• il y a 21 heures
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00:00Voilà, je croyais que c'était que les oreilles, apparemment c'est aussi la nano-gastrique, voilà, donc il paraît qu'il y aura bientôt, je crois que Jean-Michel, vous avez...
00:07– Mes enfants ! – Les cheveux...
00:09– Bientôt, ça sera ça. – Fabrice Diviseau nous a rejoint, merci à lui.
00:12Vous avez des petites pancartes, c'est pas pour les... Voilà, regardez, merci. Donc êtes-vous choqués ? Oui, non, oui, non, oui, oui, non, oui, Jean-Michel.
00:20– Oui, parce qu'on va encore nous dire que ça concerne très peu de personnes, etc.
00:23Mais c'est le symbole, c'est le principe, c'est...
00:25– Voilà, ça sert à rien de nous donner des chiffres, Thomas Guénolé.
00:27– Il va nous dire... – Non, mais je vous le dis, parce qu'il y a 5 personnes qui se sont fait retoler les oreilles, c'est le symbole, en fait.
00:34– Ils disent, mais c'est le symbole, évidemment, il n'y a pas besoin qu'il y en ait 150 000 pour dire et pour savoir qu'il y a un problème
00:41et que cette aide médicale d'État, voilà, n'a pas de sens, en tout cas, n'est pas juste.
00:47Voilà, donc je suis désolé, mais je suis sûr qu'on va encore déterrer d'autres choses, parce que là, tous les 3 jours, on découvre quelque chose.
00:53Donc après, ça va être les thalasso, etc. – C'est sûr. Non, non, les thalasso, ils ont pris tout l'exemple.
00:57– Non. – Non, mais c'est vrai, parce que c'est précisé.
00:59– C'est précisé qu'il n'y a pas les thalasso, c'est ça.
01:01– Exactement, on ne prend pas en compte les thalasso. – Quand on regarde le menu, non, thalasso, non.
01:03– Non, thalasso, non, ben tant pis, le bain d'algues, on va pas le payer, oui.
01:06Oui, Gilles Verden. – On ne découvre rien du tout, Jean-Michel, puisque c'est dans la nomenclature de l'AME.
01:11– Alors, je ne donne pas de chiffres, mais sur le principe... – Sur le principe, est-ce que ça vous choque ?
01:15– Je suis pour, mais non, je suis pour... – Aller au gastrique, oui, d'accord.
01:17– Mais bien sûr, les... – Et recoller les oreilles à nos gastriques.
01:19– Recoller les oreilles, on peut discuter, mais je vais vous dire que je ne suis choqué par rien.
01:23Je suis pour qu'on augmente l'AME, c'est formidable, c'est l'honneur de la France,
01:27et s'il y a des gens qui ont besoin d'un anogastrique, eh bien...
01:31– Il n'a aucun argument. – Mais je n'ai pas le droit de donner de chiffres, donc il fait ce que je peux.
01:35Vous me parlez de symbole. – Bien sûr, c'est un symbole.
01:37Écoutez-moi bien, moi, je vais vous donner un chiffre, moi.
01:395 personnes qui se sont fait recoller les oreilles, déjà, c'est énorme.
01:41Si il y en a 3 qui ont mis un anogastrique, pour moi, c'est énorme.
01:43– Ça coûte 5 000 euros, les anogastriques.
01:45– Mais il n'y avait rien au symbole.
01:47– Je comprends pourquoi Fatou veut pas se marier avec vous.
01:49– Et la pente de sécurité sociale est remboursée, et pas le reste, ils sont remboursés.
01:53– Mais je sais. – Bah voilà.
01:55– Fatou, barre-toi, barre-toi. – Mais non, mais te barre pas.
01:57C'est l'honneur de la France. – S'il vous plaît, calmez-vous.
01:59– Mais si 3 paires d'oreilles recollées, ça permet à 3, par exemple, personnes très âgées,
02:03n'en faisait pas, d'avoir des dents nouvelles. – Exactement, je préfère.
02:05– Priorité. – Ouais, moi aussi.
02:07– Et en plus, la réduction d'estomac, en quoi c'est vital ?
02:09– Ah non, c'est pas vital, bah non.
