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00:00L'information sur la CRTV, Madame, Monsieur, bonsoir, les titres de l'actualité, anesthésie
00:22et réanimation, intervention chirurgicale, ayahoundi, démonstration des savoirs et savoir
00:28faire des spécialistes en conclave depuis ce jeudi, admission de la rédaction TVO
00:33Bloc pour l'examen, Ambelie dans la filière cacao, les faux beaux jours des planteurs
00:44du sud, vente des fèves à ville priée, cherté de la main d'oeuvre, rafle les revenus,
00:49le calvaire des producteurs et les sillons de l'espoir dans le jeudi des régions.
00:54Joséphine Dagnon, dernier épisode d'une carrière à la CRTV, admission à la retraite
01:00du directeur délégué de CRTV Productions, les hommages en générique de fin rendus
01:05ce jeudi en présence du directeur général de l'office Charles Ndongo dans cette édition.
01:10Voilà donc pour les titres, restez sur la CRTV pour regarder le 20h30 et je vous dis
01:17tout sur tout cela, tout de suite.
01:22Sans plus attendre, direction l'immeuble Étoile où le gouvernement était réuni ce
01:27jeudi autour de son chef, Joseph Dionne Gouthet.
01:30Le premier ministre clôturait le mois d'octobre par un conseil de cabinet.
01:35La situation épidémiologique du pays et d'autres sujets d'actualité ont été examinés.
01:40Laurentine Becono.
01:42En l'absence d'un système national d'archivage fiable, la souveraineté informationnelle
01:48du Cameroun était exposée à des vulnérabilités de toute nature.
01:53Aussi, la nouvelle loi ouvre-t-elle une ère nouvelle en introduisant des innovations majeures?
01:59Le ministre des Arts et de la Culture, Bidung Pate, en a cité cinq, dont l'institution
02:05d'un organisme public transversal chargé de la gestion du système national d'archivage,
02:10le financement du système national d'archivage, le renforcement du système de sanction.
02:16Les tests d'application sont en cours d'élaboration.
02:19Il reste aussi à relever les défis de l'adaptation aux nouvelles technologies et la formation
02:25du personnel archivistique.
02:27A une autre échelle, les enjeux du nouveau régime des forêts et de la faune sont tout aussi brillants.
02:33La nouvelle loi du 24 juillet 2024 vient remplacer la loi de 1994 qui date de 30 ans.
02:42On peut donc penser que la loi était attendue.
02:45Elle innove dans le secteur des forêts, elle innove pour ce qui est de la transformation
02:51et pour ce qui est de la faune et ensuite il y a les défis.
02:55Autre défi à relever, la rémanence des risques sanitaires.
02:58Le ministre de la Santé publique en a fait la récension.
03:02Pour l'heure, la situation épidémiologique est à la calme.
03:07Nous devons continuer à être en éveil, nous devons continuer à être vigilants parce
03:11qu'autour de nous, nous avons quelques risques.
03:14Autant de défis ou d'épreuves qui mettent le gouvernement à l'épreuve, bien qu'il
03:19reste confiant pour booster la confiance des Camerounais.
03:24Il vous sera possible désormais d'effectuer le trajet Paris-Yaoundé-Paris à bord du
03:30Boeing 787 le plus recent.
03:33Le Premier ministre et chef du gouvernement, Joseph Dionne Goutet, a échangé sur cette
03:38nouvelle offre de services cet après-midi même avec le directeur PI de Air France au
03:43cours d'une audience à l'immeuble étoile.
03:45Laurentine Boccono.
03:47Nouvelle en vol, nouveau confort à bord du Boeing 787, également connu par son surnom
03:56Dreamliner.
03:57C'est un avion long courrier produit par la société Boeing depuis 2007.
04:02Il est réputé plus rapide, plus spacieux, plus confortable.
04:06Le Boeing 787 arrive sur Yaoundé, c'est un avion de nouvelle génération qui est
04:13moins polluant qu'un avion traditionnel, puisqu'il émet 20% de CO2 de moins qu'un
04:19avion traditionnel.
04:20C'est aussi un avion qui est moins polluant qu'un avion classique, puisque ses émissions
04:25sonores sont réduites de 20% par rapport à un avion classique, ce qui agrémente le
04:30confort de nos passagers.
04:32Par ailleurs, c'est un avion qui est particulièrement spacieux.
04:35Air France répond ainsi à la demande des Camerounais qui ont sollicité un meilleur
04:40traitement de la flotte qui dessert les deux capitales, Paris et Yaoundé.
04:45Au cours de la présentation du spécimen ce jeudi au premier ministre chef du gouvernement,
04:50Joseph Dionne Gauthier n'a pas camouflé sa joie ni sa gratitude pour cette collaboration
04:56qui va à coup sûr renforcer la confiance entre Air France et les Camerounais.
05:01Et pour être tout à fait complet avec l'actualité à l'immeuble étoile, ce communiqué de
05:07presse parvenu à notre rédaction.
