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00:0516h-17h. Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Deloval.
00:09Bonjour à tous. Ravis de vous accompagner dans votre émission, c'est votre avenir.
00:14Et aussi, je suis très heureux de finir cette semaine avec vous.
00:18Alors, vous savez que parfois, s'épanouir dans sa voie professionnelle, ce n'est pas toujours évident,
00:24même si la majorité des Français s'épanouissent quand même dans leur travail.
00:28Mais se révéler dans sa vocation, ce n'est pas donné à tout le monde pour différentes raisons.
00:34Et aujourd'hui, nos éditeurs se posent des questions sur leur avenir professionnel.
00:38Il y a ceux qui espèrent avoir du mieux, ceux qui ont décidé de vivre une reconversion,
00:46et ceux qui sont en réflexion totale de leur personne.
00:50Alors, durant cette heure, je révélerai votre futur, comme chaque jour, avec bienveillance et intuition.
00:56Un numéro, 0 826 300 300. Je crois que la réalisation Anthony est prête,
01:01et je crois qu'aussi Jacques Austandard est prêt.
01:07Et effectivement, on va pouvoir démarrer cette émission avec ma première auditrice, Corine. Bonjour, Corine.
01:13Bonjour, Alexandre. Merci de votre accueil.
01:16Merci à vous. Et vous avez une voix solaire.
01:19Merci.
01:20Merci.
01:22Alors, Corine, est-ce qu'on s'est déjà eu à l'antenne ? Jamais ?
01:25Oui, on s'était eu il y a un an et demi, deux ans. Mais là, c'était pour une question, je dirais, sentimentale.
01:32D'accord.
01:33Et voilà.
01:34D'accord. Parfait. Et aujourd'hui, vous vous posez des questions sur le plan professionnel.
01:40Professionnel. Tout à fait.
01:41Vous habitez dans quelle ville ?
01:45Alors, je suis sur Toulouse.
01:47Toulouse.
01:48Et je suis dans le domaine, je suis commerciale.
01:51D'accord. Dans quel secteur exactement, commerciale ?
01:54La presse.
01:56D'accord. Alors, est-ce que, justement, c'est un marché qui se porte bien aujourd'hui, la presse ?
02:02Pas trop. Donc moi, ça fait 19 ans que j'étais dans cette société.
02:07Oui.
02:08J'étais au niveau du siège social qui n'était pas à Toulouse. Et j'ai déménagé sur Toulouse il y a deux ans.
02:17Et là, juste avant les vacances en juillet, on m'a annoncé que le bureau commercial de Toulouse fermait.
02:24Oui.
02:25Et que soit je me rapatriais sur le siège social, soit on envisageait un licenciement économique.
02:34Alors comme moi, j'ai ma vie maintenant sur Toulouse, j'ai opté pour le licenciement économique.
02:41Oui.
02:42Et ma question aujourd'hui est que durant les deux ans que j'ai fait sur Toulouse pour cette société, j'ai rencontré pas mal de gens.
02:52Et qu'il y a pas mal de gens qui m'ont dit « ah ben, pourquoi tu… je n'ai pas les moyens de te payer, mais si tu étais auto-entrepreneur, tu pourrais être un porteur d'affaires, etc. »
03:04Oui.
03:06J'ai monté ma structure d'auto-entrepreneur, mais ma question aujourd'hui, je suis au chômage, mon contrat s'est fini septembre.
03:16Et donc ma question est, est-ce que je me lance en auto-entrepreneur ou est-ce que je recherche du travail ailleurs ?
03:26Si je comprends bien, est-ce que vous êtes lancé déjà en auto-entrepreneur ou est-ce que vous êtes dans un but de le faire dans les semaines à venir ?
03:34Étant donné que c'est très long, tout ce qui n'est pas prof, j'ai déjà créé la société, mais elle est en activité nulle.
03:46Donc c'est juste de voir si je me la développe ou si je continue à chercher et de trouver du travail ailleurs.
03:54D'accord. Mais administrativement, vous êtes enregistrée auprès du registre du commerce ?
03:59Tout à fait.
04:02Déjà, vous avez fait un pas quand même.
04:05Aujourd'hui, vous êtes engagée en tant qu'auto-entrepreneur, même s'il n'y a pas encore de chiffre d'affaires et d'une véritable activité.
04:15Mais à la fois, vous êtes hésitante. C'est bien ça ?
04:20Tout à fait.
04:22Qu'est-ce qui pourrait vous permettre d'hésiter aujourd'hui ?
04:28Le point de vue financier. Est-ce qu'à la fin du mois, j'aurai de quoi payer les factures, le loyer ?
04:38Permettez-moi Corinne de vous couper la parole parce que je suis un peu pressée de vous dire ce que je ressens par rapport à votre futur.
04:51Je ne crois pas que ce soit un problème matériel ou financier sur la possibilité d'avancer, d'évoluer avec ce statut-là.
05:00Parce que vous avez de l'expérience, vous avez peut-être des réseaux aussi.
05:04Et je vous sens avoir cette capacité à pouvoir très bien arriver à faire votre chiffre d'affaires et vous permettre de pouvoir vivre de cette activité.
05:15Mais ce qui semble ressortir et ce qui semble aussi apparaître dans l'avenir pour vous, c'est le fait de se retrouver un peu trop seul, un peu isolé.
05:25Vous avez besoin d'avoir une équipe, vous avez besoin d'être dans une structure où à un moment donné, il y a quand même un petit challenge pour vous et dans l'état d'esprit de la structure.
05:37Est-ce que c'est le cas ?
05:40Oui, oui.
05:42Être dans une équipe, pas forcément parce que j'ai souvent été toute seule, ne serait-ce qu'au bureau ou quoi que ce soit.
05:50Mais c'est vrai que j'ai besoin de contacts, j'ai besoin de relationnels, j'ai besoin d'avoir des gens.
06:00D'accord.
06:01Mais pour moi, je pense que par rapport à votre activité en tant que commercial, forcément et dans la structure d'avant où vous étiez encadré, il y avait quand même une hiérarchie.
