• il y a 9 heures
La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a assuré jeudi 17 octobre que la question d'accorder l'asile politique au fondateur de Sea Shepherd, Paul Watson, n'est "pas tranchée aujourd'hui".
La porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, a assuré jeudi 17 octobre que la question d'accorder l'asile politique au fondateur de Sea Shepherd, Paul Watson, n'est "pas tranchée aujourd'hui".

Le militant écologiste, incarcéré au Groenland, a demandé mercredi l'asile politique à la France dans une lettre envoyée à Emmanuel Macron. "Ce n'est pas tranché aujourd'hui", a indiqué Maud Bregeon au micro de Sud Radio, précisant qu'elle avait elle-même "un profond respect et beaucoup d'admiration pour la cause qu'il a portée".
Sous le coup d'une demande d'extradition du Japon, Paul Watson est détenu depuis trois mois au Groenland, territoire danois autonome. Dans sa lettre au président français, publiée par Sea Shepherd France sur les réseaux sociaux, l'écologiste de 73 ans, établi en France, affirme que le Japon le "persécute" pour un motif "politique et non judiciaire".

"Oui, la France doit donner l'asile politique à Paul Watson"
Il est accusé par Tokyo d'être co-responsable de dommages et blessures à bord d'un navire baleinier nippon dans le cadre d'une campagne menée par Sea Shepherd en 2010.

Plusieurs personnalités politiques ont soutenu la demande de Paul Watson. Le socialiste Olivier Faure a qualifié d'"honneur" le fait que Paul Watson demande l'asile politique, ajoutant qu'"Emmanuel Macron (devait) l'accepter".
"Oui, la France doit donner l'asile politique à Paul Watson dont le seul crime est de se mobiliser pour défendre le vivant", a aussi réagi Manuel Bompard, coordinateur des Insoumis.

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