai l'opportunité de quelque chose de durable.
08:48Mais évidemment, financièrement ce sera moins bien.
08:54Les horaires aussi seront moins bien.
08:56Du coup, ça ne me fait pas vraiment envie.
08:59Mais je me dis après, l'âge avançant,
09:01est-ce que je peux vraiment permettre de faire la fine bouche ?
09:05Puis en même temps, ce que je fais en ce moment, ça ne me déplaît pas.
09:08Mais bon, je n'ai pas de congé.
09:10Donc il y a des contraintes aussi.
09:12Oui, il y a quand même des contraintes.
09:14Et du coup, je ne sais pas quoi choisir.
09:16Bien sûr. Je vois bien ça.
09:18Donc, ni l'un ni l'autre vous convient parfaitement, on va dire.
09:22Ça ne vous convient pas quoi ?
09:24Oui, mais l'idéal, je ne le trouverais pas.
09:26Parce que quand on a passé, là je vais avoir 54 ans.
09:28Donc déjà, c'est pas mal qu'on veuille me recruter à cet âge-là.
09:32On considère qu'on est mort à 54 ans pour les employeurs.
09:36Oui, enfin c'est une généralité.
09:39Après, il y a des exceptions quand même.
09:41Dans la pratique, mais après, parfois, il y a quelques exceptions.
09:44J'en connais et c'est possible.
09:46Donc, il ne faut pas rester défaitiste et fataliste.
09:48Mais Laure, je crois que vous avez raison.
09:51Il faut peut-être privilégier la notion de la sécurité de l'emploi de par votre âge.
09:58Et pour moi, oui, effectivement, je pense que vous allez aller vers un CDI.
10:03Alors, même si au niveau des horaires, il y a un petit souci d'aménagement aujourd'hui
10:08où ça peut être un peu difficile sur les horaires.
10:11Eh bien, vous verrez qu'avec le temps, vous aurez cette possibilité,
10:14cette capacité de pouvoir faire votre place dans cette structure
10:19et de pouvoir aussi trouver des avantages pour aménager un planning
10:25et faire en sorte qu'au niveau des horaires, ça soit le moins inconfortable pour vous.
10:28Donc, pour moi, il y a moyen, il y a possibilité.
10:31Je vous encourage à aller vers cette proposition du CDI
10:34parce que je le sens relativement positif.
10:36Mais quand même, donnez-moi une petite couleur en pensant à ce poste-là.
10:41Ah, je ne suis pas au vert.
10:43Eh bien, voilà. Allez, le vert. Passons au vert.
10:47Donc, le vert, c'est de l'espoir et tout est possible. D'accord ?
10:51Parce que moi, je n'étais même pas sûre qu'en fait, ils sont en réflexion.
10:55Ils ne savent pas vraiment. Je suis en concurrence avec d'autres.
11:00Je ne suis pas sûre du tout d'être prise.
11:03Oui, mais pour moi, il y a une opportunité. Il y a des possibilités.
11:06Je pense que vous aurez un deuxième entretien pour peut-être valider votre candidature.
11:11Et à mon avis, pour l'instant, ça me semble assez positif.
11:15Merci, Laure.
11:16Merci.
11:17Allez, restez optimiste et ne soyez pas fataliste. D'accord ?
11:21Merci.
11:22Merci. À bientôt.
11:23Au revoir.
11:24Allez, on va faire une petite pause et on reviendra avec Anita.
11:28Alors, pour Anita, ça se passe très moyennement bien.
11:33Tout simplement, au sein de son travail, elle cumule fatigue physique.
11:37Fatigue physique et nerveuse aussi.
11:41Je vais peut-être y arriver. C'est la fin de la semaine, c'est normal.
11:44Et sa petite voix, Anita lui dit de se lancer à son compte
11:48et de créer une activité dans le coaching.
11:51Va-t-elle y arriver ? Va-t-elle se lancer justement dans cette activité-là ?
11:54Eh bien, on va en parler dans quelques minutes.
11:58Parlons vrai.
11:59Sud Radio, parlons vrai.
12:02Parlons vrai.
12:035-7 heures, Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delaval.
12:07Et de retour dans votre émission, c'est votre avenir.
12:10Alors, si vous vous posez des questions sur votre futur, sur votre devenir,
12:14n'hésitez pas à le faire au 0826-300-300.
12:18Zach, au standard, vous attend.
12:20Et à présent, j'accueille Anita. Bonjour, Anita.
12:23Bonjour, Alexandre.
12:25Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Anita.
12:27Merci beaucoup.
12:28Anita, vous avez 48 ans, vous vous appelez des Yvelines.
12:32Oui.
12:33Et vous faites quoi dans la vie ?
12:35Alors, moi, je travaille dans le domaine de la formation.