06:11Je crois qu'à ce niveau-là, vous aviez quand même autour de vous et au-dessus de vous une entreprise avec une hiérarchie et ça, ça paraissait rassurant.
06:21Maintenant, à vous de voir et de poursuivre l'engagement dans lequel vous êtes aujourd'hui.
06:29Mais pour moi, je ne vous sens pas rester tout définitivement et tout le temps en tant qu'auto-entrepreneur.
06:35Je ne veux pas du tout vous casser votre élan dans lequel vous semblez vouloir aller et vraiment pas.
06:43Mais je vous sens plutôt aller vers à nouveau des recherches de structures, d'entreprises qui pourraient vous permettre d'être peut-être, oui, effectivement autonome comme vous l'avez été jusqu'à présent.
06:55Mais d'être avec un statut, peut-être cadre salarial ou avec la possibilité d'avoir un encadrement autour de vous.
07:04D'accord.
07:05C'est mon ressenti, ma chère Corinne.
07:07Merci, c'est très gentil.
07:11Et puis, surtout, retenez dans ce que je vous ai dit, c'est que malgré tout, avec le statut d'auto-entrepreneur, vous pouvez arriver à du résultat et vous pouvez obtenir satisfaction par rapport à cette prise de décision et à cet engagement-là.
07:28D'accord ?
07:29D'accord, très bien. Merci énormément.
07:31Merci à vous Corinne. Prenez soin de vous, passez un bon week-end.
07:35Merci, vous de même. Bonne journée, au revoir.
07:38Et la parole est à Jeanne. Bonjour Jeanne.
07:41Bonjour Alexandre, merci beaucoup de me rappeler.
07:44Merci à vous.
07:45Merci pour votre émission.
07:46J'ai un grand plaisir de vous accueillir à l'antenne de Sud Radio. Jeanne, vous nous appelez d'où ?
07:52Alors, je vous appelle de la région Bretagne.
07:55Oui.
07:56Et je vous appelle en l'occurrence pour... Nous avons changé de région.
08:01Oui.
08:02Et nous avons donc une maison en vente en région parisienne depuis un an et demi.
08:08Et vraiment, c'est compliqué, ça ne s'arrive pas à l'avance.
08:15Non.
08:16Alors, il y a des visites pourtant, mais ça ne passe pas.
08:21Et puis, j'avais une autre question pour l'une de nos filles qui nous a rejointes en région Bretagne
08:26et qui recherche du travail depuis plus d'un an.
08:29Et c'est pareil, on a l'impression qu'on est dans une situation de blocage.
08:33Enfin bon, il y a pire. On ne va pas plus enrichir sur notre sort.
08:39Non, mais malgré tout, c'est normal, vous vous êtes préoccupés par la situation
08:44et vous aimeriez peut-être tourner la page et avancer et aller vers autre chose.
08:49Oui, parce que du coup, ça nous bloque pour plein d'autres choses.
08:53Effectivement. Alors, pourquoi ça ne s'avance pas, cette habitation et ce logement dans la région parisienne ?
09:02Alors, on sait qu'en ce moment, c'est compliqué.
09:06Ce n'est pas spécial à nous, semble-t-il.
09:08Il y a beaucoup de biens en vente sur le marché.
09:11Oui.
09:13Il y a un terrain à côté de notre maison sur lequel il doit y avoir des constructions.
09:22Peut-être que ça fait peur, je ne sais pas.
09:25Alors, c'est très étrange de ce que je ressens, c'est que pour l'instant,
09:31déjà, je sens que ça va se vendre, il n'y a pas de soucis, je ne sens pas de blocage particulier.
09:37Par contre, je sens que votre maison n'est pas assez soit mise de l'avant à la vente,
09:44ou peut-être qu'elle est noyée parmi d'autres maisons en vente et donc,
09:49elle ne ressort pas assez en termes de valeur ajoutée,
09:53ou il y a quelque chose de bon vis-à-vis de cette maison sur laquelle il faudrait profiter
09:59et essayer peut-être d'argumenter pour pouvoir vendre cette maison.
10:04Je vous sens peut-être changer soit d'agence, elle est en agence immobilière ?
10:09Oui, elle est dans trois agences actuellement.
10:12D'accord. Alors, je ne sais pas, je sens qu'il y a un changement.
10:16On a eu un appel tout à fait impromptu d'une agence constructeur hier après-midi,
10:28qui a vu que notre maison était en vente et qui m'a dit réfléchir et nous rappellerait.
10:39D'accord, bon, pourquoi pas. Je ne suis pas certain que ce soit avec eux,
10:43mais après, à vous de voir et de négocier, ou en tous les cas de suivre le dossier.
10:50Mais vous allez la vendre cette maison et je pense que début d'année prochaine,
10:54il y aura une signature qui sera effective et qui va permettre de pouvoir passer à autre chose
11:02et avoir à nouveau un espoir sur un changement de vie et sur aussi la possibilité
11:09de vous réinstaller encore plus confortablement en Bretagne.
11:13Mais pour moi, ça demande un petit peu de temps, ça demande à changer un peu les choses,
11:18notamment peut-être avec les agences ou de voir quelles sont les personnes qui gèrent ce dossier
11:25pour argumenter un peu plus, pour mettre un peu plus en valeur votre maison.
11:30Et vous verrez que d'ici le mois de février 2025, vous serez dans un changement
11:37et avec la possibilité d'avoir vendu cette maison.
11:43Merci à vous Jeanne.
11:46Et pour notre fille qui ne trouve pas de travail, vous voyez ?
11:51Alors, pour votre fille, vous pensez à votre fille ? Donnez-moi une couleur, s'il vous plaît.
11:57Le vert.
11:58Le vert. Bon, je n'ai pas assez d'éléments pour dire ce que je ressens par rapport à votre fille,
12:03mais ce que je pourrais vous dire là, dans l'instant T, c'est qu'il y a une opportunité.
12:09Elle a déjà peut-être postulé sur une société ou une entreprise qui pourrait la rappeler
12:18ou qui pourrait lui permettre de pouvoir avoir une offre ou une opportunité professionnelle, d'accord ?