05:09Le premier ministre chef du gouvernement, chief docteur Joseph Dionne Gauthier, représentera
05:15le président de la République, son excellence Paul Biya, à la cérémonie d'ouverture
05:19solennelle de la 46e session du Conseil des ministres de l'Organisation des pays producteurs
05:25de pétrole africain.
05:27Prévu le vendredi 1er novembre 2024 à l'hôtel Hilton de Yaoundé, à partir de 10 heures.
05:36C'est un communiqué signé du directeur de cabinet, Balungéli Confiance Ebouné.
05:42Le congrès de la société camerounaise d'anesthésie et de réanimation réunit depuis ce jeudi
05:49à Yaoundé une centaine de spécialistes.
05:51Pour cette 14e édition, ses personnels de santé discutent des questions liées à la
05:57prise en charge des patients en situation d'urgence.
06:00Plusieurs ateliers sont évoqués avec des noms qui font parfois peur, à l'instar
06:06de la mort subite.
06:07Agnès Solange à Bessolo.
06:08Mourir subitement est devenu un phénomène banal, non, rétorquent les anesthésistes
06:18réanimateurs.
06:19Le malaise qui précède le chaos est une question d'extrême urgence.
06:24La prise en charge n'est pas dans un délai très bref, plus souvent nous perdons nos
06:30patients à cause de ce comportement.
06:32Le délai de prise en charge et également la coordination des actes, tout doit être
06:37optimal et dans un bref délai.
06:39Le sujet préoccupe les anesthésistes réanimateurs réunis à Yaoundé qui saisissent donc l'occasion
06:46de leur congrès annuel pour tenter une approche cohérente qui colle à l'environnement.
06:51Il y a des gestes salvateurs qui peuvent être portés et qui peuvent sauver les vies dans
06:57ces cas respectifs.
06:58Mais il faut également faire des recommandations qui pourront être adressées à nos hiérarchies
07:04en termes d'organisation même et en termes d'éducation des populations.
07:09Plusieurs thématiques seront abordées pendant trois jours.
07:12Ici on apprend tout ce qui est échographie musculoskeletique dans le contexte de certaines
07:17situations où on peut retrouver des blessures ou des lésions que ce soit articulaires,
07:23musculaires.
07:24L'échange d'idées et le partage d'expériences pourraient bien faire la différence et sonner
07:29l'alerte.
07:30Je vous amène à présent au cœur des réalités de l'anesthésie et de la réanimation.
07:35L'hôpital général de Yaoundé nous ouvre les portes de son service spécialisé.
07:40A sa tête le docteur Mba qui explique que le gros du travail de l'anesthésiste consiste
07:46à préparer tout patient devant subir une intervention chirurgicale.
07:52Irene Zanafouda.
07:55La main experte habilitée à manipuler cette machine au bloc opératoire est celle d'un
08:02anesthésiste réanimateur à la personne du docteur Sébastien Mba qui met le patient
08:08à la disposition du chirurgien.
08:10Pour endormir un patient il faut d'abord le mettre de la voie veineuse, monter les
08:15machines de surveillance, nous apportons de l'oxygène au patient quand c'est suffisant
08:20et nous provoquons le sommeil.
08:22L'expertise de ce médecin spécialiste est encore requise pour le suivi post-opératoire.
08:29Le patient se réveille graduellement et si le réveil n'est pas comme prévu nous
08:35pouvons éventuellement apporter d'autres médicaments appelés antidotes pour faciliter
08:40ou accélérer le réveil.
08:42Mais il peut arriver que les choses se passent autrement.
08:47Le risque zéro n'existant pas, une anesthésie peut se compliquer de manière inattendue.
08:52Un triste souvenir par exemple que j'ai, c'est un enfant, un fils unique qui a été
08:59admis pour une ciconcision mais qui malheureusement s'est trouvé dans ce cas de 1 pour 10 000
09:05et qui est décédé.
09:06Dans cet univers, quelques difficultés entravent la bonne marche du service.
09:13Les anesthésistes ne sont pas nombreux, ce qui fait un très gros volume de travail
09:18pour très peu de personnes.
09:20Le pouvoir d'achat des patients qui est très faible et qui parfois nous pose des problèmes
09:25pour la préparation de ces patients.
09:27Par la volonté de Dieu, l'anesthésiste réanimateur détient donc le pouvoir de
09:34ressusciter les patients qu'il endort après une intervention chirurgicale.
09:40Et puisque nous sortons vivants de ce dossier sur l'anesthésie et la réanimation, parlons
09:46maintenant de cette discussion sur l'avenir de l'économie camerounaise ouverte hier
09:51à Yaoundé par le magazine Lignes d'Horizon que dirige Valentin Siméon Zinga, le directeur
09:57général de l'économie, des universitaires et un avocat d'affaires ont entretenu l'assistance
10:03à la Fondation Mouna.
10:05Etienne Pascal Azegu.
10:07Sur la trajectoire que devraient conduire les mégences du Cameroun à l'horizon 2035
10:12subsiste beaucoup de pesanteur.