12:38De la formation.
12:39Vous avez un travail qui vous fatigue physiquement et nerveusement.
12:43Oui, tout à fait.
12:45Racontez-nous un petit peu.
12:47Eh bien, d'abord, ce travail est loin de chez moi.
12:50Donc, j'accumule la fatigue du trajet.
12:53Et puis, l'ambiance est très désagréable avec beaucoup de conflits.
12:57C'est-à-dire ? Désagréable avec beaucoup de conflits, c'est-à-dire ?
13:01Avec des conflits entre collègues.
13:04Je pense qu'il y a un problème global de communication
13:07et chaque situation peut mal tourner.
13:10Est-ce qu'il y aurait un problème de management au sein de la structure ?
13:13Oui, exactement.
13:15Un management un peu absent ou mal managé ?
13:20Voilà.
13:21Absent et directif à la fois.
13:24D'accord.
13:26Donc, chacun est livré un peu à lui-même, alors, non ?
13:30Comment ça se passe ?
13:31Alors, voilà.
13:32Chacun est livré à lui-même.
13:33Et puis, lorsqu'il y a un problème, tout de suite, ça prend des ampleurs incroyables.
13:38Ce qui génère un mal-être global.
13:41Vraiment, le mal-être est global.
13:43Vous êtes dans cette structure depuis combien de temps, Anita ?
13:46Depuis l'année dernière.
13:47Ah oui, c'est tout récent.
13:48C'est récent, oui.
13:49Et vous ne vous sentez pas intégrée au sein de cette structure ?
13:54Je suis intégrée, mais comme l'ambiance est désagréable,
13:59j'avoue que je ne fais pas non plus beaucoup d'efforts pour y rester trop longtemps.
14:04C'est-à-dire que dès que je peux partir, j'ai l'impression d'avoir besoin de m'échapper de ce climat.
14:10C'est étrange, Anita, parce que...
14:12Bon, j'entends ce que vous me dites, mais je ressens autre chose.
14:16Dans le sens où, effectivement, il y a peut-être des problèmes de gestion,
14:22de management, d'organisation au sein de la structure.
14:26Mais ce que je ressens, c'est que vous, vous n'êtes pas complètement convaincue de ce que vous faites aujourd'hui.
14:32Je ne veux pas dire par rapport à votre métier en tant que formatrice,
14:35mais par rapport peut-être au contenu de ce que vous apportez,
14:41de ce que vous donnez ou de ce que vous transmettez.
14:43Est-ce que c'est le cas ?
14:44C'est le cas aussi, oui, c'est vrai.
14:46Et donc, n'étant pas complètement convaincue,
14:50eh bien, chez vous, ça vous fait perdre en motivation et aussi en dynamisme
14:56pour pouvoir affronter et dépasser.
14:59Et puis aussi, pour suffisamment vous protéger et éviter de vous retrouver face à des conflits
15:07ou face à des situations qui, pour vous, bien vous fragilisent et très vite vont vous renfermer.
15:13Ou vous permettent de vous auto-exclure de cette structure et de cette entreprise.
15:19Alors, quel est votre projet et votre objectif dans les semaines à venir ?
15:27Alors, moi, je réfléchis à repartir sur un autre type d'activité,
15:32soit en CDI ou créer ma propre activité.
15:36Parce qu'au fond de moi, j'ai un tempérament d'indépendant.
15:40Et je me suis rendue compte que finalement, dans toutes les entreprises que j'ai pu faire,
15:45j'avais toujours cette voie intérieure qui me faisait réfléchir à des projets, mais plutôt en indépendant.
15:51D'accord. Alors, effectivement, vous êtes une personne assez autonome et assez indépendante.
15:57Et c'est pour ça aussi, vous êtes réactive ou en tous les cas, vous êtes sensible à la moindre faille au sein d'une entreprise.
16:05Et aujourd'hui, si vous voulez être indépendante, parce que vous allez vers ce chemin-là progressivement,
16:10je pense que vous êtes en train de vous y approcher et de flirter un peu avec ce côté indépendante.
16:19Vous avez déjà une idée de ce que vous souhaiteriez faire dans l'avenir ?
16:24Oui, de continuer dans la formation et le coaching professionnel.
16:28Et pourquoi vous ne le faites pas alors ?
16:31Par peur de l'insécurité du statut d'indépendant. C'est vraiment ce qui me freine.
16:38Pour moi, je ne veux pas vous influencer, vous pousser à faire le mauvais choix, mais c'est ce qui vous correspond le mieux.
16:46Donc, bien sûr, prenez le temps pour faire les choses, pour aussi être prête.
16:53Parce que si vous allez avec un manque de confiance ou si vous allez avec trop de peur,
16:58évidemment, ça ne va pas fonctionner, ça ne va pas marcher.