02:11– Je n'ai pas précisé que c'est vital.
02:13– Oui, mais donc c'est de l'esthétique.
02:15C'est-à-dire que tu veux perdre 20 kilos,
02:17parce que pour les cas, effectivement, d'obésité morbide, je peux comprendre,
02:19mais dans ce cas-là, si tu veux perdre 20 kilos,
02:21tu fais un régime et tu te bouges les fesses,
02:23et tu n'as pas besoin de réduire ton estomac,
02:25avec une pratique qui peut être dangereuse en plus.
02:27– Pardon, c'est n'importe quoi. – Non, non, c'est bon.
02:29– C'est n'importe quoi. – Attends, c'est le métier de ma mère.
02:31– Tu viens de dire n'importe quoi.
02:33– Non, non, c'est pas possible. – La ME ne prend pas en charge
02:35les opérations sur l'estomac pour des raisons esthétiques,
02:39c'est pour des raisons de type obésité, etc.
02:41Et c'est 5 000 euros sur l'année.
02:43Qu'est-ce que vous nous faites emmerder avec ça ?
02:45– Mais vous n'entendez rien.
02:47– Le message. – Qu'est-ce que je lui ai dit ?
02:49C'est le message. – Le message envoyé.
02:51– Vous êtes un cerveau ou pas ?
02:53– Moi, mon message, si vous voulez, c'est que ça coûtait
02:555 000 euros sur l'année. – Allez, c'est bon.
02:57– Et pendant ce temps-là, la fraude des prestataires de santé
02:59à l'assurance maladie, c'est 330 millions d'euros.
03:03– C'est bon, allez, allez.
03:05– Et on va faire 50 émissions sur 11 000 balles, enfin.
03:07– C'est des cas différents.
03:09– Ça ne marche pas. – Quand vous serez rédacteur
03:11en chef d'émission, vous serez peut-être de l'audience, merci.
03:13Pour l'instant, allez vous émettre des messages envoyés.
03:15– C'est symbolique, c'est le message.
03:17– Le symbole à 330 millions d'euros, tu t'en fous ?
03:19– S'il vous plaît, personne ne vous a donné la parole,
03:21Jean Reno de Guingamp, là, merci.
03:23– Jean Reno de Guingamp ?
03:25– La mauvaise foi de Gilles et Thomas sur les chiffres,
03:27elle est claire et nette.
03:29– On n'a pas le droit de parler de chiffres, ça, Charles.
03:31– Justement, je vais vous parler des chiffres.
03:33– Laissez parler, là, regardez-le comme il est beau.
03:35On dirait qu'il va au salon de la magie, ce con.
03:39– L'agence France-Presse a envoyé une dépêche pour dire que
03:45on disait tout et n'importe quoi sur les ME, sur les oreilles,
03:47sur les chirurgies du ventre, etc.
03:49Mais dans cette même dépêche, ils se contredisent eux-mêmes,
03:53puisqu'ils disent qu'il y en a eu onze l'année dernière.
03:57Et comme dit Cyril, onze, c'est onze de trop.
03:59Est-ce qu'on a besoin de se faire couper l'estomac pour maigrir ?
04:01Faites un régime, mangez sain, je devrais le faire aussi,
04:07et c'est plus simple que d'aller se faire opérer.
04:11– Daniel Moreau.
04:13– Non seulement vous n'avez pas d'argument,
04:15mais le seul pauvre argument que tout le monde a pour défendre la ME,
04:17c'est qu'il faut soigner les gens pour éviter, par exemple, des épidémies.
04:21Eh bien là, on s'en fout qu'il y en ait trois, qu'il y en ait mille,
04:25mais le fait que ce soit dans la liste,
04:27ça prouve exactement que ce n'est pas pour les épidémies.
04:31Quelqu'un d'obèse ne va pas transmettre son obésité à quelqu'un d'autre.
04:35Donc voilà, on a la preuve manifeste que votre argument,
04:37qui est le seul, ne tient pas.
04:39Parce que je rappelle quand même qu'on veut soigner,
04:41gratuitement, des gens qui sont là illégalement.