10:14Cet espace de discussion créé par le magazine Lignes d'Horizon à Yaoundé permet au professeur
10:19Emmerich et ancien conseiller spécial du gouvernement de donner quelques ingrédients
10:23pour l'atteinte de ce cap.
10:24Mettre les infrastructures au centre de la politique économique et la bonne gouvernance.
10:29Mais il y a des raisons d'espérer avec l'option des partenariats publics privés.
10:35Associer le secteur privé à la réalisation, c'est-à-dire la construction, le développement,
10:40le financement voire l'exploitation de services publics permet de pouvoir répondre à cet
10:46enjeu, de pouvoir avoir davantage d'infrastructures.
10:49Il était nécessaire pour le directeur de publication de Lignes d'Horizon de faire
10:53le point à bientôt 10 ans du cap fixé pour notre émergence.
10:57Au vu des indicateurs qui incitent au moins à la circonspection ou pire au pessimisme,
11:03la question est de savoir questionner la trajectoire économique du Cameroun à partir de ces deux
11:09indicateurs.
11:10Où allons-nous?
11:11Que faisons-nous?
11:12Quel est le chemin qui reste à parcourir à partir du cap qui a été fixé?
11:15Nous croisons les doigts pour qu'il n'y ait pas de déraillement du train de l'émergence
11:20du Cameroun d'ici 2035, comme le pense l'ingénieur financier Babi Sakana.
11:25Le cacao rapporte gros ces derniers temps, mais pas pour les agriculteurs du Sud.
11:32Ils veulent, ils vendent les fèves en dessous de la barre, pressés qu'ils sont par des
11:37acheteurs véreux qui les poulient.
11:40Les changements climatiques et le coût de la main d'œuvre complètent le tableau de
11:44ces difficultés que traverse la filière dans la région.
11:48Christian Blondelabia.
11:49Des producteurs de la fève brune en direction des champs bravant les intempéries.
11:55Au groupement Inge Bagnou entre Bolovin et Biwombolo dans l'Alvila et dans tous les autres
12:00bassins de production du Sud, ils se battent bec et ongle pour une récolte abondante.
12:05Premier défi, trouver une main d'œuvre digne de son nom.
12:09Une tonne et demie.
12:10Si on les paye.
12:15En saison de pluie, l'étape du séchage est laborieuse.
12:19Si c'était les bâches, ça gâte le cacao.
12:21C'est pour cela qu'on a trouvé mieux d'adopter encore l'ancien système.
12:25Avec la hausse du prix du kilogramme de cacao, les planteurs ont cru pouvoir tirer le maximum
12:30de bénéfices.
12:31Au départ, on a vraiment trouvé le compte parce qu'on a vendu le cacao à 5 000.
12:34C'était bien, on prenait le cacao à 4 000, 5 000 francs.
12:37Cela n'aura été qu'un bonheur de courte durée, car les acteurs de l'ombre, les coqueurs,
12:42continuent d'influencer le circuit.
12:44Les coqueurs, ce sont des gars opportunistes.
12:46Si c'est 5 000, ils peuvent nous prendre à 2 500.
12:48Par rapport à la vente, surtout le prix, c'est ça qui nous tue.
12:51Les difficultés sont énormes.
12:53Autre obstacle, les conditions de transport des marchandises.
12:56On prend les motos.
12:575 000.
12:58Le sac.
13:00Et le phénomène du vol.
13:01C'est là qu'ils volent même.
13:02J'ai déjà vendu 5 sacs.
13:04Quand je dis 5 sacs, ça devait être 7 ou 8 sacs.
13:07Autant de francs à l'épanouissement des cacao-culteurs.
13:10Et pourtant, ils veulent s'imposer sur le marché à la dimension de leur dur labeur.
13:16Il y a donc urgence à défricher le champ des solutions en cette fin de saison.
13:21C'est à cela que travaillent le gouvernement et les syndicats de cacao-culteurs.
13:25Exposer des mesures prises pour redonner du sourire aux planteurs.
13:29Flavien Zobo.
13:32Les précieuses fèves de ce vent de pluie à prix d'or à Iborova.
13:35Les circuits commerciaux subissent la loi de l'offre et de la demande
13:39sur le plan international et même national.
13:42A cause des ventes non confort à la réglementation
13:45conduites chaque saison par des acheteurs occasionnels ici baptisés coqueurs.
13:50Ces acteurs économiques font la pluie et le beau temps.
13:53C'est de s'arrimer à la nouvelle donne.
13:57Une fois le cacao mobilisé, on transporte le cacao,
14:00on l'amène à Gréby, même si c'est combien d'automne,
14:04on paye tout ça à l'immédiat.
14:06Autre grief de la saison cacaoïère.
14:08Les soustractions frauduleuses, les récoltes,
14:11les coûts de vol se multiplient dans les exploitations.
14:14Les fèves en fermentation ne sont pas un reste.
14:17Face à cette menace permanente, les forces de l'ordre veillent
14:21et en appellent à la collaboration.