17:01Et vos peurs vont prendre le dessus sur la situation et c'est elles qui auront gain de cause.
17:07Donc, essayez déjà en termes de réseau, en termes de contact, d'ouvrir toute possibilité et tout contact possible
17:15et qui s'offre à vous pour vous lancer, pour progressivement avoir un regard beaucoup plus confiant sur l'avenir.
17:23Mais oui, vous allez y aller, alors ça va demander encore un petit peu de temps, on dirait un peu moins d'une année.
17:29Je pense que peut-être qu'au printemps prochain, vous allez activer ou en tous les cas, passer à un autre stade de votre évolution professionnelle.
17:40Et puis, concernant la structure dans laquelle vous vous situez aujourd'hui, je ne vois pas trop de changements
17:47ou je ne vois pas une véritable amélioration.
17:50Donc, c'est à vous à peut-être prendre du recul sur la situation.
17:54C'est à vous à être un peu dans cette notion de dérision.
17:57C'est à vous de faire en sorte que les choses, vous les preniez moins à cœur
18:02et de continuer, bien sûr, à travailler consciencieusement, de faire votre job.
18:07Mais en attendant, ne pas être en réaction émotionnelle parce que sinon, vous allez passer un hiver difficile et ça va être compliqué pour vous.
18:15Et puis, il y a cette notion de trajet, de distance, comme vous l'avez dit tout à l'heure.
18:19Vous avez combien de kilomètres pour aller travailler tous les jours ?
18:24Tous les jours, je fais 80 kilomètres.
18:27Allez-retour, c'est déjà pas mal.
18:29Donc, ça aussi, il faut le prendre en compte et effectivement, peut-être qu'il faut voir pour réaménager certains horaires.
18:36Peut-être pas tous les jours de la semaine, mais peut-être faire en sorte d'aménager un planning un peu différent
18:43pour vous alléger et vous permettre de pouvoir mieux respirer et vous sentir beaucoup plus en phase avec votre mode et votre fonctionnement de vie.
18:52Mais vous allez y arriver, Anita.
18:54Il suffit tout simplement de mettre de l'ordre, de ranger tout ça et de faire en sorte de travailler sur votre rigueur et votre réorganisation.
19:04D'accord ?
19:05Ah oui, ça me va beaucoup.
19:07Très bien.
19:08En tous les cas, je crois en vous et je suis sûr que vous allez réussir.
19:12Je suis persuadé que si vous nous rappelez dans un an, vous aurez fait un long chemin bien différent de celui que vous avez fait jusqu'à présent.
19:20Merci beaucoup pour votre bienveillance et pour vos mots qui sont très forts.
19:25Merci beaucoup.
19:26Merci.
19:27Prenez soin de vous et passez un bon week-end, Anita.
19:29Merci à vous aussi.
19:30Merci.
19:31Allez, on va faire une petite pause et on va se retrouver avec Catherine.
19:35Le mari de Catherine a fait une mutation.
19:37Il y a quelque temps, une mutation professionnelle et ils ont dû quitter l'île pour le sud de la France.
19:43Ils se sont installés à Aix-en-Provence.
19:45Puis, ils ont décidé de se lancer dans une construction, dans une nouvelle maison, sur un terrain dans les Landes.
19:52Sauf qu'aujourd'hui, ils se posent la question, est-ce qu'ils doivent y rester ou pas ?
19:56La réponse, c'est dans quelques minutes.
19:59Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
20:03Lidl.
20:0417h.
20:05Sud Radio, c'est votre avenir.
20:06Alexandre Delovane.
20:08Et de retour dans votre émission, c'est votre avenir.
20:11Alors, si vous nous rejoignez, bienvenue à tous.
20:14On va retrouver dans quelques instants Catherine qui se pose des questions sur le lieu de vie dans lequel ils sont avec son mari.
20:23Et puis, on aura aussi un retour de prédiction concernant la fille de Martine,
20:27où je l'avais dit qu'elle changerait de poste et de fonction pour créer sa propre entreprise.
20:32Alors, l'a-t-elle fait ? On le saura dans quelques instants.
20:35Et aujourd'hui, on parle un petit peu d'accompagnement.
20:38Alors, quelles que soient les méthodes d'accompagnement,
20:40l'accompagnement contribue à trouver des solutions pour avancer et prendre confiance en soi,
20:46aussi à dépasser les blocages et toute croyance négative pour avoir plus de sérénité, de bonheur
20:53et aussi de trouver sa voie de réalisation et aussi sa mission de vie.
21:00Et je vais poser justement la question à Catherine. Bonjour Catherine.
21:03Oui, bonjour Alexandre.
21:05Bienvenue à l'antenne de Sud Radio Catherine.
21:07Merci. Je vous remercie d'accepter de répondre à mes questions déjà dans un premier temps.
