• il y a 2 mois
Regardez Le journal RTL avec Céline Landreau du 18 octobre 2024.

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00:00RTL midi, le 12h, en direct du Mondial de l'Auto, Céline Landreau, Vincent Parizeau.
00:11Bonjour à toutes et à tous, et effectivement, bienvenue dans RTL midi.
00:16Les auditeurs ont la parole en direct du Mondial de l'Auto à la porte de Versailles à Paris.
00:20Nous sommes dans le hall 6 sur le stand d'Assia, et bien sûr, n'hésitez pas à venir.
00:25Nous serons ravis de vous saluer, il y a déjà du public devant nous.
00:28Ce sera, vous l'avez compris, une édition particulière d'RTL midi,
00:32largement consacrée aux terribles inondations, notamment dans le centre-est.
00:36Bref, c'est parti, deux heures d'infos, d'opinions, et surtout de témoignages, jusqu'à 14h.
00:41Et avec vous, toute l'info, Céline Landreau, bonjour.
00:43Bonjour Vincent, bonjour à tous.
00:45A la une aujourd'hui Céline.
00:46La décrue et la désolation au lendemain des pluies torrentielles qui ont touché une partie du pays hier.
00:51Les secours ont effectué 2300 interventions dans le centre-est du pays après cet épisode Sévenol.
00:57L'heure est maintenant.
00:58Au constat, au nettoyage aussi, et aux polémiques déjà.
01:02Les systèmes d'alerte ont-ils été suffisants ?
01:04Les moyens alloués pour repenser nos villes et se prémunir de ces inondations sont-ils suffisants ?
01:09On y consacrera une large part de cette édition.
01:12Et ça vous fait déjà réagir, à l'instar d'Olivier qui a fait le 3210.
01:17C'est maintenant 2, 3, 4 fois des fois d'inondations dans l'année.
01:21On est en train de bétonner à fond, à fond, à outrance dans des lieux où c'est inondable.
01:26Donc aucune infiltration.
01:27Je ne vous parle même pas de l'entretien de tout ce qui est boiserie.
01:31Il n'y en a plus.
01:32Les cours d'eau ne sont pas entretenus.
01:33C'est du genfoutisme en haut lieu, si je puis dire ça comme ça, malheureusement.
01:38À la une aussi, le marché automobile en pleine transformation
01:40est secoué par les problèmes de budget, de finances publiques en France.
01:45Malus durci, bonus réduit.
01:46Quel impact sur l'électrification des véhicules, sur leur prix aussi ?
01:50On posera la question à 12h50 à Denis Levotte, directeur général de Dacia, sera notre invité.
01:55Le début de la fin de la guerre à Gaza.
01:58C'est ce qu'assure Benyamin Netanyahou après la mort du chef du Hamas hier.
02:02Un espoir pour les proches d'otages qui espèrent maintenant que les négociations pour leur libération pourront aboutir.
02:08Et bien sûr, tout au long de l'émission, vous le savez, un seul numéro pour discuter avec nous.
02:13Dialoguez le 30-9-10.
02:14Vous pouvez aussi nous laisser vos messages sur l'appli RTL.
02:18On vous attend dès maintenant.
02:19Vos témoignages, notamment de sinistrés de ces inondations ou simplement de témoins,
02:24n'hésitez pas, 30-9-10.
02:26Et puis le sujet qui est au cœur de notre présence ici au Mondial de l'Auto.
02:29La voiture aujourd'hui, est-elle trop chère ? Est-elle devenue un produit de luxe ?
02:34Est-ce que le prix, par exemple, vous empêche de passer à l'électrique ?
02:37Là encore, 30-9-10.
02:39Mais avant cela, la météo avec vous aujourd'hui, Valérie Quintin.
02:42Bonjour Valérie.
02:43Bonjour.
02:44Est-ce que c'est un peu plus calme aujourd'hui ?
02:45Oui, ça se calme un peu.
02:46Pour autant, 5 départements du Sud-Ouest restent en vigilance.
02:50Ça concerne le Gers, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, la Haute-Garonne et l'Ariège.