14:24Nous sommes disposés à aider les populations,
14:27à protéger leur bien.
14:31Quelqu'un est victime de vol, nous attendons qu'il nous appelle.
14:38Nous avons mis en place le point de contrôle, le contrôle mix.
14:42Nous avons ensuite signé le calendrier de vente
14:46pour éviter les ventes illicites.
14:49Toutes choses qui permettent d'envisager l'avenir
14:52sous un ciel radieux, chaud, c'est seigneur de la terre
14:55et on a tout pour la maîtrise des chiffres
14:58de la production cacaoïère chaque saison.
15:01Quatre boutiques de produits alimentaires et cosmétiques
15:05du marché central de Marois, emportées par les flammes,
15:08hier mercredi, peu après 19h,
15:11l'intervention des sapeurs-pompiers a tout juste permis
15:14d'éviter l'embrasement.
15:16Sur les lieux du sinistre, le gouverneur Minjiawa Bakari
15:19a invité les commerçants à préserver leurs biens
15:22à travers des installations électriques fiables.
15:25Mal Moussa Loudoublez.
15:28Cet incendie s'est déclaré au moment où les commerçants
15:31du marché central de Marois avaient déjà baissé le rideau
15:34de leur boutique, ce qui, naturellement,
15:37limite les veilleurs de nuit et les populations des alentours
15:40dans leur volonté d'agir.
15:42Ils ont assisté, impuissants, à la destruction de cette boutique,
15:45mais Paris réussit pour les soldats du feu
15:48qui ont empêché l'embrasement.
15:50Nous avons pu s'y construire le feu à ces 4 boutiques.
15:53Nous avons procédé à l'extinction progressive
15:56en refroidissant progressivement le potentiel calorifique
15:59qui s'y trouvait, notamment les marchandises diverses.
16:02En proie à des incendies, cette plateforme commerciale
16:05de la ville-cheffe de l'extrême Nord
16:08a besoin d'être sécurisée par ses propres occupants.
16:11Il y a fort à parier qu'il s'agit d'un coup de suite.
16:14Nous appelons les uns et les autres à plus de responsabilités
16:18pour éviter à l'avenir ce genre d'incidents.
16:21Parce que nous allons droit vers la saison sèche.
16:24Vous savez, généralement, en saison sèche,
16:27les feux sont légion dans la région.
16:30Il y a donc urgence de prévenir.
16:33Prévenir pour éviter ceci, 2 morts et 49 blessés
16:36dans un accident de la circulation à Bangan,
16:39département des Bamboutos, région de l'ouest.
16:42Le drame s'est produit dans la nuit de mardi dernier
16:45entre un camion semi-remorque venant de Tchang
16:48et un bus de 70 places en provenance de Bamenda.
16:51Emmanuel Koulokou.
16:54Selon le responsable de la fabrique de parpaings
16:57située à côté du lieu de l'accident, témoin oculaire,
17:00le chauffeur du camion semi-remorque et son assistant
17:03sont morts sur place à Bangan.
17:06Vers 20h, j'ai tenté de rentrer.
17:09Au moment où le bus était en train de passer,
17:12le camion semi-remorque, transportant le ciment,
17:15il est descendu, il a laissé son côté.
17:18Subitement, quelques secondes d'attention,
17:21après quelques minutes, j'appelle au gardien
17:24de la fabrique de parpaings pour qu'il m'ouvre les portières
17:27pour que les passagers la sortent.
17:30Le camion transportait des tonnes de ciment en direction de Mbouda
17:33et le bus de 70 places partait de Bamenda pour le sud-ouest.
17:36Le commandant de la brigade de gendarmerie de Bacham
17:39explique qu'il y a eu en tout cas un oeuf blessé
17:42sur place à Bangan, conduit dans les hôpitaux de Thang,
17:45de Bafoussam et de Bamenda.
17:4813 cas sont graves, y compris le conducteur du bus
17:51qui aurait perdu l'usage de ses 2 jambes.
17:54Les dépouilles des 2 victimes sorties du camion ont été conduites
17:57à la morgue de l'hôpital départemental de Mbouda
18:00et l'une des victimes reste toujours non identifiée.
18:03Un camp du 6e BIR nouvellement construit vient d'être inauguré
18:06dans le département du coupé Manunguba, région du sud-ouest.
18:09La réception des nouveaux locaux a eu lieu récemment
18:12dans cette localité.
18:15Stéphane Talla.
18:18Loin d'un crépitement d'armes, les activités socio-économiques
18:21s'intensifient dans l'arrondissement d'Ongouti ces dernières années.
18:24Cette normalisation les habitant la tribu
18:27au bon soin du bataillon d'intervention rapide.
18:30Il y a une parfaite symbiose
18:33avec les forces de maintien de l'ordre,
18:36c'est-à-dire travail ensemble au quotidien.
18:39Une sécurité continue est garantie avec ce camp BIR
18:42nouvellement construit dans la localité.