21:12Merci à vous. Est-ce que vous-même, vous avez le sentiment d'avoir accompagné à vos côtés peut-être votre mari ou d'autres personnes jusqu'à présent ?
21:21Oui, j'ai accompagné ma grand-mère qui malheureusement est partie.
21:28Je l'ai accompagnée dans tous ses derniers gestes, ses dernières paroles.
21:33J'ai essayé de l'épauler, de l'écouter.
21:40C'était une période assez compliquée pour moi.
21:43Bien sûr. Et surtout, on le dit souvent que toutes ces personnes aidantes,
21:48on n'a pas l'impression, mais elles souffrent aussi parce qu'elles captent et elles doivent supporter et vivre au quotidien de ces personnes-là
22:00qui sont justement des personnes en souffrance.
22:02Et donc, il y a beaucoup de personnes aidantes qui, malgré tout, ont aussi des problèmes à la suite d'un accompagnement.
22:11Par exemple, elles peuvent avoir des problèmes psychologiques ou des problèmes physiques quand il faut porter la personne ou autre.
22:18Pour vous Catherine, aujourd'hui vous avez fait un choix avec votre mari d'aller vivre dans les Landes.
22:26Oui, tout à fait.
22:28Racontez-nous.
22:30En fait, on vient de Lille, notre région d'origine est Lille.
22:36Mon mari a obtenu une mutation professionnelle dans le Sud.
22:49Moi, ça m'a beaucoup marquée parce qu'il ne m'avait pas mis du tout au courant de cette mutation.
22:54Je suis arrivée dans le Sud, je ne connaissais personne.
22:59Il fallait tout rebâtir, tout reconstruire.
23:04C'était très compliqué pour moi.
23:06Vous avez vécu ça comme un choc émotionnel ?
23:08Oui, tout à fait.
23:10Pendant cinq ans, ça a été très compliqué pour moi.
23:14Du moment où il vous a appris cette mutation et le moment où vous avez dû partir, il y a eu combien de temps qu'il s'est écoulé ?
23:24Déjà, il est parti avant moi parce qu'il y avait la scolarité des enfants.
23:28Il est parti six mois avant moi, au mois de janvier.
23:32Après, je l'ai rejoint en fin juin pour la scolarité des enfants.
23:38C'est à peu près six mois de battement pour envisager une autre vie ailleurs.
23:47Vous êtes arrivée dans cette nouvelle ville.
23:50La ville dans le Sud, c'est laquelle ?
23:54Aix-en-Provence.
23:56Aix-en-Provence, d'accord. Vous vous êtes bien adaptée à cette ville ?
24:00Au début, c'était très compliqué.
24:03Après, on s'est habituée aux personnes, on a fait d'autres rencontres au sein de notre travail.
24:11Heureusement, il y a eu quand même...
24:15Je travaillais, donc je pense que ça m'a aidée aussi beaucoup pour avancer.
24:19Vous lui en avez voulu, à votre mari, de ne pas vous avoir dit les choses avant en amont ?
24:25Oui, c'est compliqué.
24:28Est-ce qu'aujourd'hui, vous vous sentez proche de lui ?
24:31Et est-ce qu'aujourd'hui, vous avez pardonné ?
24:34Oui, comme je l'aime, comme je tiens à lui, je lui ai pardonné.
24:40D'accord. Donc, vous avez décidé d'aller vers un nouveau projet,
24:44puisqu'aujourd'hui, vous vous situez dans les Landes, c'est ça ?
24:47C'est ça, tout à fait. J'ai voulu reconstruire quelque chose avec lui.
24:51Donc, on en a longuement discuté.
24:54Et puis, on a cherché une région.
24:57Tout ça, on l'a fait ensemble.
25:00Et donc, nous avons trouvé un terrain dans les Landes.
25:03Nous sommes arrivés ici.
25:05D'accord. Depuis combien de temps vous êtes dans les Landes ?
25:08Ça fait six mois.
25:09Ah oui, c'est tout récent.
25:10C'est tout récent, la maison est neuve.
25:12Et comment ça se passe ?
25:15C'est de nouveau...
25:17C'est pas très joyeux, tout ça ?
25:19Je sais pas, je suis pas joyeuse du tout.
25:21Je m'y sens pas très bien.
25:23Bon, il faut dire que c'est pas du tout le même météo que dans le Sud-Est, évidemment.
25:27Donc, le ciel bleu me manque.
25:29Les cigales me manquent.
25:33Est-ce que l'île vous manque ?
25:35L'île, non. Pas plus que ça.
25:39D'accord. Donc, vous êtes plus sensible au Sud-Est qu'au Sud-Ouest.
25:45C'est ça, tout à fait.