04:43C'est-à-dire que si quelqu'un entre chez vous par effraction,
04:45et alors vous avez un petit bobo aux doigts, je vais vous soigner.
04:49Non, c'est ton argument toujours avec les sweaters,
04:51bienvenue, entrez.
04:53Voilà, on n'en peut plus, on n'a plus les moyens de notre générosité.
04:57On fait un COP, on enchaîne mamie avec mamie.
05:00Point de vue image, Thomas, tu dis, on parle donc,
05:03tu l'as très bien dit, des gens qui sont là, normalement,
05:05et qui ne devraient pas être là.
05:07Tu as rarement des obèses dans ce type de population.
05:11Oui, d'ailleurs, il n'y a eu que 11 qui ont été opérés.
05:13Donc c'est vraiment une notion de principe qui, pardon,
05:16mais t'as condamné, pour moi.
05:19Il faut quantifier les problèmes, c'est important.
05:21Raymond ?
05:23Moi, l'aide médicale, je veux bien la donner,
05:25si on l'a donnée d'abord par priorité, en fait.
05:27Moi, je m'en fous que ce soit un étranger ou un Français, je m'en fous.
05:30Je veux juste qu'on la donne par priorité.
05:32Moi, j'ai des histoires où des gens ont été obligés d'arrêter de travailler
05:35parce qu'ils ont eu des accidents du travail.
05:37Ils ont été en invalidité.
05:39On leur a dit, tu n'as plus le droit à rien.
05:41Maintenant, c'est 900 euros que tu vas toucher.
05:43Ils sont passés de 2 500, 1 800, 2 000 euros à 900 euros.
05:46On a aussi des gens ici qui viennent des fois
05:48qui ne peuvent pas se payer des fauteuils parce qu'ils sont handicapés.
05:51On est en France, c'est un handicapé qui ne peut pas se payer un fauteuil.
05:54Moi, j'aimerais d'abord qu'on…
05:56Alors, vous allez dire démagogie, peu importe, je m'en branle.
05:58Mais tu peux faire les deux.
05:59Je préfère d'abord qu'on s'occupe de gens qui n'ont pas de fauteuil.
06:02Thomas, tu ne peux pas t'en faire les deux.
06:04Moi, je préfère qu'on s'occupe de celui qui a un fauteuil.
06:06Je préfère celui qui a eu un accident de la vie,
06:08qui ne peut plus travailler, qui se retrouve avec 500 euros de revenu,
06:11plutôt qu'on envoie un mauvais message de dire à ces gens-là,
06:14tu vois, toi, par contre, tu n'auras pas de fauteuil,
06:16mais toi, on va te recoller les oreilles.
06:18J'ai un autre cas officiel, les chéris.
06:20L'AME ne prend pas en charge des couronnes dentaires à 100 %.
06:23Néanmoins, la part du remboursement de la Sécu pour les couronnes
06:26est plus grande pour les patients AME que pour les cotisants français.
06:29Si c'est vérifié, c'est incroyable.
06:31C'est vérifié.
06:33Alors, Thomas, comment on justifie ça ?
06:36Non, mais ne relance pas.
06:38On a Fabrice Divizio, là, s'il te plaît.
06:40Quelqu'un qui a travaillé toute sa vie, qui n'a plus de dents,
06:41et qui doit se refaire les dents.
06:42On lui dit, tu m'as payé 4-5 000 euros.
06:44Et quelqu'un qui n'a jamais rien fait pour la France,
06:46il arrive, on lui dit, on va te faire des dents toute sa vie.
06:48C'est injustifiable.
06:49Non, je peux te le plaider demain, excuse-moi,
06:51mais il faut d'abord que je regarde les chiffres,
06:52parce que je ne parle pas sans savoir.
06:54Je ne parle pas sans savoir.
06:55Fais-moi confiance, fais confiance au chef.
06:57Non, mais sans les chiffres, je ne pourrai rien faire.
06:59Merci.
07:00Fabrice Divizio, qui est le grand chef.
07:02Le schtroumpf.
07:04Le grand schtroumpf de l'élection.
07:06Qu'est-ce que ça nous dit ?
07:08Schtroumpfez-moi tout ça !
07:10Et c'est vrai, mon chiffre à Fabrice, tu le sais, toi.