12:25Oui.
12:26Je suis désolé, vraiment, nous devons rendre l'antenne pour faire une petite pause
12:32et vraiment, on a d'autres auditeurs qui nous attendent, ma chère Jeanne, d'accord ?
12:38Merci à vous et puis je vous souhaite un bon week-end.
12:43Allez, nous on va faire une petite pause, le temps de retrouver notre prochaine auditrice, Sandra.
12:49Sandra et son frère sont dans une affaire de restauration.
12:54Son frère lui a fait une proposition parce qu'il vient d'acheter ce restaurant
12:59et il veut éventuellement proposer à sa soeur de s'associer.
13:04Alors, doit-elle accepter ou pas ? La réponse, c'est juste après cette pause.
13:09C'est votre avenir, revient dans un instant sur Sud Radio.
13:156h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Deloval.
13:19Et de retour dans votre émission, c'est votre avenir.
13:22Alors, si vous vous posez des questions, c'est le moment.
13:25Jusqu'à 17h, on peut vous répondre au 0800 26 300 300.
13:30Vous êtes nombreux chaque jour à appeler et si vous n'arrivez pas à nous joindre directement,
13:35n'hésitez pas à laisser un message sur le répondeur de Sud Radio.
13:39Zach et Aude, bien sûr, consultent toute la messagerie.
13:43Et à présent, j'accueille Sandra. Bonjour Sandra.
13:47Bonjour Alexandre.
13:49Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
13:51Merci.
13:53Sandra, vous nous appelez d'où ?
13:55Alors, je vous appelle de Marseille.
13:57Bon, vous avez du beau temps.
13:59Aujourd'hui, pas trop.
14:01Comparativement à Paris, je pense qu'on a quand même du beau temps.
14:05Oui, c'est vrai que le Nord, c'est pas évident.
14:07Effectivement.
14:09Mais voilà, ce week-end, je rappelle que ce week-end, on change d'heure.
14:13On passe en heure d'hiver.
14:15Et ça va changer aussi.
14:17Ça va changer pas mal de choses.
14:20Exactement. Vous arrivez à vous y faire à ce changement d'horaire, vous ?
14:23Oui, en général, oui. Pas de souci.
14:28Alors Sandra, votre frère a un projet de reprendre un restaurant.
14:33Tout à fait.
14:35Et donc, vous, vous serez participative à ce projet-là.
14:43Racontez-nous un petit peu ce qui se passe.
14:45Alors, il a déjà un restaurant qu'il a enfin réussi à vendre.
14:49Et il a le projet d'acheter une sorte de chaîne de restaurant.
14:54Le crédit, pour le plus gros établissement, est pratiquement accepté.
15:02En revanche, pour le plus petit, il a demandé de contribuer à ce que le crédit soit accepté.
15:10Et voilà, j'hésite.
15:12C'est pas que j'hésite, c'est que j'ai déjà en fait un travail.
15:15J'ai une petite boutique sur Marseille.
15:19Je fais complètement autre chose.
15:22Et c'est vrai que ce restaurant, ça me permettrait d'avoir une stabilité financière.
15:28Et voilà, je ne sais pas.
15:30Donc, ma question, c'était savoir est-ce que ce crédit va être accepté ?
15:34Auquel cas, s'il n'est pas accepté, comment ça va se passer dans ma boutique ?
15:40En sachant que cette boutique-là est nouvelle aussi.
15:43Si vous voulez, tout est arrivé en même temps.
15:46Et vous allez pouvoir conjuguer les deux, entre boutique et restaurant ?
15:50Alors, il se trouve que c'est un restaurant qui n'ouvre que le midi.
15:53D'accord.
15:54Donc moi, je pensais justement, peut-être, j'ai une fille qui les semble.
15:58Ou même peut-être trouver une personne qui pourrait m'aider le matin.
16:02Et que je puisse arriver en début d'après-midi, vers 14h, au maximum 15h.
16:10Et terminer en fait les heures de la boutique.
16:13Alors justement, pour moi, il y a une possibilité.
16:18Que vous puissiez obtenir ces demandes de crédit.
16:21Enfin, en tous les cas, qu'elles soient positives.
16:23Et que vous puissiez avoir ces crédits.
16:26Ça, je le sens assez positif.
16:28Et je pense que ça va être accordé.
16:30Après, bien entendu, ce n'est pas moi le décideur.
16:33Mais en attendant, je sens qu'il y a une ouverture possible.
16:37Mais là où j'ai un peu plus de retenue et de réticence,
16:42c'est sur la capacité à pouvoir gérer ces deux activités.
16:46Et d'autant plus que si l'activité de la boutique, c'est la journée.
16:51Le restaurant, le midi.
16:53Malgré tout, ça demande un service du midi.
16:56Ce n'est pas seulement de midi à 14h.
16:58C'est un service.
16:59Donc pour moi, ça risque d'être un petit peu compliqué.
17:03Alors même si au début, vous arrivez à avoir cette capacité à le faire.
17:08Parce que vous êtes dans quelque chose de nouveau.
17:11Vous avez l'énergie.
17:12Mais avec le temps, je vous sens vous épuiser.
17:15Je vous sens vous fatiguer.
17:17Et attention, il faudra penser à vous économiser.
17:20Parce que vous avez aussi peut-être votre vie de famille.
17:24Vous avez aussi ce besoin, vous, de vous retrouver.
17:28Et puis de ne pas laisser tomber cette boutique.
17:31Parce que la boutique pourrait, elle, vous pourriez lui faire subir des conséquences.
17:37Et avoir des fragilités à l'avenir dans cette boutique en termes de gestion.
17:44Parce que c'est plus sur l'organisation.
17:47Et sur la multiplication des projets et des activités que vous avez à l'avenir.
17:55Qui me semble être plus difficile.
17:57Ensuite, si vous arrivez à gérer, à organiser, à peut-être vous faire aider et appuyer.
18:03Évidemment que là, il y aura moyen peut-être d'arriver à pouvoir perdurer dans le temps.
18:09Et c'est tout à fait possible dans ce sens-là.