25:47D'accord. Est-ce que, justement, par rapport aux Landes,
25:51enfin, dans l'endroit où vous êtes installée,
25:55il y a peut-être un petit souci plus de pouvoir vous intérer,
25:58d'un point de vue relationnel ?
26:01Est-ce que vous avez le sentiment que c'est plus difficile qu'avec Saint-Provence ?
26:05Écoutez, là, pour le moment, je ne travaille pas.
26:08Donc, je suis en arrêt de travail.
26:10Et donc, je ne fais pas beaucoup de connaissances.
26:12C'est ça. Parce que pour moi, je sens que vous êtes isolée.
26:15Voilà, tout à fait.
26:16Quelle est votre question ?
26:18Alors, ma question est, allons-nous repartir vite dans le Sud-Est ?
26:22C'est un sujet d'actualité pour vous ?
26:25C'est une question qui se pose à deux ?
26:27Oui, tout à fait, oui.
26:28Parce que lui aussi a le même avis que vous ?
26:32Oui, c'est vrai qu'on en parle et voilà.
26:35Alors, pour moi, oui, je pense que vous allez repartir.
26:38Vous n'allez pas rester.
26:40Mais par contre, le fait de venir dans les Landes est complètement positif.
26:45Même si vous avez le sentiment qu'aujourd'hui, l'ennui est en train de prendre le dessus.
26:51Il y a peut-être la solitude, peut-être qu'il y a l'isolement aussi,
26:55par rapport à votre fonctionnement de vie et la manière dont vous avez installé les choses.
27:00Mais à la fois, il faut profiter de ce moment-là et de cette période-là pour réfléchir sur soi.
27:07C'est très important.
27:08Il ne faut pas être dans cette notion de rejet.
27:10Il ne faut pas être dans cette notion de se sentir exclu.
27:14Mais tout simplement de dire, bien voilà, on a accepté, on doit assumer nos choix.
27:19On doit se responsabiliser sur notre propre décision.
27:22Et prenons les aspects positifs de tout ça.
27:25Et pour moi, il y a plein.
27:27Si on devait identifier ou noter tout ça, il y a plein d'aspects positifs.
27:34Pourquoi ?
27:35Parce que dans un premier temps, vous, professionnellement, vous êtes un peu dans un carrefour.
27:40Et vous avez besoin de réfléchir sur vous.
27:42Vous avez besoin d'aller vers autre chose.
27:44Vous avez besoin peut-être d'évoluer autrement et différemment.
27:47Et puis aussi, votre mari avait besoin de prendre un peu de recul
27:52par rapport à la situation dans laquelle il se positionnait auparavant,
27:55notamment du côté de Aix-en-Provence.
27:57Ça ne veut pas dire pour autant qu'Aix-en-Provence a été toxique ou négatif.
28:02Pas du tout.
28:03Mais je pense que cette période du changement, elle ne vient pas par hasard.
28:07Elle ne s'est pas faite comme ça en pensant que vous avez fait une erreur.
28:13Pas du tout.
28:14Au contraire, je crois que c'est extrêmement positif.
28:18Et il faut vraiment que cette période, pour vous, soit une période de réflexion,
28:26de prise de conscience et d'aller vers une autre évolution
28:30et de rebondir autrement et différemment.
28:32Et puis ensuite, pour votre projet de vie,
28:36vous allez repartir du côté peut-être d'Aix-en-Provence,
28:40mais peut-être pas complètement d'Aix-en-Provence.
28:42J'ai l'impression que vous avez peut-être un autre lieu ou un autre endroit
28:45sur lequel vous avez déjà projeté d'aller, qui n'est peut-être pas très loin,
28:50mais il y a quelque chose d'autre, un autre endroit.
28:52C'est vrai. On s'est projeté du côté de Béziers, en fait.
28:56Voilà, exactement.
28:57Et là, je vous sens être encore mieux.
29:00Et je sens que, pour en finir, vous allez aller vers un lieu,
29:05un endroit qui va totalement correspondre à vos attentes.
29:10Et vous allez vous dire, avec du recul, après,
29:13vous nous rappellerez pour nous le dire à ce moment-là,
29:16mais vous allez vous dire, pour en finir,
29:18merci d'avoir vécu cette période-là,
29:21puisque ce que la vie nous offre aujourd'hui et ce qu'elle nous donne,
29:25c'est une opportunité et c'est peut-être même une chance aussi.
29:28Super. Je vous remercie, Alexandre.
29:31Prenez du recul sur la situation.
29:34Ne vous enfermez pas dans vos émotions négatives.
29:37Ne laissez pas la peur vous gagner et l'ennui aussi vous gagner.
29:42Mais je ne veux pas dire qu'il faut chasser tout ça,
29:44mais essayez d'identifier tout ça et d'en faire quelque chose de bon
29:48pour rebondir encore mieux et plus positivement. D'accord ?