18:45Bureau, infirmerie, dotoir,
18:48l'infrastructure est inaugurée en présence du contrôleur
18:51inspecteur général des BIR.
18:54Ça nous permet de contrôler l'axe routier qui est le principal axe économique
18:57entre Cok, Manfe et Kumbaboya.
19:01Maintenant on a construit le grand camp
19:04qui va nous permettre d'être plus à l'aise.
19:07Également d'assurer la sécurité alimentaire des populations.
19:10Le BIR met à la disposition de ces derniers
19:13une importante quantité de denrées.
19:16Le sous-préfet d'Ongouti et tenant Kevin Oben
19:19les invitent à continuer la collaboration pour une paix durable.
19:22A près de 4 millions sur le fichier électoral,
19:25les femmes représentent moins de la moitié
19:29des électeurs camerounais.
19:32Pourtant elles constituent la majorité de la population.
19:35D'où la démarche d'ONU Femmes et Elections Cameroun
19:38avec l'appui du gouvernement qui ont choisi d'impliquer
19:41des modèles pour mieux sensibiliser à la participation politique.
19:44Daniel Menenga a pris part au dialogue
19:47ce Jeudi à Yaoundé. Reportage.
19:50L'une revendique des décennies d'années
19:53d'expérience en politique. L'autre est un modèle
19:56de témérité et de travail acharné.
19:59Les deux, sénateurs, juniors et députés,
20:02inspirent dans le processus des élections.
20:05Il faut encourager les jeunes filles à devenir des leaders.
20:08On ne n'est pas leader, on devient leader
20:11à partir de sa détermination.
20:14Le fichier électoral dressé par Eleka m'affiche en ce moment
20:17un total de 3 740 840 femmes
20:20sur les 8 116 960 citoyens inscrits
20:23et donc en mesure de voter.
20:26Il est vraiment question que les jeunes filles s'engagent
20:29en tant qu'actrices.
20:32Il y a celles qui peuvent être des électrices
20:35mais aussi celles qui sont des actrices directes.
20:38Elle est comme s'engage à apporter
20:41son expertise
20:44pour que les jeunes femmes comprennent
20:47quels sont les rudiments pour parvenir
20:50aux instances électives.
20:53Ce dialogue intergénérationnel sera peut-être le déclic
20:56pour susciter un intérêt grandissant des jeunes et des femmes
20:59pour le chapitre politique, pour la question du processus électoral
21:02au Cameroun aussi.
21:05On le verra bien lors des échéances électorales en préparation.
21:08Le cercle des amis du Cameroun
21:11aux côtés des femmes rurales et des personnes vulnérables
21:14de l'arrondissement de Dzung dans le département d'Union-Esso
21:18sous la conduite de la professeure Marie-Theresa Benandoua
21:21ministre de la promotion de la femme et de la famille
21:24qui représentait la présidente fondatrice du CERAC
21:27Chantal Bia.
21:30La délégation a rétrocédé le centre de promotion
21:33de la femme et de la famille de Dzung
21:36et remis quelques dons.
21:41La caravane du cercle des amis du Cameroun s'est déployée
21:44le 31 octobre à Dzung dans le département d'Union-Esso
21:47région du centre. Elle poursuit son action humanitaire
21:50et caritative luttant contre la pauvreté
21:53tout en réduisant la fracture sociale.
21:56L'atteinte des missions de formation et d'autonomisation
21:59de la femme et de la jeune fille dans l'arrondissement de Dzung
22:02passe par ce don de la première dame du Cameroun
22:05Madame Chantal Bia, un centre de promotion de la femme
22:08et de la famille doté de 8 salles de formation
22:11une salle polyvalente, un bloc administratif
22:147 bureaux, une direction et des magasins.
22:31Aux côtés des jeunes filles, les femmes rurales
22:34et les personnes vulnérables que sont les plus âgées
22:37les handicapés et malvoyants, elles aussi bénéficient
22:40des dons du CERAC.
22:51Le CERAC a pris la mesure de la vision politique
22:54du président de la République. Il agit
22:57en offrant ce jour des dons aux femmes rurales
23:00et aux personnes vulnérables
23:03pour contribuer à l'autonomisation.
23:07Une cérémonie grandiose qui a drainé une folie immense
23:10et des personnalités comptaient parmi les membres du gouvernement
23:13les parlementaires, l'autorité administrative
23:16traditionnelle et religieuse. L'action humanitaire
23:19et caritative de la présidente fondatrice du CERAC
23:22a été célébrée en chanson.
23:27Un souvenir qui revient justement comme une musique
23:30mais une musique triste, celui de Zanzibar
23:33hors fèvre de la guitare et virtuose du Bikutsi
23:36qui s'était éteint en mois d'octobre 1988.
23:3936 ans après, il joue toujours
23:42dans les mémoires et les milieux de musique.
23:45Son influence grince dans cette évocation
23:48de Gisèle Onguini.
23:56Dans les années 80, de nombreuses compositions
23:59musicales, après avoir fait ses classes
24:02auprès de virtuoses et autres icônes
24:05des rythmes patrimoniaux au Cameroun.