02:54Et pour les Crus, les Landes, les Pyrénées-Atlantiques, le Gard, les Bouches-du-Rhône et la Loire.
02:58Ces départements, eux, resteront en vigilance orange jusqu'à demain au moins.
03:01Merci Valérie.
03:02Les détails à la fin du journal.
03:04Des pompes qui aspirent l'eau qui s'est infiltrée dans les maisons,
03:07les commerces qui ont transformé les rues en ruisseaux
03:10et des habitants qui s'attellent aujourd'hui à nettoyer en constatant les dégâts.
03:14Ces mêmes scènes se répètent dans plusieurs communes de la moitié sud du pays,
03:17frappées par les intempéries d'hier.
03:19Arthur Perreira, on vous retrouve à Rive-de-Gillet dans la Loire,
03:22ville de 15 000 habitants, l'une des plus durement touchées par les intempéries d'hier.
03:27Vous êtes dans le centre-ville, dans la rue principale même,
03:30où sous le poids et la force de l'eau, les vitrines des commerçants ont explosé.
03:34Absolument, des débris de verre stagnent encore dans la boue.
03:37En quelques minutes, l'eau s'est infiltrée dans chaque commerce.
03:40Les yeux encore plissés, celle d'un infirmière libérale m'ouvre la porte de son local.
03:45C'est le bureau, et puis on va aller, malheureusement, il n'y a pas d'électricité.
03:49Faites attention quand même.
03:50Une salle de soins ici.
03:51Là, vous voyez, il y a tout notre matériel.
03:53Ça a dû monter à 50 centimètres au moins.
03:57Tous les cachets des patients, le traitement des patients.
03:59Nous, notre objectif aujourd'hui, c'est d'appeler les assurances et de tout nettoyer.
04:03Parce qu'on travaille tous les jours, 7 jours sur 7.
04:06Vous estimez à combien les pertes ?
04:08Il y a un prix, c'est tout l'investissement depuis toutes ces années.
04:12C'est inestimable pour moi.
04:14Grâce à l'ampleur des dégâts, les commerçants peuvent compter sur un réel élan de solidarité.
04:17Estelle a mis le réveil très tôt ce matin et a enfilé sa paire de bottes.
04:21On se retrouve ce matin à 8 heures pour aider les commerçants.
04:24On s'est dit, on va faire la chaîne de la solidarité.
04:27On va aller aider.
04:28Pelles, petits bras, motivation, un travail de fourmi.
04:31Qui va durer pendant plusieurs jours dans la rue commerçante.
04:33Les tractopelles et des panneuses s'affairent à évacuer des dizaines de véhicules
04:37toujours encastrés les uns sur les autres.
04:40Voilà pour le point de la situation.
04:42En direct avec vous Arthur Perreira et justement à vos côtés Arthur,
04:45il y a le maire de Rive-de-Gillet.
04:48Bonjour Vincent Bonny.
04:50Bonjour.
04:51Merci d'être en direct avec nous sur RTL à la suite de cette journée
04:55et de cette nuit qui ont dû être très éprouvantes.
04:58On l'entendait avec Arthur, dégâts considérables.
05:01Est-ce que vous avez une idée un peu plus précise de leur ampleur
05:05et notamment leur ampleur financière ?
05:08Évidemment, c'est beaucoup trop tôt pour être dans ce chiffrage.
05:12On est plutôt d'abord dans le recensement de tous les dégâts
05:15que nous avons subis sur l'espace public, les voiries,
05:19mais aussi il y aura besoin d'investiguer les réseaux
05:22parce qu'on a vu des geysers se former le long des conduites d'eau d'évacuation pluviales
05:27et puis des dégâts dans les services publics municipaux
05:31que ce soit la médiathèque, la ludothèque, le cyberspace, l'hôtel de ville.
05:34Les dégâts considérables chez les habitants, chez les commerçants.
05:37Le nombre des véhicules, vous en avez parlé, puis les commerçants et les artisans,
05:40les services privés qui sont lourdement impactés.
05:43Donc on n'a pas encore le chiffrage, bien sûr.
05:46Parlons de vos administrés, justement, qu'ils soient commerçants ou simplement habitants.