07:12Oui, c'est vrai.
07:14Mais qu'est-ce que ça nous dit, ça ?
07:16Qu'est-ce que tout ça nous dit ?
07:18Vous avez vu comment il nous calme ?
07:19C'est notre thalasso, ça.
07:20Il nous dit qu'effectivement,
07:22il faut cesser avec l'immigration,
07:24régulière ou clandestine.
07:26Fin de l'histoire.
07:27Et ce n'est pas moi qui le dis.
07:28Merci de le dire.
07:29Salut.
07:30Merci d'être venu.
07:31Non, pas salut.
07:32Tu sais pourquoi pas salut ?
07:33Non, pas salut.
07:34Parce que cette formule, elle n'est pas de moi,
07:35elle est de Georges Marchais en 1980.
07:37Georges Marchais ?
07:38Georges Marchais a dit qu'il faut cesser avec l'immigration,
07:40légale ou clandestine.
07:42Donc tu peux discuter de tout ce que tu veux,
07:44mais tout le reste, c'est une déclinaison.
07:46Il faut assumer, à un moment donné,
07:48de se dire, on a un problème,
07:50et c'est certainement pas avec l'AME qu'on va le résoudre.
07:52S'agissant de l'AME, pourquoi en parler ?
07:54Il y a une question qui me vient pour Gilles et Thomas,
07:56c'est que vous êtes tellement fatigué que la journée,
07:58vous dormez ?
07:59Après l'émission, vous dormez ?
08:00Ah là là là.
08:01Si on pouvait éviter les attaques personnelles,
08:03ça fait perdre du temps à tout le monde.
08:05Ça fait perdre du temps à tout le monde.
08:06Quand vous faites des insultes diverses et variées,
08:08ça fait perdre du temps à tout le monde.
08:10Est-ce que vous l'entendez, ça ?
08:11Regardez-moi quand je vous parle.
08:12Est-ce que vous l'entendez, ça ?
08:13Que les insultes, ça fait perdre du temps à tout le monde.
08:15C'est qui ?
08:16C'est qui l'insulté ?
08:18Un coup, c'est Laurel et Hardy.
08:20Un coup, c'est vous êtes nuls.
08:22Un coup, c'est vous êtes un imbécile.
08:24Ça va bien 5 minutes.
08:26On débat sur le fond, mais vous ne m'insultez pas.
08:28On est clair là-dessus.
08:30C'est une question de respect mutuel.
08:34La première chose, c'est que si vous ne voulez pas
08:37effectivement vous plier aux règles,
08:39vous ne venez pas.
08:40C'est aussi simple que ça.
08:41Non, non, là, vous vous insultez, c'est un problème.
08:43Non, je termine.
08:44D'abord, vos airs pontifiants, vous vous les gardez.
08:46Première élément.
08:47Je les garde si je veux.
08:48Non, vous vous les gardez tout court, en fait.
08:51Vous n'êtes pas le patron, ici.
08:53Je vous dis de ne pas m'insulter.
08:54Deuxième élément.
08:55Je vous dis de ne pas m'insulter.
08:56C'est simple.
08:57Vous n'êtes pas au Parti communiste.
08:58C'est une question de politesse élémentaire.
09:00Je ne sais pas où vous avez été élevé.
09:02Je ne sais pas où vous avez été élevé, monsieur,
09:04pour insulter les gens quasiment tous les soirs.
09:07Moi, je n'insulte jamais, alors vous ne m'insultez pas.
09:10C'est une question de politesse.
09:12Il a fini, ça y est ?
09:13Il a fini.
09:14Sur l'AME, quand vous serez réveillé la journée,
09:17au lieu de dormir,
09:19vous pourrez, effectivement, relever que la loi de finances,
09:22que le projet de loi de finances actuellement en discussion,
09:25c'est qu'effectivement, les Français vont être saignés,
09:28mais saignés de chez saignés.
09:30Vous avez une imposition sur la présence principale,
09:32tout un tas de fiscalités qui changent.
09:34Et donc, les seuls qui seraient dispensés de l'effort dans ce pays,
09:39c'est les étrangers en situation irrégulière.
09:42OK.