18:12Mais retenez bien ce que je vous dis.
18:14C'est surtout ça.
18:15En fait, c'est votre capacité vitale.
18:19Et au niveau de l'énergie, où j'ai un petit doute sur ça.
18:23Sur cette capacité-là.
18:25Ensuite, sur le restaurant, est-ce qu'il y a une longueur ?
18:32Est-ce que le restaurant est construit, ou en tous les cas, dans sa configuration, il est en longueur ?
18:40En fait, ce n'est pas vraiment un restaurant de service à table.
18:45C'est un restaurant d'entreprise.
18:47Les personnes choisissent elles-mêmes.
18:51Je l'ai vu en photo.
18:55Il me semble que oui, il est en longueur.
18:58Alors c'est peut-être ça.
18:59Parce que je perçois un endroit en longueur.
19:03Et on dirait qu'il y a du potentiel.
19:06Il y a des possibilités.
19:07Mais ça va prendre beaucoup d'énergie.
19:08Pour moi, c'est un projet viable.
19:11Vraiment, j'aurais tendance à vous dire, allez-y, faites-le.
19:15Mais il faudra juste s'organiser.
19:20Et puis aussi, essayer de s'économiser au mieux que possible.
19:24Parce que là, vous allez doubler votre temps d'activité et de travail.
19:29Donc, d'après vous, il serait préférable, est-ce que je laisse, par exemple, mon magasin en gestion à une personne ?
19:37Alors, ça, je ne sais pas.
19:40Parce que je ne connais pas votre affaire.
19:41Et ça serait difficile de vous dire ça.
19:42Mais je pense qu'à l'avenir, d'avoir les deux, ça ne sera pas gérable.
19:46Donc après, moi, j'aurais tendance à dire, peut-être, effectivement, de trouver une personne de confiance.
19:51Et peut-être de voir avec elle, peut-être à mi-temps,
19:56permettant de voir un petit peu comment ce magasin, cette boutique peut se gérer en votre absence.
20:02Tout en ayant tous les jours un regard sur la gestion de ce lieu.
20:07Parce qu'il ne faut pas oublier que c'est vous, la décisionnaire et la patronne.
20:11Et puis, après, décidez un peu plus tard.
20:14Ne vous précipitez pas.
20:15Ayez ce temps de recul.
20:18Et puis aussi, par rapport à ce restaurant, il faut voir si, pour vous,
20:23même si l'activité peut se faire et si le projet est bon,
20:28mais il faut voir pour vous si vous vous sentez bien
20:31et que vous vous sentez bien vous réaliser sur le long terme dans ce restaurant-là.
20:35Parce que ça demandera beaucoup d'énergie et ça va vous créer beaucoup de fatigue.
20:40D'accord ?
20:41D'accord.
20:42Mais c'est jouable.
20:44D'accord ?
20:45Bon, je vous remercie.
20:48Merci à vous, Sandra.
20:50Et puis là, ça mérite que vous nous rappelez pour nous dire un petit peu comment vous évoluez
20:54et comment vous avancez dans ce projet-là.
20:56Très bien.
20:57Je vous remercie infiniment.
20:58Je vous souhaite une bonne fin d'après-midi.
21:00Merci également et je vous embrasse.
21:02Moi de même.
21:03Au revoir.
21:04Merci.
21:05Allez, on va faire une petite pause, le temps de se rafraîchir.
21:08Et on va se retrouver dans quelques instants avec Gilles.
21:12Gilles, il nous a appelé il y a six ans.
21:15Vous imaginez, six ans, il a appelé Sud Radio pour une reconversion professionnelle.
21:21Aujourd'hui, il aimerait faire un retour six ans après.
21:24Exceptionnel, non ?
21:25Allez, ne bougez pas.
21:27Appelez maintenant Sud Radio au 0826 300 300 et participez à C'est Votre Avenir.
21:3417h, Sud Radio C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
21:38De retour dans votre émission C'est Votre Avenir.
21:41Alors, si vous venez de nous rejoindre, bienvenue à tous ceux qui prennent l'antenne de Sud Radio.
21:47Et je vous rappelle que nous sommes là jusqu'à 17h.
21:51Si vous voulez poser toutes vos questions, un seul numéro, le 0826 300 300.
21:56Et à présent, j'accueille mon prochain auditeur, c'est Gilles.
22:00Bonjour Gilles.
22:01Bonjour Alexandre.
22:02Bienvenue à l'antenne de Sud Radio et merci de votre fidélité.
22:07Parce que sur mes notes, vous nous avez appelé il y a six ans, c'est ça ?
22:13Oui, entre autres, oui.
22:15Donc, vous êtes un fidèle auditeur.
22:18On peut dire ça.
22:20Très bien.
22:23Comment allez-vous, Gilles, depuis toutes ces années ?
22:26Bien, ça va, ça va. On avance.
22:29On avance.
22:30Alors, vous nous appelez d'où ?
22:33Délande.
22:34Délande.
22:35Vous avez 48 ans.
22:37Oui.
22:38Parfait.
22:39Alors, il y a six ans, vous nous avez appelé pour quelles raisons ?
22:44Racontez-nous un petit peu.
22:45Et vous étiez bien sûr plus jeune, vous n'avez pas eu cet âge-là, forcément.
22:49Je suis toujours jeune dans ma tête.
22:51Bon, c'est très bien.
22:52J'attendais un peu de réaction et ça y est.
22:54Parfait.
22:55Oui, je vais essayer de faire court en disant que j'étais dans le soin précédemment.
23:00J'ai fait une reconversion parce que c'était un milieu que je voulais absolument quitter pour mon bien-être.
23:05Vous étiez dans le soin ?
23:07Oui, dans le soin, oui.
23:08Exactement dans le soin, vous faisiez quoi ?
23:11Dans le milieu hospitalier.
23:13Le milieu hospitalier, d'accord.
23:15Être soignant.
23:16Être soignant, parfait.
23:18Pendant combien de temps vous étiez resté être soignant ?
23:23Pas loin de 20 ans.
23:24Ah oui, quand même, c'est pas rien.