24:33Après le groupe Osima des Bogomérans
24:36il connaîtra la potéose dans le groupe Tête brûlée
24:39de Jean-Marie Aranda où il révolutionne le son
24:42de la guitare comme personne d'autre auparavant.
24:45La guitare électronique va émettre le son du balafon.
24:54La particularité c'est que
24:57la guitare balafon et puis
25:01en tournant un peu avec des musiques de variétés
25:04on associe avec la musique classique.
25:07La musique de Zanzibar fait partie de cette musique-là
25:10qui a propulsé le Bikutsi.
25:13Aujourd'hui, ceux qui l'ont formé ou l'ont côtoyé
25:16portent le flambeau de son héritage.
25:19Il y a des jeunes qui se sont déployés
25:22qui ont dit papa Zanzibar est parti
25:25il ne va pas partir avec tout ça.
25:28J'ai des jeunes qui ont travaillé
25:31je ne pourrai pas vous donner les noms tout de suite
25:34qui se sont vraiment battus et qui jouent bien.
25:37Pour les générations actuelles, il reste une référence pérenne.
25:43Le Cameroun fait son cinéma ce soir
25:46pour le dernier épisode du feuilleton de la semaine
25:49avec un coup de projecteur sur le coût des productions.
25:52Dans un contexte national où les financements sont rares
25:55les producteurs sont obligés de mettre la main à la poche
25:58ou de se tourner vers des banques
26:01pour solliciter des crédits.
26:04Laurence Okalia.
26:07Ce n'est pas servi sur un plateau.
26:10Le financement de la production d'un film
26:13est l'étape la plus difficile dans le processus
26:16pourtant les réalisateurs sont riches de créativité.
26:19C'est quoi nos mots ici ?
26:23Des partenaires que l'on cherche à gauche ou à droite et des sponsors.
26:26Et avoir ces milliers de financements là, c'est extrêmement compliqué.
26:29Donc ça fait que très souvent on fait appel.
26:32Vous êtes derrière les emprunts dans les quartiers, les cotisations
26:35pour essayer de financer votre film.
26:38Vous avez aussi appel à vos membres de la famille
26:41qui sont assez influents, qui sont assez fortunés
26:44pour pouvoir vous accompagner dans vos projets là.
26:47Et quand bien même ils trouvent des couloirs dans les banques
26:50ils doivent faire preuve de beaucoup de génie pour pouvoir rentabiliser.
26:53Pour une série TV, le budget
26:56ne peut pas être moins de
26:5940, 50, 60, 70 millions de francs.
27:02Il n'y a que notre chaîne nationale qui se bat pour acquisitionner
27:05selon les normes nationalement. Nous n'avons pas de marché local.
27:08Les acteurs aussi doivent jouer le jeu.
27:11Loin des strass et des paillettes, la réalité
27:14est que peu importe leur performance, le cachet
27:17est tout aussi difficile à recolter.
27:20Un acteur qui travaille sur un projet, même si je le paye un million
27:23est-ce qu'il pourra vivre avec les un million pendant un an ?
27:26C'est ça la question. Parce qu'il y a très peu de production
27:29pour les acteurs. Dans l'univers du film,
27:32il faut beaucoup de passion pour réaliser
27:35ses fictions.
27:38Si la retraite est le pari à tout prix
27:41de tout travailleur, alors Joséphine
27:44Dagnon l'a relevé. La réalisatrice,
27:47actrice et productrice achève sa carrière à la CRTV.
27:50Les au revoir émouvants ont eu lieu ce jeudi
27:53à la Maison de la Radio, telle une
27:56dernière production sur cette scène avec
27:59Charles Ndongo, le directeur général de l'office à la supervision
28:02générale. Nancy Daniel Ndendeng.
28:05Elle est une force, une âme
28:08que tout le monde aime côtoyer. Une amie, collègue
28:11et proche avec laquelle tous ont aimé vivre leur quotidien,
28:14leur métier. Ils ont tous adoré la regarder sur le petit
28:17écran dans les années 90. Elle en mettait déjà
28:20plein la vue.
28:23Après avoir passé 17 ans
28:26dans le milieu du cinéma, puis 6 ans à la CRTV Production,
28:29Joséphine Dagnon continue de faire rêver.
28:32Nous sommes ici réunis
28:35pour saluer cette
28:38personne dont le travail
28:41a fait d'elle
28:44un monument du patrimoine
28:47de la CRTV. Son travail et sa détermination
28:50l'ont amené à se surpasser tout en espérant plus d'un.
28:53Fallait voir ce bout de femme se balader partout dans la salle,
28:56rassurer tout le monde et c'était amusant de l'entendre dire
28:59coupez, arrêtez, reprenez. Toujours plus haut,
29:02toujours plus loin, ça c'est le plus beau souvenir.
29:05Dagnon va à la retraite avec plusieurs scénarii pour réaliser son avenir.