09:43Eh bien, c'est la France que vous voulez, pas moi.
09:45C'est pas ce que je dis, mais OK.
09:46Quant à savoir, je viens de vous répondre.
09:47Où est-ce que j'ai été élevé, monsieur ?
09:48J'ai été élevé dans une société du partage égalitaire.
09:51J'ai été élevé dans une société où des parents étrangers, monsieur,
09:54eh bien, ont donné priorité à la France qui les a nourris
09:57et qui les a accueillis.
09:58Mais pas dans la France de la politesse, à l'évidence.
10:00Laissez-moi finir, monsieur.
10:02Je ne comprends pas ça.
10:03Je ne comprends pas votre grossièreté.
10:05Je ne la comprends pas sincèrement.
10:07Pourquoi vous insultez les gens ?
10:09C'est une vraie question.
10:10C'est une vraie question pour moi.
10:13Pourquoi vous ressentez le besoin d'insulter les gens,
10:17Géraldine, de temps en temps, que vous traitez d'imbéciles,
10:20moi, régulièrement ?
10:21Pourquoi vous insultez les gens ?
10:23Quel est le besoin ?
10:24Arrêtez, ce n'est pas le débat.
10:25Je vais vous demander.
10:26Est-ce que vous ne comprenez pas, vous m'avez dit ?
10:28Le problème, monsieur, c'est que vous ne comprenez rien.
10:30Ah, voilà, encore.
10:31Donc là, une traite d'imbécile, c'est bizarre comme démarche.
10:33Je ne comprends pas.
10:34Non, non, vous ne traitez pas d'imbécile.
10:35Non, non, mais OK, c'est pas grave.
10:36Mais c'est étrange, en fait.
10:37Je ne sais pas d'où vous sortez ça.
10:40Gardez-les ! Gardez-les ! Gardez-les !
10:43C'est très étrange.
10:44Je ne comprends pas ce truc-là.
10:45Si vous voulez vraiment vous prendre à partie personnellement,
10:47soyez sûr, ici, que je l'aurais fait il y a bien longtemps.
10:49Mais c'est bien, c'est bien.
10:50On peut faire un concours de bite directement, si vous voulez.
10:52Mais moi, ça ne m'intéresse pas.
10:53Alors, je voudrais avoir l'avis de Polska.
10:55Alors, moi, ça ne me choque pas, parce que l'anneau gastrique,
10:57c'est pour l'obésité morbide, qui peut être mortel.
10:59Oui, non.
11:00C'est vrai.
11:01Donc, ça ne me choque pas.
11:02Ce n'est pas une opération esthétique de sein ou de huc.
11:04Et ensuite, je pense qu'il y a tellement de problèmes en France
11:07pour arrêter avec cette obsession pour les droits qu'ont les immigrés,
11:10les sans-papiers.
11:11Vous n'avez pas compris ce qu'on dit.
11:13C'est que c'est un symbole.
11:14Oui, mais on s'en fout du symbole.
11:15C'est des miettes.
11:16Si on fait des miettes, plus des miettes, ça fait un bon point.
11:18Mais il y a tellement d'autres choses.
11:20On va voir ce qu'en pensent les téléspectateurs.
11:22Un système.
11:23Voilà, 90,5% choqués.
11:25C'est un symbole, un mauvais message qu'on envoie à l'étranger.
11:28Eh oui, mais oui.
11:29Jean-Michel, oui.
11:30Oui, c'est un mauvais message.
11:31Et puis, ce qui est marrant, c'est que quand les États-Unis choisissent les étrangers
11:34ou les Canadiens choisissent les étrangers qu'ils veulent bien recevoir,
11:37on est obligés de remplir tout un dossier.
11:38Tout le monde applaudit.
11:39C'est fantastique.
11:40Tout le monde applaudit.
11:41Et quand en France, on veut contrôler l'immigration,
11:43on dit que vous n'êtes que des fascistes, des nazis, etc.
11:45Tous les pays, tous les grands pays contrôlent leurs frontières.
11:48Le problème…
11:49Mais aussi, on le fait.
11:50Tous.
11:51Mais aussi, la plupart des gens ne sont pas au courant.
