Israël 1-4 France : Quatre buts inscrits mais une victoire peu convaincante pour l'After Foot

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Si l'équipe de France a inscrit quatre buts face à Israël ce jeudi soir, Daniel Riolo et Florent Gautreau n'ont été que très peu convaincus par cette victoire des hommes de Didier Deschamps.

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Transcription
00:00La grosse déception pour moi c'est Olysée, parce que finalement c'était un peu ça la nouveauté, tu pouvais te dire que derrière les deux attaquants...
00:06C'était le fameux changement.
00:07Le changement, et puis en plus avec un joueur en forme, un joueur en confiance, et finalement derrière Arthé de Griezmann l'enjeu il est un peu là, je vais pas lui mettre la pression parce que ça reste un très bon joueur, et ça c'est la déception.
00:17Et dans le troisième point, les satisfactions effectivement, ces joueurs toujours présents, qui pourront prétendre à la liste parce qu'eux ils font ce qu'il faut faire dans ce genre de match, c'est le cas de Gendouzi.
00:29Et puis aussi Kamavinga, parce que moi je séparerais dans la paire Chouameni-Kamavinga, je trouve que Kamavinga a vraiment fait le meilleur match, et que c'est peut-être vraiment un de nos futurs tauliers, peut-être de manière plus évidente même que Chouameni.
00:43Je pense que Kamavinga s'imposera, et qu'il aura d'ailleurs aussi lui, cette capacité qu'il a montrée, à aller dans la surface adverse, ou vers la surface adverse, c'est lui qui fait la passe décisive d'ailleurs pour Nkunku.
00:56Voilà les trois points de Daniel et Florent, vous êtes en 32-16 bien sûr.
01:00Quand même premier constat, l'équipe de France peut gagner largement sans Griezmann ni Bappé.
01:04Mais c'est vraiment un match très particulier, avec un gardien qui m'a eu l'air très très faible, pas seulement sur l'erreur du premier but, y compris sur la frappe de Nkunku.
01:12Qu'Israël rappelle Ronny Ginzbourg.
01:15Si tu ne vas pas Israël sans un tel, ou sans un tel, ou sans un tel, quoi qu'il en soit, sur les forces vives, le football français doit être supérieur au football israélien.
01:28Donc ce n'est pas le match où tu vas te dire, ah tu n'avais pas Mbappé devant.
01:33Si tu avais eu devant des automatismes de feu, des mouvements, des combinaisons, des joueurs qui, je ne sais pas, avaient été brillantissimes, qu'on avait été éclaboussés par leur classe,
01:49tu aurais pu te dire, ah Mbappé, il n'est pas assis, machin, tout ça.
01:53Mais là, très honnêtement, j'ai dit quoi sur Colomogny ? Il fallait le laisser tranquille ?
01:58Non, ce n'est pas possible. Moi, je ne vais pas le laisser tranquille.
02:00On va faire une parenthèse pour ne pas le laisser tranquille. Franchement, Colomogny, c'est catastrophique.
02:05Non, mais là, il y a un vrai problème, Daniel, parce que ce n'est pas que Colomogny.
02:08C'est le totem d'immunité qu'il a avec Deschamps qui va, à un moment donné, poser problème.
02:12Parce que Deschamps, si sa seule idée, c'est de dire…
02:15Dembélé fait quoi en équipe de France, en fait ? Dembélé aussi, il a une sorte d'immunité.
02:19Il joue toujours, il démarre toujours.
02:21Dembélé, ça n'a rien à voir avec Colomogny. Excuse-moi, c'est le meilleur attaquant en première mi-temps.
02:25D'accord, on est d'accord que Dembélé, on en parle au PSG et on se dit que c'est de lui que viennent la plupart des attaques.
02:33Comme là, en première période.
02:35Je suis d'accord avec toi, mais que néanmoins, au PSG…
02:41On est d'accord.
02:42De quoi ?
02:44Au PSG, c'est la vedette de l'équipe.
02:48Tu n'as pas réellement d'autres choix.
02:51L'équipe de France, par définition, c'est une sélection où tu as un réservoir, où tu pourrais essayer de construire autre chose.
02:57D'où le totem d'immunité dont on parlait.
03:00C'est-à-dire que lui, il est arrivé, il est titulaire.
03:02Est-ce qu'il mérite toujours d'être titulaire au vu de ce qu'il apporte ?
03:04Alors on va dire, tu veux mettre qui ?
03:06Peut-être Olizé, qui au moins sera à sa vraie place.
03:09Parce que là, il n'est pas à sa vraie place.
03:11D'ailleurs, il l'a remis un peu côté droit.
03:13Grosso modo, ça veut dire quoi ?
03:14Ça veut dire qu'on est en recherche totale.
03:15On ne sait plus tellement où on va.
03:16Effectivement, devant, on ne sait pas où on va.
03:18Saturam, qui marche très fort en Italie.
03:23Bon, l'équipe de France, visiblement, il est ignorée.
03:26En tout cas, ça ne marche pas bien.
03:27Ou alors, quand il joue, c'est pour faire le soldat.
03:30Offensivement, c'est un chantier permanent, les Bleus.
03:33C'est un chantier permanent.
03:34Et ça va l'être encore plus, tant que Mbappé n'est pas de retour.
03:37Et que Griezmann, de toute façon, ne lui reviendra pas.
03:39Il a disparu.
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