29:08Mon passage à la CRTV s'est fait en deux temps
29:11avec mon rôle
29:14imprévu de comédienne
29:17et ensuite ce que j'ai appris
29:20réalisatrice. La cérémonie de départ à la retraite
29:23a permis au top management, proches et collègues
29:26de partager en peau des souvenirs et la célébration
29:29de son 60e anniversaire. Avant son départ à la retraite,
29:32Joséphine Dagnon occupait le poste de directeur délégué
29:35à la CRTV Production.
29:38Elle pourrait désormais écrire un livre
29:41ou des livres. En attendant cela,
29:44lisons celui-ci intitulé pour une jeunesse
29:47africaine scientifiquement et culturellement
29:50décomplexée qui a été présentée au public
29:53hier mercredi au musée national de Yaoundé.
29:56L'ouvrage des jeunes bétings est un appel
29:59à la déconstruction des idées qui fondent
30:02l'Afrique, le continent de toutes les misères
30:05et de tous les possibles au mauvais sens. De l'expression
30:08Franck Evina.
30:15On reviendra sur ce reportage
30:18de Franck Evina. Le temps de continuer avec la
30:21transformation numérique des cabinets d'avocats
30:24au Cameroun. Un sujet qui était au centre
30:27de la conférence à Yaoundé mardi dernier.
30:30Une initiative de l'ONG Avocats sans frontières
30:33humanitaires du Cameroun sur l'importance
30:36de la plateforme digitale professionnelle envisagée.
30:39Le reportage de Nicole Dedoux.
30:42Plus de perte de temps dans la gestion des dossiers
30:45au sein des cabinets d'avocats au Cameroun.
30:48La plateforme digitale CGK est proposée aux hommes
30:51en robe noire lors d'une conférence à Yaoundé.
30:57Cette expérience qu'on fait parce que nous l'expérimentons
31:00depuis plus de 4 mois déjà et nous avons vu quel rendement
31:03nous avons eu dans notre cabinet et la facilitation
31:06de la gestion du cabinet et le contact
31:09facile avec les clients ainsi que les comptes rendus d'audience.
31:12Cabinet mobile pour chaque avocat.
31:15Travailler, gérer
31:18le cabinet de façon instantanée avec des clients.
31:21La démonstration de l'utilisation de la plateforme
31:24par les experts a permis aux avocats
31:27au barreau du Cameroun présents dans la salle
31:30de partager leurs préoccupations sur cette offre numérique
31:33professionnelle. Les autres applications internationales
31:36avec la cybercriminalité, ça nous embêtait.
31:39Comme c'est une application locale,
31:42l'expert nous rassure qu'on n'aura pas ce problème
31:45de cybercriminalité parce que les cabinets d'avocats sont
31:48astreints au secret professionnel. Reste attendu au terme
31:51des travaux de Yaoundé, une adhésion massive des cabinets
31:54d'avocats à la plateforme CJK.
31:57Revenons à la page de ce livre intitulé
32:00pour une jeunesse africaine scientifiquement
32:03et culturellement décomplexée.
32:06Il a été présenté au public hier mercredi
32:09au musée national de Yaoundé. L'ouvrage
32:12de jeune Betteng est un appel
32:15à la déconstruction des idées qui fondent
32:18l'Afrique, le continent de toutes les misères
32:21et de tous les possibles.
32:27230 pages, 23 chapitres
32:30pour déconstruire les idées préconçues
32:33sur l'Afrique et l'Africain. La première
32:36découverture présente des visuels expressifs
32:39comme le titre de l'ouvrage pour une jeunesse africaine
32:42scientifiquement et culturellement décomplexée.
32:45C'est l'appel à barrer la route
32:48à l'afropessimisme. Donc si demain
32:51les jeunes ne se mettent pas dans la tête que c'est par le travail
32:54qu'ils ont réussi et qu'ils continuent à faire
32:57ce que nous voyons aujourd'hui dans les salles de classe,
33:00ce n'est pas un avenir réalisant à l'Afrique.
33:03L'auteur, enseignant de formation, ne néglige point
33:06l'adversité et les difficultés contemporaines.
33:09Il se met à l'avant-garde des grands challenges et du développement
33:12du continent. Faire de l'ance de cette dynamique
33:15la jeunesse. Si nous voulons aller à la conquête du monde,
33:18c'est en nous appuyant sur nos propres cultures, nos propres valeurs.
33:21Il faut que nous valorisons notre identité,
33:24qu'on soit fiers de parler nos langues.
33:27Des exemples de réussite appuient les arguments de l'auteur,
33:30des sportifs, scientifiques, hommes politiques
33:33et autres qui ont fait sensation à travers le monde.
33:36Des figures inspirantes qui confortent
33:39l'auteur dans l'idée que l'Afrique peut.
33:43La cinquième édition de la Coupe 7CGN
33:46s'est achevée ce jeudi au stade militaire de Yaoundé.