29:52Super. Ce n'est pas toujours facile, mais je vais essayer.
29:54Vous allez y arriver. J'en suis persuadé.
29:56Pourquoi ? Parce qu'à la clé, vous savez qu'il y a autre chose qui vous attend
30:00et il y a un objectif.
30:03Et quand il y a un objectif, ça veut dire qu'il y a de l'espoir.
30:06Ecoutez, merci beaucoup, Alexandre.
30:09Et je ne manquerai pas de revenir vers vous
30:11pour voir si ces prédictions se sont réalisées.
30:16J'espère bien, ma chère Catherine. Je vous attends.
30:19Merci beaucoup.
30:21Merci. Allez, je vous embrasse et soyez forte.
30:23Merci beaucoup. Au revoir.
30:26Et maintenant, j'accueille Martine. Bonjour Martine.
30:29Alexandre, bonjour.
30:31Alors Martine, je tiens à vous remercier de votre fidélité à l'antenne de Sud Radio
30:35parce que vous êtes une ancienne auditrice, enfin toujours auditrice,
30:39mais vous nous avez appelé il y a quelque temps.
30:43Vous vous appelez de la Haute-Garonne.
30:46Oui.
30:47Alors racontez-nous un petit peu.
30:49Alors Alexandre, déjà je vous avais appelé justement il y a quelque temps,
30:53peut-être une année, par rapport à la situation professionnelle de ma fille.
30:58Puisque à cette époque-là, le poste qu'elle occupait ne lui convenait plus,
31:01elle l'exprimait, et je trouvais qu'elle était un peu statique dans ses démarches
31:05et que je ne la voyais pas trop postuler ailleurs pour changer les choses.
31:10Et vous m'aviez dit qu'effectivement, elle avait du mal à postuler
31:13parce que ce n'est pas ce qu'elle avait forcément envie,
31:18qu'elle n'avait pas forcément envie d'occuper un emploi similaire
31:23et qu'elle était plutôt créative et tournée dans une activité qui lui serait propre.
31:27Et que le moment viendrait.
31:29Alors de ce côté-là, ça a un peu évolué puisqu'elle a obtenu une rupture conventionnelle toute récente.
31:36Mais aujourd'hui, elle se pose la question de que faire,
31:39puisqu'elle n'a pas du tout préparé l'après.
31:41D'accord, d'accord.
31:43Et on en revient sur le fait que les offres d'emploi qu'elle conçue,
31:47elle ne l'intéresse pas vraiment.
31:49Et elle me dit que peut-être est venu pour elle de saisir l'opportunité de se lancer,
31:54d'essayer de faire soit des formations complémentaires,
31:57soit de tenter de développer une activité en ligne,
32:01même si elle ne sait pas trop quoi faire aujourd'hui.
32:03D'accord. Alors Martine, par rapport à ce que je vous avais dit auparavant,
32:08donc effectivement, c'est dans l'air du temps, dans cette évolution-là,
32:13est-ce qu'elle a eu connaissance de l'information, de ce que j'ai dit, ou est-ce que...
32:18Non, pas du tout.
32:19Alors, d'accord.
32:20On ne peut pas dire que ça influence les choses,
32:22puisqu'elle n'était pas du tout au courant que vous aviez vous-même appelé Sud Radio.
32:27Pour moi, effectivement, aujourd'hui, votre fille a ce besoin peut-être de s'enrichir,
32:34a besoin de passer par un cap de formation,
32:36en tous les cas, elle a besoin de faire un peu un break avec sa vie professionnelle
32:41pour, à un moment donné, structurer et construire tout ça.
32:47Donc ça va demander un petit peu de temps,
32:49et moi j'aurais tendance à dire que la période est complètement favorable
32:54pour, justement, apprendre, se perfectionner,
33:00s'enrichir au niveau des connaissances et d'aller vers de la formation.
33:04Et puis, ensuite, elle-même va monter un projet.
33:07Mais il faudra faire attention à ce projet,
33:09parce que votre fille, on dirait qu'elle peut avoir cette initiative d'une femme,
33:18d'une entrepreneuse, ou en tous les cas, de cette volonté de vouloir avoir sa propre activité,
33:25mais elle a quand même besoin d'être encadrée et structurée.
33:30Donc, pour moi, ce que je verrais bien, et ce que je semble percevoir chez votre fille,
33:35c'est d'avoir peut-être un statut indépendante,
33:38mais travailler pour une structure, vous voyez ?
33:43Parce que sinon, si elle se livre à elle-même toute seule,
33:46eh bien, j'ai peur qu'à un moment donné,
33:49elle n'ait pas toutes les armes pour, justement, suffisamment communiquer sur elle,
33:54ou pour arriver à faire tout ça une réussite.