05:50Dans quel état psychologique sont-ils aujourd'hui ?
05:54Et est-ce qu'ils ont tous pu rentrer chez eux ?
05:56On a dû héberger 15 personnes hier soir dans un centre d'hébergement d'urgence,
06:01une école maternelle que nous avons transformée en hébergement d'urgence.
06:05On n'a pas eu de dégâts humains parce qu'on a réussi à décrypter le phénomène météo
06:09que Météo France n'arrivait pas à anticiper correctement.
06:12Visiblement, c'était très compliqué de le prévoir.
06:15Et nous, par l'observation et la connaissance de l'histoire de notre ville, de notre rivière,
06:20on a pu donner l'alerte assez tôt.
06:22Et heureusement, on n'a pas eu de dégâts humains.
06:24Je crois que c'est l'élément essentiel aujourd'hui.
06:27Mais on est encore dans la gestion de crise et de l'après-crise maintenant.
06:31Mais on est donc dans cette situation-là, avec un état d'esprit de résilience.
06:36On se bat contre l'adversité.
06:38C'est évidemment beaucoup de tristesse et beaucoup de colère face aux événements.
06:43Mais pour l'instant, c'est surtout l'engagement pour faire face, pour nettoyer,
06:49pour redonner un aspect normal à la vie dans la commune.
06:53Vincent Bonny, vous dites heureusement qu'on n'a pas de victimes à signaler, à déplorer.
06:58Pourtant, vous avez frôlé un drame.
07:00Il y a un enfant qui a failli être emporté par les eaux chez vous.
07:03Je remercie les agents de la commune qui ont eu beaucoup d'à-propos et de sang-froid
07:08et qui ont sauvé la vie d'un jeune enfant au dernier moment.
07:12Je remercie Dylan et François, les collègues des services qui étaient là en surveillance de la situation
07:18et qui ont eu vraiment l'à-propos de pouvoir sauver la vie d'un enfant au dernier moment
07:22qui était pris par un siphon.
07:26Il s'amusait dans un grand réceptacle d'eau qui était mis à découvert
07:32par le fait que la grille d'évacuation d'eau pluviale était partie.
07:36Sans surveillance d'adultes, cet enfant aurait pu très mal finir.
07:40Heureusement, les collègues ont eu l'à-propos, le sang-froid et le courage de pouvoir le sortir de là.
07:45On va parler des prévisions de Météo France.
07:48Vous les évoquiez il y a quelques minutes.
07:50Vous avez souligné qu'heureusement que vous aviez la connaissance de la rivière,
07:54la connaissance du terrain, j'ai envie de dire l'historique en tant que locaux
07:59parce que les prévisions, les alertes n'étaient pas suffisantes, semble-t-il.
08:04Je vous propose d'écouter ce que disait, et c'est un véritable coup de gueule,
08:07Ségolène Royal, c'était ce matin sur RTL.
08:09Il faut réformer le mécanisme des alertes.
08:12Ce n'est pas normal que les gens soient restés sous alerte orange
08:15avec même des magasins ouverts où les gens étaient piégés,
08:17les gens étaient piégés dans leur voiture sur la route.
08:20Puisque les mécanismes sont plus extrêmes,
08:22il faut donc réformer les méthodes d'alerte.
08:26Vous partagez ces reproches, Vincent Bonny.
08:28Vous n'avez pas été alerté suffisamment en amont.
08:30Vous le disiez presque déjà tout à l'heure.
08:32Non, je ne commenterai pas les propos de cette personne.
08:34Moi, ce que je sais, c'est qu'à 7h36, j'ai lu mon bulletin d'information météorologique
08:38et que les prévisionnistes de Météo France ne pouvaient pas prévoir autrement que ce qu'ils m'ont dit,
08:43c'est-à-dire 40 mm d'impact d'eau dans la journée dans notre commune, sur le bassin versant.
08:49À 14h, c'est vrai que c'était 120 mm.
08:52C'est pour ça que le phénomène météo, effectivement, on voit bien qu'il n'a pas pu être prévu.