11:53Mais par exemple, le ministère de l'Intérieur établit des objectifs
11:56sur est-ce que j'accorde ou pas des titres de séjour sur des critères de travail
11:59en fonction prioritairement des métiers en fonction.
12:02Mais là où vous avez raison, parce que vous l'avez déjà dit hier ou avant-hier,
12:05c'est que cependant, c'est l'immigration par regroupement familial
12:08qui de loin arrive en tête.
12:09Ça, c'est vrai.
12:10Est-ce qu'il y a la réalité ? Les gens ne voient pas ça, Thomas.
12:12Est-ce qu'il y a la réalité ?
12:13Sur les ME, on a le droit aux opérations dont on vient de parler,
12:17oreilles, les dents, à partir du moment de 6 mois sur le pays.
12:20Mais comme on est en triclandestine, on peut dire qu'on est arrivé il y a un an.
12:23On s'en fout.
12:24Il n'y a aucune preuve quand est-ce qu'on est arrivé.
12:25Donc, c'est n'importe quoi.
12:26Juste un dernier point quand même.
12:29Moi, je vais vous dire, Thomas, ce qui me perturbe dans votre discours.
12:31Je vais vous dire ce qu'il me dit.
12:33C'est qu'en fait, vous ne vivez pas dans le même monde que tout le monde précisément.
12:36Vous êtes dans un monde fait d'idéologie.
12:38Et vous refusez systématiquement de coller au réel des gens.
12:41Parce que vous êtes un beau parleur.
12:43Vous venez vous m'expliquer que c'est l'immigration ceci, l'immigration cela.
12:45J'ai une question à vous poser, monsieur le généreux.
12:47Vous partagez combien de vos ressources avec les immigrés ?
12:49Hein, Jean-Marc ?
12:50Je paye mes impôts et mes cotisations sociales.
12:52Je ne comprends pas la question.
12:53On paye tous nos impôts.
12:54Ah, c'est le fameux argument accueillé chez toi.
12:56J'adore cet argument.
12:57Parce qu'en fait, quand je veux que les poubelles soient ramassées dans la rue,
13:00je dois les ramasser moi-même.
13:01Il ne faut pas qu'il y ait des boueurs.
13:02Quand je veux moins de sécurité, plus de sécurité,
13:05il faut que j'aille envoyer des policiers ou il faut que je le fasse moi-même ?
13:08Non, non, je réponds à l'absurdité du raisonnement général.
13:11Non, non, le concept.
13:13Voilà, c'est toujours le même concept utilisé.
13:15C'est de la rhétorique pour le coup.
13:17Et je trouve intéressant que quand vous, vous affirmez un truc,
13:19c'est le bon sens de pays réel,
13:21expression morassienne soit dit en passant.
13:23Et quand c'est moi, par contre, c'est de l'idéologie.
13:25C'est intéressant.
13:26Il suffit de ne pas être d'accord avec vous pour être dans l'idéologie
13:30et dans l'absence de réel.
13:31Donc vous avez le monopole de la définition du réel.
13:33C'est intéressant.
13:34Je vais répondre sur ce point.
13:35Vous voyez, ça, c'est l'extrême gauche française assez symbolique.
13:39Je ne suis même pas d'extrême gauche.
13:40Laissez-moi finir.
13:41Vous avez quelqu'un qui ne répond pas aux questions
13:42et quand ça le dérange, il devient agressif.
13:44C'est pas vrai.
13:45Fin de l'histoire.
13:46Il fait preuve d'une agressivité alors que fondamentalement,
13:48je ne suis contenté, si vous regardez, de vous poser une question.
13:51Vous faites preuve à mon égard d'une agressivité dont personne ici...
13:54Personne dans cette salle.
13:56Vous êtes le seul, depuis que je viens ici,
13:58à faire preuve d'une telle agressivité à mon égard.
14:00On est en désaccord avec tout le monde.
14:02Je ne vous laisse pas passer quand vous m'insultez.
14:04À mon avis, il est jaloux de votre blouson.
14:06Je pense.
14:07Ça, c'est vrai.
14:08Je l'ai dit dès le premier jour.
14:09Merci Fabrizio d'avoir été avec nous.

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