23:26Oui, grosso modo.
23:30Je suis en train de calculer.
23:31Je suis en train de me dire si j'ai dit une bêtise ou pas.
23:33Non, mais approximativement.
23:35Oui, c'est ça.
23:38Et du coup, j'ai fait une reconversion.
23:40J'ai pu avoir une expérience professionnelle qui a été plus ou moins réussie.
23:45Et puis ensuite, j'ai été recruté par une boîte qui m'a amené presque sur un bernard-route.
23:51Et j'étais un peu perdu.
23:54Donc, secteur complètement différent puisque c'était un secteur du bâtiment.
23:58Ah oui.
23:59Voilà.
24:00Vous avez fait un virage de 360 degrés, là.
24:03Pas totalement parce que j'ai toujours été dans ce milieu-là malgré tout.
24:07D'accord.
24:08Malgré tout, pas en parallèle de ce que je faisais précédemment.
24:10D'accord.
24:11Et du coup, perdu, je vous ai appelé pour me dire un petit peu qu'est-ce que vous pensiez de ce qui allait m'arriver.
24:18Et vous m'aviez dit que vous me voyiez toujours faire du service à la personne,
24:22entre autres dans un véhicule blanc et que cela avait une connotation avec le médical.
24:26Ok.
24:27Ce qui, pour moi, n'était pas acceptable parce que je ne voulais pas retourner dans le médical.
24:31Oui.
24:32Et en fin de compte, je fais bien du service à la personne dans un véhicule blanc.
24:38Ce n'est pas du médical, mais le nombre de sociétés que je ne citerai pas, bien évidemment, peut laisser traiter un confusion.
24:47D'accord.
24:48J'ai rigolé quand j'ai réalisé ce que vous m'aviez dit et que je le prenais en une face.
24:53Et six ans après, vous êtes donc toujours dans cette entreprise ?
24:58Affirmatif, oui, toujours.
25:00Super.
25:01Eh bien, bravo d'avoir été dans cette évolution et dans cette stabilité aussi.
25:09Je suis heureux de vous avoir apporté des bons conseils et surtout d'avoir une perception claire sur votre futur.
25:18Et aujourd'hui, comment ça se passe ?
25:22Justement, cette société, comme beaucoup de sociétés, grossit.
25:26On part dans une politique du chiffre et du rendement qui n'est pas la conception des choses, puisque ça va de l'éprimant de la qualité.
25:33Oui.
25:34Et je n'arrive pas à me projeter.
25:37C'est pour ça qu'aujourd'hui, je vous appelle pour voir un petit peu si vous aviez des aussi bonnes lumières qu'il y a presque six ans.
25:45Écoutez, j'ai augmenté en termes de watts.
25:48Donc, c'est parfait.
25:49Je les ai mes lumières.
25:51Et puis en plus, avec maintenant, vous savez, le système de LED et tout ça, c'est encore beaucoup plus performant.
25:56Bon, je plaisante.
25:57Ça fait du bien de faire un peu d'humour.
25:59Mais pour moi, Gilles, il faut prendre un petit peu de recul.
26:03Il faut prendre un petit peu de recul, c'est-à-dire attention de faire des choix trop précipités et peut-être de faire des erreurs.
26:12Parce que vous avez une possibilité d'évolution au sein de cette structure.
26:17Pour moi, ce qui ressort chez vous, c'est que vous ne vous imposez pas assez.
26:22On dirait qu'il y a une forme de timidité, d'humilité chez vous qui ne vous donne pas cette possibilité, cette capacité à évoluer comme vous auriez dû déjà évoluer.
26:36Il faut être un peu dans cette notion de dépassement de soi.
26:41Alors j'entends et je comprends que l'entreprise grandit, qu'ils sont plus dans cette notion de rendement.
26:47Mais je crois que c'est un petit peu le monde qui nous amène à ça, où justement, aujourd'hui, la relation humaine malheureusement s'appauvrit.
26:56Mais il existe encore des entreprises où on est dans cette qualité humaine.
27:02Mais ça n'empêche pas que vous, en tant qu'individu, vous pouvez apporter ces valeurs-là.
27:07Et même si l'entreprise elle-même évolue sur d'autres aspects, que ce soit dans les aspects marketing ou commercial, peu importe.
27:15Mais pour moi, il y a une évolution, il y a une possibilité.
27:20Et attention de ne pas vous auto-exclure de cette structure et de vous-même de vous auto-saboter.
27:29C'est parce que j'ai ce sentiment-là.
27:31Est-ce que vous êtes bien perçu dans l'entreprise ?
27:35Complètement, oui. Je le crois, oui.
27:37Bien sûr.
27:39Il serait peut-être temps de faire un bilan de compétences, de voir avec eux et faire une évaluation.
27:46Et de se dire, qu'est-ce que je peux apporter de plus ?
27:49Quelle serait mon évolution ?
27:51Sous quelle échéance ?
27:53Et là, à partir de là, vous faites le point et vous décidez si vous devez rester ou si vous devez partir.
27:58Mais ne baissez pas les bras.
28:00Et même si ça vous fait mal, cette notion de rentabilité, de rendement, de tout ça.
28:07Mais prenez un peu de recul par rapport à ça.
28:10Parce que je sens que vous avez à apporter et vous pouvez vous épanouir encore au sein de cette entreprise-là.
28:17D'accord ?
28:18Et géographiquement, sur le même secteur ?
28:21Oui, toujours, toujours.
28:24Toujours dans le même secteur.
28:27C'est une multinationale ?
28:29Non, non, non, c'est national.
28:32D'accord.
28:33Mais pour moi, oui, toujours dans le même secteur.
28:36Vous auriez envisagé éventuellement un déménagement ou un changement de lieu pour vous ?
28:42C'est-à-dire qu'actuellement, au sein de la structure où je vis localement, je ne vois pas trop comment ça peut évoluer.
28:49D'accord.
28:50Mais regardez, parce qu'il y a une évolution possible.
28:54Alors, s'il y a un changement, ce n'est pas forcément loin au niveau de la structure actuelle.
29:00Ce n'est pas forcément très, très loin.