08:58Mais il faut avoir les compétences nécessaires pour juger du travail des spécialistes de Météo France.
09:03En revanche, ce qui est important, c'est que les élus locaux, les services municipaux,
09:08et je tire vraiment mon chapeau et je voudrais vraiment le souligner,
09:13le rôle indispensable des services publics de proximité,
09:16des services publics des villes, des mairies, qui a été particulièrement important ici,
09:21et c'est ensemble, élus et services, où on a pu décrypter ce qui était en train de se passer
09:26et ce que les prévisionnistes de Météo France n'avaient pas pu prévoir.
09:29Ce qui permet qu'il n'y ait pas de victimes aujourd'hui, malgré les images qui ont fait le tour du pays
09:34et qui montrent la violence des événements qui ont secoué votre ville.
09:37Vincent Bonny, merci encore d'être intervenu sur l'antenne d'RTL.
09:41La décrue qui s'amorce dans la Loire, mais l'inquiétude encore et toujours ailleurs, notamment en Ile-de-France.
09:48A Saint-Rémy-les-Chevreuses, par exemple, au sud de Paris, on a guetté le niveau de l'Ivette toute la matinée
09:53et les riverains qu'ils souhaitaient ont pu être évacués, Valentin Boisset.
09:57Absolument, on parle là de l'hypercentre de la ville où la rivière s'écoule désormais dans la rue des écoles
10:04et l'eau rentre dans certaines maisons. Ce matin, on voit sur le bitume le niveau qui augmente tout légèrement.
10:09Encore il y a quelques minutes, Agnès, agent à la mairie, était en charge de proposer des solutions.
10:15Je l'ai suivie, elle et son téléphone, pendant quelques minutes.
10:19C'est qui m'appelle ? C'est la boulangerie. C'est Virginie.
10:21Je viens te voir. Donc tu as 50 centimètres dans le labo.
10:24C'est comme ça depuis ce matin, j'imagine ?
10:26Oui, en fait, on a travaillé toute la nuit. On met en sécurité toutes les personnes et les commerces.
10:32Les habitants, effectivement, ont besoin de soutien.
10:34Un gymnase est ouvert un peu plus haut, notamment pour les enfants, car deux écoles sont inondées.
10:39Lorsqu'Agnès s'approche de certains habitants, il y a de la colère.
10:42C'est la deuxième fois en une semaine que cette zone est impactée.
10:45J'ai 80 ans, monsieur. Je suis très fatiguée. Je suis sur les nerfs. On ne peut que subir.
10:50On essaie de s'améliorer en termes de communication.
10:52La communication, bien sûr, bien sûr, mais c'est très gentil d'être là.
10:55Ce qu'il faudrait, c'est arrêter de construire. Si vous avez un peu d'influence, qu'est-ce que...
10:59On se regarde, on est désolés tous, et puis voilà, qu'est-ce que vous voulez qu'on fasse ? On ne peut que subir.
11:03À cet après-midi, la décrue devrait commencer.
11:06L'eau a atteint 70 centimètres dans les rues.
11:09C'est tout de même moins que la semaine dernière, où le niveau atteignait ici un peu plus d'un mètre.
11:13Valentin Boisset à Saint-Rémy-les-Chevreuses, en région parisienne, donc, pour RTL Paris,
11:18où un homme a été tué hier soir par la chute d'un arbre.
11:23C'était dans le 19e arrondissement de la capitale. On y reviendra à 12h30.
11:26Courte pause. Dans un instant, les intempéries toujours.
11:29Mais la politique s'emmêle et les polémiques arrivent.
11:32Vous avez entendu Ségolène Royal. Elle n'est pas la seule.
11:35Et voilà que la ministre de la Transition écologique menace à son tour de démissionner,
11:39de quitter le gouvernement, si le budget de son ministère n'est pas revu à la hausse.
11:42A tout de suite.
11:55Et on parle du budget avec ces coupes qui vont être difficiles à arbitrer.
11:59Parce qu'après Didier Migaud, le ministre de la Justice, c'est donc la ministre de la Transition écologique
12:04qui met sa démission dans la balance.