33:58Ça ne veut pas dire qu'elle n'est pas capable,
34:00mais d'être indépendant, il faut malheureusement être son propre comptable,
34:05son propre commercial, son propre chef d'entreprise, tout ça.
34:09Donc, ça demande d'avoir beaucoup d'atouts,
34:12et votre fille risque d'avoir quelques faiblesses sur ces aspects-là.
34:17Oui, c'est possible.
34:18Et ce qui me préoccupe un petit peu, c'est que par rapport à ses allocations chômage,
34:23et le salaire qu'elle avait, il y a peut-être 500 euros de moins tous les mois,
34:27et que dans la région où elle vit, la vie est très chère,
34:32elle était déjà juste avec le salaire, donc là, avec 600 euros de moins,
34:36si elle attend de gagner assez d'argent pour se faire,
34:44du moins, être autonome sur ses dépenses actuelles,
34:48elle risque de coïncer.
34:49Oui, mais vous savez, il ne faut peut-être pas raisonner de cette manière-là,
34:53parce que si jamais elle veut, elle-même, construire sa propre boîte ou sa propre entreprise,
34:58on ne doit pas, enfin, ce n'est pas qu'on ne doit pas,
35:01mais si elle commence à penser à 100 euros de plus ou 100 euros de moins,
35:04là, effectivement, autant rester avec un fonctionnement de salarié.
35:09Donc, il faut qu'elle travaille sur le challenge,
35:12et en le démarrant, forcément, peut-être qu'il y a des mois qui seront en négatif,
35:17comme il y a des mois qui seront beaucoup en positif.
35:20Mais pour moi, ce qui est important, c'est surtout elle,
35:23dans sa capacité et dans sa possibilité de pouvoir s'intégrer,
35:27de pouvoir, si vous voulez, manœuvrer les choses,
35:30et elle peut le faire en étant indépendante, mais en se rattachant à une structure.
35:35Donc, soit être soit un prestataire, soit de travailler avec,
35:41un peu comme si elle-même pouvait apporter un service ou quelque chose comme ça,
35:47mais en attendant, pas seule complètement, d'accord ?
35:52C'est ce qu'elle voulait faire dans la banque,
35:54mais elle voulait au moins faire assistant commercial, pour commencer.
35:57Oui, c'est bien.
35:59On l'a un peu découragée parce qu'on lui a dit qu'elle n'aurait pas les diplômes pour faire ça,
36:03qu'aujourd'hui, il fallait des diplômes.
36:04Mais qui l'a découragée ?
36:06Un coach, un coach qui nous a interrogé.
36:09Donc, qui l'a découragée, du coup, elle ne va plus faire de recherche dans ce domaine-là,
36:12donc ce qu'elle avait à lui, c'est de le challenger en tant que commercial pour une société.
36:16Un coach qui décourage ?
36:18Bon, écoutez, peut-être qu'il faut qu'elle aille voir quelqu'un qui lui apporte du positif.
36:23Je suis désolé.
36:24Parce qu'elle est très positive.
36:26Elle me dit, ne t'inquiète pas, je travaillerai, je ferai n'importe quoi pour arriver à boucler mes fins de mois, ne t'inquiète pas.
36:32Assistant commercial, je le sens bien pour elle.
36:34D'accord Martine ?
36:36Ok, je vous remercie Alexandre.
36:38Merci à vous, prenez soin de vous.
36:40Merci à vous pour vos éclairements et ce que vous donnez aux personnes pour les rassurer.
36:44Merci.
36:45C'est très important.
36:46Merci.
36:47Allez, on va faire une petite pause, le temps de se rafraîchir.
36:50On retrouve Amoury.
36:52Amoury était directeur de magasin, mais il avait une autre activité en tête,
36:56celle de se développer dans les soins énergétiques.
37:00Et il l'a fait, mais à ce jour, il se pose des questions sur son activité.
37:04Est-ce que les choses vont évoluer dans un côté positif ?
37:08Eh bien, il va nous le dire dans quelques minutes.
37:10Ne bougez pas.
37:12Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
37:17Dès lundi, 16h17, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovane.
37:22Et de retour dans C'est votre avenir, bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent pour cette dernière partie.
37:28Avant de retrouver les vrais voix, présentés par Cécile Dominibus et Philippe David.
37:33Et à présent, j'accueille mon dernier auditeur de la semaine, bien entendu, Amoury.
37:37Oui, bonjour Amoury.
37:39Et bonjour Alexandre.
37:40Un joli prénom, Amoury.
37:42Merci.
37:43Vous avez 40 ans, vous êtes de la Haute-Garonne.
37:47C'est ça.
37:49Et vous avez complètement changé de métier.
37:53Tout à fait.