29:02Mais peut-être qu'elle-même, elle est amenée à évoluer et à se diversifier dans les activités.
29:08D'accord, Gilles ?
29:09D'accord.
29:10Mais je me souviens, il y a quelques années, vous n'étiez pas certain de ce que je vous disais.
29:15Vous ne voyiez pas comment les choses pouvaient évoluer dans ce sens-là.
29:18Et elles ont évolué.
29:19Donc, restez toujours si sceptiques.
29:21J'adore quand on est sceptique.
29:23Oui, parce que j'ai des idées, des idées que j'avais déjà précédemment, il y a six ans.
29:28Et vous ne m'aviez pas non plus poussé dans ce sens-là, alors que tout mon entourage me pousse à y aller.
29:34Et je ne fais pas le pas.
29:36Donc, je ne sais pas si c'est le moment ou pas de le faire, en fait.
29:39Ça viendra.
29:41Mais peut-être que c'est encore un peu prématuré.
29:43Mais on s'y approche au niveau de l'échéance.
29:45Je vous souhaite un bon week-end, mon cher Gilles.
29:49Merci pour tout ça, Alexandre.
29:51Merci, prenez soin de vous.
29:53Merci.
29:54A vous aussi.
29:55Merci.
29:56Et à présent, j'accueille Lola.
29:58Bonjour, Lola.
29:59Bonjour, Alexandre.
30:01Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Lola.
30:03Merci, c'est toujours un plaisir d'écouter Sud Radio.
30:06Et vous.
30:07Merci, c'est très gentil.
30:09Et merci de votre fidélité.
30:10Lola, vous êtes de Toulouse ?
30:12Oui, moi aussi.
30:14Parce qu'apparemment, il y a d'autres personnes avant moi qui viennent de Toulouse.
30:17Voilà, beaucoup la ville rose.
30:19Et oui, beaucoup de Toulousains.
30:21C'est ça.
30:22Effectivement.
30:23Alors Lola, vous, vous posez des questions sur votre évolution au sein de votre structure.
30:30C'est ça ?
30:31C'est ça.
30:32Racontez-nous un petit peu.
30:33Alors, je travaille depuis longtemps dans le milieu aéronautique.
30:37Et je fais toujours le même travail depuis beaucoup d'années.
30:42Donc je commence, je dirais, à saturer.
30:45Et je trouve que, comme vous disiez tout à l'heure, on rentre un peu aussi dans une politique rentabilité.
30:53On veut des équipes jeunes qui travaillent vite, qui comprennent vite.
30:59Et ça ne correspond plus trop, je dirais, à mon état d'esprit.
31:03Voilà.
31:04J'ai quand même un certain âge aussi.
31:06Et donc, pour toutes ces raisons-là, j'ai envie de changer de domaine.
31:12Voilà.
31:13Je voudrais travailler dans un domaine réglementaire, travailler dans l'export-contrôle.
31:19Et c'est un domaine déjà que j'ai commencé à explorer.
31:22Ça fait un petit moment que j'y réfléchis.
31:24J'ai rencontré la personne qui s'occupe de ce service.
31:29Cette première rencontre-là va m'amener à passer un deuxième entretien bientôt.
31:33Alors je ne sais pas si le parcours sera un peu le parcours du combattant.
31:37Mais j'ai envie.
31:38J'ai envie de me lancer.
31:39Voilà.
31:40J'aimerais savoir si ma demande, si mon désir va aboutir.
31:45Voilà.
31:46Alors, je le sens, je le ressens et j'ai cette perception que ça va être oui.
31:55Mais il y a un blocage.
31:57Il y a un blocage.
31:59Et pour moi, c'est au niveau de l'échéance, c'est au niveau du temps.
32:03C'est-à-dire que votre souhait d'évoluer est recevable.
32:08Et ça va être possible.
32:10Donc, il n'y a pas de choses qui s'y opposent pour autant.
32:14Mais par rapport à la capacité et par rapport à l'effectif d'aujourd'hui,
32:20on va dire du salarié ou de la masse salariale,
32:23eh bien, il y a des choses qui vont bouger, qui vont changer.
32:25Et là, il y a une déception.
32:27Il y a une déception.
32:28Mais ne lâchez pas.
32:30Ne lâchez pas parce que même si la réponse ne se fait pas pour tout de suite,
32:36elle se fera pour plus tard, certes.
32:38Mais ce n'est pas lié à vous, à vos compétences ou à vos capacités.
32:43C'est tout simplement lié à un problème d'effectif.
32:47Oui, c'est vrai.
32:48Et en plus, la conjoncture est assez difficile actuellement.
32:51Voilà.
32:52Et je sais très bien qu'il y a des postes qui ne sont…
32:55Enfin, aucun poste n'est prévu pour l'instant.
32:58Mais il y avait peut-être des possibilités de créer des postes parallèles ou des postes…
33:03Voilà.
33:04Il y avait peut-être des possibilités.
33:05C'est pour ça que j'ai poussé la curiosité, j'ai poussé la porte.
33:09Mais vous avez raison.
33:10Mais vous avez raison.
33:11Il fallait le faire et vous avez complètement raison.
33:13Donc pour moi, c'est un grand oui d'avoir pris cette initiative et cette démarche de le faire.
33:20Mais attention à la réponse où ce n'est pas un non catégorique, mais c'est un oui pour plus tard.
33:27D'accord.
33:28D'accord.
33:29Bon, écoutez, je reste dans mon idée de toute façon.
33:34Totalement.
33:35Et la réponse, vous l'aurez sous combien de temps ?
33:38Je ne sais pas.
33:41Je dirais plusieurs mois, je pense.
33:44Mais alors j'ai hâte de connaître cette réponse-là.
33:48D'accord.
33:49D'accord.
33:50Je reviendrai vers vous.
33:51Avec grand plaisir.
33:52D'accord.
33:53Merci beaucoup.
33:54Merci à vous.
33:55Au revoir.
33:56Merci.
33:57Allez, on va faire une petite pause, le temps de se rafraîchir.