12:06Agnès Pannier-Runacher l'affirme au lendemain d'inondations qui ont durement frappé le pays.
12:11On en parlait il y a un instant.
12:12Le compte n'y est pas sur l'adaptation au changement climatique, selon elle.
12:15Et si ça ne change pas, Marie-Bénédicte Allaire, elle dit qu'elle en tirera les conclusions.
12:20Ben oui, en clair, qu'elle démissionnera ce matin sur BFM TV.
12:23Elle en appelle aux députés avec un argument choc.
12:26Faut-il attendre des drames pour comprendre l'absolue nécessité d'investir dans l'adaptation au changement climatique ?
12:33Allusion très claire, bien sûr, aux inondations sans précédent en France.
12:37Agnès Pannier-Runacher dit qu'elle redoute les velléités du RN de réduire le budget consacré au changement climatique.
12:43En réalité, elle s'adresse aussi à la droite et aux blocs macronistes et centristes pour améliorer son budget.
12:48Après le garde des Sceaux, Didier Migaud, elle est la seconde à mettre publiquement sa démission dans la balance pour obtenir une rallonge.
12:55Il y a quelques années, une des prédécesseurs d'Agnès Pannier-Runacher, Delphine Bateau, avait dénoncé son mauvais budget et était immédiatement remerciée par François Hollande.
13:04Agnès Pannier-Runacher, elle, évite de prendre Michel Barnier de front.
13:08Elle remet m'hommage à son action passée en matière de protection de l'environnement.
13:12Marie-Bénédicte Allaire, service politique d'RTL.
13:15Et notez qu'Agnès Pannier-Runacher sera l'invité du grand jury RTL M600 en partenariat avec Public Sénat et Le Figaro ce dimanche.
13:23On a appris la mort d'un nourrisson décédé hier soir au large du Pas-de-Calais dans le naufrage d'une embarcation surchargée qui tentait de rejoindre clandestinement l'Angleterre.
13:33Ce décès qui porte à 52 désormais le nombre de personnes décédées en tentant de traverser la Manche depuis le début de l'année.
13:40La mort de Yahya Sinouar ne marque pas la fin de la guerre mais plutôt le début de la fin de la guerre à Gaza.
13:47Voilà comment Netanyahou a réagi hier soir à la mort du chef du Hamas.
13:52Tué par l'armée israélienne dans le sud de la bande de Gaza, Yahya Sinouar surnommé le boucher de Raniounès était considéré comme le cerveau des attaques du 7 octobre.
14:02Et son décès Nicolas Burnon soulève un espoir chez les proches d'otages toujours retenus dans la bande de Gaza.
14:07Oui la mort du chef du Hamas représente une victoire pour ces familles qui doivent désormais selon elles assurer le retour de leurs proches en Israël.
14:16Une centaine d'otages encore retenus par le mouvement islamiste.
14:19La moitié seraient morts. Contacté par RTL, Yael Hadar est la mère de Tamir. Son fils de 38 ans a été tué en captivité. Son corps se trouve toujours dans la bande de Gaza.
14:30Sinouar le terroriste qui a conduit l'attaque du 7 octobre, celui qui pendant des mois a bloqué tout accord de libération est maintenant mort. Ce n'est que justice.
14:40Nous demandons au gouvernement israélien et aux médiateurs de saisir ce moment pour faire en sorte que ceux qui sont vivants puissent rentrer chez eux.
14:48Les autres comme mon fils doivent être enterrés avec dignité. Leur retour peut mettre fin aux affrontements et retrouver ainsi la paix dans cette zone.
14:56Israël a promis de coopérer avec les Etats-Unis pour favoriser la libération des otages mais cela ne devrait pas mettre un terme immédiat au combat dans la bande de Gaza.
15:06Jusque là le premier ministre Benyamin Netanyahou a toujours privilégié l'usage de la force sur les négociations pour poursuivre son objectif.
15:15L'éradication totale du Hamas. Aujourd'hui le mouvement islamiste est certes affaibli mais n'est pas totalement détruit.
15:23Tant l'organisation est rompue à la clandestinité et a intégré l'élimination de ses cadres dans son fonctionnement.

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