Et combien de viols dont les victimes droguées ne se souviennent de rien ?
Alizoh8
PRESSES :
Les plaignantes ont fréquenté le services des urgences du CHU de Nîmes, l’une en octobre 2008, l’autre en mars 2009. La première, une Nîmoise, y avait été amenée par le Samu à la suite d’une tentative de suicide.
« Elle accuse le médecin d’avoir mis à profit qu’elle se trouvait seule dans un box pour lui pratiquer des massages à caractère sexuel, explique Robert Gelli. Elle a tenté de s’y opposer, mais son état de vulnérabilité avait rendu les choses impossibles. Postérieurement, elle avait signalé le comportement de cet urgentiste à la direction de l’hôpital, qui lui avait demandé de s’expliquer. Il s’est toujours défendu d’avoir eu une quelconque intention particulière. »
Auscultation à domicile
En ce qui concerne la deuxième victime présumée, les faits présumés, qui dateraient de mars, sont beaucoup plus graves.
« Une dame souffrant du dos s’était présentée aux urgences, l’urgentiste lui avait diagnostiqué un lumbago, tout en lui conseillant de passer d’autres radios. Il lui avait surtout proposé une auscultation à domicile », raconte le procureur de Nîmes.
Pour cela, le médecin lui avait demandé son numéro de téléphone portable et de le prévenir si les douleurs persistaient. Souffrant le martyre, cette dame l’a appelé deux jours après. L’urgentiste s’est rendu chez elle, lui a administré une piqûre pour calmer la douleur, lui-a-t-il dit. En fait, il lui aurait administré un produit pour l’endormir. Elle a toutefois gardé en mémoire l’épisode du viol.
Alizoh8
PRESSES :
Les plaignantes ont fréquenté le services des urgences du CHU de Nîmes, l’une en octobre 2008, l’autre en mars 2009. La première, une Nîmoise, y avait été amenée par le Samu à la suite d’une tentative de suicide.
« Elle accuse le médecin d’avoir mis à profit qu’elle se trouvait seule dans un box pour lui pratiquer des massages à caractère sexuel, explique Robert Gelli. Elle a tenté de s’y opposer, mais son état de vulnérabilité avait rendu les choses impossibles. Postérieurement, elle avait signalé le comportement de cet urgentiste à la direction de l’hôpital, qui lui avait demandé de s’expliquer. Il s’est toujours défendu d’avoir eu une quelconque intention particulière. »
Auscultation à domicile
En ce qui concerne la deuxième victime présumée, les faits présumés, qui dateraient de mars, sont beaucoup plus graves.
« Une dame souffrant du dos s’était présentée aux urgences, l’urgentiste lui avait diagnostiqué un lumbago, tout en lui conseillant de passer d’autres radios. Il lui avait surtout proposé une auscultation à domicile », raconte le procureur de Nîmes.
Pour cela, le médecin lui avait demandé son numéro de téléphone portable et de le prévenir si les douleurs persistaient. Souffrant le martyre, cette dame l’a appelé deux jours après. L’urgentiste s’est rendu chez elle, lui a administré une piqûre pour calmer la douleur, lui-a-t-il dit. En fait, il lui aurait administré un produit pour l’endormir. Elle a toutefois gardé en mémoire l’épisode du viol.
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