34:00Et on retrouvera après Annie qui a des problèmes familiaux.
34:05Ne bougez pas si vous souhaitez vous appeler et passer à l'antenne 0 826 300 300.
34:12Retour de C'est Votre Avenir dans un instant sur Sud Radio.
34:1613h17, Sud Radio, C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
34:21Et de retour dans votre émission, C'est Votre Avenir.
34:24Il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne.
34:27Je rappelle le numéro 0 826 300 300.
34:31Et vous retrouverez après des vraies voix présentées par Cécile de Minibus,
34:35Philippe David et bien sûr toute leur équipe.
34:38Avant de retrouver Annie, c'est le moment de votre interprétation des rêves.
34:44Et aujourd'hui, on va parler quand vous rêvez de dîner ou que vous assistez à un dîner.
34:50Alors si vous rêvez de dîner avec vos parents,
34:53il s'agirait d'une bonne santé financière pour vous qui s'annonce.
34:57De se voir dîner avec vos enfants, si bien sûr vous en avez,
35:01vous risquez de rouler sous les responsabilités.
35:04Et si ce dîner est avec tout simplement des amis, méfiez-vous des commérages.
35:10Et à présent, j'accueille Annie. Bonjour Annie.
35:14Bonjour.
35:15Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Annie.
35:18Merci beaucoup, c'est gentil.
35:20Vous avez une voix solaire.
35:22Vous êtes formidable, merci beaucoup.
35:24Merci. Annie, vous nous appelez pour quel sujet ?
35:29Je ne vois plus ma soeur parce qu'avant, je l'aidais un peu financièrement.
35:34Et maintenant que maman est décédée depuis déjà dix ans,
35:38à chaque fois qu'elle rencontre un nouvel homme, elle ne veut plus entendre parler de moi.
35:42Donc, il n'y a plus de ces nouvelles depuis quelques années.
35:44Ah, y aurait-il une petite jalousie familiale ?
35:48Oui, je pense.
35:49Bien sûr.
35:50Parce qu'il paraît qu'elle aurait raconté des choses sur moi qui ne sont même pas vraies.
35:53Je ne veux pas aller jusque-là.
35:55Mais en attendant, si vous voulez, effectivement,
35:59je sens que la relation avec votre soeur a toujours été un petit peu compliquée
36:04pour des raisons à chaque fois différentes.
36:07Mais pour moi, si vous voulez, il y a un besoin de prendre du recul.
36:13Il y a un besoin de prendre du recul parce qu'effectivement,
36:16il y a peut-être des choses qui sont énoncées ou qui sont dites
36:19et qui ne sont pas vérifiées.
36:21Et elle a cette initiative, ou en tous les cas,
36:26cette volonté de couper court avec vous
36:29pour éviter justement à ce qu'à un moment donné,
36:32eh bien, ça soit…
36:35La vérité se dévoile.
36:36Voilà, tout simplement, exactement.
36:38Oui, je suis bien d'accord avec vous.
36:40Tout simplement.
36:41Et c'est votre soeur.
36:42C'est votre soeur, donc vous ne pouvez pas la rejeter.
36:46Vous devez l'accepter.
36:48Je ne peux plus l'appeler, elle ne veut pas.
36:50Voilà.
36:51Acceptez-la comme elle est, mais prenez du recul
36:54parce que je ne pense pas qu'elle changera.
36:57Vous avez raison. Je ne l'appelle plus.
36:59Ça fait beaucoup de mal, mais maintenant, j'accepte.
37:02Et oui.
37:03Alors, vraiment Annie, je ne sais pas quoi vous dire de plus.
37:06Mais là, vous-même, vous m'avez aidée
37:10et vous m'avez soufflé la réponse.
37:13Oui, tout à fait.
37:15Mais je ne fais que conforter vos pensées aussi, je pense.
37:18Oui, mais ce qui est dommage, c'est qu'elle m'a fait même couper les peaux
37:21avec des liens avec lesquels j'étais très bien,
37:23en racontant des mensonges me concernant.
37:25Ne vous inquiétez pas.
37:27Je sens qu'à un moment donné, la vérité se dévoilera
37:30et vous verrez que tous ces liens qui ont été malheureusement malmenés
37:35et qui ont été aussi un peu déstructurés et détruits pour vous
37:40vont pouvoir se rapprocher dans le temps.
37:42Ça, je sens que ça va se réparer.
37:44D'accord ?
37:45Eh bien, Dieu merci.
37:47J'ai toujours pardonné, tu refais le bien.
37:50Alors, c'est vrai que c'est inexplicable.
37:52Enfin, si, inexplicable, c'est si.
37:54Il ne faut pas que... Oui, c'est si.
37:56Mais Annie, essayez de prendre du recul
37:59et puis ne culpabilisez pas d'une situation.
38:01C'est votre sœur, tout simplement.
38:03Voilà, c'est ainsi.
38:05C'est ainsi.
38:06Exactement.
38:07Merci Annie pour votre témoignage.
38:09Et puis, n'hésitez pas, si vous avez d'autres questions,
38:12à nous rappeler à l'antenne de Sud Radio.
38:14Vous êtes tellement et si agréable.
38:16Merci beaucoup.
38:18Merci à vous.
38:19Merci.
38:20Merci à vous.
38:21Merci pour tout.
38:22Merci, je vous embrasse.
38:23Merci.
38:24Et j'accueille à présent Franck.
38:26Bonjour Franck.
38:27Oui, bonjour.
38:28Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Franck.
38:31Oui.
38:32Alors, vous avez des interrogations sur votre devenir professionnel
38:37où vous ne savez plus trop où vous en êtes.
38:39C'est bien ça ?
38:41Maintenant et des années en arrière aussi.
38:44Oui, ça a toujours été un peu comme ça.
38:47Oui.
38:48Aujourd'hui, vous faites quoi ?
38:50Vous êtes dans quelle activité professionnelle ?
38:52Actuellement, je suis opérateur logistique dans une entreprise.
38:57Ça ne s'est pas super bien passé non plus.
38:59Mais ce n'est pas du tout un avenir où je souhaite y rester pendant 20 ans.