33:49La finale de football sanctionnée par la victoire
33:52de la cinquième région de gendarmerie s'est jouée en présence
33:55du général de brigade Elias Tungué
33:58qui représentait le secrétaire d'État à la Défense
34:01chargé de la Gendarmerie Nationale.
34:04Joël-Igor Abanda.
34:07Le football très enlevé en guise de clôture
34:10de la cinquième édition de la Coupe 7CGN.
34:13Le public du stade militaire de Yaoundé vit de bout en bout
34:16cette confrontation qui connaît la victoire
34:19du représentant de la cinquième région de la Gendarmerie Nationale,
34:22l'équipe du commandement des écoles et centre d'instruction
34:25de la Gendarmerie Nationale en blanc et noir
34:28sur la quatrième région de la Gendarmerie Nationale 3-1.
34:31Cette compétition c'est d'abord le rassemblement
34:35La compétition lancée le 23 juillet dernier
34:38a connu la participation des cinq régions
34:41de la Gendarmerie Nationale du Cameroun
34:44dans plusieurs autres disciplines sportives.
34:53Le trophée de football de la cinquième édition
34:56de la Coupe 7CGN est remis ici au vainqueur
34:59par le général de brigade Elias Tungué
35:02la première région de la Gendarmerie Nationale
35:05de représentants du secrétaire d'Etat à la Défense
35:08auprès du ministre de la Défense en charge de la Gendarmerie Nationale.
35:11Rendez-vous est donc pris l'année prochaine
35:14pour la sixième édition.
35:17C'est également la fin du tournoi
35:20SNH Open de Golf 2024
35:23La poteuse très courue a été marquée par la remise des trophées
35:26au Golf Club de Yaoundé
35:29Le tournoi SNH Open de Golf 2024
35:32a été mis spectaculaire présidé par
35:35Nathalie Moudiki, chef de la division juridique
35:38de la SNH qui représentait l'administrateur
35:41directeur général.
35:44Les vainqueurs du tournoi SNH Open de Golf 2024
35:47marquent d'une empreinte indélébile
35:50le mouvement golfique camerounais.
35:53Le trophée symbolisé par un baril de pétrole
35:56a été mis en place en couronnée des efforts fournis par ces golfeurs.
35:59Je dis un grand merci à la SNH
36:02parce que depuis que nous jouons au golf à Yaoundé
36:05c'est la première fois au Cameroun que ça se passe comme ça.
36:08On est tellement contents, c'est pourquoi on a fait de notre mieux.
36:11La Société Nationale des Hydrocarbures, un acteur majeur du mouvement sportif camerounais
36:14a mis les petits plats dans les grands
36:17pour redonner à la pratique du golf
36:20ses lettres de noblesse au Cameroun.
36:23C'est également une des disciplines sportives
36:26où le vivre ensemble trouve au sens d'expression
36:29la plus éloquente.
36:32En organisant cet Open de Golf
36:35la SNH a donc voulu, une fois de plus,
36:38exprimer son attachement aux valeurs
36:41de ce magnifique sport, l'hydrocarbure.
36:44C'est d'ailleurs une occasion fondamentale
36:47que notre société ait resté depuis des décennies
36:50un partenaire fidèle et constant du golf au Cameroun.
36:53Le vœu du vice-président du Golf Club de Yaoundé
36:56est de voir la SNH continuer cette œuvre.
36:59Nous sommes aujourd'hui heureux
37:02de voir le retour de la SNH
37:05en tant que société.
37:08Ils ont fait un tournoi grandiose,
37:11ils ont fait quelque chose d'exceptionnel, il faut le dire.
37:14La SNH signe ainsi son grand retour
37:17en tant qu'administrateur général
37:20pour la vulgarisation de cette discipline sportive.
37:23Un banquet animé par les artistes du terroir
37:26et la remise des cadeaux spéciaux
37:29de l'administrateur-directeur général
37:32ont ponctué les activités du tournoi Open de Golf SNH 2024.
37:35Et je signale que dès ce week-end
37:38la CRTV est réglée sur la fréquence du 6 novembre
37:41avec des productions spéciales,
37:44des documentaires et magazines d'actualité
37:47comme Présidence Actu ou encore C'est Politique
37:50vont donc retracer la vie et célébrer
37:53l'œuvre du président Paul Biya,
37:56visionnaire du renouveau national depuis 1982.
37:59Ouverture de la saga à 22h tout à l'heure
38:02avec un documentaire de Yves-Marc Meudot,
38:05l'éditorialiste vous propose de redécouvrir
38:08Paul Biya à l'épreuve du pouvoir.
38:11Ainsi va le Cameroun ce soir et dès demain
38:14Atabadine Oumar sera là pour le 20h30 du week-end
38:17Dimanche 18h30, actualité hebdo
38:20sur le mystère et le magistère des 42 ans
38:23de Paul Biya à la magistrature suprême
38:26Entretien avec Jean Ndioya
38:29professeur titulaire des sciences politiques
38:32Très bel fin de semaine sur votre antenne la CRTV
38:35L'information c'est ici. Bonsoir