37:54Racontez-nous un petit peu.
37:56En fait, je vous avais appelé déjà il y a un an et demi.
37:59Ah, parfait.
38:00Puisque j'étais en questionnement par rapport à ça.
38:04Et donc, j'ai toujours été dans le commerce dans ma vie pour faire simple.
38:07Mais du coup, j'avais une grosse attirance sur les soins énergétiques que je procurais déjà à certaines personnes.
38:12Et je souhaitais développer de plus en plus cette activité.
38:15Et donc, je vous avais appelé pour savoir ce que vous voyez, ce que vous voyez à l'époque.
38:19Et du coup, vous m'aviez annoncé environ un an et demi à deux ans avant de me monter réellement là-dedans et de faire ça.
38:28Et il s'est trouvé qu'un an et demi après, j'ai réussi à obtenir une rupture conventionnelle de travail.
38:33Et ce qui m'a permis de mettre en place mon activité actuelle.
38:37Très bien.
38:38Et donc, bonne prédiction pour le coup.
38:40Merci.
38:41Donc aujourd'hui, tout s'est mis en place petit à petit.
38:44Maintenant, il faut que les choses se développent.
38:47Et donc, j'ai pris du temps pour mettre en place énormément de choses.
38:50Et je voulais savoir comment vous voyez l'avenir sur cette nouvelle activité, sur ce démarrage officiel, on va dire.
38:59D'accord.
39:00Alors, pour moi, je pense qu'il y a du potentiel, il y a des possibilités.
39:05Et je crois qu'il y a une clientèle qui va se fidéliser chez vous et qui va progressivement évoluer.
39:12Et vous allez pouvoir arriver ou obtenir des objectifs que vous souhaitez.
39:17Par contre, il faut un peu plus communiquer.
39:19Ou il faut peut-être ne pas hésiter à faire parler de vous et peut-être à travailler, je ne dis pas sur votre image que vous avez une mauvaise image.
39:27Mais tout simplement à ce qu'il y ait plus de visibilité sur vous.
39:31Alors, ça peut passer par les réseaux sociaux, par d'autres moyens ou d'autres techniques ou par un blog ou autre.
39:36C'est ça qui, je dirais, qui manque un petit peu et qui fragilise les possibilités d'évolution de cette activité-là.
39:44Mais vous verrez qu'à partir de printemps 2025, je ne sais pas ce qui va se passer.
39:50Mais il y a une ascension pour vous qui s'annonce peut-être par le biais de réseaux, de contacts ou autres.
39:56Il y a une ascension et là, on dirait qu'on va vers un climat beaucoup plus serein.
40:01Et je vous invite à nous rappeler début d'année prochaine pour faire le point. D'accord ?
40:05C'est magnifique. Merci beaucoup.
40:07Magnifique aussi.
40:08Marie, je vous souhaite un bon week-end.
40:10Merci à vous aussi.
40:12Merci.
40:14Allez, cette émission est à sa fin.
40:16Et moi, je vous souhaite une bonne fin de journée, un bon week-end.
40:19On se retrouve mardi et lundi.
40:21Ça sera Marie dans C'est votre avenir, bien entendu.
40:23Et la place est au Vrévoir.
40:25Bonsoir, Alexandre Delovane au menu des Vrévoirs.
40:29Dans un instant, à 17h30, retour sur les tensions au Moyen-Orient.
40:33Israël promet de continuer à rafrapper durement le Hezbollah.
40:37De son côté, le Hezbollah riposte à la frontière libanaise.
40:40Vers quel scénario se dirige-t-on ?
40:42Mais on se pose surtout la question, Israël a-t-il la puissance pour anéantir le Hezbollah ?
40:47Vous pensez que la force de frappe de Tsaïl est tellement supérieure au Hezbollah qu'elle peut l'écraser ?
40:52Ou vous pensez qu'une guerre de guérillas, c'est quasi imbattable ?
40:56On l'a vu au Vietnam et en Indochine, notamment pour les Français et les Américains.
41:00Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
41:04À 18h40, plongeons dans la nouvelle cohabitation.
41:08Mais ce n'est pas une cohabitation, c'est une coexistence exigeante.
41:11Et est-ce qu'Emmanuel Macron arrive à trouver sa place à côté de Michel Barnier ?
41:15On a l'impression qu'on ne parle plus trop du Président de la République,
41:18que c'est surtout le Premier Ministre et surtout on n'est pas en période de cohabitation,
41:22donc c'est assez bizarre.
41:23Est-ce qu'Emmanuel Macron arrive à trouver sa place ?
41:25Ou est-ce que là, il est vraiment dans une impasse ?
41:28Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
41:31Les trois vrais voix du jour, Philippe Billiger, Éric Revelle et René Chiche.
41:35Bonne émission à tous.

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