39:05Oui.
39:06J'ai fait plusieurs métiers différents.
39:08Vous avez fait des métiers différents.
39:09Est-ce que vous considérez qu'à chaque fois, vous avez manqué d'être,
39:13ou en tous les cas, vous n'avez pas été suffisamment stable dans vos activités,
39:18dans l'engagement que vous avez pu avoir professionnellement ?
39:21Stable, certes, mais c'est du fait qu'il n'y a pas un des métiers qui m'a intéressé.
39:27Si, en soi, il y en avait un qui me plaisait assez.
39:30Un autre, c'était par rapport à une formation.
39:34J'ai fait deux formations, et c'était sur deux métiers bien différents,
39:39les ponts funèbres et intégrateur cabine chez Airbus.
39:43D'accord.
39:44Et pourquoi vous n'avez pas poursuivi dans ce métier-là ?
39:47En fait, il faut faire des formations.
39:51Le problème, c'est que j'ai échoué mes formations.
39:55Je ne sais pas pourquoi.
39:57À chaque fois, même de 0,5 point, j'échoue.
40:01C'est la douche froide.
40:03Depuis mon CAP Cuisine, que j'ai commencé à mes 17 ans,
40:06donc CAP Cuisine, intégrateur cabine, conseil funéraire,
40:12j'ai échoué, j'aurais échoué.
40:15D'accord.
40:16Et je ne comprends pas.
40:17Et les ponts funèbres, vous n'avez pas tenté de refaire ?
40:23Si, mais je n'ai pas tenté, je ne suis pas retourné.
40:28Je n'ai pas voulu refaire la formation parce que je devais travailler,
40:34donc je n'ai pas pu me permettre de…
40:35C'est bizarre parce que je sens chez vous qu'il y a cette possibilité de réalisation
40:40et peut-être qu'à nouveau, il serait intéressant de vous donner cette chance
40:46pour pouvoir réussir et pour pouvoir vous lancer un défi.
40:51Il y a ce côté-là.
40:52Après, vous avez peut-être eu l'envie de partir ailleurs,
40:57de changer de vie ou autre,
40:59mais je vous sens malgré tout être rattaché à certains endroits
41:05sur lesquels vous avez peut-être vos repères.
41:09Et même si vous décidez de tenter votre chance ailleurs ou dans d'autres pays,
41:14pour moi, je vous sens revenir dans le lieu d'origine dans lequel vous êtes.
41:19Mais il faut vraiment travailler sur vos ressources
41:24et de ce que vous pouvez vous-même capitaliser en termes de compétences professionnelles.
41:30Et le secteur des pompes funèbres, je le sens assez positif.
41:35Et pourquoi pas ?
41:37Parce que vous êtes quelqu'un qui a un besoin aussi d'avoir une activité
41:44qui touche au service de la personne et un besoin d'apporter aux autres.
41:48Il y a ça, mais c'est un peu contradictoire dans deux sens.
41:52J'ai besoin de ça, bien sûr,
41:54mais dans un autre sens, je ne supporte pas travailler en équipe.
42:00Je ne comprends pas pourquoi.
42:03Vous êtes autonome et vous êtes indépendant.
42:05C'est ça.
42:06Je suis indépendant, mais c'est qu'il y a trop de ragots.
42:08On parle sur l'un, sur l'autre.
42:10Dans les entreprises comme ça, je déteste.
42:12Pour moi, je n'y arrive pas parce que c'est un environnement assez hostile pour moi.
42:17J'entends.
42:19J'entends, Franck, mais il existe parfois des entreprises
42:23où l'état d'esprit n'est pas celui-ci.
42:25Et je sens que chez vous, c'est ce qui arrivera.
42:28Vous serez amené un jour à être dans une entreprise
42:30où l'ambiance sera cordiale et sympa.
42:32D'accord ?
42:33Donc, le métier en soi, est-ce que vous auriez une idée exactement ?
42:38Comme je vous dis, tout ce qui est dans les pompes funèbres
42:44ou en tous les cas du service à la personne ou autre,
42:46oui, il y a quelque chose dans ce secteur-là.
42:49Franck, je suis désolé, on est obligé de rendre à l'antenne.
42:52Et n'hésitez pas à revenir vers nous.
42:54D'accord ?
42:56Merci à vous.
42:57Je vous souhaite un bon week-end.
42:59Et un bon week-end à tous.
43:01On se retrouve, nous, mardi.
43:02Lundi, c'est Marie.
43:04Dansez votre avenir.
43:05Et la parole est aux vrais voix.
43:06Bonsoir, Philippe David.
43:07Bonsoir, Alexandre Delovane.
43:09Au menu des vrais voix, après le cas Andy Carbra, député LFI
43:13qui a été pris en train d'acheter l'U3 MMC,
43:15certains députés, plusieurs députés seraient suivis pour toxicomanie.
43:21Ceux qui font nos lois sont-ils au-dessus des lois ?
43:23On se pose la question et on vous pose la question.
43:25Faut-il faire des tests de dépistage de drogue chez les élus ?
43:28Vous pensez qu'il faut les dépister ?
43:30Comme on peut vous dépister au volant de votre voiture.
43:32Ou vous pensez que non, ça relève de la vie privée ?
43:35Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
43:38À 18h40, le coup de projecteur des vrais voix.
43:41Situation tragique au Liban.
43:43L'inquiétude monte.
43:44Le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barraud, craint une guerre civile.
43:48Et on vous pose cette question.
43:50Craignez-vous une nouvelle guerre civile au Liban
43:52qui en a déjà connu plusieurs, en poste notamment à 75 et à 82 ?
43:56Vous êtes d'origine libanaise ou vous connaissez bien le Liban ?
43:58Venez témoigner au 0826 300 300.
44:01Nos trois vrais voix du jour.
44:03Philippe Biliger, Virginie Calmel, c'est René Chiche.
44:05Bonne émission.
44:0616h17, Sud Radio, c'est votre avenir.
44:09Alexandre Delovane.
44:10Avec Idealvoyance.com.
44:13La voyance par téléphone, chat et vidéo.