• il y a 2 mois
Michel Barnier va affronter ce mardi sa première motion de censure, portée par la gauche. Une motion de censure qui n'a néanmoins que très peu de chances d'aboutir sans les votes des députés de l'alliance RN-Ciotti.

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Transcription
00:00Vous savez, on ne va pas sauver le gouvernement Barnier, on ne va juste pas participer à cette puérilité, à cette motion de censure puérile du NFP qui n'a pas compris qu'il n'avait pas gagné les élections.
00:10Nous, nous jugeons aux actes et donc nous jugerons au moment du budget. Mais vous savez, la motion de censure, elle est prévue par la Constitution.
00:17C'est un élément très puissant, un outil très puissant qui est entre les mains des députés. On ne peut pas l'utiliser comme des gamins juste parce qu'on n'a pas été content du choix du Premier ministre.
00:26On doit l'utiliser pour protéger les Français. Et nous, nous le gardons. Nous avons cet outil. Nous l'utiliserons si, bien entendu, le gouvernement Barnier n'apporte aucune solution pour les Français
00:34en matière de pouvoir d'achat, en matière d'immigration, en matière de sécurité ou de laïcité comme on l'entend avec ce cas qui vient d'arriver à Tourcoing.
00:42Mais nous ne sommes pas là pour le chaos, pour le blocage parce que ça serait au final les Français qui empéraient le prix s'il n'y avait pas une position responsable des oppositions.
00:51Et donc nous, nous avons une position ferme vis-à-vis de ce gouvernement dans l'opposition, mais une opposition constructive qui a mis, vous le savez, ce gouvernement sous surveillance
01:00pour obtenir, surveillance démocratique, pour obtenir des résultats très concrets pour les Français. Et donc le verdict, ce sera au moment du budget où nous allons amender, proposer
01:08et bien entendu voir si ça va dans le sens de l'intérêt général.

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